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Inceste et zoophilie à la ferme

Chapitre 4

Zoophilie
Ma tante, que j’ai eu le plaisir de voir en pleine action avec son chien, que j’ai eu le plaisir de sauter, a pris un certain ascendant sur moi, ce vendredi, je suis seul dans la cuisine et entrain de terminer mon petit déjeuner.Caroline, arrive et me dit qu’elle a besoin de moi aujourd’hui, à partir de quatorze heures, je lui demande pourquoi, tu verras me dit-elle, ça devrait te plaire.Tous sont partis, je suis seul avec ma tante dans la cuisine, quand arrive la voisine, une jolie petite brunette, avec sa gamine Lydie, petite jeune fille à lunettes, assez grosse, en fait pas très attirante à mes yeux.La petite que je connais un peu, car à peu près du même âge que mes cousines, baisse la tête, et n’ose pas me regarder, elle est la risée des garçons, qui se moquent de sa grosseur.
Ma tante m’explique, que Lydie, malgré son âge, n’a jamais connu le « loup », à part se faire peloter ou embrasser, aucun garçon, n’a voulu se la faire.Je regarde les deux femmes, ne comprenant pas bien ce qu’elles attendent de moi.Elles m’expliquent qu’avec leur aide, elles comptent sur moi, pour la dépuceler, et que si j’accepte, je n’aurais pas à le regretter…Je suis un peu surpris de ce qu’elle me demande, ma tante nous entraîne dans sa chambre.Les deux femmes, déshabille la minette, en ne lui laissant que ses sous-vêtements, elle est toute rouge, se laisse faire, sans trop participer, et qui n’ose pas me regarder.Ses vêtements tombent les uns après les autres, elle a une toute petite poitrine, des cuisses bien pleines et une chatte à peine visible, noyée entre ses cuisses, et dans une forêt de poils.Coroline lui demande de se coucher sur le lit, elle lui caresse sa poitrine, puis lui écarte les cuisses pour lui caresser son minou, la fille semble apprécier moyennement le traitement qui lui est fait, par sa façon de geindre et de souffler.Pendant ce temps, sa mère Manon, jolie petite brune, me sourit, et se met à m’aider à me déshabiller, pour me mettre en condition, elle me caresse et me suce la bite, qui entre les mains de cette belle femme a très vite pris de belles proportions.Elle va être gâtée ma fille de prendre un tel engin, et aussi vigoureux, à ces mots, la petite se relève sur ses coudes, regarde mon sexe, je ne veux pas, car je vais avoir mal, dit la nénette en pleurnichant.Mais non lui répond ma tante, çà va te faire plus de bien que de mal, tu verras, tu en redemanderas, quand tu sauras le plaisir que çà procure, tu ne pourras plus t’en passer, si tu ne me crois pas, demande à ta mère.Les deux épouses, se sont mises en petite tenue, assez sexy, pour des paysannes, pensais je, la mère caresse la poitrine de sa fille en la rassurant, tandis que Caroline s’emploie à la faire mouiller de la chatte, en l’excitant avec sa langue, puis en insérant un doigt dans la grotte de la jeune fille, qui gesticule, en couinant maintenant de plaisir.Ma tante me fait signe qu’elle est prête, je me positionne dans la fourche de ses cuisses, présente mon gland à l’entrée de ses nymphes, pendant que ma tante s’est positionnée, à cheval sur le ventre de Lydie, pour ne pas qu’elle bouge, et qu’elle voit ce qui se passe entre ses jambes.Mon sexe continu sa progression, écartant les chairs sensibles de la pucelle, pour arriver sur un point bloquant, je fais signe à Manon, et continue doucement ma progression, brusquement, je sens que quelque chose s’est déchiré sous la pression de mon gland, la petite se débat un peu, et pousse des cris, je ne bouge plus, elle semble s’habituer, puis je commence quelques va et vient dans ce fourreau assez étroit.Lydie s’est calmée, et semble maintenant prendre du plaisir sous mes coups de queue’ qui la fourrage sans ménagement.Je fais positionner la belle à quatre pattes, je la prends aux hanches, et la pénètre d’un seul coup, la minette se cambre, ouvre davantage ses cuisses, pour me permettre, d’aller au plus profond de son intimité.Je pense qu’elle apprécie, pendant que je la besogne, elle se retourne et me regarde en souriant.Pendant ce temps, les deux dames se sont mis en soixante neuf, elles se gouinent la chatte en s’encourageant de la voix par des mots assez crus, elles se pénètrent avec des godes qu’elles font coulisser dans leurs orifices.
Ayant fait ce qui m’était demandé, j’abandonne la fille pour m’occuper de la mère, ainsi positionné, son postérieur bien cambré est des plus accueillant, j’y plante ma tige, sous les yeux de ma tante, qui abandonne sa moule pour me sucer les couilles.Je la lime un bon moment sous ses encouragements, vas-y enfile moi bien, transperce moi le minou, astique moi bien.Après avoir bien besogné cette salope, je me positionne sur le dos, la tige bien dressée, je fais signe à Manon de venir s’empaler sur ma verge toute gluante des sécrétions de sa progéniture.En s’écartant ses lèvres vaginales, elle descend lentement, et vient s’embrocher sur mon vit, elle monte et descend en ouvrant la bouche, pendant que Caroline, s’est positionnée en s’accroupissant sur ma figure pour que je lui mange son abricot tout gluant, lèche moi bien, nettoie mon entre cuisses.J’insère ma langue, dans cette minette toute baveuse, Caroline crie, et appuie sur ma figure, en se laissant descendre, pour que j’aille encore plus en elle.Ne pouvant plus me retenir, mon membre tressaute, et éjacule en longs jets dans la grotte de cette cochonne de Manon, sous les yeux de sa fille qui ne perd rien du traitement fait à sa maman.
Ma tante appelle rex le berger allemand, qui dans cette odeur de femelle en chaleur est tout excité, et ne sait vers laquelle des femelles aller.Lydie est positionnée en levrette sur une couverture, les fesses bien cambrées, rex, après quelques coups de langue sur son intimité, lui saute sur le dos, et tente de la saillir, Caroline positionne ce sexe qui est déjà bien dimensionné, à l’entrée du jeune vagin, le mâle s’active et s’enfile dans cette jeune foufoune.La petite, qui ne s’attend pas à ça, se demande ce qui lui arrive, tant elle est ballottée en tout sens, sous les coups de butoir du géniteur, qui la besogne assez rudement.Ma tante veille à ce que le nœud ne s’insère pas dans cette jeune vulve qui dégouline du liquide de l’animal.Pendant que la petite se fait saillir par le chien de la maison, sous le regard de sa maîtresse qui veille à ce que la mignonne n’ait pas trop mal.J’ai positionné Manon en levrette, la prenant aux hanches, je lui mets quelques coups de bite dans son abricot, j’écarte alors ses fesses bien rondes pour découvrir son petit trou légèrement plissé.Après avoir fait coulisser mon index pendant quelques instants, je pointe ma pique sur son œillet, déjà bien dilaté de la jolie brune, elle se cambre un peu plus, pour que je la tringle.M’enfonçant lentement, j’enfile son étroit canal, la belle gueule, et remue son petit cul, je me couche sur son dos en lâchant de longs jets de sperme qui vont lui tapisser ses intestins. Je passe ma main, dessous son ventre, à la rencontre de sa moule toute gluante, je trouve son clito, que j’excite pour la faire venir.La jolie fermière, n’est pas longue à jouir, je la sens prise de tremblements s’affaisser sur le lit.Nous sommes restés un bon moment, toujours emboîté l’un dans l’autre, récupérer de cette bonne partie de jambes en l’air.
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