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Inceste et zoophilie à la ferme

Chapitre 10

Zoophilie
INCESTE ET ZOOPHILIE A LA FERME 10

Ce récit est en partie réel.Ce soir comme à son habitude, Sonia me rejoint dans ma chambre pour discuter, dans quelques jours les vacances à la campagne seront terminées et je rentrerai à regret chez moi pour reprendre mes études.Tout en discutant, je fais part à ma cousine de mon étonnement de voir les filles et les femmes habitantes de nos campagnes aussi chaudes et aussi portées sur le sexe…Elle me regarde avec un petit sourire et m’explique que nous les gens de la ville avions de nombreuses distractions à notre disposition, alors qu’ici dans ce que l’on appelle la France profonde, il n’y a pas grand-chose pour se distraire.Pour aller au cinéma, au restaurant ou en boite, il faut faire plusieurs kilomètres, notre passion, notre plaisir, c’est ce que nous avons à notre portée : le sexe sous toutes ses formes…Je lui dis que tout ce que je connais sur le sexe, je l’ai essentiellement appris et expérimenté à son contact et en sa compagnie.La jeune fille reconnaît que j’ai raison et me regarde en souriant, semblant apprécier ce que je viens de lui déclarer.Et encore, tu n’as pas tout vu me lance la belle en riant et en me regardant dans les yeux.Ah bon dis-je, en la regardant d’un œil interrogateur.Ecoutes me dit la fille, si tu n’as rien à faire demain après déjeuner, viens avec Sylvie et moi, nous devons aller à la ferme du point du jour, tu ne seras pas déçu, j’essai d’en savoir plus, mais sans succès, pour toute réponse ma cousine écarte les cuisses pour me faire admirer son entrecuisses, mais surtout l’absence de sous-vêtement…Quelle cochonne cette Sonia pensais-je en essayant de saisir son abricot ainsi dénudé, mais la fille ayant prévue ma réaction a anticipé, et rabat prestement sa jupe en me tirant la langue.Sylvie est la petite voisine et copine de Sonia, elles sont du même âge, elles ont les mêmes goûts et s’entendent particulièrement bien, sexuellement je suis persuadé qu’elles prennent du plaisir ensemble, quand on en voit une, l’autre n’est pas bien loin.Cette petite brune est particulièrement jolie, un peu plus svelte que ma cousine avec une poitrine pas très grosse en forme de poire, elle est dotée d’une forte personnalité ?Il y a quelques années, alors que j’étais en vacance à la ferme, j’ai eu le privilège de la dépuceler sur la demande insistante de sa copine Sonia qui elle avait vu « le loup » l’année précédente.Eh oui, cette jeune fille à l’époque était remplie de boutons et n’était pas particulièrement attirante, de plus elle avait décidé que les garçons ne l’intéressaient pas et étaient quelque chose qu’il fallait fuir, elle préférait passer de bons moments en compagnies des filles…Je n’avais pas eu à le regretter, car la fille s’était avérée un bon coup qui cachait bien son jeu aux yeux des mâles, il est vrai que ma cousine sur ce coup m’avait bien aidé.Depuis la petite brunette a bien changé, c’est devenue une très belle jeune fille, qui par la suite a bien rattrapé le temps perdu avec les garçons sans pour cela abandonner l’amour lesbien…
Nous sommes le lendemain, sur la route menant à la ferme du point du jour, les filles pédalent en plaisantant et en rigolant.Moi un peu derrière, je me délecte du spectacle que m’offrent ces jeunes filles sur ces routes peu fréquentées de nos campagnes.Elles sont vêtue de mini jupes qui volent au vent dévoilant leurs cuisses et par instant leurs petits derrières qui se trémoussent sur la selle de leur monture.Ma cousine a mis un petit string jaune, alors que sa copine elle n’a rien, la vision de ces petites fesses nues m’excitent et me fait transpirer deux fois plus, les minettes savent bien que ce qu’elles me montrent est des plus excitant, par moment elles se retournent en plaisantant.Nous arrivons à destination, le fermier un bel homme d’une quarantaine d’années, assez grand et bien baraqué nous attend dans la cour.Ah dit-il avec un petit sourire en coin et en s’adressant à Sonia, on a emmené le cousin…Nous suivons l’homme et pénétrons dans une vaste grange, on entend des aboiements de chiens, il demande aux filles de se préparer, qu’il revient.A ma grande surprise, les deux nénettes dégrafent le plus naturellement leurs jupettes qui tombent à terre, le fermier revient accompagné d’un chien aux dimensions extraordinaires.L’animal est très grand, assez corpulent avec des pattes aussi large que mes mains c’est un doberman, quand il est entré, je pensais qu’il était accompagné d’un veau…Quel animal, il a une tête impressionnante je n’en crois pas mes yeux car je n’en avais jamais vu d’aussi imposant et surtout d’aussi près. Les filles ne sont pas du tout impressionnées, mieux elles rigolent en lançant quelques plaisanteries, j’en conclus que ce n’est pas la première fois quelle sont confrontées à ce partenaire hors normes.Le fermier demande laquelle des filles veut commencer, pour toute réponse, Sonia s’avance et se positionne à plat ventre, les cuisses écartées sur une meule de paille recouverte d’une couverture.L’homme se saisit d’une bouteille remplie d’un liquide dont il enduit l’entre cuisses de la mignonne, plus tard je saurai que ce produit est un lubrifiant additionné de musc de chienne en chaleur.L’animal a tout de suite relevé le nez, reconnaissant l’odeur, son sexe commence à s’extraire de son fourreau, son maître passe alors sa main sous son ventre, se saisit de son sexe et le branle vigoureusement.La bête présente maintenant une bite aux dimensions dignes des hardeurs les mieux pourvus, plus de 25cm pour 4 à 5 cm de diamètre, je regarde inquiet ce membre violacé et veiné qui va s’introduire dans le ventre de ma chère cousine.Accompagné du fermier, l’animal se positionne l’œil vif et la tête relevée derrière la petite femelle qui elle attend avec impatiente cette impressionnante queue qui goutte et qui va lui écarter les chairs sensibles de son vagin.La bête saute sur le dos de Sonia, faisant reposer ses pattes avant sur la meule de paille.Aidé par son maître, le sexe du doberman s’insère lentement dans le ventre de la blondinette en écartant tout sur son passage, la gamine grimace par moment en poussant de petits cris.Pendant dix bonnes minutes l’animal tringle la fille par des allers retours à un rythme bien soutenu, Sonia toute rouge et transpirante encourage son partenaire, tandis que le fermier surveille d’un œil averti cette saillie peu ordinaire.J’apprendrai plus tard qu’il veillait à ce que l’imposant nœud de l’animal ne s’introduise dans le vagin de la belle, car cela aurait été très douloureux et aurait pu faire des dégâts dans son intimité.Le chien se désaccouple de lui-même et fait sa toilette avec son imposante langue, de longues et importantes traînées de liquide coule de la vulve de la belle, pendant ce temps Sylvie s’est positionnée à la place de son amie.L’animal n’ayant pas débandé, le fermier le repositionne, il a la gueule ouverte d’où pend une longue langue, il pénètre la petite chienne qui couine sous les poussées assez fortes de son partenaire à quatre pattes.Après avoir copieusement ramoné les deux petites, l’homme ramène son protégé dans son enclos.
De retour, l’homme excité par ce qu’il vient de se passer demande aux filles de s’occuper de lui, en fait il demande de se faire payer en nature par les deux minettes, mais cela fait partie d’une autre histoire….
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