Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 227 J'aime
  • 2 Commentaires

Un inconnu aux fêtes de Bayonne

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour à tous. Lisant vos histoires depuis déjà 10 ans (j’ai découvert le site à mes 14 ans...), je me décide enfin à contribuer. Cette histoire a réellement eu lieu. J’espère qu’elle vous plaira. ______Toc toc toc. On frappe à la porte. J’ouvre les yeux difficilement. C’est ma tante.
— Ca va ma puce ? Je vais faire les courses, je te ramène un truc ? — Une bouteille de vodka stp.— Tu sors finalement ce soir ? — Oui, je suis invitée chez des amis.— D’accord à plus tard.
Je regarde l’heure, 9h30. Ma tante se lève beaucoup trop tôt à mon goût. Je suis ici depuis une petite semaine. Mon petit-ami m’a quittée il y a trois semaines de ça et j’ai beaucoup de mal à le vivre. Il faut dire qu’à 19 ans, je vis ma première rupture avec quelques difficultés. J’ai décidé de venir dans le sud de la France dans l’espoir de me changer les idées, mais malheureusement, mes amis originaires de la région sont tous en vacances ailleurs. Je me suis rabattue chez ma tante qui vit à Bayonne, avec les fêtes qui arrivent, je vais pouvoir penser à autre chose.
Il est 20h, je me prépare. Le code vestimentaire est strict, du blanc et du rouge. Ça va être difficile de sortir du lot ce soir... Je me rabats sur une jupe mi-longue que je remonte jusqu’à ma poitrine pour en faire une robe que je ressers à la taille avec la traditionnelle ceinture rouge. La jupe remonte et cache à peine mes fesses. Je me regarde dans la vitre. Je suis ronde, mais j’assume mes formes. Je les adore. Surtout ma poitrine, un beau 115D dont je suis fière. J’adore mes cheveux aussi. Ma longue tignasse brune et bouclée me donne un genre espagnol qui attire beaucoup d’hommes.
J’ajoute une touche finale, un rouge à lèvres rouge vif, boit quelques shooters d’alcool pour me donner du courage et je pars prendre le bus. J’ai dit à ma tante que j’allais voir des amis, mais c’est faux. Je n’ai qu’un objectif ce soir : baiser.
Le bus me dépose à l’entrée des festivités. Comme toujours, l’ambiance est au rendez-vous. Je sais où trouver des hommes de mon âge : devant la scène où se produit un groupe connu. J’entreprends de traverser les quelques rues qui me séparent de la place. J’avance lentement, portée par la foule. Je sens des mains baladeuses, ça m’émoustille. Je me fais littéralement ploter de tous les côtés. Je rejoins la place et parviens à me trouver une place au milieu de la foule qui danse. Il y a des mecs, plein de mecs. Mais ce soir, je ne veux pas faire la difficile. Je serais au premier mec qui vient vers moi. Je me mets à danser, à sautiller, mes gros seins rebondissent, ma robe remonte. Il n’a pas fallu beaucoup de temps pour qu’un mec s’approche de moi. Dans un premier temps, il vient se coller contre moi. Je sens sa verge déjà en érection qui se fait une place entre mes fesses. Nous nous sommes compris. Je suis déjà trempée. Je me cambre et viens frotter mes fesses contre sa bosse.
Je n’ai pas vu son visage. Je ne sais pas quel âge il a. Mais peu importe. Ses mains se posent sur mes hanches, il me colle à lui. Une de ses mains remonte et se pose sur ma poitrine. Je ferme les yeux et savoure. J’ai chaud, très chaud. J’ouvre les yeux et me retourne. Je me retrouve face à un jeune homme d’une vingtaine d’années. Il est grand, au moins 1m85, un peu rouquin. Pas forcément mon style, mais je l’embrasse sensuellement. Il en profite pour soulever ma robe et glisser une main dans ma culotte trempée. Je ne vais pas tenir longtemps.
Le type me chuchote un truc à l’oreille que je ne comprends pas. C’est de l’anglais. Je lui dis que je ne parle pas anglais. Je lui prends la main et le tire hors de la foule. Il y a du monde partout, ça ne va pas être simple de trouver un peu d’intimité. Il comprend très vite mon intention et nous nous éloignons un peu plus. Nous arrivons vers les remparts, l’endroit est plus calme.
Je le plaque contre un mur, pose un genou au sol et déboutonne son pantalon. Je sors sa bite. Elle est banale, ni trop petite, ni trop grosse. Je commence à lui tailler une pipe. Il semble bien apprécier. Je lui lèche son gland tout en malaxant ses couilles. Je craque sur sa bite et la fourre dans ma bouche. Il ne va pas tenir longtemps. Ma chatte n’en peut plus, je le veux en moi. Je me relève, il me retourne, soulève ma robe, baisse ma culotte et me pénètre d’un coup. Je suis tellement mouillée que ça glisse tout seul. J’aime ça, c’est sauvage. Il tire mes cheveux et claque mes fesses, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là. La musique au loin semble couvrir mes gémissements. Je me lâche. C’est la première fois que je me lance dans ce genre d’aventure. Moi, jeune étudiante sage au parcours exemplaire, je suis littéralement en train de me faire limer la chatte par un parfait inconnu et j’adore ça.
Le mec se retire de moi et jouit sur mes seins. Il se rhabille en vitesse et part en me lâchant un « Thank you ». Je me retrouve seule, à moitié nue au milieu de la ville, les seins pleins du sperme d’un inconnu et je n’ai rien pour me nettoyer. Je vois un gros buisson à quelques mètres de moi, je m’approche pour prendre des feuilles et m’essuyer. Je vois alors un couple en train de baiser. Un mec se fait chevaucher par une meuf. Le mec me voit et me regarde pendant que je me nettoie. Je lui fais un clin d’œil, rentre mes seins dans mon soutif, ajuste ma robe puis regagne l’arrêt de bus.
Je n’en reviens pas. Je me sens un peu honteuse de ce que je viens de faire. J’ai l’impression que les gens autour de moi savent que derrière mon visage d’ange se cache en fait une vraie salope. D’ailleurs, un type vient s’installer à côté de moi, il doit descendre au prochain arrêt, mais aimerait bien me voir demain. Il lui laisse mon numéro. Je sens que cet été va être riche en baise...
Diffuse en direct !
Regarder son live