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L'INCONNU DU CINEMA

Chapitre 8

Avec plusieurs hommes
Je ne sais pas combien de temps j’ai pu dormir, mais j’avais toujours le voile sur les yeux.Bien reposée, je me suis étirée sur les draps de satin pour me dégourdir les membres, ce contact sur ma peau nue était des plus agréables et je savourais l’instant en me remémorant cette incroyable orgie dont j’avais été la victime consentante.
Jamais je n’aurais pu imaginer vivre une telle débauche, me faire prendre par huit hommes à la suite, en retirer un réel plaisir et en jouir à chaque fois.Et puis ce gros pervers avec son sexe disproportionné, comment mon corps a-t-il pu accepter une telle dilatation, certes l’excitation était immense, mais tout de même.
Ces pensées coquines ravivaient le désir en moi et je me surpris à parcourir langoureusement mon ventre et l’intérieur de mes cuisses avec mes mains.Plus je repensais à cette bite énorme et plus j’avais envie de l’avoir de nouveau en moi, de me sentir profondément et totalement remplie.
Mes mains caressaient ma vulve et je commençais à rouler des hanches pendant que mes doigts s’enfilaient entre mes lèvres humides.Serait-je devenue une de ses salopes toujours insatiables, m’ont-ils transformé à ce point pour que je ne sois jamais satisfaite et que mon corps me réclame toujours plus de plaisir.
— Et bien, il était temps que j’arrive.
Surprise par cette irruption, j’ai néanmoins reconnue la voix de Marc, il était surement entré en douceur sans faire de bruit, mais avec lui j’étais maintenant très à l’aise et j’ai décidé de poursuivre l’exploration de mon intimité malgré sa présence.
— Humm… Marc… qu’est ce que vous me faite… ce que je suis…devenue…
Marc m’a attrapé les mains pour les bloquer fermement au-dessus de ma tête et il s’est approché en posant son autre main sur mon ventre.
— Emilie, nous ne faisons que dévoiler votre vraie nature, cette quête du plaisir est en vous, il nous suffisait de la libérer.
Sa main était chaude et sa caresse sur mon ventre tellement agréable.
— Hum… Marc… faite moi jouir… je vous en prie.
— Doucement, chaque chose en son temps.
Il me demandait de patienter et pourtant il m’a aussitôt glissé deux doigts dans la fente jusqu’à venir me toucher le clito, geste qui m’a complètement électrisé.
— Hum… vous le faite exprès… c’est de la…torture
Au même moment j’ai ressenti une autre présence près de nous, la personne s’est approché et s’est assise sur le lit juste devant moi.Connaissant bien Marc et ses idées perverses, je m’émoustillais d’avance des nouveaux plaisirs qu’il allait me faire découvrir.Avec sa main, Marc me fit écarter les cuisses au maximum tout en caressant la chair délicate de mon entre jambes.
J’adorais vraiment cette façon qu’il avait de m’offrir, respectant ce savant mélange de surprise, de crainte et de curiosité, sans savoir vraiment pourquoi j’avais une totale confiance en lui.Marc a posé son visage contre le mien et tout en me donnant de langoureux baisés il me chuchotait doucement :
— Nous allons vous faire jouir rapidement car le Maître nous attend
Il n’avait pas fini sa phrase que j’ai senti la chaleur et l’humidité d’une langue me parcourir la fente, remonter lentement pour venir déposer un profond baisé sur mon bouton déjà éclos.Cette langue à poursuivit sa fouille baveuse en parcourant tous les recoins de mon intimité, de haut en bas jusqu’à mon petit trou pour remonter lentement en titillant les muqueuses avec d’agréables vibrations.
— Laissez vous aller, libérez votre plaisir
Marc me maintenait toujours les bras au-dessus de la tête, continuait à me parler et maintenant me caressait les seins en faisant rouler les tétons sous ses doigts agiles.La bouche de l’intrus avalait ma cyprine à chaque aspiration du clitoris, ses coups de langue bien appliqués me faisaient déjà frémir de bonheur et je savais que le plaisir ne tarderait pas.
— Montrez moi a quel point vous aimez être fouillé
Marc m’a pénétré la bouche avec sa langue, mélangeant nos salives tout en continuant ses chuchotements et en me pinçant les tétons de plus en plus forts.
-Hum… vous…aimez ça…hum… être… dévoré…hum…
La puissance des mots crus et l’application de cette langue qui me fouillait l’intimité ont eu raison de mon dernier rempart, la décharge explosant plus rien ne pouvait la retenir.Je voulais crier ma jouissance mais la bouche de Marc m’en empêchait, mon corps gigotait telle une anguille mais les mains de Marc me retenaient toujours fermement.Et cette bouche qui continuait à me lécher en savourant tout mon jus, pendant que l’explosion de sensations se propageait dans tous les recoins de mon âme.Encore quelques soubresauts sous les derniers coups de langue et mon corps s’est affaissé pour se détendre, enfin rassasié.
— Vous êtes vraiment incroyable
Marc m’a légèrement soulevé le voile des yeux afin que je puisse apercevoir le propriétaire de cette langue si agréable.Quelle ne fut pas ma surprise de voir ma nouvelle amie qui s’essuyait le menton et les lèvres avec son avant bras, récupérant au passage le surplus de cyprine qui coulait encore sur son beau visage.
Je venais de jouir sous la langue experte d’une jolie femme, c’était là aussi une première pour moi et je ne regrettais pas cette formidable sensation.Marc a reposé le voile sur mes yeux en me disant :
— Il faut y aller, nous sommes en retard et le Maître n’aime pas ça.
Il m’a aidé à me relever, toujours nue et offerte à la vue de tous, nous avons traversé les couloirs et descendus les escaliers pour nous arrêter enfin.J’étais désorienté, sans savoir où je me trouvais exactement, laissant Marc me conduire par la main où bon lui semble.
Marc m’a lâché là, me laissant nue et seule, surement sous les regards de tous ses pervers qui allaient me faire de nouveau la fête.Mais le silence était total et je ne ressentais aucune présence sinon celle de Marc qui devait encore se tenir à proximité de moi.
Soudain, des cliquetis de chaînes en acier que l’on manipule juste à coté, puis de nouveau le silence pour enfin sentir sa main reprendre la mienne.Le voile sur les yeux me faisait perdre toute notion de l’espace autour de moi et seuls les bruits m’orientaient dans mes ressentis avec toutes les déformations inimaginables favorisées par mon imagination.
Soudain Marc m’a poussé de face contre un objet en bois, il m’a levé le poignée gauche pour l’attacher solidement avec les fameuses chaînes au bruit si caractéristique.Ensuite il a fait de même avec le bras droit et enfin il m’a écarté les jambes pour me les attacher à leur tour, je me suis retrouvé les quatre membres en croix exactement comme sur la potence que j’avais aperçu dans le grand salon.
Je me laissais faire comme une vraie soumise, malgré la crainte qui me tiraillait le ventre, le plaisir de l’humiliation prenait encore le dessus.J’étais complètement bloquée face contre le bois tiède, laissant ainsi mes fesses cambrées et écartées à la vue de tous.La position était inconfortable et très humiliante, heureusement que j’étais bien attachée car je n’aurais pu tenir très longtemps ainsi écartelée.Le silence pesant s’est de nouveau installé dans la pièce et je n’ai pas pu me retenir de clé mandé la présence de Marc.
— Marc… vous êtes là… je vous en prie… répondez moi…
Pour seule réponse, j’ai entendu le sifflet des lanières de cuir qui sont venues me réchauffer les fesses avec un claquement sec.
— Aie…non…je vous en prie…
La douleur était vive et je n’ai pu empêcher mes yeux de larmoyer tout en crispant mes fesses pour prévenir d’éventuels coups à venir.
— Vous êtes en retard
J’ai reconnu la voix sévère du Maître des lieux, il fallait donc m’attendre au pire.De nouveau le sifflet des lanières découpant l’air sur leur passage et un nouveau claquement sec libérant une forte douleur sur mes fesses.
— Aiiieeee… non, je vous en supplie… ça fait trop mal…— Il fallait y penser avant de me contrarier
Et un nouveau claquement raisonna dans la pièce:
— Haaaaaaa… non…non… j’ai trop mal… pardonnez moi… je le ferais plus
Les lanières sont de nouveau venues claquer sur mes chairs meurtries:
— Que je vous y prenne encore, à jouir pendant que j’attends— Haaaaaa… non… non… promis… je ne le ferais plus— Moi je pense que vous aimez la douleur et les punitions— Non…non… ce n’est pas de ma faute… je ne le ferais plus.— Marc, préparez moi cette petite pute c’est l’heure de sa nouvelle leçon
J’étais heureuse que les coups se soient arrêtés, les fesses en feu et le cœur accéléré j’attendais avec appréhension la suite des événements.J’ai senti quelqu’un me décoller le ventre du bois pour placer un objet sur lequel est venu s’appuyer ma vulve, c’était surement Marc qui suivait les ordres du Maître.
Puis j’ai ressentie que l’on m’étalait délicatement de la crème sur les fesses, une sensation de fraîcheur apaisante s’est propagé sur ma peau meurtrie.La main appliquait le baume tendrement passant d’une fesse à l’autre, profitant parfois de s’immiscer dans le sillon séparant les deux globes laiteux.C’est sans surprise que des doigts se sont immiscés jusqu’à mon petit trou pour y étaler aussi cette crème visqueuse, forçant le passage pour en mettre un peu à l’intérieur.
Je sentais ce plaisir puissant revenir en moi, comme à chaque fois il me prenait par le ventre pour se propager rapidement à l’ensemble du corps, ma fente devait être toute mouillée car je la sentais perler entre mes cuisses ouvertes.La main baladeuse me caressait toujours tendrement comme pour apaiser la douleur encore présente.
Mais de plus en plus, elle venait se frotter discrètement jusqu’à ma vulve pour y puiser la cyprine poisseuse quelle mélangeait aussitôt à la crème pour mieux me pénétrer l’anus.Je sentais les doigts entrer et ressortir lubrifiant mon conduit anal à chaque nouvelle pénétration, de mieux en mieux huilé il acceptait maintenant et sans aucune douleur jusqu’à trois doigts en même temps.
Au même moment j’ai ressenti comme des mouvements au niveau de la vulve, c’était le fameux objet que l’on avait placé un peut plus tôt, il venait de s’animer comme par magie et émettait de puissantes vibrations qui venaient troubler mon clitoris.La sensation était délicieuse au point que j’appuyais mon bassin vers l’avant pour pouvoir ressentir plus intensément la monté du plaisir.
Les doigts me fouillaient toujours, passant sans aucune modération de mon petit trou à ma chatte et dans lesquels ils pénétraient très facilement.Sous l’action du plaisir, mes chairs s’habituaient et se dilataient de plus en plus, on m’enfilait maintenant jusqu’à quatre doigts dans le cul sans que je fasse la grimace.Je me laissais emporter, soumise et offerte selon leur bon vouloir.
Vivant le moment comme une véritable récompense après cette douloureuse punition, totalement convaincue de l’avoir bien mérité je cherchais à me racheter par tous les moyens.Avec toutes ces sollicitations, le plaisir s’installait durablement dans mes entrailles et j’ondulais maintenant mon cul pour pouvoir me frotter plus fort sur cet appareil qui me burinait.
Surement pour atténuer la monté du plaisir on m’a posé deux pinces sur les tétons durcis, la douleur vive mais pas insupportable ma fait redescendre l’excitation d’un cran tout en accentuant la perversité de l’humiliation.J’étais prête à tout accepter pour le plaisir de mon Maître à la seule condition qu’il me fasse mourir de plaisir.
— Alors Emilie, est ce que je vous régale ?
C’était donc bien Marc qui me préparait si délicieusement, cela m’a donné l’envie de faire des efforts pour ouvrir le plus possible mes orifices intimes et lui faciliter la tache.Au bout de quelques minutes, il m’a introduit un tube dur et moelleux à la fois, malgré un diamètre plus que correct, j’ai laissé mon conduit anal accepter l’intrus que Marc commençait déjà à faire aller et venir doucement, tel un piston.
A chaque sortie de l’engin il remettait une couche de crème et de cyprine pour alimenter l’importante lubrification nécessaire à l’entrée des artistes.Je commençais à y prendre un réel plaisir au point que j’avais presque une préférence pour la pénétration anale qui me délivrait des jouissances beaucoup plus intenses au regard de mes expériences.
Marc à stopper le mouvement pour pouvoir appuyer sur une petite poire qui était reliée au tube en question, au fur et à mesure j’ai sentie l’objet grossir en moi.Plus il pompait et plus cela prenait du volume dans le conduit, dilatant tout sur son passage il m’écartelait carrément le trou du cul jusqu’à un diamètre incroyable.
— Heeee… Marc… c’est trop…gros…doucement…
Il stoppa le pompage, laissant mon orifice s’habituer au diamètre tout en tentant de le faire coulisser doucement pour réactiver le plaisir et estomper la douleur.J’étais si bien lubrifié que malgré l’impressionnant écartement, l’objet pouvait encore coulisser d’avant en arrière sans me déchirer.
— Emilie vous êtes trop gourmande
Les mots ravivaient systématiquement ma terrible excitation et Marc pu reprendre le pompage pour m’écarteler encore un peu plus.
— Haaaa…oui…doucement Marc…c’est bon…mais j’ai…mal…hum…— Détendez vous, le meilleur est à venir
Finissant sa phrase, il manipula un petit boitier qui accélérât aussitôt les vibrations qui m’astiquaient le petit bouton depuis un bon moment, c’était vraiment trop bon.Le clitoris ainsi sollicité et l’engin gonflé à bloc qui me coulissait dans les intestins il n’aurait pas fallu que cela dure trop longtemps avant que ma jouissance n’explose.
— Et bien ma belle, on n’attendait plus que moi à ce que je vois
C’était la voix râpeuse de celui que l’on appelle (la brute), celui qui est monté comme un taureau et qui m’a labouré la chatte en me traitant comme une sa pute.Bien que mon cœur se soit considérablement accéléré au son de sa voix, je n’étais presque pas surprise de l’entendre dans de telles circonstances.
Il s’est collé contre moi tout en resserrant les pinces qui me tiraillaient les tétons de façon à accentuer la douleur et pouvoir mieux contrôler mon plaisir.Il m’a vulgairement léché dans le coup avec sa langue épaisse et toute mouillée en remontant jusqu’à l’oreille où il m’a susurré :
— Je vais te la mettre dans le cul ma belle, tu es prête pour le grand voyage ?
Sans le vouloir, mon état d’excitation et la puissance des mots crus m’ont littéralement fait jouir une première fois, libérant un véritable flot de cyprine.Marc était passé de l’autre coté, se m’étant face à moi, il pouvait ainsi me regarder tout en laissant le champ libre à la brute pour qu’il s’occupe de mon cul.
Affrontant ma peur avec résignation et sachant que je ne pourrais empêcher cette prometteuse et douloureuse pénétration, j’ai opté pour essayer d’avoir le moins mal possible et pourquoi pas en retirer le maximum de plaisir.J’ai soupiré et serré les dents, puis en cambrant mes reins au maximum et je leurs est dit :
— Allez-y, je suis prête.
En véritable pervers, la brute continuait à me lécher le cou et la nuque tout en me retirant assez délicatement l’objet introduit qui dégonflait assez vite.La délicatesse du geste m’a surprise, aurait-il soudainement eu pitié pour mon cul délicat avant de le déchirer ou tout simplement ménageait il sa future victime consentante pour pouvoir mieux la faire souffrir.Je l’ai ensuite entendu badigeonner son membre, en vidant et étalant le tube de crème sur toute la longueur, rien qu’au bruit et au temps qu’il a mit-ont pouvait imaginer la taille du sexe.
Après Il a prélevé toute la cyprine possible dans ma chatte pour la remonter entre mes fesses, libérant des petits clapotis tellement je dégoulinais.Présentant l’énorme gland à l’entrée du conduit et à commencé à pousser tout en me disant :
— C’est le moment de vérité ma belle, ça passe ou sa casse
Bien décidé à réussir ce véritable exploit, je poussais moi aussi de mon coté, dilatant mes chairs plus que possible, tout en cherchant à oublier la douleur qui se présentait en me concentrant sur les vibrations qui me ravageaient toujours le clitoris.L’énorme gland violacé n’arrivait pas à passer la barrière de la corolle malgré l’abondante lubrification, pourtant il forçait sans aucune délicatesse.Cette résistance la plutôt énervé et Il m’a saisi brutalement les seins en pinçant mes tétons de toutes ses forces ce qui m’a déclenché un véritable cri de douleur.
— Haaaaaaaaa….— Espèce de salope, que tu le veuille ou pas, ça va rentrer jusque aux couilles.
Il s’est mi à faire de touts petits va et vient avec sa queue pour me dilater et pour pouvoir prendre de l’élan avant l’assaut final.La douleur était presque insupportable et heureusement que mon clitoris était plus que sollicité par les délicieuses vibrations sur lesquelles je me concentrais au maximum.
Lui, il continuait à m’humilier et à m’insulter au creux de l’oreille
— Tu va voir ma pute, une fois qu’elle sera dedans tu va te régaler — Haaaa… ça fait…trop…mal….
Il reprit son élan et poussa d’un puissant coup sec ce qui permit au gland de dépasser la première barrière en me foudroyant de douleur jusque aux larmes.
Haaaaaaa…non…non…non…
Il stoppa tout mouvement pour me permettre l’acceptation de ce corps étranger et il se mit à me masser les seins tout en continuant à me lécher dans le coup et à me dire des mots très sales.Tu vois que ça rentre ma belle, laisse toi faire…tu va prendre ton pied.
Mon cul était au bord de la déchirure et se sentais les palpitations de sa queue qui se gorgeait encore de sang pour mieux me remplir.Il s’est mi à bouger d’avant en arrière avec de tous petits mouvement pour éviter de me meurtrir trop vite, permettant ainsi à mes chairs de s’acclimater et de lubrifier au mieux le reste du conduit anal.
— Tu sais que tu es vraiment bonne, c’est trop bon de t’enculer.
La perversité de ses paroles décuplait mon humiliation en m’excitant au plus haut point et Marc avait du monter encore d’un cran les vibrations sur mon clito car le plaisir commençait à prendre le dessus.Sa grosse bite coulissait déjà de quelques centimètres, prenant de plus en plus d’assurance à chaque pénétration, il se voyait approcher de la victoire.
— Ho… mais c’est que ma pute commence à aimer ça — Haaaa…non…oui…mais…ça fait…mal…hum…— Oui, c’est bien…écarte bien ton cul, oui…laisse moi te la mettre au fond— oui…hum...mais elle…est…hum… trop grosse…j’ai…mal…— Mais non, regarde comme elle rentre bien, tu l’aime ma grosse queue, hein ?— Oui…hum…elle est…grosse…
Ses mouvements devenaient plus longs et sa queue coulissait déjà sur plus de quinze centimètre en dilatant toutes mes chairs dans la gaine anale.Le mélange de douleur et de plaisir était tel que mon corps abandonnait toute force, je ne tenais plus sur mes jambes, je tremblais et frémissais de toute part. Juste accrochée par les poignets je me laissais empaler de tout mon pois sur le l’énorme pieux vivant qui maintenant me labourait le cul.
Sous la douleur mes larmes étalaient mon maquillage sur mes joues, alors que ma respiration saccadée et mes gémissements exprimaient mon état de femelle apeurée.La brute s’agrippait de plus en plus brutalement à mon corps, lâchant mes seins pour me contraindre en appuyant sur mes épaules, permettant ainsi à sa queue de gagner encore quelques centimètres.
— Putain, tu va la prendre…encore un effort ma belle
Je sentais tous ses puissants muscles qui se contractaient à chaque coup de reins, sa respiration de mâle en rut me chauffait la nuque que sa langue baveuse parcourait toujours.
— Han…han…han… tient ma pute… t’aime que je t’éclate le cul…
Je serrais mes mains de toutes mes forces sur les chaînes qui me retenaient, me laissant divaguer au gré de ses coups de queue qui commençaient à me faire plus de bien que de mal.
— Haaa…sale pute, ça y est…jusque aux couilles…prend ça
Le salaud, il venait sur un dernier coup de reins un peu plus puissant que les autres de me l’enfiler sur toute sa longueur et je sentais ses couilles chaudes qui ballottaient contre mes fesses.Devant cette outrageante capitulation, toutes mes dernières barrières morales sont tombées et je me délectais d’être ainsi possédé comme la plus vulgaire des salopes.
Mais le niveau d’adrénaline était trop puissant, provoqué par cette incroyable monté du plaisir, le niveau inhabituel de la douleur accepté et l’excitation permanente.J’ai senti le mâle s’exciter encore plus fort, me pilonnant à grands coups de bite pendant qu’il m’insultait, mais mon esprit défaillait et je ressentais la pièce tourné autour de nous.Je l’ai entendu hurler alors qu’il me remplissait le cul de son foutre chaud mais j’ai soudain eu un grand trou noir dans lequel je suis tombé, à bout de forces je me suis laisser partir sans pouvoir me retenir.
— Emilie…Emilie…vous m’entendez ?
J’entendais cette petite voix douce, qui se rapprochait doucement.
— Emilie… comment allez vous ?
Mes paupières s’ouvraient lentement, laissant apparaître la lumière tamisé sur les murs de la chambre.Ma nouvelle amie était près de moi, me caressant délicatement les cheveux et le visage.J’étais encore toute nue, mais j’avais mal partout, surtout au niveau des parties intimes
— Que m’est-il arrivé ? — Vous vous êtes évanouie, c’est une brute épaisse, sans morale— J’ai encore très mal, est ce qu’il m’a déchiré ?— Non, rassurez vous, mais c’était incroyable— Comment ça incroyable, vous l’avez vu ?— Heu…oui…nous étions tous là, j’avais peur pour vous— Comment ça tous là ?— Et bien, le Maître, Marc, les autres et puis nous les soumises
D’un coup je comprenais mieux le pourquoi du bandeau sur les yeux.Comme la dernière fois elle me faisait ma toilette intime, mais avec beaucoup plus de douceur car mes chairs étaient encore rouge et toutes irritées.
— Vous me dite si je vous fais mal— Non, ça va, c’est très supportable, mais puis je vous demander…— Si… moi aussi, j’y suis passé…c’est ça que vous voulez savoir ?— oui, mais je ne voulais pas vous…— Ce n’est rien, oui…nous y sommes toutes passés — Mais vous êtes si jeune, si mince…comment il a pu…— Le corps s’habitue à tout, vous verrez, la prochaine fois, vous ne vous évanouirez pas.
Soudain Marc est entré dans la chambre:
— Dit donc les filles on fait la causette ?— Marc je vous en prie, elle est exténuée et endolorie— Je sais, c’est pour ça qu’aujourd’hui c’est relâche
Il s’est assit près de nous en souriant
— Ma chère Emilie, vous allez vous habiller, ensuite vous appellerez votre mari pour le rassurer et enfin je vais m’occuper personnellement de vous toute la journée.— Marie va finir votre toilette et vous refaire une beauté
En ressortant de la chambre il m’a regardé en disant :
— Je suis très fier de vous, vous êtes une femme merveilleuse.
Pleine de satisfaction, j’ai regardé mon amie dans les yeux pour lui dire
— Donc, je peu t’appeler Marie ?— Oui, mais faisons vite, il ne faut pas le décevoir
Après une bonne douche revigorante, un brin de toilette et de maquillage, j’ai enfin pu mettre une des petites robes que mon mari avait sélectionné pour moi.En me regardant dans la glace, je me sentais bien plus belle et désirable que toute nue, les robes embellissaient mes courbes et effaçaient les petites rondeurs de la quarantaine.Marie m’a tendu des sous vêtements:
— Non merci, Marc m’aime toute nue sous mes robes et puis je m’y suis habitué, pas toi ?— Il faut que l’ont soit toujours prêtes, n’est ce pas ?
Quelques minutes plus tard j’ai appelé mon époux, lui prétextant la fatigue du voyage et que je m’étais couché tôt pour le rassurer, tout en lui promettant de le rappeler plus longtemps dans la soirée.Marc ma rejoint et nous avons traversé la maison entièrement vide, sa voiture était déjà devant l’escalier, il m’a galamment ouvert la portière et puis nous nous sommes engouffrés dans la profonde allée en direction de la ville.
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