Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 9 J'aime
  • 3 Commentaires

L'inconnu à l'encre verte

Chapitre 4

Erotique
Chapitre 4.
Résumé du chapitre précédent : Elise a été séduite par un mystérieux inconnu qui ne communique avec elle que par l’intermédiaire de lettres écrites à l’encre verte. Elle a franchi la première épreuve imposée par l’Inconnu. Seule, dans la cabine d’un magasin de lingerie et sans se toucher, elle a été capable d’éprouver un orgasme d’une puissance incomparable par la seule force de sa pensée pour l’Inconnu à l’encre verte.
En sortant du magasin, Elise ressentait encore intensément la puissance de l’orgasme qui venait de la traverser. Elle voulait conserver dans son corps cette intensité le plus longtemps possible et ne pouvait pas se résoudre à rentrer chez elle. Elle marcha donc au hasard, sans autre but que d’exister dans la douce chaleur des braises du feu qui venait de l’emporter. Elle marchait sans regarder autour d’elle. Une légère brise caressait son visage. Elle était là et ailleurs en même temps. Les sacs de courses pendaient à ses bras et cognaient de temps en temps ses mollets mais son âme était imperturbable. Elle traversait le jour tombant avec beaucoup de sérénité. Elle se sentait somnambule et délicieuse. Elle se sentait infiniment bien. Au bout de deux heures environ, la réalité finit par revenir à elle et elle décida de rentrer.
Arrivée à la maison, son mari était déjà là. Elise ne regarda pas sa montre mais elle comprit qu’il devait être très tard. Son mari rentrait toujours bien après elle. Il lisait un magazine et lui adressa un sourire sans arrière-pensée. Il était décidément vraiment aimable. Elle lâcha les courses et lui posa un rapide et léger baiser sur les lèvres.— J’ai fait des courses. Il y avait du monde.— Ca a l’air d’être lourd ! Je vais t’aider à ranger tout cela, dit-il sans la questionner sur son retardElise jeta brièvement un œil à ses paquets avachis sur le parquet et paniqua. Il y avait parmi les courses le sac du magasin de lingerie.— Euh, oui, non, merci, en fait, euh… et bien, tu vois, je me suis aussi acheté des sous-vêtements— C’est bien, chérie, dit-il simplement en souriant sans ambiguïté.
Son mari souriait tout le temps sans ambiguïté. Sa gentillesse à toute épreuve était désespérante mais, finalement, elle la requinqua. Elise fila donc sans gêne vers son balcon pour accrocher fièrement trois fleurs de géranium rouges à sa fenêtre et indiquer ainsi à l’Inconnu qu’elle avait franchi avec succès la première épreuve.
La lettre suivante arriva très rapidement. Cette fois-ci, Elise l’avait interceptée sans se faire remarquer par son mari. Elle avait choisi de la lire calmement, dans un coin isolé d’une charmante petite brasserie du quartier. C’était l’après-midi, il y avait peu de clients. L’endroit était parfait. Elle commanda un thé. Elle versa le liquide fumant dans une grande tasse blanche et déplia la lettre avec soin. Elle trempa un instant les lèvres dans le liquide brûlant et commença sa lecture :
Très chère Elise,
Je vous félicite pour avoir franchi cette étape difficile. Aux fleurs que vous avez choisies pour accrocher à votre fenêtre, je devine que ce fut un franc succès. Un orgasme normal ne vous aurez pas fait choisir des fleurs aussi voluptueuses, une jouissance passagère ne se serait pas traduite par un rouge aussi cru. Vous avez atteint des sommets que seuls les orgasmes les plus exceptionnels permettent d’atteindre, c’est évident. Et par la seule force de votre pensée pour moi, merci et bravo !J’estime donc que votre esprit et votre corps sont, tous deux, à point pour notre rencontre. Maintenant, je souhaite que vous passiez à l’action. Ou plutôt, que vous vous y prépariez.
Lors de notre rencontre, vous allez être amenée à prendre mon sexe dans votre bouche. Aussi bien pour la jouissance qu’elle m’apportera que pour le plaisir qu’elle vous procurera, je veux que cette fellation soit parfaite. La perfection ne s’improvise pas, elle se mérite et elle se travaille. Ainsi, dès ce soir, lorsque votre mari sera endormi, vous allez prendre tendrement son sexe mou dans votre bouche. Vous allez le laisser grossir gentiment entre vos lèvres. Puis lorsqu’il aura suffisamment grandi, abandonnez-le un instant, et descendez votre visage contre cette tige de chair pour y gober, tout en bas, la paire de testicules qui vous attendront. Malaxez-les doucement puis furieusement avec votre bouche. Faites-les rouler sous votre langue, choyez-les, aspirez-les. Soyez chaude, gourmande et conquérante. Votre objectif est de tendre la bite de votre mari comme vous ne l’avez jamais encore vue. Elle doit briller, palpiter, être injectée d’un sang vif et bouillant. Lorsque vous aurez réussi à obtenir cette érection exceptionnelle, vous remontrez lentement le long de la bite durcie de votre mari en la caressant de la pointe de votre langue. Arrivée à l’extrémité du gland, vous poserez vos lèvres humides et entrouvertes puis vous laisserez descendre votre bouche sur le sexe tendu pour l’enfourner jusqu’au fond de vos entrailles. Dès lors, cette bite doit rester dans votre bouche. A aucun instant, elle ne doit vous échapper. Et vous devrez l’aimer, la savourer, la dévorer. Vous devrez l’enrober d’amour et de salive, la faire glisser, danser et vibrer. Vous alternerez les enfournements les plus profonds avec des baisers vibrant sur l’extrémité du gland. Vous devrez lui transmettre chaque étincelle de votre excitation sexuelle, tout en lui aspirant progressivement toute la force d’érotisme masculin qu’elle contient. Et vous garderez cette bite dans votre bouche jusqu’à ce qu’elle exulte son sperme tiède au fond de votre gorge incandescente.
Cette fellation sera parfaite lorsque l’ensemble des conditions suivantes seront satisfaites :1) votre mari ne devra ni vous toucher, ni prononcer un mot, du début à la fin de l’opération2) la fellation devra durer au moins 10 minutes et pas plus de 20, de la première prise en bouche de la bite en érection jusqu’à l’éjaculation finale. Pendant l’intégralité de la fellation, la bite de votre mari ne devra pas quitter votre bouche3) vous recueillerez l’intégralité du sperme dans votre bouche et vous l’avalerez, à petite gorgée, dans sa totalité4) vous penserez à moi, et à moi uniquement, du début de la fellation à la dernière gorgée de sperme qui coulera dans votre gorge5) vous ne vous toucherez à aucun instant et concentrerez votre puissance érotique sur la pensée de ma bite dans votre bouche6) vous jouirez à l’instant le plus beau, en savourant l’épanchement du sperme dans votre bouche, jusqu’à sa tiède réminescence lorsqu’il sera avalé tout entier
Soyez concentrée, exigeante, féroce et tendre à la fois, faites souffrir d’impatience l’homme au sexe englouti, portez le moment de sa jouissance à des sommets d’extase, buvez chaque instant comme un moment magique, jouissez et faites jouir dans la perfection.Vous recommencerez cet exercice, soir après soir, jusqu’à ce que votre fellation atteigne la perfection que j’exige. Si vous y arrivez, ajoutez un geranium blanc aux trois rouges déjà accrochés à votre fenêtre et vous serez permise de lire la lettre suivante.
Votre destin est entre vos lèvres.Bien à vous,

Elise lut l’intégralité de la lettre d’une seule traite. Elle en oublia son thé et le monde qui l’entourait. Pendant sa lecture, sa bouche avait inconsciemment mimé ce que lui demandait l’inconnu. Dans la brasserie, plusieurs hommes n’avaient pas quitté des yeux cette jolie jeune femme seule qui faisait de drôles de choses avec sa bouche. L’un d’eux aborda Elise :— Salut, je te regarde depuis tout à l’heure. T’es une sacrée vicieuse. Viens me sucer dans les chiottes.Elise le regarda. Malgré son langage cru, c’était un homme élégant. Gâté par la nature, un regard de braise et de belles épaules carrées, il avait la quarantaine séduisante. Et il était manifestement pris d’une opulente érection. Elle n’avait qu’une envie, c’était de s’entraîner à la fellation que lui demandait la lettre, et elle faillit se jeter sans réfléchir sur l’entrejambe de l’impoli séducteur. Mais elle se rappela les instructions de l’Inconnu.— Je dois d’abord m’entraîner avec mon mari, dit-elle simplementElle quitta la brasserie sous une nuée de regards masculins médusés.
A suivre.
Diffuse en direct !
Regarder son live