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L'inconnu à l'encre verte

Chapitre 6

Trash
Résumé du chapitre précédent : le mystérieux inconnu a demandé à Elise, inexpérimentée, de s’entraîner à l’art de la fellation sur son mari qui ne doit, pendant l’acte, ni parler ni la toucher. En commençant cette nouvelle expérience, la relation entre Elise et son mari a commencé à changer de nature. Revenons à la fin du chapitre suivant et continuons notre histoire.

Le lendemain soir, avant de se mettre en position, Elise prévint son mari. Elle était calme et motivée.— Ecoute, chéri, tu vois, je vais te sucer. C’est comme ça, j’ai besoin de le faire. Mais tu vas être bien gentil. Je demande que tu ne me touches pas, d’accord, à aucun moment. Et puis, ne dis rien. OK ? Si tu es bien gentil et si tu fais ce que je te demande, je te sucerai jusqu’au bout et ce sera très bon pour tout le monde. D’accord ?— Oui, répondit le mari sans hésiter.La manière dont sa femme prenait les commandes l’intriguait et l’excitait. Il trouvait très agréable d’être commandé ainsi. Il n’avait jamais pu lâcher prise et se laisser aller. Sa femme lui en donnait enfin l’occasion. Il était bouillonnant de désir et fut pris d’une violente érection.— Eh bien mon cochon !, dit Elise, en voyant le sexe de son mari dressé comme un arbre— Vas-y, suce-moi, Lili !Elle le gifla spontanément. Ils furent aussi surpris l’un que l’autre puis ils éclatèrent d’un rire bref qui réchauffa l’atmosphère.— Tais-toi, imbécile. Et arrête de m’appeler Lili.— D’accord Madame, pardonnez-moi.Le vouvoiement, le « Madame » lui était sorti spontanément. Elise fut agréablement surprise. Ils ne dirent rien mais ils comprirent que quelque chose venait de se produire.
Elle commença à sucer la belle bite-arbre (ne pas confondre avec arbitre) de son mari. Sa bouche était déjà devenue plus aguerrie. Elle aimait retrouver en elle la forme de ce sexe plutôt court, mais droit et bien dodu. Lorsque l’érection fut parfaite, Elise glissa ses lèvres le long du sexe dressé et prit les testicules de son mari dans la bouche. Elle les aspira comme on gobe un œuf. Les deux couilles entrèrent d’un coup dans l’habitacle humide et chaud. Elise commença à les malaxer, à les faire tourner avec sa langue. Le mari serrait les draps avec ses poings. Son ventre était en feu, sa bite était injectée de sang, la conjonction de sa position d’impuissance et le plaisir intense que lui procurait Elise étaient insoutenables. Il se retint comme il put, il se tortilla dans tous les sens, il voulait prendre la tête d’Elise dans ses mains, il voulait hurler son plaisir. Il serra plus fort les draps dans ses poings mais il ne put s’empêcher d’hurler :— ha, putain, putain, c’est bon !Elise regarda sévèrement son mari pétrifié puis elle éteignit la lumière. Tout était fini.— Tu es nul, rajouta-t-elle avant de plonger dans un sommeil de plomb
Les nuits se répétèrent ainsi. Elise était désormais aux manettes et, chaque soir, elle tâchait de sucer un mari totalement soumis et réduit au silence. Pourtant, dans la journée, l’un et l’autre étaient comme d’habitude. Ils se tutoyaient, Elise préparait avec plaisir de bons repas, son mari était toujours aussi gentil et serviable, ils vivaient imperturbablement leur vie de couple rangé. Ils savaient que la nuit allaient les transformer, qu’Elise prendrait les commandes, mais ils faisaient comme si de rien n’était. Elise, qui ignorait les codes du SM, remplissait avec son rôle innocence, et considérait la situation comme un petit jeu sexuel, rien de plus. Finalement, cela l’amusait beaucoup. Son mari, lui, jubilait à être ainsi manipulé par une femme enfin sexuellement entreprenante et attentive. Pendant ce temps, Elise progressait dans son art de la fellation mais son mari était loin d’être au point. Il n’arrivait pas à se retenir jusqu’au bout de lâcher un son ou de la caresser, c’était plus fort que lui. Il fut pris aussi plusieurs fois d’éjaculations précoces.
Un soir, un changement se produisit. Elise était couchée mais son mari tardait à venir dans la chambre. Elle s’impatientait. Elle voulait s’entraîner conformément aux instructions de la lettre mais son mari n’arrivait pas. Elle lui en voulait furieusement et commençait à bouillir de rage. Au bout d’un temps qui lui parut interminable, le mari finit par rentrer dans la chambre sous le regard noir de sa femme. Il baissa les yeux et lui tendit un paquet de cordes. — Tu fais quoi, là ?— Eh bien, je n’arriverai jamais….— D’abord, tu t’excuses, ça fait une demi-heure que je poireaute
— Pardon— Quoi, pardon, c’est tout ? Non, non, tu t’excuses correctement, insista-t-elle— Je te demande…— Tu dis vous, d’habitude, dit-elle d’une petite voix, très déçueLe mari réagit au quart de tour :— Madame, je vous prie de m’excuser— Je n’en ai pas trop envie, tu vois, petite merdeElle ne l’avait jamais traité ainsi mais cela lui était venu spontanément. Le mari se contenta de baisser la tête.— Bon, et tu fais quoi, là, avec tout ce bazar dans les bras, je n’ai pas que ça à faire— Eh bien, je n’arriverai jamais à me retenir de crier ou de vous toucher. Madame c’est trop difficile. Lorsque vous me sucez, c’est trop bon et je suis trop faible— Hum— Ligotez-moi, s’il vous plaît, et bâillonnez-moi, je vous en prie, c’est la seule solution— Tu as envie que je t’attache ?, dit Elise stupéfaite— Oui, s’il vous plaît— Depuis quand je dois faire ce qu’il te plaît ?, dit-elle avec un méchant sourire. C’est vrai, se dit-elle, depuis plusieurs jours, c’est moi qui dirige les opérations.
Elise réfléchit. Elle s’était prise au jeu et trouvait plutôt excitant de commander son mari et même, de temps en temps, de le rabaisser verbalement. Mais, il venait soudain de demander quelque chose d’imprévu. Dans ce petit jeu, c’était à elle de décider et il fallait qu’elle réagisse. Elle repensa à la lettre. L’essentiel est de réussir ce que me demande l’Inconnu, se dit-elle. Soyons pragmatique. Ce sera effectivement beaucoup plus facile de le sucer sans qu’il me touche ni me parle s’il est correctement attaché et bâillonné. En même temps, ce petit jeu de domination est plaisant, j’ai bien envie de continuer un petit peu. Essayons de combiner les deux.— Alors, tu veux que je t’attache, petite merde— Oui— Oui Madame, on dit— Oui Madame— Alors je vais t’attacher mais tu seras puni.— Oui MadameLe mari n’avait jamais eu d’expérience SM, sa femme non plus d’ailleurs. En consultant en cachette des sites sur internet, il avait trouvé les maîtresses sexy et attirantes mais il n’était jamais allé plus loin. Il se trouvait maintenant face à l’une d’elle, une débutante certes, mais tout de même. Et il s’agissait de sa propre femme. La sensation d’abandon, d’offrir son corps et d’obéir sans broncher lui procurait un sentiment d’immense volupté. Il était un peu anxieux, ne sachant ce qui allait arriver, mais cela l’excitait et il était en admiration devant sa femme ainsi transformée.
Elise demanda à son mari de se déshabiller intégralement puis elle attacha sur le lit, le ventre en l’air, les bras et les jambes en croix. Elle ne savait pas comment faire des nœuds élégants mais, étant plutôt douée de ses mains, elle improvisa de solides jointures. Elle serra fort les liens sur les poignets et les chevilles de son époux, puis elle tendit les cordes à chaque coin du lit. Son mari se laissait faire en gémissant.— Tu aimes ça, on dirait, petite vicieuse, dit-elle avec douceur.Elle prit un morceau de tissu et bâillonna son mari, tout en réfléchissant à la punition. Elle le contempla et, aussi bien du fait d’avoir prononcé le mot « vicieuse » que de voir son mari ainsi totalement neutralisé, il lui vint de petites idées vengeresses. Elle se pencha sur lui et commença à lui caresser lentement le buste avec beaucoup de tendresse et de sensualité. Son mari frissonnait de plaisir sous ces tendres caresses.— Tu vois, quand tu me touches les seins, j’aimerais bien que tu les caresses comme ceci (elle faisait voyager lentement, et avec beaucoup de douceur, ses dix doigts le long des courbes du buste masculin), que tu les aimes, que tu les respectes, dit-elle en refermant ses doigts comme des pétales sur les tétons électrisés du mari soumis. Mais, toi, tu les tripotes bêtement, sans grâce, comme si j’étais une poupée gonflable et, vois-tu, c’est très désagréable, dit-elle en enfonçant ses ongles brutalement dans la peau du mari.Son mari poussa un cri étouffé à travers son bâillon. Les lentes caresses suivies de la douleur vive et éphémère des ongles dans sa poitrine étaient particulièrement jouissives.— Mais, c’est que tu y prends plaisir, dit Elise, à la fois surprise et un peu vexée (elle n’éprouvait jamais de plaisir quand son mari lui pétrissait les seins). Salope !, rajouta-t-elle, sans réfléchir, et elle pinça fermement les tétons de son mari.
Le mari, condamné au silence, ne disait rien mais il alternait, à travers son bâillon, les gémissements de douleur et de plaisir. Lorsqu’Elise lui avait pincé les tétons, une onde glaciale et brûlante avait traversé son corps. Puis, les secondes qui avaient suivies la douleur, très brève, lui avaient été excessivement agréables. Il priait en silence pour que sa femme continue. Elise se mit à caresser nonchalamment la poitrine de son mari. Elle alternait les douces et langoureuses caresses qu’elle aurait tant aimé avoir reçues avec des pincements de plus en plus intenses. Elise ressentait de l’amusement à jouer ainsi avec son mari et, prise par l’excitation et une pointe de colère (mon mari prend du plaisir, je dois penser à moi, se dit-elle), elle se mit à en vouloir un peu plus. Elle descendit ses doigts lentement le long du corps masculin avec beaucoup de volupté tout en le regardant avec un regard très ambigu. Son mari bandait comme un âne. La position de soumission, la frustration de ne pas pouvoir toucher sa femme et les lentes caresses qu’elle lui prodiguait le transportait dans un état proche d’une ivresse qu’il n’avait jamais connue. Elise sentait bien que son mari prenait du plaisir et cela, finalement, l’agaçait un peu. Elle mit une petite gifle cinglante au sexe en pleine érection de son mari qui reprit sa position après quelques oscillations amorties. Amusée, elle recommença en y mettant un peu plus de conviction. A chaque claque, le corps de son mari était traversé d’une convulsion de bonheur. Puis Elise commença à glisser ses mains sous les fesses. Son mari, avec beaucoup de docilité, soulevait légèrement son arrière-train pour aider sa femme mais cela ne plaisait guère à Elise. Elle avait régulièrement les mains coincées sous le poids de son mari et elle voulait être à son aise. Il fallait changer la position. Elle détacha les cordes du pied de lit et réfléchit où elle pourrait les arrimer. Elle fit un rapide tour de la pièce. Il n’y avait pas beaucoup de choix et elle se résolut à attacher les cordes à la tête du lit, obligeant le mari à relever ses jambes et à les tenir largement écartées au-dessus de lui. En tendant bien les cordes, elle le força même à relever légèrement les fesses.Elise regarda le résultat. Elle eut un franc éclat de rire.— Eh bien, tu as l’air vraiment ridicule comme ça !Le mari ne disait rien. Il était aux anges. Il n’avait jamais envisagé se retrouvé forcé à être dans une telle position, nu, attaché, les jambes relevés au-dessus la tête, son cul et sa bite offerts à la terre entière. Il se sentait effectivement ridicule et un peu honteux, mais il était obligé de s’avouer qu’il aimait bien cette situation. Que va faire Elise ? se demanda-t-il, en soufflant à travers son bâillon.
Elise observait longuement son mari. Elle n’avait jamais eu l’occasion de voir avec autant de détail la topologie de ses fesses. Comme avec les seins de son mari, elle commença à les caresser avec beaucoup de douceur et de volupté, en suivant, avec amour et précision, les courbes les plus subtiles de cette belle anatomie. — Tu vois, Chéri, euh non, petite merde, j’avais oublié que c’est ton petit nom d’amour pour ce soir, dit-elle en se reprenant. Eh bien, mes fesses, continua-t-elle, j’aimerais bien que tu les caresses ainsi. Que tu leur rendes hommage, que tu épouses leur forme avec amour, que tu les caresses jusqu’à ce que j’en pleure de plaisir. Au lieu de quoi, toi, tu ne penses qu’à ta petite bite minable et tu me pétris les fesses comme si c’étaient des coussins anti-stress. C’est très désagréable, et elle donna une gifle sur la fesse droite. Mais alors très désagréable, répéta-t-elle en enchaînant sur la fesse gauche. Elle s’amusait à fesser son mari de gauche à droite. Elle le voyait, le visage détendu, les yeux en l’air. Elle retira un instant le bâillon. Le mari était dans un silence extatique.— Alors, t’en dis quoi, petite merde ?— J’adore !, dit-il avec beaucoup de sincérité. Les fessées d’Elise étaient vives mais pas violentes, elles lançaient de brèves étincelles dans tout le corps du mari. La douleur de la claque était tellement éphémère qu’elle en était belle. Et les sensations qui suivaient étaient, quant à elles, absolument délicieuses. Il n’avait jamais reçu de fessée et découvrait un plaisir inconnu, c’était divin.— Tu m’énerves, tu sais ! et elle remit le bâillon
Elise n’était plus tout à fait elle-même. L’excitation, le jeu, la nouveauté, le changement de repères, le désir de revanche, toutes ces nouvelles expériences sexuelles, les lettres de l’inconnu, l’excitation encore et toujours, tout ça lui tournait la tête. Et puis un point de l’espace absorba son attention tout entière. L’anus de son mari, là, en-dessous des testicules, l’anus de son mari, là, si vulnérable, l’anus, noir, serré, caché entre deux fesses ventrues. Elle la tenait sa punition ! Oui, elle la tenait sa vengeance !Elise se précipité vers le petit trou mystérieux. Elle écarta les fesses de ses deux mains et approcha son visage pour l’observer, avec l’attention d’un enfant qui regarde un scarabée biscornu. Elle y voyait comme la bouche ronde d’un petit poisson aux lèvres fripées, s’ouvrant et se refermant par intermittence. Elle y posa sans réfléchir un bref baiser, puis un autre, puis un troisième. Elle regarda ensuite la bouche du petit poisson et y posa un doigt, pour voir la réaction. La rondelle réagissait vivement par de petits spasmes concentriques. Elise continua à s’amuser avec le mystérieux orifice, en le titillant avec ses doigts. Le mari, sous les baisers humides et les doigts taquins de sa femme, se découvrait une sensibilité inconnue. Le monde extérieur entrait par son cul en un tourbillon troublant de volupté. Son anus fut vite trempé de sueur, ce qui n’échappa pas à Elise. Elle remarqua également que la bouche de poisson se faisait de plus en plus détendue, et même de plus en plus gourmande.— Putain, tu mouilles comme une fille !, dit-elleEt là, Elise, emportée par un mélange d’excitation, de trouble et de furie, entra dans un état second.— Tu vois, tu as essayé plus d’une fois de me toucher mon petit trou et d’y mettre ta petite bite alors que je n’aime pas ça. Elise regarda rapidement autour d’elle, pleine de rage et d’envie furieuse. Son regard s’arrêta brusquement sur la table de chevet. Elle retira violemment sa nuisette, saisit la lampe de chevet, arracha la prise, fit voler l’abat-jour et envoya l’ampoule à travers la pièce qui éclata contre la commode comme une boule de cristal. — Eh bien, petite salope, tu vas l’avoir ta sodomie, mais c’est moi qui vais te défoncer le cul !
Le mari était lui aussi entré dans un état second. Il s’était lentement laissé emporter par le plaisir d’être attaché, caressé, soumis, et taquiné par une femme qui restait finalement très douce tout en étant joliment autoritaire. Il avait progressivement lâché prise et il jubilait dans cette douce et inéluctable perte de contrôle. Chaque caresse, chaque pincement, chaque fessée l’avait transporté un peu plus vers l’ivresse d’une jouissance nouvelle. Puis soudain, en voyant sa femme saisir la lampe, en la voyant lui brandir sous le nez cet énorme morceau de bois brut, ce monstrueux sexe avec lequel elle souhait l’empaler, il aurait dû être saisi d’une indescriptible terreur. Et pourtant, non, il tomba au contraire immédiatement dans un état de fascination totale. Il regardait sa femme. Avec ses cheveux qui tombaient sur ses épaules, son regard qui brillait dans la nuit, ses seins amples et conquérants, et le pied de lampe qu’elle brandissait comme un glaive, il voyait devant lui une héroïne d’heroic fantasy. Elle était prêtresse de la nuit, guerrière invincible, reine d’un monde nouveau. Il la trouvait magnifique, d’une beauté insurpassable. Il était pris d’une irrépressible envie qu’elle le baise, oui, qu’elle le baise de toutes ses forces car, s’il devait être possédé, s’il devait être dépucelé, cela ne pouvait être que par elle, sa magnifique prêtresse, sa reine, sa sublime femme maîtresse. Elise posa l’extrémité du pied de lampe sur l’anus de son mari et commença à appliquer une pression légère mais continue. Elle vit d’abord le cul de son mari se déformer en creux. Elle maintenait la pression et le vallon qui se formait autour du cylindre dur s’élargissait en s’approfondissant. Puis, d’un coup, la bouche du poisson s’ouvrit toute entière pour accueillir le morceau de bois et l’épouser hermétiquement de ses lèvres trempées et tendues à l’extrême. Le mari se sentit comme foudroyé lorsque son anus accepta le monstrueux manche en lui. Il se sentait tiraillé, écartelé à l’extrême et pourtant, contre tout entendement, il n’en éprouvait ni peine, ni douleur. Au contraire, cet écartèlement qui l’empêchait de respirer lui procurait une drôle sensation d’élévation. Elise maintenant la pression et regardait avec bonheur et étonnement le pied de lampe s’engouffrer inexorablement entre les deux fesses de son mari. Pour le mari, la progression de la pénétration se traduisait par la sensation croissante d’un écartèlement incommensurable de ses entrailles qui se propageait dans tout son corps. Lorsque le socle de la lampe toucha les lobes fessiers, Elise n’arrivait pas à croire que l’ensemble du pied de lampe ait été avalé par le ventre de son mari, c’était comme un tour de magie, une illusion magnifique et élégante. Elle le retira assez rapidement et fut encore plus surprise de l’immensité de la tige qui paraissait s’allonger à mesure qu’elle la retirait. Lorsqu’elle la ressortit complètement, la bouche de poisson se referma vivement pour expulser l’intrus dans une contraction qui fit gémir le mari. Elle recommença l’opération plusieurs fois, en enfonçant lentement le pied de lampe jusqu’au bout avant de le retirer plus rapidement, puis elle se mit à accélérer progressivement la cadence. Les sensations du mari changeaient. L’impression d’écartèlement avait complètement disparue et maintenant, il sentait son ventre dilaté qui appelait la bite monstrueuse et dure à le pénétrer plus intensément. Son cul aspirait maintenant le glaive de sa femme et les va-et-vient qu’elle lui imprimait. Sa femme accélérait de plus en plus, elle y mettait maintenant toute l’intensité de ces muscles, son corps était couvert de sueur et des gouttes perlaient de manière ininterrompue à ses tempes et à la pointes de ses seins. La sueur envahissait la scène, le pied de lampe glissait désormais sans aucune résistance dans le rectum dilaté du mari, les corps fondaient dans l’intensité de ce face-à-face, l’un dans l’abandon, l’autre dans la conquête. Elise avait du mal à tenir le rythme, elle voulait aller plus vite, plus fort, son bras ne suivait pas, elle haletait. Et puis, prise dans une frénésie incontrôlable, elle serra le socle de la lampe entre ses cuisses, saisit par chaque bras une cuisse de son mari et se mit à contrôler la bite monstrueuse et infernale avec les mouvements frénétiques de son bassin en feu. Elle donnait des coups de rein de plus en plus violents, elle fixait son mari comme pour l’hypnotiser, elle était belle, nue avec ses cheveux détachés, elle l’enculait avec sublime. Son mari commença à être saisi de vertiges. Des ondes chimiques d’une ivresse inconnue traversaient son corps et inondaient son cerveau. Il était conquis, défoncé, transporté, transpercé. Son cul devenait boulimique. Il avalait la bite géante de sa femme comme un ogre insatiable. Il gémissait à travers son bâillon, au rythme des allées et venues endiablées de sa maîtresse phallique. Puis, soudain, il lâcha un cri étouffé, suraigu et plein de stupeur. Il jouissait comme il n’avait jamais joui auparavant. Sa femme s’arrêta nette. La bite de son mari projetait sans discontinuer des petites gerbes blanches. Cela ne s’arrêtait pas, c’était insensé. Une flaque visqueuse s’était formée sur le ventre du mari et grandissait à vue d’œil. La petite chambre des époux était emplie d’une odeur torride de sperme et de sueur. Le mari avait les yeux grands ouverts vers le plafond. Son visage était radieux, calme et apaisé. Il se sentait vide, léger, serein. Une sensation d’accomplissement le rendait heureux. Elise regarda la scène puis elle quitta brutalement la pièce brutalement pour se réfugier dans les toilettes. Elle urina, se prit le visage dans les mains et se mit à sangloter comme une petite fille.
A suivre.
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