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L'inconnu du parc

Chapitre 1

Hétéro
Arrivée à la fin du cinquième chapitre, je fis une pause pour profiter des rayons du soleil qui me réchauffaient la peau. Une légère brise soufflait et s’engouffrait entre les pages de mon roman. Allongée sur le ventre, je fis courir ma main entre les brins d’herbe. Jetant un coup d’œil autour de moi, j’observais les passants déambulant dans les allées du parc, deux enfants courant après un ballon, une femme et sa fille devant le marchand de glaces… Perdue dans mes pensées, mon regard s’arrêta sur un homme assis sur un banc au bout de l’allée. Celui-ci regardait dans ma direction, d’un air calme et détendu. N’y prêtant pas plus attention, je repris le cours de ma lecture. Mais alors que je tournais une page, je jetai machinalement un regard vers cet homme. Il regardait toujours dans ma direction et j’eu l’impression que c’est moi qu’il regardait. Mes yeux se mirent à faire des allers et retours entre lui et mon livre. Cette fois-ci, j’en étais sûre. C’est bien moi que cet homme fixait avec tant d’attention.
D’un geste nerveux, je passais ma main dans mes cheveux et esquissa un léger sourire. L’homme sembla le remarquer avec amusement. Quelque peu troublée, j’entrepris de reprendre ma lecture. Mais bientôt, je dû constater que je n’enregistrais plus rien. Après avoir relu la même phrase pour la troisième fois, je ne pus m’empêcher de le regarder de nouveau. Toujours aussi calme et posé, l’homme me rendit un large sourire. Faisant semblant de ne pas le remarquer, je tournai la tête de l’autre côté. Mais je continuais à sentir qu’il m’observait et une impression bizarre m’envahit. Je sentis alors tout le poids de son regard sur mon corps. Plutôt à l’aise d’habitude dans la robe que je portais et qui m’arrivait aux genoux, je me sentis soudain presque nue. J’avais l’impression qu’il me déshabillait du regard, aidé par le vent qui soulevait légèrement ma robe, dévoilant le bas de mes cuisses. Mon pouls s’accéléra. Étais-je inquiète de me faire épier par un parfait inconnu ? Étais-je émoustillée de me faire mater par un homme ? Peut-être un peu des deux. Quoi qu’il en soit, je me sentis rapidement mal à l’aise, allongée dans ce parc avec pour seuls vêtements une robe et une culotte, à la vue de tous.
Le plus naturellement possible, je me levai et ramassai mes affaires. En partant, je jetai un œil par-dessus mon épaule et constata que l’homme s’était également levé et se dirigeait dans ma direction. Je sorti du parc et m’engagea dans la rue. Après plusieurs pâtés de maisons en ligne droite, je profitai d’un tournant pour jeter un nouveau coup d’œil par-dessus mon épaule. Je constatai que l’homme était toujours derrière moi. Il me suivait d’un pas tranquille, conservant une quinzaine de mètres d’espace entre nous. Je me sentis de nouveau étrange. Sans m’en rendre compte, je passai ma main sur ma nuque et constatai que ma peau était plus sensible que la normale. Je sentais le tissu de ma robe glisser sur mon corps à chacun de mes pas. J’imaginais les yeux de cet homme rivés sur mes fesses et mes hanches qui ondulaient. Un frisson me parcouru la colonne vertébrale.
Après quelques minutes, je tournai dans ma rue et arriva à la porte de mon immeuble. Pendant que je tapais le code d’entrée, j’observais l’homme du coin de l’œil. Le temps d’ouvrir la porte, il s’était rapproché. En entrant dans le hall de l’immeuble, je me rendis compte qu’il avait le temps d’arriver à la porte avant qu’elle ne se referme. Cette pensée me parut d’abord effrayante. Cet homme que je ne connaissais pas et qui m’avait suivie dans la rue allait pénétrer dans mon immeuble. Mais, à ma grande surprise, cette idée m’excita. La main fébrile, j’appelai l’ascenseur. Le temps qu’il arrive, l’homme s’était effectivement glissé par la porte et se tenait maintenant juste derrière moi. Sans le regarder, j’entrai dans l’ascenseur et appuyai sur le bouton numéro 9. Il entra également et se plaça derrière moi.
A peine les portes refermées, il se rapprocha de moi. Sa main se posa sur ma hanche et descendit le long de ma cuisse, me caressant à travers la robe. Je pouvais sentir son souffle chaud dans mon cou. Un frisson m’envahit soudain tout le corps. Je ne savais pas comment réagir, j’étais paralysée. J’étais à la merci de cet inconnu, et cette idée m’excitait au plus haut point. Il se rapprocha de moi, passa son bras autour de ma taille et posa ses lèvres dans mon cou. Dans un soupir, je penchai la tête sur le côté pour lui offrir mon cou. Les yeux fermés, je pouvais sentir ses lèvres et sa langue se promener le long de ma nuque.
D’un geste brusque, il me prit par les hanches, me retourna et me plaqua contre la paroi de l’ascenseur, me maintenant les bras au-dessus de la tête. Je sentis mon cœur taper dans ma poitrine. Il s’immobilisa quelques secondes en me regardant dans les yeux, comme pour me demander mon accord. Incapable de manifester la moindre réaction, je me contentai d’observer ses lèvres avec envie. Je lus dans ses yeux qu’il savait ce dont j’avais envie, peut-être même plus que moi. Il se colla alors contre moi et m’embrassa fougueusement. Ses lèvres mouillées se collèrent aux miennes, il entra sa langue dans ma bouche et vint caresser la mienne. De sa main gauche, il remonta ma cuisse contre lui puis il fit remonter sa main le long de ma cuisse, par en-dessous. Sa main droite se posa sur mon sein. Il commença à le caresser, puis le palpa plus vigoureusement. Nos deux langues continuaient de se mélanger. Il saisit soudain mes deux seins à pleines mains et les malaxa bien fort. Mes tétons durcirent et se dessinèrent sous ma robe. L’excitation m’envahit totalement. J’allais laisser cet inconnu, cet homme dont je n’avais même jamais entendu la voix, me prendre à sa guise.
L’ascenseur s’immobilisa. Il s’écarta et me laissa sortir avant de me suivre. Je sortis mes clés avec empressement et ouvrit la porte de mon appartement. Il me suivit à l’intérieur. Sans prononcer un mot, nous nous débarrassâmes de nos chaussures, il enleva sa veste et je jetai mon sac dans l’entrée. D’un regard coquin, je l’invitai à me suivre dans la chambre.
A peine entrés, il me plaqua dos contre le mur. Il m’embrassa sur la bouche, j’ouvris les lèvres et nos langues se mêlèrent. Excitée par le seul contact de ses lèvres sur les miennes et de ses mains sur ma taille, je passai les mains dans son dos et le colla contre moi. Il fit glisser sa langue le long de mon cou, il passa ses mains sous ma robe et me caressa les cuisses. Puis ses mains remontèrent jusqu’à saisir mes fesses. Me décalant légèrement du mur, il me rapprocha encore plus de lui et palpa mes fesses avec énergie. Nos hanches collées, je sentis sa bosse se dessiner à travers son pantalon. Je glissai ma main entre nous et ouvrit son pantalon. Je le caressai de mes doigts à travers le tissu de son boxer et sentis son excitation grandir. Je sentais également la chaleur m’envahir, partant d’entre mes cuisses. Ma chatte devint chaude et gonflée, d’autant plus que je devinais à travers son boxer une belle grosse queue, durcissant sous mes caresses.
Il me retourna brusquement et passa ses bras autour de moi pour venir prendre mes seins à pleines mains. Il caressa mes seins et fit rouler mes tétons qui pointaient sous la robe entre ses doigts. Mon excitation grandissait. Avec la mienne, je fis glisser l’une de ses mains sous ma robe et la plaça sur mon sein. Il se retira aussitôt et m’ôta ma robe d’un seul geste. Il reprit mes seins dans ses mains et les caressa de plus belle, les malaxa fortement. Ses caresses rendirent mes tétons tous durs. Il les pinçait entre ses doigts, les tirait. Prise par le plaisir, ma chatte se mit à mouiller. D’excitation, je bougeai mes hanches et je sentis sa bosse devenue plus grosse. Il se frotta contre mes fesses. Le sentir bander m’excitait et me donnait envie de le caresser. Mais avant que je ne fasse un geste, il me plaqua de nouveau contre le mur, de face, et fit remonter sa main entre mes cuisses. Ses doigts se posèrent sur ma culotte et glissèrent le long de mes lèvres jusqu’au clitoris à travers le tissu de plus en plus mouillé. Je lâchai un petit gémissement de plaisir. C’est alors que j’entendis pour la première fois le son de sa voix lorsqu’il murmura à mon oreille :« - J’ai tout de suite su en te voyant que ça te plairait… »
Il continua à faire courir ses doigts sur ma culotte entre mes cuisses. Mes lèvres se dessinaient à présent à travers le tissu trempé. Il continua à faire des vas et viens de mes lèvres à mon clito, me rendant folle de désir. Ses doigts s’enfonçaient de plus en plus entre mes lèvres malgré le tissu.Il fit alors glisser ma culotte le long de mes cuisses et me l’enleva. Posant ses mains sur mes hanches, il tira mes fesses vers lui et me fit me pencher en avant. Les avant-bras appuyés sur le mur, j’écartais légèrement les cuisses et me cambrai. Il se tenait derrière moi, ses mains se refermant maintenant sur mes fesses, les malaxant brièvement. Il fit glisser ses doigts de long de ma raie et posa sa main sur mes lèvres mouillées. Il caressa de plus en plus fort, d’avant en arrière, m’effleurant le clitoris à chaque passage. Son index s’enfonça entre mes lèvres et il vint titiller l’entrée de ma chatte avec le bout de son doigt. Je poussai un gémissement de plaisir.« - Hummm, t’es déjà bien chaude salope, t’en as envie hein ? »
Il enfonça alors son doigt au fond de ma chatte. Je poussai un autre gémissement de plaisir. Je me cambrai encore plus, presque inconsciemment et écartait davantage les cuisses, lui offrant totalement ma chatte. Il accéléra le rythme de son doigt s’enfonçant en moi. Envahie par le plaisir, je tentais de m’agripper au mur. C’est alors qu’il enfonça un deuxième doigt. Ma chatte était déjà bien chaude et mouillée et il n’eut aucun mal à me doigter vigoureusement la chatte de ses deux doigts. J’étais bouillante. Excitée par ses doigts qui me limaient, j’en voulais plus. Je ne pouvais m’empêcher de penser à sa bosse qui durcissait et que j’avais si brièvement sentie contre mes fesses.« - Baise-moi, lui dis-je dans un souffle. Donne-moi ta queue. »

Il me prit par les hanches et me jeta sur le lit. Je m’installai assise face à lui, les bras en arrière et les cuisses légèrement ouvertes. S’approchant de moi, il enleva son pantalon puis son boxer, laissant jaillir une belle queue dressée. Je me mordis la lèvre d’envie en l’observant. Prise d’un intense désir, j’écartai plus les jambes, lui présentant ma chatte toute ouverte et mouillée. Il s’agenouilla sur le lit en face de moi et écarta mes cuisses au maximum avec ses mains. Il saisit sa queue de sa main et posa son gros gland sur mon clito. Il se mit à le caresser avec de petits cercles en appuyant son gland. Il colla ensuite sa queue entre mes lèvres et la fit glisser le long de ma fente.
L’envie me rendait folle, mes hanches bougeaient de plaisir par soubresauts. Ma main saisit sa queue et l’appuya contre mes lèvres. Sa queue gonfla d’excitation sous mes caresses, prise entre ma main et ma chatte impatiente. Il se recula puis revint coller son gland entre mes lèvres. Il fit pression avec son gland à l’entrée de ma chatte, déjà bien ouverte, l’enfonça légèrement puis se retira aussitôt. Je devenais folle de désir, mon excitation se mêlait à ma frustration.« - Tu veux ma queue ma belle hein ? T’en as envie de ma grosse queue ! Tiens prend ça, dit-il en s’enfonçant soudainement en moi. »
Je sentis son gland taper dans le fond de ma chatte. Puis il se retira presque entièrement et s’enfonça de nouveau d’un bon coup. Il recommença encore et encore, de plus en plus rapidement. La chaleur envahissait tout mon corps. Le plaisir ne cessait de monter. Il attrapa mes seins, les malaxa vigoureusement et prit mes tétons entre ses doigts. Il les fit rouler entre ses doigts, les tira. Je m’abandonnais totalement à cet homme qui me faisait sentir plus salope que jamais, et j’adorais ça. Il continua ses vas et viens pendant plusieurs minutes, me fourrant sans ménagement. Alors qu’il accélérait encore, je sentis cette montée de plaisir si particulière qui précède l’orgasme.« Encore, criais-je. Plus fort ! »Il mit toute sa force à me défoncer la chatte. Sa queue si dure qui me démontait, qui s’enfonçait toute entière en moi… Je ressentis un puissant orgasme. Mes muscles m’abandonnèrent et je poussai un long gémissement de plaisir.« T’aimes ça la queue, dit-il en se retirant. Alors suce salope ! »
Il se mit debout à côté du lit et je m’agenouillai devant lui, encore étourdie. Je pris sa queue dans ma main et l’approcha de ma bouche. Je titillai son gland de ma langue puis le mit dans ma bouche. Je le retirai en serrant les lèvres. J’enfonçai alors sa queue encore recouverte de ma mouille dans ma bouche. Je suçai avec délice sa queue si dure, tout en lui caressant les couilles, ne la retirant de ma bouche de temps en temps que pour la lécher sur toute sa longueur. Je m’activai à le sucer pendant quelques minutes, remplissant bien ma bouche de sa queue.« - Hummm, t’es une bonne suceuse ma chienne, dit-il en posant sa main dans mes cheveux. Continue, bouffe-moi la queue. »Appuyant sur ma tête, il enfonça sa queue au plus profond de ma bouche. Je sentais son gland taper dans le fond de ma gorge. Il me baisait la bouche à bons coups de bite. Il me bascula légèrement la tête vers l’arrière, m’obligeant à le regarder dans les yeux tandis que sa queue disparaissait entièrement dans ma bouche.« - T’es trop bonne, ma pute. Met toi à quatre pattes sur le lit que je t’encule. »Je m’exécutai.« - Cambre plus, m’ordonna-t-il en me claquant les fesses. »
Après m’avoir fait sucer l’un de ses doigts, il l’enfonça doucement dans mon petit trou. Il fit quelques allers et retours et tourna son doigt à l’intérieur, élargissant le trou de mon cul. Je poussai de petits gémissements à chaque fois qu’il s’enfonçait. Il colla ensuite son gland contre mon cul et en força l’entrée d’un bon coup de bite. Je poussai un cri mêlé de douleur et de plaisir. Il se retira doucement, presque entièrement et s’enfonça à nouveau. Je sentais toute la longueur de sa queue dure pénétrer mon cul. Au fur et à mesure de ses coups de rein, la douleur s’évanouit totalement laissant place au seul plaisir. Ses mains agrippaient mes hanches et me collaient contre lui, empalant encore plus mon cul sur sa queue. Il se retira quelques fois et je sentais avec délice son gland forcer mon petit trou de plus en plus facilement. La chaleur montait en moi.« - Hummm, t’as le cul en feu sale pute, dit-il en me claquant à nouveau les fesses. »
Alors que mon excitation était effectivement déjà grande, il glissa sa main entre mes cuisses et vint frotter mes lèvres et mon clitoris. Un spasme de plaisir fit brusquement bouger mes hanches. Il introduit deux doigts dans ma chatte, puis trois, continuant à me baiser le cul avec sa queue si dure.« - Je te prend les deux trous en même temps, comme la pute que t’es ! »Il me baisa le plus fort possible. Je poussais des cris de plaisir au rythme de ses coups de queue et de ses doigts. Mon cul et ma chatte étaient brûlants.« Encore. Je vais jouir ! Défonce-moi ! Criais-je. »
Alors qu’il fourrait mes deux trous le plus vite possible, un orgasme encore plus puissant que le premier m’envahit. Quelques secondes après, il poussa un long soupir et je senti son sperme chaud se répandre dans mon cul. Il se retira en me donnant une dernière fessée et nous nous écroulèrent tous deux sur le lit, épuisés.
Il se tourna vers moi et m’embrassa goulûment, puis se leva et se rhabilla. Il me sourit puis, sans un mot, quitta mon appartement, me laissant nue sur le lit, encore toute étourdie. Je laissai mon esprit divaguer quelques instants entre les flashs de nos récents ébats et le fantasme du prochain inconnu qui me sourirait au coin de la rue…
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