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Un inconnue découvre un paria dans sa famille

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Quand elle est arrivée chez moi, elle savait exactement ce qui l’attendait, deux jours entiers à mon unique service. Deux jours pendant lesquels, je pouvais donner libre cours sur elle et son corps. La règle était simple : Aucune limite dans sa soumission totale.
On s’est rencontré un peu par hasard, par l’intermédiaire de ma sœur. Un petit souper entre ami, elle était là, pas un canon de beauté, rien à voir avec ce qu’on veut nous faire voir de la femme. Somme toute, elle était très banale, tout comme moi. Cela étant, la banalité cache très souvent un autre personnage, ce qui était notre cas à tous les deux. C’est sur le balcon que le sujet est venu sur la table, avec le récit de l’un des amis de ma sœur. Il nous racontait avoir fessé cruellement sa femme et s’étonnait qu’elle demande le divorce. Vu la manière dont il faisait le récit de cette fessée, avec mon expérience, je n’ai pu qu’approuver la demande de divorce formulée par sa future ex-épouse. Il n’était pas content jusqu’à ce que je lui explique en quelques mots le pourquoi de mon approbation.
« Tu vois Jérôme, quand on veut jouer au SM, il y a une petite règle, le soumis domine toujours le Maître au moment du plaisir. Cela étant, si ta femme était ta soumise, ce qui ne semble pas être le cas, elle n’aimera pas et elle n’a pas aimé. Dans le cas contraire, en tant que soumise, si c’était une punition et non le jeu, elle n’aurait jamais divorcé. C’est tout un art, le SM, il ne suffit pas de fesser cruellement son conjoint pour en faire sa soumise ou son esclave. Dans mon cas, en tant que dominant, je suis plus souvent l’esclave des fantasmes de celles qui viennent chez moi. Mon plaisir, je peux bien le prendre pendant que je punis, certes, mais, vois-tu, ce qui m’intéresse, c’est de pousser, de repousser le limites de mes clientes, les faire jouir dans la soumission, pendant que je les supplicie ou après, en guise de récompense. Ok, elle m’abandonne leur corps afin de servir mes perversités, là encore, je ne jouis d’elle que sur un consentement mutuel. Maintenant, admettons, que vous, mademoiselle, admettons que vous soyez ma soumise, une soumise de tous les instants. Je suis en droit de vous punir à la moindre faute sans que je vous laisse la moindre chose de jouir. Par contre, il est fort probable que dans nos jeux, pendant que j’use et abuse de vous, vous soyez amenée à jouir et pour notre joie à tous les deux. Non, tu vois mon vieux Jérôme, t’es pas un dominateur, là, tu t’es juste fait passé pour un blaireau. Bon, je me rentre, demain je reçois. Salut sœurette, salut la compagnie. »
Je me rentrais et à pied, je n’habite pas très loin. J’étais à mi-parcours quand elle est arrivée. Un peu secouée encore, elle me demande si réellement je punis des femmes contre rémunération. Je ris et aux éclats.
« Je ne sais plus votre prénom, et c’est dommage. Oui, c’est mon métier. Pour tout dire, je suis le paria d’une famille de bien-pensant à cause de ça. Il n’y a que ma petite sœur qui me comprend. Mais pourquoi cette question ? »
« Simplement par curiosité. En tout cas, ce Jérôme, vous l’avez bien mouché, il est parti furieux après vous, juste après votre départ. »
« Pas grave, il sait que j’ai raison. Je vous offre un dernier verre chez moi ? En tout bien tout honneur, je sais me tenir. Je ne suis pas le sadique que l’on prétend que je sois. »
Elle accepte. Dans mon loft, elle semble encore plus secouée, plus…étonnée ? Non, c’est bien plus que ça, intriguée serait plus juste, quoique….interloquée, oui, c’est ça, interloquée, c’est ce qu’elle était. Mon loft est dédié au sexe, de celui de monsieur et madame tout le monde aux vices les plus fous. Je la regardais visiter mes six pièces dédiées au sexe. Il n’y a que ma chambre qui ressemble à un chambre à coucher…disons civilisée. Me fixant, elle prend le verre que je lui tends.
« C’est bien votre sœur que j’ai vu sur cette photo, dans votre chambre ? »
« Oui, nous avions quoi, elle dix-neuf et moi trois de plus. Je n’étais pas ce que je suis, pas encore. Mais j’aimais déjà jouer avec les cordes, c’est ma passion. Je l’avais attachée sur cette barrière, c’est chez nos grands-parents. Oui, Isabelle vous en dira plus que moi. Je préfère que ce soit elle qui vous raconte. Chez moi, vous ne verrez jamais couler le sang, par contre, pour les plus masochistes, vous verrez des marques profondes, des marques qui ne disparaissent qu’après un mois, peut-être plus. Du sang, si, quand je joue avec des aiguilles. Mais je ne peux en dire davantage sous peine de rompre le secret que je dois à mes clients. Venez, je vais vous faire la visite guidée de mon donjon. C’est mieux que toute seule. »
Pièce après pièce, je lui explique le déco de chacune, disons, pour faire court, que chacune de mes chambres est sur un forme de soumission, de la plus douce à la plus hard. Plus nous parlions, plus je répondais à ses questions, plus je la sentais désireuse de faire une tentative. Je la pensais assez capable de me mettre au défi, la faire jouir en jouant au papa pervers. Dans mon salon, je lui montrais les différents contrats que je proposais, leur degré de jeu, les durées envisagées, tout le toutime pour encore faire court.
« Une question, vous n’avez pas de femme de ménage ? »
« Si et elles paient pour tout me faire. Chaque jour une soubrette différente, enfin presque. Les week-ends, parfois deux, jusqu’à quatre dociles petites servantes. Je vous vois venir, mes soumises, sont-elles de belle femme, et bien non, il y en a et des très belles, mais cela peut-être votre concierge, votre voisine, votre sœur ou votre cousine et peut-être même votre maman. C’est n’importe qui pour tout dire, même votre meilleure amie. On ne porte pas les signes qui nous différencient des autres, ça, c’est en nous. C’est différent pour un couple où l’un impose à l’autre de manière presque permanente. »

« Je vois. »
Elle termina son verre, me chipa un contrat, le plus hard de tous qu’elle glissa rapidement dans la poche de son Jean’s. On se fit la bise devant l’immeuble avant que je ne remonte me coucher.
Quelques mois plus tard, elle m’appelait. Visiblement, elle avait eu une longue et franche discussion avec ma frangine. Elle savait des choses que personnes ne savait entre ma sœur et moi. Oh rien de bien méchant qui mérite le sceau du secret d’état, mais de petites choses au gout fort piquant. Je lui proposais de se retrouver à mon domicile, elle débarquait dans le quart d’heure suivant. Ravissante dans une jolie robe à fleur, jambe nue, petites chaussures, ses cheveux libres, sans aucun maquillage, non, rien à redire, elle était plus belle ainsi qu’en pantalon moulant. De plus, elle n’avait pas l’air d’avoir peur du froid mordant, on était quand même en janvier et avec une température en dessous de zéro. Cela me donna à penser qu’elle se mettait déjà dans la peau d’une personne docile.
Devant un café, elle ne croisa pas ses jambes, gardant même un léger espace entre ses genoux. Elle semblait empruntée, ne sachant par quel bout commencer. Pour moi, il me suffisait de trouver le bout du fil pour démêler la pelote de fil, ce que je fis en étant un poil brutal.
« Ok, quand vœux-tu venir me subir ? »
« Pardon ??? »
« Tu as très bien compris ma question, quand et comment, en douceur, plus durement, durement ou comme le contrat que tu m’as pris, hard, méchant, cruel ? »
Je la vis désemparée, j’avais deviné juste à la voir rougir. J’allais enfoncer le clou quand elle me fixa et ouvrit la bouche.
« Je voudrais tenter deux jours, disons un weekend complet, du vendredi à dimanche soir. Je voudrais vivre ce séjour en commençant de manière douce pour… »
« Voir jusqu’où tu sentiras ne pas pouvoir aller. En somme, tu veux connaitre tes limites. Est-ce que tu me laisserais libre de te repousser dans tes derniers retranchement, c’est du moins ce que ma frangine et toi avez discuté. Oui, elle est passée. »
« C’est exactement ça trouver mes limites ! »
Quand je citais ma sœur, elle se retrouva détendue. Je sortis mon questionnaire, lui posais toutes mes questions, une à une, expliquant tout, ne lui cachant rien. Elle répondit en tout connaissance de cause. Cela me fait penser qu’elle me laissait voir son intimité nue sous sa robe. Elle avait écarté ses genoux d’une bonne largeur de poing. Je lui fis remplir les documents usuels, je n’ai pas laissé les choses au hasard. Il me faut toujours être précis. Pendant qu’elle se soulager, de ma place je vis qu’elle n’avait pas fermer la porte de mon WC, assise, elle avait tout loisir de me laisser voir son bas-ventre. Je la vis rougir de mon regard très appuyé. Elle s’essuya son sexe, se leva, laissant descendre sa robe en approchant de moi. C’était une bien belle tentation. J’aurais aimé la baiser là, à même le parquet. Je m’y refusais, ce n’est pas dans ma nature de sauter sur une femme comme ça. Et puis, il fallait bien que je lui montre que ce n’était pas elle qui menait le jeu, mais moi.
Quand elle voulut s’assoir, je lui demandais de ne pas s’assoir sur sa robe. Elle rougit et s’exécuta. Dès lors, je la savais prête à se soumettre. En signant mes documents, elle le fit sans en faire une lecture complète, presque à l’aveugle. Il allait être l’heure de passer à table, je l’invitais au restaurant, celui où j’y ai ma table. Un coup de fil plus tard, nous étions assis côte à côte, chacun sur sa chaise. Très vite, je fis non de la tête quand elle voulut s’assoir normalement. Elle releva l’arrière de sa robe, ce détail n’échappa à l’ensemble de la table voisine. Quant au personnel du lieu, il me connait bien et c’est très loin d’être une première pour moi, comme pour eux. Certains peuvent même se targuer d’avoir pu baiser l’une ou l’autre de mes clientes dociles et ne le regrettent pas, mon pourboire en somme. Durant le souper, je la sens très humble, terriblement docile. Mais aussi très enjouée, ce qui est très loin de me déplaire. Cela étant, je la teste, je repousse déjà quelques-unes de ses limites, comme de dévoiler ses cuisses en remontant sa jupe d’un peu à chacune de mes demande. À la fin du repas, devant ce restaurant, nous nous séparons. Rendez-vous est pris, je l’embrasse en glissant ma main sous sa robe, dévoilant ses fesses à tous les passants, mon majeur appuyant sur son anus. Elle ne se refuse pas, sa mouille coulant sur ses cuisses me le prouve.
Pendant un mois, elle m’envoie régulièrement un texto, un par jour. Dans ses messages, elle me dit ce qu’elle fait et pourquoi, si elle jouit ou pas. je ne lui ai rien demandé de tel, non, pour moi, c’est dans une semaine que commence son weekend chez moi.
Aussi, le lundi précédent son arrivée, je lui fais parvenir une longue lettre dans laquelle je lui fais part de mes exigences et elles sont non négociables. Pour toute réponse, je reçois un court texto qui me dit qu’elle est prête et accepte tout.
Jeudi, j’ai agendé l’arrivée de deux clientes pour une journée entière sous mon joug à faire l’entier de mon ménage. Deux amies qui ne font rien l’une sans l’autre, deux petites perles de lesbienne qui ne viennent chez moi que pour me subir et se faire baiser par le seul homme qu’elles acceptent, moi, sans aucune vanité.
Vendredi, dernière inspection de mon loft, avant le départ de ma cliente, une masochiste qui aime les coups qui font mal. Elle m’a tout repassé, rangé et subit mes poings, mes baffes et le fouet. Disons qu’elle aime les interrogatoires particulièrement musclés, en plus d’être une excellente suceuse de bite et une merveilleuse lécheuse de cul. Il va être 16 heures, elle ne devrait plus tarder.
Je me regarde encore. J’ajuste ma cravate, mon gilet, mes boutons de manchettes. Elle m’a voulu en homme du monde, elle va être servie. Elle désire que je la traite comme une gamine en jouant le père sévère, intransigeant. Mes mains sont déjà prête pour sa première fessée, une fessée que je veux jouissive en guise d’encouragement.
Ça y est, elle sonne, j’ajuste mon veston, mes chaussures brillent, j’ouvre sur une grande fifille, l’air déjà coupable. Délicieuse femme que je devine apeurée. Le jeu peut commencer. Je l’attrape par son bras, la force à entrer, jette son sac de voyage au loin, la force à aller au salon, la penche, remonte sa robe, arrache sa culotte, la couche sur mes cuisses et la fesse en force. J’alterne entre méchantes claques et caresses intimes. Je sens son sexe devenir humide puis entièrement détrempé. J’insiste, fesse plus fort, appuie moins mes caresses, titille vulgairement son anus, le pénètre. Elle pousse un petit cri quand mon pouce pénètre son cul. Je le branle en fessant de l’autre main. Cinq, dix, vingt minutes et elle jouit longuement, son plaisir est immense, son râle est à la hauteur de son orgasme.
Je lui laisse un peu de répit, j’en profite pour lui faire lecture de mon scénario. Le cul nu devant moi, elle semble sourire, se réjouir de mes idées vicieuses. Sa poitrine m’attire, elle est volumineuse. Je la dénude, déchirant sa petite robe printanière. Elle est maintenant entièrement nue. Je lui lance une longue baguette de noisetier.
« Tu la tiens à bout de bras au-dessus de ta tête. Ensuite, tu vas sauter en l’air, joignant et écartant tes pieds en alternance. Aller, saute ! »
Elle commence à sauter, après cinq ou six fois, elle s’arrête, premier coup de cravache, elle recommence, compte, sa poitrine saute avec elle, décrivant des cercles qui sont inversé d’un sein à l’autre. Ma cravache la motive. Dix minutes à sauter, une dizaine de coups de cravache, peu fort, je le concède, mais ce n’est qu’une mise en bouche, un apéro. Elle me sent derrière elle, je caresse sa chevelure, son dos, sa croupe. Quand elle s’arrête, ma cravache se fait plus rude et elle reprend aussitôt. Au troisième arrêt, je me montre plus sévère, j’ajoute des pinces à linges sur ses seins. Une petite dizaine qui forme une fleur sur chacun de ses seins lourds. La voilà qui saute à nouveau, je m’installe confortablement, une bière à la main, la cravache dans l’autre. Je la vois qui commence à transpirer, mon but. Elle ne fait guère d’exercice et ça se voit. Elle saute, bien en face de moi, déjà une bonne dizaine de minute. Ma cravache se glisse entre ses cuisses. La bouche ouverte, elle cherche son souffle et j’en profite pour me moquer de sa condition physique. Une bureaucrate qui oublie son corps, c’est dans mes cordes, seulement, cela va demander plusieurs séances. Je ne crois pas qu’elle voudra en rester là si je m’y prends bien. Il est vrai que…pardonnez-moi !
« Saute plus haute ou je te fouette plus fort avec plus de pinces ! »
Je disais que c’est, je le crois, la seule "cliente" qui ne cherche pas à m’imposer ses orientations. Pour elle, tout est nouveau, il ne s’agit pas d’une soumission cachée au très fond de son âme, ce n’est pas non plus une pervertie. Non, elle, c’est une femme banale, qui mène une existence banale sans avoir trouver une âme sœur banale. C’est-à-dire qu’il y aurait une place à prendre, celle du conjoint. Voilà, les pinces font leur effet, elle grimace, s’épuise. Je calme le jeu, l’arrête, joue avec ses seins. D’instinct, elle pose ses mains derrière sa nuque. Cela la rend encore plus désirable. Je la mets à genou.
« Tu aimes pratiquer la fellation ? »
« Oui, beaucoup. »
Mon sexe devant sa bouche, elle découvre que je n’ai aucun érection, ce qui ne va pas lui facilité son travail et c’est voulu, calculé. Je ne fais rien qui pourrait lui rendre sa tâche plus facile, rien. C’est uniquement avec sa bouche qu’elle doit me faire bander et éventuellement jouir. Sa bouche est une perle, genre qu’on ne voudrait jamais s’en passer. Je pose un pied sur sa cuisse gauche, y met un peu de poids. Je sais qu’elle a mal, c’est ce qu’elle cherche à définir, la limite entre le supportable et l’insupportable. Oui, j’ai bien envie de jouir dans sa bouche, mais c’est encore trop tôt.
« Bien, t’es une bonne suceuse ma fille. Continue, je te préviens, je peux me retenir autant que j’estimerais la chose nécessaire. Enfonce ta bouche, je veux sentir tes lèvres dans mes poils, oui, comme ça, t’es bonne, une bonne petite salope en manque. Seulement, physiquement, t’es pas au mieux de ta forme, de ce poids idéal. Tu vois, je crains qu’il te faille plusieurs séances pour retrouver ce poids idéal. Disons, une bonne dizaine si tu fais ce qu’il faut en dehors de mon chez moi. Plus si tu ne fais rien. Plus, j’en serais très heureux, je ne te la cache pas. Bien, tu suce bien, joue un peu plus avec ta langue, comme ça. Tu ne te débrouille pas si mal pour une fille sans copain. Enfin sauf si tu préfères les femmes. On aime baiser avec une femme, ma sœur par exemple. Je vois, remarque, cela ne me dérange pas, c’est plus excitant, c’est tout. Continue, je fais peut-être de faire un cadeau, mon foutre. »
Elle suce, se fatigue à me sucer, ses mains sur sa nuque doivent commencer à lui peser. Elle mérite mon présent, je retiens sa tête et jouis une semaine de foutre dans sa bouche. Ma main sur son cou, je l’empêche de tout avaler. Je la relève, lui assène une petite gifle. Elle ouvre sa bouche, me montre mon foutre. Je la surprends en l’embrassant à pleine bouche. Je sens mon sperme à sa salive. Mes mains sous ses fesses, je la soulève, la pose sur un tabouret de bar. Je lui donne l’autorisation d’avaler, la bouche bien ouverte. Elle s’exécute si merveilleusement que s’en est un régal.
Je lui donne ses menottes de cuir, premier galon de sa soumission, les poignets. Je la trouve gauche, c’est amusant de la voir si maladroite. Elle fait tout pour me plaire. Je la devine amoureuse, de moi ? Oui, peut-être ou alors de ce qu’elle vit, probable.
Elle va m’en dire plus dans un moment. Mais avant, je dois…
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