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Un inconnue découvre un paria dans sa famille

Chapitre 5

SM / Fétichisme
... n’avait pas pu toucher et pour cause, le notaire nous cherchait, mais pas là où nous étions, à l’autre bout du monde selon les indications fausses de notre cher frère. De ce fait, ma sœur est revenue vivre quelques jours chez nous. Le montant n’est pas conséquent, mais assez pour vivre chichement. Vu mes économies, je laisse la part de mon frère et la mienne à ma petite sœur, surtout qu’elle nous apprend attendre un heureux événement.
Voilà, je viens de remettre les clefs du loft à notre agent immobilier. J’ai vendu mon matériel au plus offrant, merci internet. Nos bagages sont déjà partis, nous n’avons que deux baise-en-ville pour voyager. L’avion nous attend, nous pressons le pas. En première, juste après le décollage, je prends ma petite esclave sur mes cuisses pour nous embrasser comme des collégiens.
Douze heures plus tard, nous débarquons dans notre nouvelle demeure. Tout est prévu si Paul et ma sœur débarque avec le ou la petite. Notre maison est à une centaine de mètre de l’océan, un lieu idyllique pour qui pratique, comme nous, le nu intégral. Cela n’empêche pas Sidonie de jouer son rôle de soumise à la perfection. Pas très loin de nous, vit un couple de Belge, un couple jeune et sympa qui ne demande qu’un coup de pousse pour plonger dans mes vices, mes perversions.
Six mois plus tard, monsieur devient le petit toutou à sa mémère. Un peu par hasard en fait, ils étaient chez nous, Sidonie assurait le service dans sa toute petite tenue de soubrette (petite tablier et soutien-gorge) quand le futur toutou a renversé son verre sur son Martine. Fâchée, elle l’a renversée sur ses cuisses pour le fesser comme un gamin, devant nous deux, complètement sous le charme de la situation plus que piquante. Il voulut se relever, protester, mais ma cravache sur ses fesses le rendit beaucoup plus docile et Martine continua à le fesser de plus belle. Il glissa sur le sol, bandant comme un âne. En plaisant, je lui dis de lécher sa compagne, il le fit, il était le soumis de Martine. La soirée s’est vite transformée en petite partie à quatre. Heu non, sur mon conseil, Martine et moi avant attaché Sidonie face au toutou. Le toutou ne pouvant rien faire d’autre que lécher ma Sidonie. Avec Martine, on est allé se baigner, nous étions chaud, notre baignade s’est arrêtée sur le sable où on se couchait pour baiser. Le simple fait de penser à la situation, on prit notre pied. Pour Martine, c’était, comme pour son toutou, le début d’une nouvelle vie.
Du coup, nous ne faisons plus qu’une propriété des deux. Martine se plait en notre compagnie. Le toutou, lui, n’aime pas que je prenne du plaisir à l’enculer, mais docile, il se sent obligé de me satisfaire. C’est la fellation qu’il le peine encore, mais il se montre de plus en plus habile. À contrario de la sodomie, il préfère me sucer et je suis loin de détester.
Hier, avec Martine, nous avons fait annelé nos soumis en même temps. L’une dans sa cloison nasale, l’autre au bout de sa bite. C’est mieux pour les promener en laisse, surtout que le toutou porte jupette, même quand nous nous promenons en ville. Ça coince parfois avec la police locale, mais ça passe comme nous ne faisons aucun scandale et c’est bien dommage. Je suis persuadé que pouvoir refaire mon job, ce qui, entre nous, ne serait pas pour me déplaire. Même Sidonie est d’accord, c’est dire.
L’occasion survient quand, par le plus grand des hasards, Sidonie revient de la ville avec une petite revue locale. Un journal d’annonce de rencontre très bien fournit. Au contraire de chez nous, en Europe, celui-ci est mixte, j’entends par là qu’il y a autant d’annonce de femme que d’homme. Je passe donc une petite annonce un peu cryptée, nous verrons bien. L’annonce va paraitre dans les quatre prochain mois. Le temps pour moi de faire venir un minimum d’équipement.
Ça y est, je suis tonton et ma nièce à un cousin, un beau petit gars de presque cinq kilo à la naissance. Comme on dit dans ces cas, la mère et l’enfante se portent à merveille, tant mieux, vivement qu’ils viennent nous trouver. Cela étant, mon annonce m’amène ma première femme. La quarantaine, en mal de sexe et qui se cherche encore depuis son veuvage. Très vite, je me rends compte de son état de manque. Aussi, quand je lui propose le toutou, sa petite hésitation disparait rapidement. Mais comme avec moi, on a rien sans rien, c’est attachée qu’elle va se faire baiser et enculer. Quant au toutou de Martine, présente, elle aussi, il a tout intérêt à se montrer à la hauteur. Pour lui, c’est tout bénéfice. Et puis, si jamais, j’ai encore mon joujou, mon gode maison.
Cette première se passe très bien, toutou bande bien, sait se retenir comme se tenir. Je me vois contraint de pousse cette femme, Gisèle, plus loin dans la voie de la soumission. Veuve vivant de sa rente relativement élevée pour ce pays, je la veux à domicile. Pendant un temps, elle refuse, arguant que sa maison pourrait se faire cambrioler. Ce qui n’est pas une mauvaise excuse par ici.
Pourtant, c’est l’attrait de deux bites qui lui fait vendre sa maison et son contenu, six mois plus tard. C’est aussi le moment que choisissent ma sœur et Paul pour venir nous présenter le dernier né de la famille. Ce petit a de la chance, deux nounous rien que pour lui, surtout Gisèle qui était du métier.
Un soir, Sidonie, toujours aussi maladroite avec mes tasses à café, en brise deux d’un coup. Pour elle, c’est son cul et sa poitrine. Surtout qu’elle a retrouvé un poids parfait. Devant nous tous, Martine et son toutou compris, elle est punie, vingt par tasse, c’est le tarif. QUOI, ce n’est pas cher payer pour deux tasses, même vieilles et ébréchées, non mais ! Vingt fois sur ses seins superbe, (j’adore les malmener) vingt sur sa belle croupe bien ronde. Je fouette les dix premiers, abandonne les dix derniers sur la croupe à Martine. Je fais de même avec cette si belle poitrine, dix coups et dix pour ma petite sœur. Je laisse le soin à Paul de la sodomiser. Je pense même lui proposer le toutou. Je sais que parfois, d’après ma sœur, si l’occasion se propose, il ne rechigne pas à enculer un mec. Par contre, il déteste le contraire, dommage, enfin…
Ce soir donc, Sidonie va avoir de la chance. Paul par devant, je me réserve son cul mignon et le toutou dans la bouche pendant que deux donzelles baisent près de nous. À les voir, Gisèle se plait dans nos jeux dégradants. Gisèle se découvre même une envie, le fisting. Mais il faut une main fine pour débuter, surtout dans le cul. Le temps d’envoyer Sidonie rejoindre l’univers infini du plaisir, elle s’y collera, elle adore faire ça. Peu après, je m’enfonce dans le sexe de Gisèle pendant que Sidonie force lentement l’anus détendu de notre nouvelle soumise. Une fois la main à l’intérieur, Gisèle clame son bonheur, surtout quand Sidonie tourne son poignet ou le retourne en allant et venant dans ce cul. Plus on la défonce, plus Gisèle hurle adorer ça. Aussi, je me retire, me fais sucer, une fois n’est pas coutume par Martine devant son toutou. Sidonie enfonce lentement sa droite dans le sexe de Gisèle en retirant sa gauche du cul de Gisèle. On est tous autour, caressant ce corps qui se fait défoncer, déchirer par ma Sidonie. Je fais même venir le toutou pour qu’il baise ma Sidonie. Il ne se fait pas prié deux fois, même si je l’offre à Paul pour qu’il l’encule. Enfin, il se décide à nous rejoindre complètement, c’est le moment. Du coup, je lui propose de se trouver un job ici, sur cette ile paradisiaque. Là, il ne pense pas boulot, mais cul et il encule et à sec qui plus est.
Sidonie prend son pied en enfonçant, à la demande de Gisèle, sa gauche dans ce cul déjà bien ouvert. Cette salope de Gisèle est encore plus dévergondée que jamais. Je baise ma sœur, je n’y tiens plus et elle aussi. De plus, ça faisait si longtemps que nous n’avions couché ensemble. Près de nous, une femme hurle de bonheur, jamais, nous dit-elle, elle n’avait jouir de cette manière. Debout, titubante, elle se laisse tombé sur nous.

« Monsieur, je suis à vous jusqu’à mon dernier souffle. »
« Voilà qui me plait. Et toi, petite sœur, quand décideras-tu ton Paul à venir vivre ici. Les maisons, ce n’est pas ça qui manque et tout près de chez nous en plus. »
« On y pense sérieusement depuis qu’il y a eu des incidents avec des intégristes. J’ai peur pour mon Paul et notre enfant. »
« Tu veux mon aide pour vous trouver une maison, un job. Gisèle se ferait une joie de nous aider maintenant. »
« Oui, monsieur a raison. Il faut juste me dire le domaine de monsieur Paul et je me mets en chasse ! »
Mon Isabelle explose de bonheur, elle m’entraine avec elle. Gisèle nous couvre de ses baisers enflammés. Martine épuise son toutou que Paul encule encore. Isabelle vient l’encourager, le motiver, lui faire dire qu’il est d’accord. Oh, il le dit, non, il le clame en éjaculant dans le cul du toutou. Sidonie est à son tour sur orbite quant au toutou, il se lâche enfin, épuisé. On en peut plus, pourtant, pour ma sœur, il faut encore aller nourrir mon neveu.
Une semaine avant leur retour en Égypte, des incidents très graves endeuillent le pays. Pour faire court, deux européens sont lapidé par des hommes masqués. Paul n’a plus le choix, il fait venir tout ce qu’il peut ici. On s’arrange avec mes dociles à leur faire une grande place. Meubles, vêtements et tout ce qui a pu être mis dans ce container est là, sur ce camion qui pose cette grosse boite sur le sol.
Gisèle est en chasse, Paul est ingénieur en génie civil. Et elle trouve, elle trouve une place à l’état. La capitale n’est qu’à cinquante kilomètre et la route est bonne. Une petite heure de trajet chaque jour. Dès la nouvelle reçue, Paul se met sur son trente et un et fonce, son CV sous le bras. Il nous revient en fin de journée, visiblement crevé. À peine assit, un verre à la main, il esquisse un sourire, il a la place et c’est soir de fête. Isabelle se met à ses pieds sans perdre de temps, extirpe sa bite pour la sucer avec dévotion. Cela donne le signal à une nuit de réjouissance. Ça tombe plutôt bien, je vais pouvoir continuer cette histoire.
Mais voilà, Martine et son toutou se voient contraint de nous quitter quelque temps, le temps de rentrer en Belgique pour y régler quelques affaires. Ils ne savent pas le temps que cela prendra. Je leur promets que Sidonie et Gisèle prendront grand soin de la maison en leur absence. Dommage, oui, c’est bien dommage. En nous quittant, le matin de leur départ, on se roula une pelle avec le toutou, c’était encore une première pour moi comme pour lui. Il était aussi ému que je l’étais. Il faut dire que j’ai le plus grand respect pour cet homme. On regarda partir l’avion, on avait un drôle de sentiment.
De retour, je jouais les tontons attentifs à son neveu. Isabelle est heureuse comme pas deux. Ici, elle se sent nettement plus libre, libre de devenir ce qu’elle voulait être avec Paul, sa petite soubrette, son jouet sexuel. Le soir quand Paul revient de son travail, elle lui fait tout, un peu comme Sidonie avec moi, ou Gisèle. Avec Paul, on discute souvent de tout et de rien, mais depuis qu’Isabelle est devenue maman, il ne parle que d’elle et de sa docilité. En fait, il cherche à prendre conseil auprès de moi. Je me fais un plaisir à lui raconter nos amours du tout début. Je suis désolé, mais il m’est impossible de le faire ici, ce serait refusé. Je lui raconte, ma célèbre photo à l’appui, comme Sidonie aime à ce que je la bouscule, la domine. Avec elle, c’est uniquement sexuel, un petite fessée juste pour qu’elle se sente soumise, rien de plus. Mais Paul a raison, je ne l’avais pas remarqué trop occupé avec Sidonie et Gisèle, Isabelle aime se sentir comme mes deux gourgandines. Elle aime qu’on la bouscule, qu’on la rabaisse un peu.
Le problème, c’est mon neveu, c’est qu’il commence à grandir, à prendre sa place et quelle place. Isabelle ne peut donner libre court à ses désirs. Du reste, il leur faut une maison, on avait pensé à celle de Martine et son toutou, du moins en leur absence, on attend encore la réponse du couple. Tien, c’est vrai ça, on a plus de nouvel de Martine et son mari ! Et puis, zut, j’installe à mes risques, ma sœur et mon beau-frère dans cette maison. C’est là que je découvre la raison du départ, il y a une chambre d’enfant, non, pas un bébé, un gosse quoi. C’est le ruban noir sur la photo qui change la donne. On fait alors marche arrière. À nous cinq, nous écrivons une longue lettre au couple. Si on les supplie de revenir, on se dit réellement désolé pour leur enfant.
Les jours filent, cette fois, c’est une autre maladroite que je dois flageller, Gisèle avec une petite porcelaine. C’est sur la plage, mon joujou dans son cul que j’en fais une véritable esclave. Il y a un vieux tronc déraciné, je le lui enchaine à son pied, j’y prends place et l’oblige à le tirer loin du bord de mer sous les sifflements et claquement de mon fouet. Son boulet de bois fait son petit poids. Le fouet commence à marquer sa croupe d’un joli rouge sur sa peau brune. Parfois, je descends, me pose devant elle, à quelques mètres, ma bite tendue comme une carotte devant ses yeux. Elle donne tout ce qu’elle pour parvenir à sa récompense. Oui, elle se donne et le tronc la suit, marquant de son empreinte le sable. Près de moi, à plat ventre, elle peut déjà baiser mes pieds, ce qui est déjà une petite récompense. Mais avant de pouvoir me sucer, elle doit faire jouir Sidonie. Gare à ses fesses si elle n’y parvient pas. C’est la première fois que je la punis autant et elle ne déteste pas.
Je ne tiens plus en place, enchainée, je l’entraine dans notre cave, en fait de cave, c’est cette petite bâtisse en dur près de la maison, elle est encore toute neuve et pas terminée. Mais on a déjà de quoi jouer. Au centre, trône une colonne de pierre de taille, elle est tout sauf lisse. Rugueuse à souhait, j’y attache Gisèle, dos contre la colonne. Une corde retient ses mains de chaque côté, comme ses pieds. Je veux châtier ses seins. Ils m’attirent comme des aimants. Sidonie est là, impatiente comme moi, trop heureuse que je me remette à l’ouvrage. Lentement, je commence mes petites tortures sur ce visage aveuglé, cette bouche muselée. À son pouce, j’y mets un ficelle, la dite ficelle est reliée à une petite clochette, elle tire sèchement, la clochette sonne, tout s’arrête.
Je commence par ses seins. Nue, Sidonie se place sur la face opposée de la colonne. WAOW, comme au bon vieux temps. Alors, je commence par une bonne série de gifle sur ces poitrines. Un baiser de temps en temps, une caresse en guise de baiser. Cravache à la main, c’est leur sexe que je tapote tel un métronome. Arrive les pinces, je forme de belle corole de fleur sur ces seins. Rien que cinq par mamelon, la dernière bien sur l’extrémité du téton. Sidonie est aux anges, Gisèle, pour le savoir, je retire son bâillon.
« T’en veux encore ma petite chienne ? » le ton de ma voix est plus doux qu’autoritaire.
« Tant que Vous le désirez, ça me plait ! »
Voilà qui m’encourage parce que je suis loin de tout avoir épuisé. D’une cravache, je frappe chacune des pinces, les envoyant valser dans la pièce. Derrière moi, un couple est là, nous observe. Une femme est à genou, sous le joug de son mari et je ne les vois pas, trop concentrer à donner du bonheur à mes femmes. Je ne vois pas ma sœur sucer Paul, son mari, menottée, le cul bien rougit par mon pote et beau-frère. Je continue, enserrant chaque néné d’une corde que je serre. Je n’ose encore les aiguille sur Gisèle, pas sur Sidonie, qui, si c’est bien fait, la fera jouir à coup sûr. Je susurre à Gisèle que je vais piquer ses seins, les garnir d’aiguilles. Sa tête me fait oui. La première pénètre lentement, elle serre les dents. Je l’embrasse, nous nous embrassons quand la seconde pénètre dans son autre sein bien bombé par la corde qui l’enserre. Je sens cette larme couler, mais son sourire est comme un défi qu’elle me lance. Parfois, comme à mon habitude, je m’inquiète, sa tête me fait oui. Je continue, quinzième aiguille, un râle sort longuement de sa bouche quand ma main caresse son sexe tout baveux. C’est là que je remarque Isabelle. Un regard à Paul, il acquiesce. Isabelle vient lécher le minou chauve de Gisèle pendant que je joue avec ma bougie sur sa poitrine. Quand elle jouit encore, c’est plus que merveilleux. Je masse ses seins, Isabelle lui darde son minou de sa langue. Gisèle est sur une autre planète. Peu à peu, je baisse en puissance, ne cherchant plus que son plaisir, celui de Sidonie. Mes tortures deviennent plus sexuelles que douloureuses. J’invite Paul à se joindre à moi, de s’occuper de Sidonie pendant que je termine mon travail au corps sur Gisèle.
Je ne me lasse jamais de voir une personne jouir, femme, homme, qu’importe, avoir un orgasme, c’est comme un rire qui se déclenche, il nous entraine. Une journée sans orgasme, c’est comme ne pas rire, ne pas entendre de musique, c’est une journée qui ne vaut pas être vécue. Là, Gisèle ne cesse de jouir et Sidonie qui tripotée par Paul est emportée par des ondes de plaisir, c’est juste dire que ma journée fut merveilleusement remplie. Enfin libérée, Gisèle, vaincue par la multitude des orgasmes vécus, s’effondre sur le sol, tout sourire, un visage qui reflète sa béatitude. Je l’emporte dans notre chambre, une chambre sans lit, une chambre avec des matelas uniquement. Je la couche, Isabelle est avec nous.
« Ma belle négresse, ma délicieuse soumise, on va encore te faire souffrir. Il ne fallait pas ma casser ma petite porcelaine. »
« Je veux bien en casser chaque jour si c’est pour vous subir. »
Peu après, Sidonie et Paul nous rejoigne pour une nuit longue, remplie de râles orgasmiques.
Dans la matinée, je m’étire longuement, Gisèle dort encore, roulée en boule, je peux voir sa croupe porter encore les marques du fouet. J’embrasse ses fesses, la recouvre, la laissant dormir. En bas, Sidonie et Isabelle m’ont préparé un bon déjeuner. Près de moi, un petit bout de chou me fixe, hilare en me voyant lui faire des grimaces. C’est qu’il est fier le bougre, Isabelle me dit qu’il a fait ses premiers pas, qu’il est impossible à tenir, il bouge en permanence. Je profite d’une sortie en ville pour nous ravitailler. Je veux repasser une annonce, sauf que cette fois, à demi-mot j’ajoute le côté payant. Oui, si c’est gratuit, comme pour Gisèle, elles sont rares. Mais dès que l’on doit s’acquitter d’un certain montant, cela pousse au vice.
Ça ne tarde pas deux semaines plus tard, une femme m’écrit, elle veut tenter, comme Gisèle et Sidonie, une expérience d’une journée, elle me laisse son numéro. Aussi, je l’appelle. Le ton autoritaire, la voix grave, je lui demande ce qu’elle recherche. Très vite, je pige, très vite je devine qu’elle ne fut jamais punie durant son enfance. En fait la douleur d’une punition parentale lui manque. Je lui impose en rendez-vous en pleine forêt, sa tenue, juste une robe et une de rechange. Je ne veux rien savoir de son physique, maigre, grosse, qu’importe, c’est une femme. Le jour du rendez-vous, je pars tôt, une glacière remplie, ma caisse à outil pleine de mes accessoires. Je m’installe confortablement, allumant un petit feu pour mon repas de midi. Elle arrive, je me lève et la fixe, sévère. Je lui demande par geste de retirer sa robe alors qu’elle est encore à plus de dix mètres de moi, ce qu’elle fait en hésitant. De ma caisse à outil, je prends ma petite cravache. Elle continue à s’approcher de moi, la peau noir mate, une poitrine légèrement tombante bien faite. D’un geste, à deux mètre de moi, je la fais faire un tour sur elle-même. Sa croupe est belle, bien ronde, dommage, la fesse est un poil tombante. Je lui demande la somme convenue, l’obligeant à la mettre dans sa bouche et se mettre à quatre pattes. Elle avance jusqu’à moi comme ordonné. Je prends l’argent, posant mon cul sur sa croupe, j’assois mon autorité. Je compte la somme, lentement, pour faire durer le plaisir. Me lève, la fixe, la toise, l’estime et la fesse comme une sale gamine. Si elle pousse un cri, c’est de surprise. Ensuite, ce ne sont que gloussements qui se font entendre. Je claque son cul à main nue, ma cravache sur son dos, longeant sa colonne vertébrale.
Je gifle son cul, je vois sa chaire onduler sous mes baffes. De ma caisse, je sors une petite chaise pliante, la regarde à quatre pattes, cherchant à deviner ce qui suivra comme supplice. Je me lève, une bière à la main. Je l’humilie verbalement, la traitant de salle gamine, de méchante fifille. Je joue au père autoritaire sans élevé le ton plus qu’il ne faut.
« Tu sais, des comme toi, j’en ai deux à la maison. Si tu en veux plus qu’elles, il te faudra me le prouver, me donner le meilleurs de tes hurlements de douleur, de plaisir. J’aime voir crier une femme punie, j’aime à la voir et l’entendre jouir. Alors, t’as les moyens de te faire punir par moi ? »
Elle ne sait que me répondre et je la comprends, je viens de la prendre de court. Elle se relève un peu quand je retire mon short et lui impose de sucer papa. Lentement, elle s’avance jusqu’à ma chaise, je lui montre mes pieds, j’adore ça, un soumis qui me lèche mes pieds, c’est le rendre entièrement soumis, l’avilir complètement, le faire descendre de son piédestal, le déchoir. Sa bouche baise mes pieds, je croise mes jambes, lui enfonce mes orteils dans ma bouche, l’invective, la traite de sale môme, de fillette désobéissante, elle doit avoir la trentaine, comme moi en somme. Un peu gironde, elle me plait par bien des aspects. Sur sa croupe, mon martinet se fait sentir quand sa bouche ne fait pas ce que je lui ordonne de faire. Je veux qu’elle lèche, suce. Mes injures fusent, la dévaluant encore. Elle aime se faire traiter de sale gamine, je vais la punir comme telle. Ce palmier, il va me servir, celui juste à deux mètres, il fera aussi l’affaire.
« Tu veux ma bite dans ta bouche, ton cul, ton sexe de sale gamine, faudra la mérité, petite »
Je l’attrape par ses cheveux crépus, l’oblige à me suivre entre ces deux palmiers. Mes cordes, je l’écartèle solidement. Je lui montre mon martinet, exigeant qu’elle se confesse comme devant un prêtre.
« Mon père, j’ai péché, je suis en faute, de chair, de sexe, je me masturbe seule, je refuse que mon…
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