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L'inconnue de la piscine

Chapitre 1

Hétéro
Dans le grand bassin olympique de la piscine municipale, mon regard se porte vers une dame, plutôt âgée, je dirais vers les 70 ans qui entre dans l’eau par la petite échelle face à moi. Son maillot une pièce bleu turquoise très échancré m’inspire, «elle doit bien s’épiler celle-là». Pensée quelque peu inconvenante à l’égard d’une dame qui, a priori, parait avoir 15 ans de plus que mon âge. Je distingue quelques cheveux roux et grisonnants sous son bonnet de bain. Elle s’élance dans la ligne d’eau, je poursuis mon entraînement. Après quelques longueurs, je la vois ressortir du bassin et je me dis «quand même bien foutue pour une « vieille », je pourrais faire l’amour avec elle, mais bon, c’est un fantasme ». Un début d’érection me contraint à suspendre ma sortie du bassin...La dame passe tout près de moi le long des plots de départ et me regarde droit dans les yeux, inespéré ! Je ne sais pas ce qui me traverse l’esprit, mais bien qu’il s’agisse d’une inconnue, je la salue en lui souriant. Elle me rend la politesse, esquissant un sourire, et se dirige vers les douches. Dommage... je ne la verrai plus...Pourtant, elle revient peu après, tient à la main un pull boy, se lie les pieds, positionne le pull dans son entrecuisse... et se jette à l’eau pour continuer ses longueurs... Je m’élance dans son sillage.
Au gré des longueurs lors d’une pause, elle se retrouve soudainement face à moi, l’air un peu hagard. Je suis frappé par ses yeux, très verts. Elle a perdu ses lunettes de natation.
— Attendez, Madame, je vais vous les retrouver
Je plonge au fond du bassin, ramasse les lunettes. En remontant, je ne peux m’empêcher de mater ses jambes, son entrecuisse. Sa peau est très blanche, laiteuse, ses jambes et ses fesses sont restées musclées par la pratique de la natation, les filets de peau bien lisses avec des traces de rasage à l’échancrure du maillot confirment qu’elle doit être soigneusement épilée. Elle me fait vraiment de l’effet.Elle me remercie avec un large sourire et continue à nager. Je sors du bassin et rejoins les vestiaires.Je l’aperçois dans les douches des femmes et lui adresse un salut d’un signe de la main qu’elle me rend aussitôt. La voir se savonner, le corps enduit de mousse m’excite à nouveau. Mais je dois me contrôler, tout cela n’est ni raisonnable ni réaliste.Arrivé aux vestiaires, je la croise encore, elle est très proche de moi, à une largeur de cabine, côté « dames ». Elle paraît désemparée.
Je lui lance :
— Vous avez un problème ? Vous cherchez quelque chose ? Je peux vous aider ? — Je ne trouve pas de cabine, elles sont toutes occupées me dit-elle— Venez, prenez donc un vestiaire scolaire, on peut les verrouiller. Vous serez bien tranquille.
Je la dirige vers une porte qui s’ouvre sur un grand vestiaire complètement vide.
— Oh merci beaucoup.
Après deux minutes, elle s’adresse à nouveau vers moi,
— Vous pouvez venir ? Je n’arrive pas à fermer à clé.
Je suis quasiment habillé, prêt à partir, elle est encore en maillot, claquant des dents.J’entre dans le vestiaire et manipule le loquet, qui après quelques essais, s’enclenche enfin.
— Merci, mais vous devriez sortir maintenant, car je dois me changer, me dit-elle en souriant d’un air presque coquin.
Je rétorque, prenant vraiment mon courage à deux mains, tout rougissant et d’une voix mal assurée.
— Est-ce que je peux vous voir nue ?
A ma grande stupéfaction, elle me murmure à l’oreille :
— Oui mais à condition que tu me montres ta queue.
Je vérifie que les lieux sont bien clos. Elle est au milieu du vestiaire et ouvre son maillot une pièce en remontant très lentement, pour me faire languir, la fermeture éclair de côté. Je découvre progressivement son sexe, il est très poilu, joliment taillé en triangle sur le pubis, sa vulve paraît complètement épilée. Ses poils pubiens sont roux. C’est une vraie rousse.Elle enlève le haut, de petits seins avec des tétons qui pointent sur de larges aréoles foncées.Je sens mon sexe réagir à la vue de cette dame certes déjà âgée, mais vraiment très désirable. Entièrement nue, offerte, jambes légèrement écartées, elle se tourne pour me montrer ses fesses en se baissant pour me faire admirer son intimité. Je distingue nettement son anus et sa vulve.
— A ton tour maintenant.
Je me défais rapidement jusqu’au slip, que je baisse lentement pour lui faire découvrir ma verge déjà un peu gonflée. — Mais tu commences à bander, je te fais vraiment de l’effet ! s’exclame-t-elle— Oui et j’ai très envie de vous.
Tu as une jolie verge circoncise, me dit-elle en mouillant son index de salive pour me titiller le frein, et me tâter les bourses.Je bande. Elle pose un baiser et passe le bout de sa langue sur le méat d’où suinte du liquide préséminal, je m’attends à une fellation, mais elle se relève, je l’embrasse alors sur la bouche, nos langues s’entremêlent un long moment.
— Viens me lécher, me dit-elle en se positionnant assise sur un banc de bois, cuisses écartées en se tenant jambes relevées, vulve béante.
Je me mets à genoux et passe ma langue sur ses jambes, lui baise l’intérieur de ses cuisses, sa vulve déjà est déjà luisante de mouille.Je lèche les poils roux du pubis, les grandes lèvres et remonte vers le clitoris bien bandé. Je tente une aspiration. Sa réaction est fulgurante. Elle gémit de plus en plus fort et mouille abondamment. Je vais la traiter ainsi pendant dix bonnes minutes puis lui relève encore le bassin, pour lui lécher le sillon fessier, lorsque ma langue passe sur l’anus, elle a un soubresaut, ne s’attendant peut-être pas à cette caresse, mais elle jouit presque instantanément en hurlant, m’obligeant à étouffer son cri pour ne pas alerter les autres baigneurs. Un dernier coup de ma langue sur sa vulve provoque un petit jet de cyprine que je reçois en pleine bouche.
— Personne ne m’a jamais sucée comme ça. Viens, je vais te remercier.
Elle se met à genoux et me masturbe la verge d’une main en tenant mes testicules dans la paume de l’autre. Je bande comme jamais. Après quelques minutes, ne tenant plus, j’éjacule une grande rase de sperme entre ses seins. Elle prend ma verge en bouche en faisant tournoyer sa langue autour du gland tout en me caressant les fesses. Je ne débande presque pas et jouis à nouveau presque à sec. Elle se relève, me donne un baiser furtif sur la bouche, et se rhabille prestement.
— Maintenant, je dois partir, on m’attend, me dit-elle— Je pourrai vous revoir ?— Oui peut-être, je suis mariée, on verra, je viens nager ici assez régulièrement.— Merci pour ce moment !
A suivre...
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