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L'inconnue du train de 7h25

Chapitre 2

Complicité naissante

Erotique
Une semaine s’est écoulée sans que je n’aperçoive ma belle inconnue. Je commence à penser que je ne la reverrai plus et qu’elle hanterait mes souvenirs comme une merveilleuse et troublante expérience. Jusqu’à ce mercredi matin.Je suis plongé dans mon livre et je ne la vois pas monter dans mon wagon. D’ailleurs, les places libres sont rares et la seule des quatre qui est libre est celle située à ma droite.  Je sens alors une très agréable odeur. Un parfum féminin flatte mes narines et exhale un doux mélange de fleur et de musc me semble-t-il. Je me tourne alors vers la femme qui s’est assise à coté de moi et la voit. C’est elle.
Aujourd’hui, le temps est couvert et pluvieux et elle s’est chaussée de petites bottines qui lui vont très bien. Elle porte un jean plutôt mode sans être du style déchiré mais assez moulant tout de même. Un petit pull lâche accompagne le tableau. Elle a posé son sac ainsi qu’un petit manteau sur ses genoux, ce qui cache malheureusement ses cuisses.
Elle "s’assoupit" de nouveau assez rapidement et je peux sentir la chaleur de son bras contre le mien lorsque le train fait des embardées lors des aiguillages ou des changements de voies.  Une secousse plus forte que les autres la fait légèrement se pencher vers moi et nos bras sont maintenant en contact continu. Je ressens bien sa chaleur et ceci commence de nouveau à m’exciter.
Je décide alors d’agir comme la dernière fois. Je pose ma main sur ma cuisse. La sienne est toute proche de la mienne et je sens qu’elle se rapproche imperceptiblement. Puis le contact se fait. Une douce chaleur envahit alors ma cuisse droite. Et ma main glisse "malencontreusement"contre sa cuisse. Loin de refuser le contact, je ressens par mon bras contre le sien que sa respiration semble s’accélérer. A ce moment,son manteau me gêne mais ma "dormeuse" profite d’un changement brutal de voie pour faire un mouvement qui soulève son manteau mais surtout fait glisser ma main vers l’intérieur de sa cuisse gauche. Faire semblant de dormir pour elle comme pour moi devient plus difficile mais nous simulons à la perfection. Nos voisins ne voient ni ne remarquent rien car son manteau cache ma main et ils semblent d’ailleurs à peine réveillés.
La chaleur de l’intérieur de sa cuisse est troublante. Je cache alors mon érection par mon livre et mon manteau. Si ça continue comme ça, je vais me mettre à éjaculer dans mon boxer sans même me toucher. Son sexe ne doit être qu’à deux ou trois centimètres de mon petit doigt et sa chaleur m’enivre de plus en plus. Un nouveau cahot la fait bouger et resserrer les cuisses... Emprisonnant ma main. Je crois que je vais hurler de plaisir. Je me mets à chercher à respirer plus normalement et me calmer car j’ai vraiment du mal à faire semblant. Sa respiration s’est accélérée aussi. Je pense que nous ne sommes pas dupes mais que cela fait partie du jeu.
Je me mets doucement à remuer mes doigts. Sa chaleur envahit ma main prise au piège et il me semble que cette chaleur est transmise jusqu’à mon sexe. Je veux d’ailleurs chercher à légèrement me décontracter car je sens des picotements annonciateurs d’une excitation plus intense. Je décide alors de bouger mon petit doigt en direction de son sexe. Millimètres après millimètres... Il avance. Et quand il atteint la couture de son jean juste devant son sexe et qu’il appuie légèrement dessus, je la sens se tendre et tout son corps se raidir. Je ne peux le croire, j’ai ma main contre son intimité mais bien cachée des autres voyageurs.
Que dois je faire de plus? Que puis je faire de plus? Je ne peux pas la masturber comme ça dans le train. Nous n’allons pas tenir longtemps avant que les autres ne se doutent de notre petit manège. Je rouvre les yeux et la regarde. Ses yeux sont fermés et sa tète repose nonchalamment. Elle semble si belle, si innocente et si simple et pourtant ma main la touche intimement à travers ses vêtements.Cette vision apporte un nouvel afflux de sang dans ma verge. Ça me fait presque mal et je me vois déjà éjaculer comme un collégien dans mon boxer.
Ses mouvements et ma main entre ses cuisses démentent ce visage d’ange assoupi qu’elle me présente. Ma main remonte maintenant tout doucement et le tranchant de celle ci épouse maintenant le renflement de son sexe. Je sens ses cuisses se contracter puis se relâcher pour se contracter de nouveau. Voire faire des petits mouvements de bassin pour mieux la ressentir. Elle se masturbe sur moi. Et je ressens cette chaleur trouble contre ma peau. Après deux à trois minutes, je sens alors ses cuisses me broyer la main et tout son corps se raidir. Son bassin a épousé ma paume et je sens le jean s’humidifier. Elle vient sans doute de jouir sur moi, sans un bruit, en toute discrétion,  et je n’en vaux guère mieux car je cherche à me retenir malgré la situation. Elle respire profondément.
Nous approchons de son arrêt. Un brutal aiguillage lui permet alors de se tourner ce qui a pour effet de libérer ma main qui se retrouve entre nous deux.  Puis comme si rien n’était arrivé, elle fait semblant de se réveiller doucement. Je ne perds pas une miette de son réveil dans son reflet sur la vitre du wagon. Elle voit mon manège et a un sourire tendu mais au demeurant charmant... Un peu coquin aussi.
Au moment de se lever, elle trébuche au moment de passer à mon niveau et s’appuie sur moi. Son odeur m’enivre encore et je sens, alors qu’elle cherche à se relever, sa main passer comme un frôlement sur mon sexe tendu au travers de mon pantalon. C’en est trop et je décharge alors toute mon excitation dans mon boxer. Je la vois, alors que les dernières gouttes de mon liquide s’échappent encore, traverser le couloir et partir doucement. Elle semble onduler de la croupe plus que l’autre fois et je me prends à penser que c’est pour moi.
Quelques jours plus tard, le soleil a fait de nouveau son apparition et nous promet une radieuse journée. Par contre, une grève du personnel roulant (pour un motif dont je n’ai pas connaissance) a lieu. Le train est bondé. J’ai déjà vainement cherché une place assise en montant dans le wagon. Je suis donc debout, appuyé contre la barre centrale située dans l’entrée du wagon. Depuis deux ou trois arrêts, les gens continuent de monter et nous sommes de plus en plus serrés.
A son arrêt habituel, je la vois. Malheureusement, elle n’est pas seule. L’homme que j’avais eu l’occasion de voir l’accompagne. Ils sont de nouveau en grande discussion. Ils montent donc en se frayant un chemin au milieu des autres passagers. Nous sommes encore un peu plus serrés. Effet du hasard ou m’a t’elle remarqué ? En tout cas, au fur et à mesure que le wagon se remplit toujours, elle s’approche tout en continuant de converser avec cet homme. Au bout d’un moment, à force de mouvements de foule, je me retrouve dans son dos.
Elle arbore une jolie paire de Converse bleu. Puis ses longues jambes nues vont se perdre sous une jupe portefeuille noire. Un pull de couleur crème complète la panoplie.  Ah j’oublie... Elle porte aussi un superbe béret noir qui ajoute une note ô combien agréable à l’ensemble. Je suis donc dans son dos et les mouvements de foule joints aux mouvements du train nous font tous nous entrechoquer. Quelquefois, son dos et surtout ses fesses viennent à mon contact pour s’éloigner de nouveau puis revenir. Je ressens sa chaleur et reconnais le parfum qui m’a déjà charmé.
De nouveaux voyageurs montent et les rangs se resserrent. Le contact jusqu’ici discontinu devient continu. Tout du moins au niveau de ses fesses. Mais cela ne semble pas la gêner car elle continue de discuter comme si de rien n’était avec son compagnon. Pour ma part, la sentir si proche me fait de l’effet et je ne peux pas croire qu’elle ne s’en rende pas compte. Sa conversation ralentit d’ailleurs. Son compagnon doit croire que le fait d’être serrés l’incommode et qu’elle ne souhaite plus parler qu’épisodiquement.   Mon sexe prend de la vigueur et je ressens ses fesses qui épousent mon bassin. La tige dure de mon sexe doit certainement se sentir à travers sa fine jupette. D’ailleurs, je la sens maintenant légèrement reculer sans doute pour mesurer l’intensité de mon désir. J’entends sa respiration légèrement s’accélérer. Elle continue toutefois de répondre de temps en temps à son compagnon. J’avance mon bassin et elle recule le sien doucement ce qui l’amène à comprimer mon sexe entre ses deux globes que je ne manque pas de vouloir prendre à pleines mains. Mais je dois me refréner.
Nous sommes dans un angle du wagon et peu de gens peuvent nous voir. Constatant qu’elle prend un malin plaisir à entretenir mon érection par de savantes et opportunes compression de son bassin sur mon sexe, je décide d’agir. D’un geste rapide, désinvolte mais toutefois caché des autres voyageurs, je glisse d’un coup ma main entre nous à hauteur de ses fesses. Mais surtout en passant sous sa jupe. Le contact de ma main sur ses rotondités jumelles la fait se figer. Je ne la vois pas mais je vois son compagnon qui doit la voir blêmir. Il lui demande si tout va bien. Elle répond que oui, juste un petit mal au coeur lié sans doute à la chaleur et à la promiscuité. Rassuré par sa réponse, je commence à malaxer la chair douce et souple de sa fesse droite. La peau est douce à croquer et ma main ne peut s’empêcher d’en apprécier le grain.
S’approchant de son entre-fesses, je sens la ficelle de son string. Une idée s’impose à moi : elle a voulu jouer avec moi en se frottant sur moi. Je vais jouer avec elle. Et je décide doucement de tirer sur cette ficelle de string puis de la relâcher. La sensation ne se fait pas attendre car le peu d’étoffe qui recouvre son sexe doit par intermittence le comprimer puis le relâcher puis le comprimer. Je la sens se raidir contre moi et cambrer doucement ses fesses vers ma main. Je continue mon manège pendant que son bassin commence imperceptiblement à onduler. Elle a de plus en plus de mal à soutenir la conversation de son compagnon car il y a de plus en plus de blancs. Je tire un peu plus fort et je comprends à sa réaction et sa cambrure que l’étoffe de son string doit maintenant être comprimée en elle et ne plus former qu’un filet de tissu qui s’est imprimé dans son sexe, chatouillant et comprimant son petit bouton d’amour.Elle ondule de plus en plus contre moi et la situation menace de dégénérer car je réfléchis de moins en moins aux conséquences de mes actes. Je ne crois pas pouvoir aller plus loin au milieu de cette foule. Je lâche alors la ficelle de son string ainsi que le contact de sa fesse. Je l’entends soupirer de désappointement.
A ce moment, une nouvelle montée de passagers a le double effet bénéfique de nous rapprocher mais aussi d’éloigner son compagnon si bien qu’il ne peut plus voir que son visage mais ne peut plus discuter avec elle. Profitant de cette situation et après avoir vérifié que personne ne peut voir mon manège, j’ouvre mon pantalon et sort mon sexe bandé. Puis sans rien dire et rapidement, je soulève légèrement sa jupe et glisse mon sexe entre la douce moiteur de ses cuisses.Je la sens aussitôt se reculer pour se plaquer contre moi. Mon sexe est emprisonné entre le haut de ses cuisses et touche le renflement de son sexe à travers son string déjà bien chaud et humide, fruit de mon travail précédent. Je le ressens alors serrer et desserrer les muscles de ses cuisses autour de mon sexe. Elle me masturbe en silence tout en frottant mon sexe contre son petit bouton. Heureusement, les embardées du train masquent nos embardées intimes et je vois ses cheveux tomber sur mon visage. Sa nuque est toute proche, si proche que je me laisse l’autorisation d’y déposer un baiser furtif dans une nouvelle embardée.
Nous sommes maintenant comme deux bateaux ivres bercés par le bercement du train et je sens le mouvement de ses cuisses s’accélérer autour de mon sexe. Elles serrent puis relâchent puis resserrent comme avec ma main quelques jours plus tôt. Le rythme s’accélère puis d’un coup, elle s’arrête net en broyant mon sexe entre ses cuisses. Je l’entends gémir tout doucement et ce bruit déclenche alors des picotements dans ma verge suivis presque aussitôt de mon éjaculation contre son sexe et l’intérieur de sa jupe. Elle en lâche mon sexe de surprise et une grande partie de mon liquide va alors s’écraser sur le sol du wagon.A l’abri de tout regard, les voyageurs étant déjà bien trop occupés à ne pas perdre l’équilibre en étant si serrés.
Son arrêt arrive et elle tourne la tête vers moi. Un sourire de contentement illumine son visage et ses yeux brillent. Nous nous regardons quelques secondes et elle quitte ce train comme à regret entraînée comme un poids mort par son compagnon qui doit penser qu’elle a failli faire un malaise. Quand la reverrai-je ?
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