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L'inconnue du train de 7h25

Chapitre 3

Plaisir ferroviaire

Hétéro
Tout n’allait pas très bien dans ma vie...
Niveau boulot : le réseau informatique avait planté pendant deux jours et j’étais obligé, ce samedi matin, d’aller travailler si je voulais finir mon projet pour lundi. Je n’avais vraiment pas eu envie de me lever, mais bon...
Côté cœur : mon inconnue restait introuvable depuis maintenant deux semaines. La première semaine qui avait suivi nos "retrouvailles", je l’avais guettée. En vain. Je commençais donc à me dire qu’elle devenait un souvenir très très agréable...
Ce samedi là, donc, il n’y avait pas foule dans mon wagon. Les banlieusards qui m’accompagnaient habituellement devaient profiter de leur jardin ou du bricolage, mais certainement pas du train. Seuls une dame plutôt âgée et un couple d’étudiants chargés de bagages occupaient mon wagon. Souhaitant lire tranquillement, je choisis une extrémité de celui-ci et m’installai.
La vieille dame sortit alors à l’arrêt suivant. Comme elle semblait avoir du mal à descendre, je relevais la tête pour éventuellement aller l’aider. Et je vis qu’ELLE était en train de l’aider à descendre du train.
Elle était superbe. Il faisait doux et le soleil semblait jouer dans ses cheveux...
Elle avait remis ses chaussures pieds nus (style sandales romaines) et le lacet qui grimpait sur son mollet en soulignait toujours le galbe magnifique.
Elle portait une jupe assez courte et lâche. Le haut en jean et un tissu rose pâle panaché... Elle portait un t-shirt assez moulant et une petite veste estivale. Ses cheveux mi-longs encadraient son superbe visage qui s’illumina lorsqu’il me vit.
Elle avançait directement vers moi...
Elle s’installa en face de moi et mit ses pieds sur chaque côté de mon fauteuil. J’en avais le souffle coupé... Ses chevilles touchaient mes genoux et je voyais ses longues jambes fines et musclées. Je voyais aussi la lisière de sa culotte sous sa jupe. Du même rose pâle que sa jupe... si sage quand je pense à ce que nous avions fait...

Se présenter comme cela me coupait le souffle et je ne savais plus que dire. Son sourire était une invitation. Son regard se perdait dans le mien.
Ma main se posa sur sa cheville. Sa peau était douce...
Nous étions dans un coin du wagon un peu à l’écart. Les deux étudiants étaient perdus dans leur conversation... et ne faisaient pas attention à nous.
Ma main caressa sa peau, suivait les lanières de cuir qui cerclait son mollet...
Puis remonta doucement vers son genou. Sa peau était fine, presque translucide. Elle s’abandonna. Sa tête se posa sur son dossier et elle se laissa aller. Elle ferma les yeux, laissant ma main partir à l’aventure de son corps.
Ses cuisses tant regardées appelaient ma main qui continuait sa progression. Je l’entendais soupirer et son souffle s’accélérait...
La peau devenait plus douce, plus chaude et plus sensible. J’avançais doucement et lentement, faisant durer le plaisir...
Elle avança son bassin au bord du siège, ce qui eut pour effet de relever ses cuisses et d’offrir à ma vue sa culotte rose bordée de dentelle... Un petit nœud trop sage, vu la situation, ornait sa culotte.
Mes mains quittèrent sa jambe et je m’agenouillais devant elle. J’avais l’impression que son odeur m’enivrait...
J’approchai mon visage de sa culotte... Mon nez s’enivrait, mes yeux se délectaient...
Bientôt, elle sentit mon souffle chaud sur le tissu si fin de sa culotte... J’étais tout près... Elle mit ses mains dans mes cheveux... Je déposai un baiser dans le creux de sa cuisse... La peau était douce, chaude et extrêmement sensible.
Je la sentais qui se relâchait... Je me mis à lécher sa cuisse par de petits lapements. Un soupir s’échappa... Je relevais la tète et la vis. Elle se mordait les lèvres pour ne pas s’exprimer... pour ne pas se faire remarquer...
Je retournai vers sa culotte. Une auréole apparaissait... L’odeur caractéristique de son sexe me parvenait. Je me mis à poser un baiser sur sa culotte. Le contact de mes lèvres sur les siennes la fit tressaillir puis avancer le bassin vers ma bouche. Je résistais à l’envie de mordre à pleine dent son sexe que je devinais à travers sa fine culotte...
Je déposai un deuxième baiser... plus appuyé. Mes lèvres étaient humides de sa rosée. Son goût me transportait et je devais avoir une érection énorme...
Du bout des lèvres, je sentis son petit bouton. Je m’y appesantis un peu. A peine l’avais-je effleurée que je la sentis se tendre... s’offrir...
Je pris le bord de sa culotte avec mes dents... délicatement. Je tirais dessus pour entrevoir son sexe...
N’y tenant plus, elle souleva ses fesses pour pouvoir l’enlever. D’un geste fébrile, elle passa la main dans l’élastique et la descendit de quelques centimètres...
Elle reposa alors une jambe afin de la descendre et l’ôter puis se remit en position. Tout cela n’avait pris que quelques secondes tellement elle semblait fébrile...
Ses yeux semblaient hors du temps... et me regardaient avec appétit.
J’eus devant les yeux la vision de son sexe à l’état brut. Ses lèvres étaient gorgées de sang, fruit d’une profonde excitation... Un fouillis indescriptible semblait régner... Son sexe était obscène d’excitation.
Ses lèvres étaient entrouvertes... Elles étaient humides d’excitation et gorgées de désir... Elles n’attendaient que moi, que ma langue...
Alors, mettant de nouveau ses mains dans mes cheveux, elle prit ma tête et la précipita entre ses cuisses.
Mon nez s’écrasa contre ses chairs offertes, ma langue se mit à laper puis mordiller tout ce qui passait à sa portée. Je ne savais où donner de la tête et je lui mangeais le sexe comme si je n’avais pas mangé depuis des années... comme un affamé.
Ma langue s’enfonçait en elle, provoquant des avancées terribles de son bassin. Mon nez jouait avec son petit bouton qui était devenu très sensible et lui provoquait des râles à chaque fois que je le touchais.
Elle se mit la lanière de son sac dans la bouche pour mordre quelque chose et éviter de gémir trop fortement.
Pendant ce temps-là, j’y allais à cœur joie. Je léchais et aspirais ses lèvres, ainsi que les flots de cyprine qui s’échappaient de son sexe béant... Mon nez écrasait son bouton. Elle écrasait mon visage contre son sexe goûtant une immense jouissance... J’accélérais, je mordillais, je léchais tout... J’enfonçais ma langue dans son conduit comme l’aurait fait un sexe.
Son bassin devenait incontrôlable. Elle l’agitait en tout sens pour mieux sentir les multiples sensations que je lui octroyais.
Elle se raidit et me plaqua encore plus fort contre son sexe... Elle gémit alors doucement, mais ce gémissement partait de si profond en elle... Elle serra les cuisses comme pour écraser ma tête contre son sexe, et son corps fut agité de tremblements et de convulsions...
Elle jouissait sans retenue, sauf que ses sons restaient en elle, bloqués par la barrière de sa bouche...
Elle me fit me relever très vite et avala ma bouche. Le baiser se faisait morsure, et son odeur et sa mouille imprégnaient nos lèvres dans un baiser obscène et délicieux...
Sa main se porta alors à mon sexe tendu dans mon pantalon. Elle le saisit alors à travers l’étoffe et se mit à le sentir des doigts puis le malaxer fortement... guettant ma jouissance de ses yeux maintenant grands ouverts...
J’éjaculai rapidement... L’excitation étant devenue trop forte...
Avant que je n’aie eu le temps de vraiment reprendre mes esprits, elle m’embrassa et me regarda intensément... Puis se dirigea vers la porte du wagon et descendit...
Je ne pus ni ne sut quoi lui dire pour la retenir...
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