Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 249 J'aime
  • 5 Commentaires

L'inconnue du train de 7h25

Chapitre 5

Etre (ou ne pas être ) à la noce !

Hétéro
Samedi est arrivé. Un franc soleil de printemps illumine la ville et tout un chacun a commencé depuis quelques semaines à sortir une garde-robe de plus en plus légère. Les blousons et autres doudounes ont disparu, avantageusement remplacés par des chemisiers fins, des petits tops avec nombril apparent ou des chemisettes quelquefois entrouvertes. Les minijupes ont elles aussi refait leur apparition à ma grande satisfaction.
Je porte un costume de couleur crème ainsi qu’une chemise plutôt claire dont les deux premiers boutons sont négligemment défaits, laissant entrevoir la partie supérieure de mon torse. Ma voiture, petit bolide rutilant, mais sans ostentation, me transporte allégrement vers le lieu de la cérémonie. J’arrive donc et l’église, devant laquelle je passe, avant de me garer, fleure bon la campagne française malgré le fait qu’elle soit située en périphérie de cette petite préfecture de province.
Je me gare et je vois bien que mon arrivée attire les regards. Je dois dire que ce doit être dû à ma voiture plutôt qu’à moi-même. Je sens le regard envieux des hommes et attiré des femmes. Je sors donc de mon véhicule et les regards continuent de me suivre. Ceux des femmes semblent plus attirés encore, alors que je sens que les hommes ne vont peut-être pas me porter dans leur cœur. La complicité qui aurait pu naître de l’amour des belles voitures est écrasée par une certaine jalousie. Mais je ne m’en soucie pas et rentre donc dans l’église puis m’assois vers le fond en attendant que la cérémonie commence.
L’église se remplit peu à peu et elle est bientôt pleine au deux tiers. Je vois alors le futur marié qui vient se placer devant l’autel accompagné de ses parents. Sa future belle-mère est présente elle aussi à leurs côtés. Ne manquent donc que le père de la mariée et la mariée elle-même. Les attendant, je regarde le futur marié. Il est relativement jeune, presque la trentaine, et pas trop mal malgré un tout début de ventre sans doute dû au manque d’exercice physique. Un marié quelconque dans mon esprit.
Tout le monde se tait et la musique reconnaissable entre toutes s’élève dans la nef. Tout le monde se lève et tous les regards convergent vers les nouveaux entrants. Au bras de son père, elle est tout simplement superbe. Des talons hauts habillent ses pieds nus. Elle porte une courte jupe arrêtée au genou, mais pleine de dentelles qui semblent folles dans un fouillis savamment organisé. Un bustier met en valeur sa taille et rehausse ses seins. Une gorge magnifique uniquement ornée d’un sage collier souligne son cou au port altier et droit. Son visage rayonne et son maquillage est parfait. Un chapeau large recouvre sa tête. Elle l’enlève bien sûr en entrant dans l’église et le tend à une demoiselle d’honneur qui s’en saisit à son passage.
Elle me subjugue et je ne peux m’empêcher de l’admirer durant toute la cérémonie qui est, elle, au demeurant très classique. Puis sous les bravos et les "Vivent les mariés !", ils sortent, bientôt suivis de tous leurs participants. Ils font alors le tour de leurs invités, surtout ceux qu’ils n’ont pas pu saluer avant la cérémonie. Mon tour vient et je la vois doucement rougir sous son maquillage. Elle me présente comme un collègue et me dit alors que je la reverrais au vin d’honneur. Je me dirige alors vers mon véhicule et je vois qu’elle me guette du coin de l’œil. Je m’introduis alors dans le cortège de klaxons et nous allons vers le lieu du vin d’honneur : les jardins de la Préfecture.Ces jardins à la française offrent de multiples bosquets propices aux discussions isolées et très rapidement, certains convives s’égaillent et vont discuter par ci et par là, le verre à la main. Je la vois alors me faire un petit signe et se diriger vers une haie protégée des regards. Je m’y dirige.
Elle est là. Seule. Et sa beauté et son sourire me font un bien fou. Elle prend alors ma main (décidément c’est une habitude !) et m’entraîne un peu plus loin et me donne alors rendez-vous pour dix minutes plus tard auprès du kiosque à musique situé au fond du parc. Avant de repartir, elle regarde autour d’elle. Puis se jette à mon cou, écrasant ses lèvres sur les miennes et avant que je réagisse, elle s’éclipse.
La journée se déroule au mieux. Après avoir un peu cherché, je trouve le fameux kiosque à musique. Dans cette partie du parc, les invités sont rares, sauf quelques couples qui tuent un peu le temps en attendant le repas de noces. J’attends donc et la vois arriver. Après avoir regardé attentivement, elle me prend la main et m’entraîne cette fois-ci vers la cabane du jardinier. Elle a la clé et nous nous engouffrons à l’intérieur. Elle referme à clé derrière nous.
Dans cette cabane, entre les différents outils et arrosoirs, il y a une banquette sans doute pour permettre au jardinier de se reposer. Tout ceci dans une relative ombre, car la seule petite fenêtre est encombrée de branchages.
Nous nous regardons et dans un élan commun, nous tombons dans les bras l’un de l’autre. Elle sent si bon. Nos bouches se cherchent et se trouvent naturellement. Nos mains courent sur nos corps et je laisse tomber la veste. Ses mains s’attaquent fébrilement aux boutons de ma chemise qu’elles défont un à un pour ensuite l’ouvrir en grand et précipiter ses mains sur mon torse et jouer avec la peau sous ses doigts. Les sensations sont délicieuses, mais moi je ne peux pas toucher à ses vêtements, de risque de tout chambouler dans le magnifique ordonnancement de sa tenue.
Elle embrasse mon torse, laissant sa langue titiller mes mamelons et remonter jusque dans mon cou. Mes mains vont à la rencontre de ses cuisses fuselées et remontent d’une manière assurée vers son triangle d’amour. Ses cuisses sont douces et appétissantes. Je me mets donc à genoux et glisse ma tête sous sa jupe. Je monte le long de sa cuisse par une série de baisers. Elle s’assoit alors sur la banquette, le bassin au bord et les jambes écartées comme dans une offrande.
Je vois tout. Sa culotte blanche à dentelle. Ses poils follets qui s’échappent de-ci de-là. Délicatement, je prends alors sa fine culotte blanche et la descends. Son sexe de nouveau m’apparaît. Dans toute sa splendeur et son excitation. Une forte odeur de mouille imprègne ses lèvres écartées et luisantes. J’y porte la bouche et ma langue vient tout d’abord se porter en bas de son sexe puis remonte lentement sur ses lèvres pour venir titiller son petit bouton. Je la sens qui halète, coincée dans son bustier. Elle gémit quand ma langue atteint son bouton et se cambre pour me faciliter la tâche. Une brusque coulée de cyprine inonde mon menton, lubrifiant ses lèvres de nouveau. Elle est prête et offerte et se caresse les seins au travers de son bustier.
Je sens qu’elle en veut plus. Elle appuie ma tête sur son sexe pour que je goutte encore à son nectar et je lèche, je me délecte de ses lèvres, de son bouton et j’introduis ma langue durcie dans son vagin où je ressens son hymen. Je virevolte et je ne sais plus où donner de la tête tant elle a l’air d’aimer toutes mes caresses buccales. Elle halète et dit des phrases ininterrompues et sans réelle signification. D’ailleurs, elle n’arrive plus à finir ses phrases, perdue dans ses gémissements.
Puis elle me repousse et se jette sur mon pantalon. Fébrilement, elle le baisse ainsi que mon boxer et comme une affamée se jette sur mon sexe déjà dressé. J’entends ses bruits de succion et la voir comme cela... en mariée me fait presque éjaculer dans sa bouche. Elle n’est plus la même et donnerait tout pour continuer à me sucer sans interruption. On sent en elle une envie bestiale de jouissance presque animale.
N’y tenant plus, elle se redresse, se positionne sur le rebord de la banquette, le bassin en avant, et me jette à la figure les mots suivants :
— Je te veux, baise-moi, fais de moi ta chienne, je n’en peux plus... Enfile-moi tout de suite ou je vais hurler... Ma chatte est en feu, je te veux en moi, je t’en prie...
La voir comme cela, si belle, si désirable, emporte mes derniers doutes ou mes dernières réflexions. Sans plus réfléchir (mais avais-je vraiment réfléchi ?), je m’avance alors vers elle. Elle respire difficilement comme une noyée, les yeux perdus dans le vide, mais fixés sur moi. Mon sexe s’approche. Il est maintenant à l’orée de son sexe et mon gland palpite devant ses lèvres offertes.
Elle me dit d’une voix mourante :
— Viens, viens maintenant, je te veux...
Mon gland vient alors se poser sur ses lèvres et je la sens se cambrer, écarter encore plus les cuisses pour s’offrir. Puis doucement, millimètre après millimètre, il avance jusqu’à buter sur son hymen. Elle est comme folle. Le moment est crucial et d’un geste, elle me tire contre elle, ce qui me fait la pénétrer d’un coup. Elle hurle, mais nos lèvres se sont rejointes et je calme ses cris. Après quelques instants, afin qu’elle se calme et qu’elle ressente bien mon sexe en elle, je commence alors de doux va-et-vient et la douleur s’estompe, libérant une formidable envie de jouissance. Elle mouille abondamment et de nombreux bruits de succion alternent mes entrées et venues dans son vagin.
Elle se cramponne à moi comme un noyé à une bouée et son bassin part à la rencontre de mon sexe dès que je ressors un tant soit peu. La sarabande continue et nous menons de concert la danse de l’amour... pendant de très nombreuses minutes. Puis elle se cambre plus, et je la sens jouir en contractant son vagin sur mon sexe. Elle en perd presque la respiration et se met à hoqueter de bonheur tant la sensation est forte. Ses contractions autour de mon sexe déclenchent alors mon éjaculation au plus profond d’elle et elle me dit d’une voix jouisseuse :
— Oh oui je te sens bien... Je te sens au fond de moi et je sens ton liquide en moi... C’est trop bon...
Elle s’agrippe à moi et nous reprenons doucement notre respiration. Puis elle se relève et s’essuie avec un torchon propre récupéré sur la banquette.
Et je lui dis :
— Mais pour toi... Tu n’es plus vierge... Que va dire ton mari ?
Elle répond alors :
— T’inquiète, il va bien boire... Et je m’y emploierai... Je l’ai déjà fait attendre trois ans avant de me toucher, juste des baisers alors... Et puis quand on sera au lit, il sera bourré et demain matin je lui ferai croire qu’on l’a quand même fait...
Il n’en saura jamais rien.
Mais c’est le plus beau jour de ma vie, me dit-elle malicieusement.
Elle remet sa culotte et se dirige vers la sortie en m’embrassant. Elle me donne alors son numéro de téléphone en me promettant des nouvelles bientôt. Il faudra que je l’appelle dans deux semaines. Elle sort en premier. Je sors ensuite quelques minutes plus tard. Je quitte alors la noce, en pensant déjà à notre prochaine rencontre.
Diffuse en direct !
Regarder son live