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L'inconnue du train de 7h25

Chapitre 7

Joli petit couple

Avec plusieurs femmes
Deux mois ont passé. L’été est là. Les moissons sont en cours et le soleil brille au-dessus de nos têtes.
J’ai revu Eloïse deux fois, mais elle a peur. Elle a peur de sa petite sœur Magaly. Elle a aussi peur que son mari ne se doute de quelque chose. Magaly a déjà fait deux allusions lors de repas de famille et Eloïse craint pour son couple, mais ne peut se passer de moi. Je suis son petit brin de folie et je ressens de plus en plus l’attachement qui nous lie de plus en plus sûrement. Au-delà du jeu de nos débuts, je découvre de plus en plus une femme qui me plaît énormément. Alors je lui propose quelque chose : elle viendra samedi prochain avec Magaly. Elle lui dira qu’elle accepte de la faire me rencontrer pour céder à son chantage. Mais une surprise l’attendra qui devrait la calmer définitivement.Sur cette décision, Eloïse rentre chez elle et je commence à préparer le guet-apens. Une réservation et deux ou trois coups de téléphone font l’affaire. Il ne reste plus qu’à attendre samedi en début d’après-midi.
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Samedi est là. Une très agréable chaleur envahit tout Paris, mais sans être trop oppressante. Une légère brise rafraîchit les badauds et fait se soulever les jupettes trop courtes. Bref, une vraie journée d’été comme je les aime.
Nous avons rendez-vous à l’hôtel. Pas n’importe quel hôtel. Un lieu où tout peut se faire si on s’en donne les moyens : un Palace devrais-je dire. Ce palace est situé Place de la Concorde et il a vu passer il y a quelque temps l’équipe de France de football après leur défaite malheureuse... (mais c’est une autre histoire) (NDLA : texte écrit en 2006)Je monte dans la chambre. Elle ressemble d’ailleurs plutôt à un petit appartement. Quelques minutes plus tard, on toque à la porte. Je permets que l’on rentre, et Eloïse et Magaly pénètrent dans la pièce.
Eloïse, malgré son âge, est tout de même impressionnée. Magaly regarde le décor comme si elle découvrait le château du Prince Charmant, s’extasiant sur chaque petit détail. Eloïse a remis sa tenue "romaine" qui lui va si bien. Tunique, jupette et sandalettes de cuir. Magaly a voulu sortir le "grand jeu" : petite basket Puma, minijupe noire plutôt moulante, petit top vert et jaune griffé "Brasil" et un maquillage discret. Deux mèches colorées une verte et une jaune rajoutent une atmosphère brésilienne. Cela tombe bien, car le Brésil est terre de contrastes. Je saurai m’en souvenir.
Je m’approche d’elles. J’embrasse d’abord langoureusement Eloïse qui me rend mon baiser, mais qui semble gênée par sa sœur. Magaly semble quémander son tour et quand je m’approche, elle m’embrasse avec ferveur et passion. Elle colle son jeune corps contre moi. Il est chaud et je sens que son excitation ne fait que grandir. Elle met d’ailleurs la main sur mon sexe à travers l’étoffe en me susurrant à l’oreille "Tu ne peux pas savoir comment j’ai attendu ce moment où tu vas t’occuper de moi. J’ai longuement pensé à toi toutes ces semaines... enfin je vais en profiter... "Mais je l’arrête là en lui disant : "Doucement petite fille. Ici, tu ne pourras jouer qu’avec mes règles... ". Elle acquiesce. Je demande donc à Eloïse de s’asseoir sur une chaise toute proche et à Magaly de s’allonger sur le lit, les jambes pendantes et sur le dos. Elle obtempère. Visiblement, elle préfèrerait décider, mais elle obéit.
Je sors alors un loup de carnaval de ma poche et lui masque les yeux. Elle ne peut plus que m’entendre. Je prends alors ses poignets et je les attache de chaque côté du lit. Elle est maintenant aveugle et prisonnière. Le jeu peut commencer. Je commence à m’approcher d’elle.
Ses pieds sont nus et je glisse doucement un doigt sur la plante de son pied droit. Elle frissonne. Je prends alors une plume d’autruche que j’avais emmenée ; une jolie plume douce et je commence à remonter le long de son mollet puis de sa cuisse. Elle tente de se débattre un peu, mais je laisse ses cuisses écartées. La plume vient virevolter sur sa peau si fine au creux de ses cuisses. Un doux frémissement se forme et elle en a la chair de poule. La plume vient alors doucement caresser le dessus de sa culotte. Elle commence à agiter son bassin et une odeur bien caractéristique flatte mes narines. Une large auréole apparaît et je vois par transparence son petit bouton sortir de son capuchon. La plume vient s’y poser et elle se cambre de surprise dans un cri.
— Ah trop bon... encore... mais doucement s’il te plaît...
Je ne lui fais pas ce plaisir et laisse cette plume remonter sur son ventre puis venir titiller les tétons de la demoiselle. Ils sont déjà dressés et je vois bien qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge sous son petit top. A son âge, on peut encore se le permettre... non ?

Elle commence à haleter encore plus. Je donne alors la plume à Héloïse qui m’a rejoint et lui demande de continuer. Tout cela sans bruit. Magaly croit donc que je continue à agiter cette plume traitresse sur ses seins quand mes lèvres viennent, sans prévenir, happer son petit bouton par-dessus sa culotte. Elle se cambre d’un coup, de surprise et d’excitation. Alors je le prends entre mes lèvres, je l’agace par ma langue et le prends entre mes dents pour le mordiller par instant. Elle n’en peut plus. La plume sur ses tétons et ma bouche sur son bouton sont plus fortes que sa volonté. Elle crie son plaisir. Elle se débat, se cambre, mais rien n’y fait. Elle est prisonnière.
Elle soupire, respire fort, semble même reprendre par moments sa respiration et me dit :
— Déshabille-moi, prends-moi, tout de suite... puis plus doucement, comme une supplique... "S’il te plaît... Je n’en peux plus..."

Mais rien ne nous arrête : nous continuons à exciter ses points sensibles et ce qui devait arriver arriva. Je l’entends crier, se tordre de plaisir et se cambrer. Un violent orgasme vient de la secouer. Ce n’est que le début et je la laisse alors reprendre un peu son souffle. Le plus dur va venir.
Pendant qu’elle se repose un peu, je sors des boules de geisha de ma poche. En lui disant de ne pas s’inquiéter, je lui enlève son bandeau et lui montre la chose. Elle n’en a jamais vu et me demande ce que c’est. Je lui réponds que ce sera un de ses objets préférés à compter de maintenant. Et j’écarte doucement sa culotte trempée. Ses lèvres sont encore très sensibles et lorsque les boules viennent se loger au fond de son vagin, elle ne peut retenir un gémissement d’aise et de plaisir.
Je la détache alors et je l’emmène vers la salle de bain. Elle ne sait pas vraiment marcher avec ce qu’elle a au creux des reins et semble marcher comme un canard. Elle s’habituera vite. Dans la salle de bain de la taille d’une salle de gym d’ailleurs, il y a un tapis de course. Elle va devoir faire un peu de sport avec ses boules et en découvrir toute l’intensité. Elle se positionne donc et commence à marcher. Maladroitement d’abord puis de plus en plus sûrement. Je sens que les boules en massant son vagin lui procurent déjà des sensations. J’accélère le mouvement. Elle court presque et je vois sur son visage une palette d’émotions qui vont de la crainte au plaisir puis à l’excitation. Le plaisir monte en elle, plus rapidement que prévu, et un deuxième orgasme vient alors la foudroyer en pleine course. Elle en crie de bonheur et tombe dans mes bras.
Je la ramène alors dans cette superbe chambre et je vais m’atteler à la détendre. Je la déshabille entièrement et l’allonge délicatement. Je sors une huile de massage au jojoba et commence mon ouvrage. Je réchauffe cette huile entre mes mains et commence à l’étaler. Le cou et les épaules d’abord, les cuisses et les mollets ensuite. Mes mains courent sur sa peau juvénile et si douce dans un ballet étourdissant. Elle ressent un bien-être total et me remercie d’un sourire.Je lui réponds qu’il faut qu’elle reprenne des forces, car l’après-midi n’est pas finie. Magaly me regarde avec de grands yeux écarquillés. Elle ne croyait pas que son corps pouvait lui réserver de telles surprises. Mais son envie reprend le dessus et après quelques massages, elle vient poser sa main à l’endroit de mon sexe. Je suis raide, car la voir jouir coup sur coup m’a beaucoup excité. Elle se penche et entreprend de me déshabiller. Je me laisse faire... pour l’instant.
Alors Magaly sort mon sexe de mon boxer. Elle en tâte la dureté et semble satisfaite de son examen. Puis elle l’approche de sa bouche et sort sa langue. Elle part de la base de mon sexe et remonte longuement et doucement le long de ma hampe comme elle ferait d’une sucette. Arrivée en haut, elle se jette sur lui et l’embouche comme une affamée. Alors je la vois délirante de plaisir. Je vois dans ses yeux la joie obscène d’une jouissance presque bestiale. La femelle se réveille en elle. Elle est complètement prête à tous les excès.Sa langue titille mon gland, remonte et redescend, ressent sa consistance, elle l’enfourne, puis n’y dépose que de petits baisers presque volés. Elle n’a que dix-huit ans, mais elle aime faire l’amour et tout son corps le réclame. Elle est à quatre pattes sur le lit et je vois dans le miroir ses fesses se trémousser pendant qu’elle s’affaire sur mon sexe.
Alors je fais un geste à Eloïse qui n’a pu s’empêcher de glisser une main dans sa culotte et qui s’excite tant de voir sa sœur jouir comme cela. Elle vient se placer derrière elle et vient poser ses lèvres sur le sexe de Magaly qui en laisse échapper un soupir de contentement et un râle venu du plus profond d’elle même.Elle gémit un "Oh ouiiiiii..... Oh Noonnnnnn... Oh c’est pas possible comme c’est bon... J’en peux plus... Vous me faites trop du bien..... "Et elle enfourne alors mon membre comme une damnée, le triturant en tout sens, le léchant, le lapant comme si sa vie en dépendait.
Derrière un rideau, un jeune homme regarde la scène. Il est nu. Je l’ai vu et je sais pourquoi il est là. Mais il regarde Magaly avec des yeux écarquillés, tout en étant visiblement très excité par la scène. Il ne peut s’empêcher de regarder la croupe de Magaly. Cette croupe prise d’assaut par sa sœur, cette croupe qui bouge et s’agite tant. Je lui fais un signe. Il s’approche sans bruit. Eloïse l’a vu. Elle lèche de plus belle les petites lèvres de sa sœur et surtout son bouton d’amour. Magaly n’en peut plus. Elle s’agite en tout sens, transfigurée par le plaisir et la jouissance. Il s’est approché d’elle. Eloïse s’écarte doucement. Magaly dit "Non... Encore....."Alors le jeune homme approche son membre tendu de la féminité offerte de Magaly et d’un coup s’enfonce dans cette grotte aux plaisirs, ce qui déclenche un hurlement de jouissance bestiale de la part de sa propriétaire... "OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII......" Magaly en rugit d’aise.
Elle se tord en tout sens sous le membre qui la fouille, la pénètre et lui fait perdre pied. Elle en lâche mon membre et vient s’empaler sur celui bien tendu du jeune homme. Elle tourne la tête pour voir le propriétaire de ce membre qui lui fait tant de bien et stoppe net en le voyant.
— Jérôme... ?—... — Jérôme c’est toi... Oh mon amour... Comment ont-ils fait ??? Je t’aime trop... Depuis si longtemps... — Moi aussi ma Magaly adorée...
Elle se retourne alors et vient se positionner sur le dos en lui disant : "Mon amour, je te veux encore en moi... Mais je veux te voir... C’est le plus beau jour de ma vie... "
Je fais un signe à Eloïse et nous nous éclipsons doucement, laissant les deux tourtereaux seuls à leur plaisir et à leur découverte. Nous nous rhabillons dans la salle de bains et Eloïse me demande :
— Comment savais-tu ? — Comme Magaly te faisait chanter, j’ai été l’épier à la sortie du lycée pour essayer de trouver son point faible. Ce jeune homme la regardait aussi et j’ai tout de suite vu qu’il était amoureux. Je l’ai abordé en lui posant carrément la question du genre "Elle est mignonne cette petite...". Il s’est énervé en me disant de ne même pas penser à la toucher ou à l’approcher. Je l’ai calmé et lui ai offert un bon coca pour me faire pardonner puis nous avons discuté. Quand j’ai su que c’était Jérôme, mon sang n’a fait qu’un tour. Je me suis rappelé que Magaly était amoureuse de lui alors je lui ai proposé de prendre son histoire en main. Il ne voulait pas me croire, mais en regardant Magaly cet après-midi, il a su que sa Magaly l’aimait et ce petit couple s’est formé.
Je pense qu’elle nous laissera tranquilles maintenant. Elle utilisera son temps libre à profiter de son petit ami et plus de nous, non ? Eloïse acquiesce alors et me remercie pour sa sœur. Je l’ai rendue heureuse et elle l’est vraiment elle aussi pour sa sœur.
Eloïse me regarde malicieusement et me dit :
— Maintenant que je ne risque plus d’être dévoilée, je me sens bien mieux et je vais redevenir plus sereine et pouvoir profiter de toi enfin sans peur. Je me sens tellement mieux.
Et elle se blottit dans mes bras.
Nous venons de sortir de l’hôtel, laissant la chambre à nos amoureux. Nous nous tenons main dans la main, sur cette belle place de la Concorde illuminée d’un soleil radieux. La vie est belle et nous voulons la croquer à pleines dents.
Nous n’allons pas tarder à le faire de nouveau, mais là, ce moment de tendresse partagée, seuls au milieu des passants qui ne nous voient même pas, est un moment de pur bonheur.
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