Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 14 J'aime
  • 0 Commentaire

L'inconnue du train de l'ouest

Chapitre 1

Divers
En ce mercredi de la fin de janvier il fait froid, et la neige est tombée à gros flocon pendant longtemps. Tout le monde semble avoir renoncé à prendre la route, le train est le seul moyen de transport qui semble capable d’emmener les voyageurs vers l’Ouest. Il y a foule sur les quais de la gare Saint Lazare à attendre l’arrivée du train sur une voie dont le numéro n’est pas encore affiché. Il est là, bien couvert dans sa parka confortable, bien au chaud malgré le froid et il se hâte lentement quand le numéro s’affiche. Une masse de voyageurs se précipite sur le quai en espérant trouver des places non réservées, ou bien pour s’asseoir tranquillement sans avoir a demander à une personne qui s’est installée de bien vouloir laisser le siège qui est réservé.... Bien que son voyage ait été décidé assez tard on lui a réservé une place en première, il a peu de bagage, et pourvu qu’il puisse travailler un peu, rien ne presse.
A mesure que le train s’arrête des places se libèrent, et bientôt il se trouve de façon assez inattendue seul dans le compartiment. Il n’aime pas beaucoup les compartiments mais il ne restait rien d’autre. En quittant Paris celui-ci était plein, mais heureusement, pour le dernier tiers du trajet, sans arrêt maintenant, il est seul et va pouvoir lire et somnoler un peu. C’est l’hiver, le paysage n’est visible que par la clarté de la neige, il est au chaud. Reste à attendre patiemment l’arrivée, le train sera sans doute ralenti un peu lui a dit le contrôleur qu’il a interrogé sur les conséquences des chutes de neige, mais rien de bien important. Et de fait le train s’arrête, une minute à peine après avoir quitté la dernière gare. De toute façon sur cette ligne, un train à l’heure est si rare !
Le train repart quand une jeune femme entre dans le compartiment. « Je peux ? Les secondes sont bondées.... il n’y a plus de place assise.... ». Il ne répond que d’un hochement de tête. Une jeune femme un peu rousse, quelques taches de rousseur, un peu vulgaire.... « Il fait chaud ici... ». Quand elle enlève sa veste elle découvre un tatouage à la base du coup, au-dessus de l’épaule. Une fois assise sur la banquette opposée, elle sort un livre de son sac, prend un crayon, et se plonge dans sa lecture. Richard III. Il se replonge dans son bouquin. Peut-être un peu gêné, maintenant qu’il n’est plus seul, de l’avoir sorti... Apollinaire était un cochon... Début du chapitre 2 : " — Mademoiselle, je ne vous ai pas plutôt aperçue que, fou d’amour, j’ai senti mes organes génitaux se tendre vers votre beauté souveraine et je me suis trouvé plus échauffé que si j’avais bu un verre de raki. ". Heureusement la voyageuse n’est pas si tentante... mais quand même..., peut-être devrait-il revenir à des lectures moins "échauffantes"....
Richard III : elle écrit, elle annote, il a toujours détesté que l’on écrive sur un livre. Qu’est-ce qu’une fille comme elle peut bien avoir à écrire sur une pièce de Shakespeare.... Elle étend ses jambes, elle porte un pantalon assez près du corps. Essayant de la faire discrètement il la détaille... remonte le long des jambes, le pantalon est très moulant, très près du corps entre ses cuisses... sa poitrine ne semble pas bien volumineuse, mais cela fait un beau galbe sous le pull... et les petits seins... ça a son charme.... Elle n’est pas si mal faite... et son côté vulgaire lui va bien.... Voilà qu’en plus elle sort son téléphone... elle démêle les fils de ses écouteurs, et elle écoute de la musique en lisant et en écrivant sur son livre... il a cru qu’elle allait téléphoner.... Il reprend sa lecture : "Vient m’enculer cria Alexine". Il ignorait qu’Apollinaire était si grossier.... Sa maîtresse lui a parlé de ce livre... elle non plus n’est pas toujours d’une grande délicatesse ni toujours très subtile... mais ça a des avantages...
" Sous le pont Mirabeau coule la Seine/Et nos amours/Faut-il qu’il m’en souvienne/La joie venait toujours après la peine....". C’est quand même autre chose.... " Les mains dans les mains restons face à face/Tandis que sous/Le pont de nos bras passe/Des éternels regards l’onde si lasse" oui c’est quand même autre chose...
Elle continue d’écrire sur son livre....« Vous êtes étudiante ? ». Elle semble ne pas entendre, assourdie sans doute par sa musique.... Puis elle retire un écouteur.... « Non, je suis comédienne, je vais travailler avec une troupe pour préparer un spectacle à partir de Richard III, une résidence d’une dizaine de jours ».« Vous savez quel personnage vous interpréterez ? ». « Oui la reine Anne ».« Elle succombe bien facilement.... » « Oui... sans doute.... Qui sait ce qui se passe dans les esprits et les corps lorsque l’on est confronté à la brutalité meurtrière... la mort violente, peut-être que cela excite les corps, les désirs. La mort doit exciter le désir de vivre, et de profiter de la vie... Avez-vous vu le Bûcher des vanités ? la veuve flamboyante, Mélanie Griffith, qui dit à son amant, pendant les obsèques de son mari... " ma culotte est toute mouillée depuis ce matin...." enfin quelque chose comme ça... ».
Elle est vulgaire, et gênante ; les actrices, les comédiens en général, sont des gens curieux, impudiques parfois... comment une femme peut-elle dire des choses pareilles à un homme qu’elle ne connait pas... à son amant oui, et encore... « Je n’ai pas vu ce film » et il se replonge dans son livre.... " Alexine se retourna alors et présenta ses belles fesses rougies à l’énorme vit qui pénétra dans la rosette, tandis que l’empalée criait en agitant le cul et les tétons". Non, ce n’est pas le moment de lire ça.... Il ferme le livre... le pose à côté de lui, ce n’est pas très réussi, elle regarde la couverture... Les Onze Mille Verges... elle a un sourire moqueur, le regarde.... Il rougit.
« Anne veut peut-être faire semblant de céder à Richard pour le tuer lorsque le moment propice sera venu, pour se venger, pour venger son mari et mettre fin à la vie de ce fou pervers, assassin, avant qu’il ne devienne un tyran sanguinaire... une femme peut faire bien des choses pour arriver à ses fins... ». Elle sourit, elle est parfois jolie...
Le train ralentit, beaucoup, progresse très lentement..., il va lui montrer qu’il connait bien la pièce... « Nous voici en plein dans l’hiver de notre déplaisir... ». Le train s’arrête... repart.... « Bien que votre compagnie soit agréable... ». Elle sourit de nouveau, son visage est moins vulgaire....

Elle revient à la pièce : « Peut-être la reine Anne aime-t-elle le pouvoir, mariée à un roi elle y a pris goût, elle ne veut pas s’éloigner du trône, elle est peut-être prête à se glisser dans le lit de Richard parce qu’il arrivera au trône, elle le sent... et qui sait..., cet homme sans scrupule, sans retenue, contrefait, est peut-être sensuel, peut-être se révélera-t-il un amant audacieux, peut-être Richard lui donnera-t-il un plaisir à la hauteur de sa perversité plaisir qu’Edouard était peut-être incapable de lui donner... ».
« Voulez-vous dire que les femmes sont attirées par les hommes de pouvoir ? ». « J’en suis convaincue..., pas toutes peut-être..., certaines oui, regardez nos présidents... Giscard, Mitterrand, Sarkozy, Chirac... on ne dit pas qu’il ont manqué de maîtresses.... Le pouvoir, l’argent... les mâles dominants... ». Elle l’agace avec cette façon d’aborder les choses intimes sans discrétion.... « Et vous, à quoi êtes-vous sensible ? ». Elle sourit. « Les hommes élégants, sportifs, l’argent.... je n’en ai pas trop, je ne suis pas une comédienne réputée, même si je trouve que je ne suis pas si mauvaise... l’argent... parfois je me dis que je suis capable de faire n’importe quoi pour de l’argent.... ».
Qu’est-ce qu’elle est en train de lui dire ? Il comprend bien ? Il la regarde. Elle soutient son regard. « Je comprends bien ? ». « Je ne sais pas ce que vous avez compris... ». « Vous êtes vénale ? ». « Oui, quand l’homme me convient ». « Je vous conviens ? ». « Vous êtes bien habillé, sportif, et je crois que vous avez de l’argent... ». « C’est pour cela que vous êtes entrée dans ce compartiment ? ». « Non, pas du tout, je peux vous l’assurer ». « Combien voulez-vous ? ». « Pour ? ». « J’ai trois soirées à passer seul. Pour ces trois nuits. »« Mille cinq cent euros »« Vous êtes gourmande »« Pour ce prix là, je le suis beaucoup... et ... » elle rougit, c’est inattendu, et cela l’excite un peu plus... « pour ce prix là vous avez ce que vous voulez... je suis prise pendant la journée, mais mes nuits vous appartiennent...».« Vous vous prostituez ? »« Non, je vous l’ai dit, parfois, quand l’homme me convient... l’utile et l’agréable... » elle rougit de nouveau.
« J’aime vous voir rougir... cela vous rend plus désirable... avez-vous remarqué qu’il fait nuit ? ». « Oui, voulez-vous dire que vous acceptez mon prix ? Ce que vous voulez, mais... si vous aimez la sodomie, vous vous engagez à ne pas être brutal... pour le reste, je suis à vous... » Et il lui demande, puisqu’elle est comédienne de lui faire la lecture des onze mille verges. Il ne reste pas si longtemps avant d’arriver et il ne veut pas se presser.
Elle ouvre le livre au hasard :"Une voix douce de femme dit en français : — Fédor, est-ce toi ? — Oui, c’est moi, mon amour ! dit à voix basse, mais résolument, Mony dont le cœur battait à se rompre. Il s’avança rapidement du côté d’où venait la voix et trouva un lit. Une femme était couchée dessus toute habillée. Elle étreignit Mony passionnément en lui dardant sa langue dans la bouche. Celui-ci répondit à ses caresses. Il lui releva les jupes. Elle écarta les cuisses. Ses jambes étaient nues et un parfum délicieux de verveine émanait de sa peau satinée, mêlé aux effluves de l’odor di femina. Son con où Mony portait la main était humide. Elle murmurait : — Baisons... Je n’en peux plus... Méchant, voilà huit jours que tu n’es pas venu. Mais Mony, au lieu de répondre, avait sorti sa pine menaçante et, tout armé, il monta sur le lit et fit entrer son braquemart en colère dans la fente poilue de l’inconnue qui aussitôt agita les fesses en disant : — Entre bien... Tu me fais jouir... En même temps elle porta sa main au bas du membre qui la fêtait et se mit à tâter ces deux petites boules qui servent d’appendages et que l’on appelle testicules, non pas, comme on le dit communément, parce qu’elles servent de témoins à la consommation de l’acte amoureux, mais plutôt parce qu’elles sont les petites têtes qui recèlent la matière cervicale qui jaillit de la mentule ou petite intelligence, de même que la tête contient la cervelle qui est le siège de toutes les fonctions mentales. La main de l’inconnue tâtait soigneusement les couilles de Mony. Tout à coup, elle poussa un cri, et d’un coup de cul, elle délogea son fouteur : — Vous me trompez. Monsieur, mon amant en a trois !..."
Elle rit : « Vous en avez deux ? ». Elle repris la lecture, sautant de page en page "...Tout bon soldat doit savoir qu’en temps de guerre l’onanisme est le seul acte amoureux permis. Branlez-vous. Mais ne touchez ni aux femmes, ni aux bêtes. D’ailleurs, la masturbation est fort louable..." elle le regarde... « Vous aimez la masturbation ? ». Comme il ne répondait pas elle allait continuer de lire, ... du moins c’est ce qu’il crut, ... mais elle se ravisa et posa le livre.... « Moi j’aime bien, je vais vous montrer...».
Et elle abaissa les rideaux du compartiment...Comme si cela était le plus naturel du monde elle ouvrit son pantalon qu’elle descendit un peu, et glissa sa main sur sa culotte, caressant le tissu, glissant ses doigts allongés entre les renflements de ses grosses lèvres... « Je suis toute mouillée aussi à force de lire ces cochonneries, et de vous promettre tout ce que vous voudrez... ». Puis elle cessa de parler, abaissa sa culotte, découvrant sa toison, rousse et légère, sans qu’il puisse tout voir il devina, à la façon dont son visage se détendit, s’apaisa, qu’elle venait de glisser ses doigts, un, deux ? dans sa fente, son corps se tordait légèrement... de temps en temps... elle entrouvrait les yeux, le regardait, lui souriait.... Il s’approcha, prêt à bloquer la porte, et lui abaissa un peu plus le pantalon pour découvrir ses mains, ses doigts dont il voulait suivre le travail, les lèvres luisantes.... Devant elle il ne perdait rien, il l’encourageait doucement à s’abandonner à son plaisir, lui promettant de la baiser comme une reine... toute la nuit. Parfois elle ouvrait des yeux pleins d’audace, ôtait ses mains et découvrait pour lui sa vulve resplendissante, suçait ses doigts en le regardant comme par défi, puis reprenait ses caresses.... Finalement comme il lui détaillait comment il lui ferait l’amour, comment il la prendrait, dans quelle positions, combien il serait délicat et attentionné au moment de l’enculer... ses propres caresses à elles devenaient de plus en plus nerveuses, agressives presque, et elle se laissa aller à son plaisir, repliée, les mains crispées sur sa chatte, serrées entre ses cuisses, pendant qu’elle retenait ses gémissements pour ne pas alerter tout le train.... Lorsqu’elle fut calmée, qu’elle ouvrit les yeux, il lui prit la main, suça soigneusement chacun des doigts qui avait pénétré la vulve, il la tourna vers lui et, malgré le pantalon qui emprisonnait les jambes, malgré la situation inconfortable, il colla un instant ses lèvres sur la vulve, qu’il lécha délicatement.... « Comme tu me fais bander... ».
Puis il la laissa reprendre ses esprits. Tous deux attendirent en silence l’arrivée du train au terminus, plongés dans une sorte de rêverie d’attente.... On lui avait réservé une chambre dans un des meilleurs hôtels. En arrivant il réserva une table pour dîner aussi tôt que possible, arrivés dans la chambre il résista à la tentation de la serrer contre lui et de la prendre sur le champ.... « Nous descendront manger de suite, tu peux faire un peu de toilette si tu veux, je ne veux pas te voir nue, ni à moitié nue ». « On peut descendre tout de suite ? je veux garder ma culotte toute trempée... je veux que vous sachiez dans quel état je suis... vous me devez cinq cents euros... rappelez-vous.... ». « Je te retrouve dans le hall du restaurant, ou à une table si tu préfères, je vais chercher ton argent.... ».Le repas fut agréable, mais tous deux étaient pressés.... Elle avait mis une robe. Elle se comportait comme avec un ami de longue date, sinon qu’elle continuait de le vouvoyer, alors qu’il la tutoyait... comme pour souligner le caractère particulier de la situation... et ce qui leur valut quelques regards curieux venus des tables voisines. Retour sur Shakespeare, la reine Anne, et le bûcher des vanités dont elle raconta de façon très suggestive les scènes les plus chaudes... soulignant que ce n’étaient pas les bites molles qui la mettaient, elle, en émoi.... qui la faisaient mouiller pour parler plus clairement.... et là, elle l’est tellement qu’elle a peur de mouiller sa robe... De nouveau des regards interloqués de la part de ce couple respectable le plus proche de leur table....Quand ils quittent la table, il la laisse passer devant afin de pouvoir dire, et de façon suffisamment forte pour être entendu de ces mêmes voisins, qu’elle pouvait être rassurée, sa robe est bien sèche. Il n’aurait jamais cru qu’il pourrait jamais faire une chose pareille.
Quand il se retourne après avoir fermé la porte de la chambre, après qu’il lui eut donné une enveloppe qu’elle n’ouvre point, elle se tient devant lui, tranquille. Tandis qu’il la regarde elle relève sa robe, retire sa culotte et la lui tend : « Voilà, tout est à vous... je suis comme une femelle en chaleur... vous en aurez pour votre argent ».
Sans un mot il la pousse vers le lit, la retourne, la pousse sur le lit, le ventre, la poitrine sur le couvre-lit, il relève sa robe, la remonte sur son dos, découvre les fesses, se courbe, les embrasse, doucement écarte ses jambes et regarde la vulve... elle l’entend ouvrir son pantalon, sent son corps l’approcher, et le membre qui touche ses lèvres. Il guide sa "pine"... il la pénètre, la prend... brutalement. Elle sent son membre qui la remplit, ses coups de reins brutaux, violents. Il donne de grands coups de reins, ses cuisses cognent les cuisses, les fesses de la femme qu’il baise. Il pousse sa queue aussi profond qu’il peut la lui mettre. Il attrape de ses mains crispées les petits seins dans lesquels ses doigts s’enfoncent la faisant gémir. Sa queue la bourre, la défonce. Il la baise comme une brute, il se libère de tout ce temps pendant lequel il a bandé pour elle. Elle se laisse faire, puis se donne, répond, lance sa croupe vers la bite pour la recevoir le plus loin possible. Elle veut sentir le membre loin, profond, pour qu’il cogne tout au fond. Il veut sentir au bout de son gland la chair la plus intime... Et le gland cogne au fond, cogne.... Il grogne, ahane de plus en plus fort à mesure qu’il sent son plaisir monter, à mesure qu’il l’entend, elle, gémir d’une voix rauque qu’il découvre.... Il sent sa queue rouler tout au fond, ses couilles se tendre, sa bite gonfler, le sperme monte d’un coup, il explose, grogne comme une bête au moment où il jouit.... et quand elle sent le sperme chaud se répandre dans son con, elle se met à jouir, et les spasmes de son con pressent la queue du mâle qui la possède... ils râlent de concert... il tombe sur elle... pousse son corps contre la croupe pour rester en elle le plus longtemps possible, il la sent se serrer contre lui, elle veut le garder....
Plus tard ils dorment, il se réveille, plein du souvenir du plaisir qu’il a tiré d’elle, plein du désir qu’il a d’en reprendre de nouveau ; il s’approche d’elle qui sommeille profondément, épuisée, détendue après l’orgasme qu’elle a tiré de sa masturbation et celui qu’elle tira de sa soumission dans la chambre. Encore embrumée de ce lourd sommeil elle bafouille, se reprend, murmure : « Vous me voulez ? ». Elle se glisse le long du corps de son partenaire, léchant sa peau, suçant les tétons, lèche le nombril, et prend le sexe encore paresseux dans sa bouche. Elle pompe, le sent grossir, durcir, glisse ses mains par derrière le long des cuisses, entre les fesses.... Elle le prend de plus en plus profondément, à mesure qu’il grossit, se tend, jusqu’à le sentir dans le fond de sa bouche, contre son palais, le sentir prêt à pénétrer sa gorge.... Elle suce le gland délicatement du bout des lèvres. Elle pompe. De ses doigts elle explore les parages de l’anus. Elle prend le membre totalement, le menton sur les couilles, à s’étouffer, hoqueter..., recommence, mordille le gland, pompe, lâche la bite pour prendre une couille puis l’autre... les suce. Reprend la bite et pompe, suce, et recommence. Elle le sent se tendre, le prend dans le fond de sa bouche, de sa gorge, tête comme s’il en allait de sa vie. Enfonce son doigt dans l’anus, profond pour aller lui donner les caresses qu’il attend. Il se tend. Elle pompe, suce. Et soudain tendu des pieds à la tête, il explose, grogne, crie, elle suce, avale, prend tout. Deux doigts explorent le cul de son partenaire qui n’en pleut plus. Sa bite lui donne tant de plaisir que c’est presque douloureux.... Elle le garde dans la bouche, suce pour extraire la moindre goutte de sperme. Lèche tout autour. Reste un moment inerte la tête sur le ventre respirant l’odeur de sperme qui reste sur le ventre de son partenaire. Quand un instant plus tard sa tête est revenue sur son oreiller elle lui rappelle : « Je vous avais dit que j’étais gourmande ». Il l’entend à peine, il respire son haleine chargée de foutre et s’endort.
Diffuse en direct !
Regarder son live