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Incroyable croisière

Chapitre 2

Mouillage à Syros

Orgie / Partouze
On profite de la bise matinale pour quitter la crique où nous avons mouillé et mettre le cap sur Syros, une île visible à l’horizon.Yanis est à la barre et moi à l’intérieur, je remets de l’ordre dans la chambre et le carré. Monique et Olivier sont allongés sur la plage avant du voilier. Ils profitent de leur premier bain de soleil naturiste, je pense aussi qu’après notre partie carrée de ce matin ils ont beaucoup à se dire.Après une heure de rangement j’apparais dans le cockpit. Yanis debout tient le cap, les maisons de l’île commencent à être visibles, tout va bien dans une bonne heure nous arriverons. Nos amis semblent être en harmonie, je vois Olivier penché sur sa chérie et lui faire du bouche à bouche. Je passe à l’avant les rejoindre.
— Coucou les amoureux je ne vous dérange pas ?— Pas du tout, me répond Monique, installe-toi.— Attention, mes chéris vous allez prendre un coup de soleil, je caresse les épaules et le dos brûlants d’Olivier. Venez plutôt à l’arrière on va installer le taud.
On se retrouve tous les quatre entre copains. Yanis invite Olivier à prendre la barre alors qu’il installe la toile pour nous protéger du soleil et j’entraîne Monique à l’intérieur pour lui mettre de la crème solaire et surtout connaître l’état d’esprit de son mari.
— Il a été choqué par mon attitude, il m’en voulait beaucoup, m’a traité de putain. Puis je lui ai dit qu’il était inutile de jouer les vierges effarouchées, que j’étais au courant de ses frasques, que j’avais fait le saut, qu’il n’avait qu’à accepter ou à partir... Tu sais ma chérie, avec ce que je sais maintenant je lui en veux beaucoup et j’ai bien idée de lui faire payer ce temps perdu.— T’inquiète ma chérie on va l’éduquer. Le temps perdu ne se rattrape pas mais tu peux mettre des bouchées doubles à l’avenir. Monique éclate de rire.— J’aime quand tu parles de bouchées doubles, tu penses triolisme ?— OH ! MONIQUE !!!, criè-je. T’es une sacrée coquine. Allez, viens dehors et reste à l’ombre tu es déjà toute rouge.
De nouveau dans le cockpit, la toile nous protège du soleil qui devient très chaud. On est encore loin du port, Olivier tient la barre sous la surveillance de Yanis. Monique est allongée sur la banquette arrière, les mains sous la tête, la brise marine est très agréable. Je la couvre d’huile au monoï, sa fragrance sucrée et florale me porte en rêve dans d’autres îles. Je la caresse, masse ses seins, excite sa vulve, elle s’offre, écarte les cuisses, gémit comme pour attirer le regard des mâles.
— Tu devrais t’épiler, crois-moi ma chérie sentir la chaleur du soleil sur l’abricot fendu est pur bonheur !— Vrai ? Pourquoi pas ? ... OK ! Tu me le fais ?— Vraiment ! je reste interloquée... Maintenant ?
Elle acquiesce d’un signe de tête et d’un sourire. Elle me surprend comme elle s’offre sans aucune retenue comme pour démontrer à son mari son indépendance. Je m’équipe de la crème dépilatoire et de la spatule. En une demi-heure elle a un ventre de bébé.
— Mets-toi en levrette que je m’occupe du petit trou.
Là encore, elle me surprend, le plus naturellement du monde elle se met à genoux sur la banquette, la tête sur le matelas et de ses deux mains, écarte ses fesses de manière indécente. Elle défit son mari du regard et lui l’observe, silencieux. Il se rend compte que sa femme lui échappe. En deux coups de spatule elle perd son duvet et d’un coup de gant de toilette toute trace de crème.Monique devient une vraie salope, elle est décidée à faire payer à Olivier toutes ces années de jouissance perdues, ainsi c’est à Yanis qu’elle demande de vérifier mon travail. Il ne se fait pas prier et la lèche de partout pendant une dizaine de minutes sous ses miaulements « Là, vérifie encore ! » insiste-t-elle. Le jugement est sans appel :
— Parfait ! Tu es délicieuse... (puis regardant la proue du navire ordonne) Olivier barre à tribord ! Regarde devant on va aller dans cette crique, mouiller pour la nuit.
Dans la crique ombragée la mer est d’un bleu intense. Il y a déjà un bateau aux voiles affalées et Yanis décide de jeter l’ancre à une dizaine de brasses de lui. L’eau est cristalline, dans un bruit d’enfer on voit la chaîne filer vers le fonds et l’ancre se fixer dans le sable blanc. Après le vacarme tout devient calme, on entend le chant des cigales au loin et le clapotis de l’eau sur la coque. Sur le voilier d’à côté un couple apparaît et nous fait signe de leur bras. Comme pour nous, la nudité est leur mode de vie.
— Kalimera !
Yanis entame la conversation en grec et rapidement les deux plongent pour nous rejoindre alors que Yanis met l’échelle de coupée. Trois minutes après ils sont à bord et on se salue par une poignée de main. Lina et Gregorios ont une trentaine d’années, ils parlent un peu français mais surtout sont charmants.
Je ne sais pas ce qu’ils se disent avec Yanis mais ils sont très à l’aise avec nous et particulièrement Yanis avec Lina tandis que Gregorios fait déjà sagement la cour à Monique. En une demi-heure on sait qu’ils sont athéniens, lui est avocat et elle commerçante. Ils ont l’habitude de naviguer dans les Cyclades et de faire la fête jusqu’au bout de la nuit. On décide de déjeuner ensemble.
Les trois hommes font avec l’annexe le transfert du repas de l’autre bateau jusqu’au nôtre, alors que nous, les trois filles, faisons un peu plus connaissance. Lina a une peau olivâtre, une chevelure noire et frisée jusqu’au milieu du dos, visiblement elle est sportive avec une toute petite poitrine aux tétons proéminents brun-noir. Même avec la difficulté de communiquer se crée entre nous trois un climat d’amitié visible par nos caresses et nos baisers amicaux.
Yanis traduit certainement l’exclamation de Gregorios au retour de l’annexe :
— Sympa les trois copines ! Attendez-nous.— Les trois copines préparent le repas de ces messieurs, lui réponde-je en éclatant de rire et embrassant Lina sur les lèvres.— On a le temps de piquer une tête avant de manger ? Demande Yanis.— OUI BIEN SUR ! crie Monique tout en sautant dans l’eau suivie immédiatement par Gregorios.
Les deux s’éloignent du bateau. Je tiens Lina par la main en sautant, remontons à la surface et ressortons de l’eau en éclatant de rire. Ses bras et ses jambes s’enroulent autour de moi comme des lianes et notre simple bisou devient un baiser gourmand avec la langue. Lina s’échappe de mes mains, plonge disparaît puis revient sur moi, sa main sur mon sexe. On rit à perdre haleine en jouant et s’éclaboussant comme des gamines. Nous nageons jusqu’au rivage où nous nous allongeons, moi sur le dos elle contre moi. On se sourit, on partage les mêmes désirs, sa main ne cesse de me découvrir, elle aime mes gros seins, on se parle peu. Elle vient entre mes jambes, sa bouche sur mon ventre, je m’abandonne à ses lèvres à l’ombre des pins et bercée par le chant assourdissant des cigales.Quelques temps après Yanis et Olivier qui sont restés sur le bateau, nous appellent :
— Les filles, le repas est servi.
On rentre, Lina nage mieux que moi, elle est sur le bateau alors que je rejoins seulement l’échelle de coupée. C’est elle qui me tend la serviette quand j’arrive enfin sur le pont. Gregorios et Monique semblent s’être liés d’amitiés.Sous le taud, Yanis et Olivier ont préparé les salades de tomates, de féta, d’olives, il y a aussi des tzatziki et de la pastèque. Le retsiné est frais par contre l’ambiance est chaude. Le repas avalé, Monique et Gregorios vont conjuguer le verbe aimer dans la cabine. Yanis parle en grec avec Lina et je garde Olivier pour moi. Je vais enfin savoir ce qu’il a dans le ventre.On s’allonge tous les deux sur la banquette arrière du cockpit. A notre tête sur la banquette latérale se sont installés Lina et Yanis.Avec Olivier nous nous câlinons côte-côte et entre deux bisous du bout des lèvres, sous le feu de mes questions il me confirme sa soumission à une femme qui l’amène dans des soirées libertines...
— Et vis à vis de ta femme ?— J’ai été maladroit, je la croyais pudibonde, je me suis trompé, je n’ai pas su...— Quel couillon ! Et la voir ainsi faire l’amour, la savoir en ce moment avec un p’tit jeune ?— Triste et (après un long silence il ajoute) En même temps ça m’excite !... (Je pense : t’inquiète mon ’’Coco’’ on te donnera souvent l’occasion de t’exciter).— Fais-moi jouir pour l’instant ! Imagine que je sois ta Maîtresse.
Il m’embrasse avec la langue pas très bien, puis va sur ma poitrine trop rapidement, me tète sans me faire bander, puis d’un coup se retrouve sur mon ventre. Quel  piètre amant. Il n’a pas l’expérience d’un pubis glabre.Pendant ce temps à ma tête mon mari et la grecque prennent du plaisir, ça m’excite, j’ai envie. J’ouvre grand mes cuisses, prends la tête d’Olivier et la colle à ma chatte. Je ne peux m’empêcher de dire à haute voix « Mieux que ça ! »Quelques minutes après je vois au dessus de moi la tête de Lina à l’envers, sa chevelure épaisse me couvre le visage, ses lèvres se posent sur les miennes, son nez sur mon menton, elle me fait plein de bisous, sa langue glisse sur ma lèvres inférieure avant qu’elle ne la morde tendrement.
— Tu m’as demandée ? dit-elle en riant.
La morne partie de jambes en l’air avec Olivier se transforme en une joyeuse partie à trois ou quatreTel un chat, Lina avance à quatre pattes jusqu’à ma poitrine. Mes seins retiennent son attention, avec sa bouche, sa langue, ses mains, elle me tète, lèche, excite, pétrit. Sa longue chevelure frisée me caresse, la chaleur des baisers, la délicatesse des caresses, la chatouille des cheveux me font frissonner. Pendant ce temps je m’amuse avec ses deux œufs sur le plat, petits mais très réactifs et l’autre imbécile entre mes jambes continue à me lècher la cramouille. 
Le chat poursuit sa marche sur mon ventre, il rencontre Olivier. D’un coup, la langue maladroite cède la place à une bouche gourmande et experte. J’entends alors une paire de claques puis « Viens ici ! ». Le sillon de l’aine de Lina me permet de voir ce qui se passe. Yanis a relevé Olivier pour le mettre debout appuyé au bastingage latéral à mes pieds. Il le rudoie, lui fait baisser la tête son autre main lui trifouille les fesses. Les sauts de carpe d’Olivier laissent penser qu’il le doigte profond :
— Ouais salope, t’aime ça hein, tu la veux ma grosse queue comme hier... Réponds ! Yanis y ajoute une claque violente.— Oui !— Pardon ! À nouveau il lui met deux claques. Comment on dit ?— Oui, Monsieur s’il vous plaît.
Incroyable, Yanis le traite comme une lopette, le soumet à son plaisir. Olivier corrige immédiatement sa position en écartant les cuisses et creusant les reins. Yanis est contre lui, un silence, une plainte... 10 secondes après les deux copulent à grands coups de reins et de ’’Han !Han !’’.Lina me bouffe l’abricot, suce, lèche, aspire... De mon côté je m’enivre dans sa toison crépue, ma langue découvre une ligne de crête, deux lèvres épaisses et fermes réunies par un bourgeon brun foncé. Ma langue glisse dans la vallée et trouve une faille étroite débordante d’un sirop légèrement salé. Et là l’une et l’autre, inventons, copions. Débute un concours de la langue la plus sensuelle, la plus savoureuse, la plus agile, la plus excitante.
Chaque couple se fait plaisir à sa manière et atteint la jouissance.

Un peu après, en milieu d’après-midi, avec Lina nous nous reposons côte-côte sous le taud, les deux hommes sont chacun sur une banquette latérale, lorsque Monique sort de l’habitacle. Elle est rouge, en sueur, la chevelure ébouriffée, elle porte des traces écarlates sur tout le corps de suçons, de griffures, marques d’amour sauvage. Sans nous regarder elle plonge dans l’eau, je la suis du regard dès que les milliers de bulles liées au saut se sont dissipées, je la vois nager en descendant au fond de la mer. Dans le miroitement du soleil sur la mer, sa peau blanche est resplendissante, ses cheveux blonds ondoient dans l’eau émeraude, sa taille étroite fait ressortir ses hanches, ses jambes battent l’eau si rapidement qu’on ne peut les distinguer. Elle touche le fond et telle une sirène, les bras le long du corps, la tête en arrière regarde le soleil, les seins pointent tels deux obus elle file vers nous et jaillit hors de l’eau en éclatant de rire.
J’enjambe le bastingage et plonge quand Gregorios sort à son tour mouillé après avoir pris une douche et retrouve Lina.
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