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Incroyable croisière

Chapitre 3

Mouillage à Syros - 2

Orgie / Partouze
Nous venons de rencontrer un couple de libertins Lina et Gregorios. Monique se baigne après avoir fait l’amour avec Gregorios. Pour la première fois elle s’est offerte à un inconnu.

Je saute dans la mer au moment où Monique, telle une sirène, remonte du fond. Je la prends dans mes bras, elle me sourit, rayonne de joie semble comblée, se colle à moi et m’embrasse du bout des lèvres.

— Alors Monique, c’était comment ?
— Bien, très bien... C’est une bête ! Il m’a prise de partout... Je n’ai jamais connu ça.
— Je le crois volontiers, tu en portes les marques... Viens nageons, ça te fera du bien.

Pendant plus de 20 minutes, nous nageons, nous jouons, nous nous arrosons comme des folles, nous plongeons de manière répétée, il y a au moins six mètres de fond et de magnifiques bancs de poissons, le soleil se reflète sur l’eau en une myriade d’étoiles. Éloignées du bateau nous nous enlaçons par les bras et les jambes.

— Alors ma chérie, tu t’es fait mettre ainsi par un inconnu, que je lui demande tout en la doigtant.
— Oui... et pas que là, partout je t’ai dit !

La coquine me provoque et sans précaution je lui fous un doigt dans le cul, qui la fait hurler de surprise.

— Tu t’es bien assouplie ma chérie, tu es toute dispo pour nos prochaines soirées d’orgie... Tu verras comme c’est bon d’être prise par cinq, six mecs à la suite... Pour l’instant retournons au bateau.


Je suis vraiment surprise de sa transformation en 48 heures, je la sens libérée de son mari, on ne parle pas de cocufiage ou cachotterie mais bien de franchise ou candaulisme. Je la trouve belle, épanouie, heureuse. On nage encore 10 minutes pour rejoindre les autres.
Pendant notre bain Lina et les trois mecs ont préparé l’apéro, rangé le taud ce qui donne plus d’air et d’espace au cockpit. Yanis parle grec avec Gregorios avant de nous annoncer :

— Bon les filles, avec Gregorios nous avons décidé de passer la soirée ensemble et demain matin à 5 heures chacun partira vers sa destination, nous vers Mykonos et eux vers Siphnos. Dans deux semaines, nous prévoyons de nous retrouver dans notre villa à Santorin, malheureusement sans vous deux, (en regardant Monique et Olivier) vous aurez repris l’avion... Mais maintenant nous avons toute la nuit devant nous.

Le soleil passe derrière l’île ce qui crée immédiatement une pénombre. Au mouillage le repas est souvent frugal, fonction de la pêche ou des provisions, par contre au port c’est plus gourmand. Ce soir on se contentera de pâtes au thon et câpres et nous saurons offrir à nos hommes des desserts beaucoup plus savoureux.

On dîne dans le cockpit sur les 3 banquettes disposées en U. Je m’installe à côté de Gregorios tandis que Monique se glisse sur la banquette du fond près de mon mari, enfin Lina et Olivier s’installent face à moi.

Pour nous éclairer, Yanis a accroché une lampe tempête à la baume au-dessus de la table. Avec le crépuscule se réveillent les grillons, nos conversations deviennent murmures. Le choc des couverts dans les assiettes cessent.

Les couples sont formés, les premiers bisous s’échangent et je crois être la première à plonger sous la table pour faire une gâterie à Gregorios. Un bel homme au ventre musclé, un pubis au poil ras. Il ne bande pas vraiment, il se caresse doucement de trois doigts en faisant aller et venir le prépuce sur le gland. Ma bouche repousse les doigts en avalant la moitié du manche. Je pense à Monique, je veux être meilleure qu’elle. Je le suce avec application, je suis gourmande, masse doucement les couilles, titille la cicatrice du frein. Il aime, son bassin s’anime, ses deux mains appuient ma tête contre son ventre... il grogne.

Sous la table je vois que ça bouge, un couple s’en va. Gregorios me lâche. Je me relève. Je retrouve Lina couchée sur la banquette arrière avec Olivier entre ses jambes, Monique a disparu avec Yanis dans la cabine, personne sur la plage avant du voilier, un grand matelas nous y attend. Je m’y allonge avec Gregorios, tous les deux les yeux fixés au firmament, la voûte céleste est magnifique en cette nuit de nouvelle lune. Une légère brise nous caresse et nous rafraîchit. Les grillons au loin s’en donnent à cœur joie.

La douceur des doigts qui me caressent me font frémir. Les étoiles sont éclipsées par la tête de Gregorios qui m’embrasse à pleine bouche. A la douceur des doigts succède la fermeté d’une main qui presse mon sein à sa base, ma mamelle déborde de tous les côtés. L’homme me couvre entièrement, ses genoux ouvrent mes cuisses, guidé par une main le gland glisse plusieurs fois entre mes lèvres, trouve l’ouverture du vagin et plonge jusqu’à ce que nos corps se soudent. En même temps sa langue me pénètre profondément. Bien fiché en moi son bassin se soulève puis revient, tous mes muscles vaginaux se contractent et massent la verge qui me besogne. Mes seins sont écrasés, seul mon ventre respire entre deux chocs.

Gregorios me fait l’amour à la papa, ainsi plaqué à moi avant de se relever pour mettre mes jambes sur ses épaules. J’aime comme il me plie en deux et m’usine le ventre. Le crépuscule fait place à la nuit sans lune. Ses mains pincent mes seins dans leur masse, les pétrissent avant de s’en prendre aux tétons. Deuxs doigts les roulent, les échauffent, puis les pincent et les tirent vers le haut, mes deux melons s’allongent, deviennent obus. Mes tétons grandissent, grossissent, mon visage se crispe sous la douleur. Son regard me fixe, m’interroge, ’’est-on en harmonie ?’’ En réponse, je m’arc-boute, lui offre ma poitrine, il me sourit. Sa force s’accentue, devient violente. Trois doigts triturent, allongent les pointes, les tordent. Un « AIE ! »puissant trouble la quiétude nocturne. Il calme la douleur d’un baiser gourmand, d’un puissant suçon. Il reprend sa copulation, le piston accélère progressivement la marche.

Je suis liquéfiée, le chuintement de notre coït est audible par tous, sa verge me ramone de toute sa longueur, elle sort et revient. Ma jouissance vient du plus profond de mon ventre, elle me traverse, puis explose en un long feulement, mon ventre vibre, fait un saut de carpe incontrôlable alors que l’homme jouit abondamment en moi.

Il s’écroule sur le côté. A l’arrière Lina nous fait participer à sa jouissance. Je pense à Olivier ’’Wahou serait-il capable de baiser correctement ?’’.
Avec Gregorios on se retrouve côte-à-côte, je caresse son ventre, j’aime sentir sa musculature, un peu plus bas je touche la pointe de son sexe qui baigne dans une mare de sperme qui s’étend sur le nombril. Immédiatement j’en ai envie et me penche sur lui. Je lape la flaque avant d’emboucher le gland sur lequel je retrouve le mélange de nos jouissances. Le manche est trop long pour que je l’avale entièrement, je joue alors de la flûte traversière et trouve à sa base le goût de ma mouille. Je continue à briquer son service trois pièces en léchant les fruits rasés de près.

Telle que je suis, j’entends des râles provenant du velux juste devant moi. Je me déplace en rampant pour voir ce qui se passe dans la cabine sous le pont.
A peine deux mètres sous moi j’ai le visage de Monique, ses deux mains dans sa chevelure hirsute, les yeux fermés, la bouche grande ouverte en recherche d’air, elle a ses jambes relevées en arrière, ouvertes en grand écart. Je vois son sexe glabre semblable à une grande plaie rouge. L’homme à genoux la sodomise à grands coups de reins, ses deux mains rivées aux seins.

Gregorios m’a rejoint et regarde appuyé sur le pont. Il me commente à voix basse :

— J’t’assure, celle-là elle aime la bite et le cul !
—  !!!!!

Qui peut imaginer qu’en moins d’un an Monique ’’la pudibonde’’ soit devenue une telle ’’licencieuse’’ ! Le spectacle redonne la trique à Gregorios. Le coquin me met en levrette sans me faire perdre une goutte de la vue de Monique. Il me lèche le cul, me doigte et sans tarder avec ma participation il me prend, couché sur mon dos, ses mains me tripotent du clito aux mamelons.

L’image que me renvoie le couple à deux mètres sous moi, mon mari avec la femme que j’ai déniaisée, est incroyable. Tout comme moi cette femme se fait prendre, se fait peloter les seins, les coups de reins qu’elle reçoit sont les miens, aussi puissants, aussi profonds, elle a les yeux mi-clos et elle me voit comme je la vois, je ahane comme elle, un filet de salive tombe de ma bouche sur elle, elle me sourit et me lance un baiser, j’y réponds de la même manière. Nous sommes en communion. Mais tout change. Yanis bouscule Monique, la met en levrette, elle est docile, s’offre bien, je vois la queue de mon mari disparaître dans le fondement alors qu’il commence à la fesser au rythme de son labour.

Comme si Gregorios avait compris lui aussi me bouscule, me couche sur le dos mes jambes sur ses épaules, il me prend comme Yanis prenait Monique. J’ai au-dessus de moi la voûte céleste et le visage de mon amant sans que nos bouches puissent se rejoindre. Son visage porte successivement les marques du plaisir et de la souffrance si proche puis de la jouissance et enfin d’un sourire comme un remerciement. Sa verge ne cesse de me pilonner, les coups s’accélèrent deviennent plus puissants, frappent plus profondément, mon anneau est détruit, ne réagit plus, l’homme s’immobilise, se vide puis se retire, mon cul reste béant :

— Oh ! Greg remplit-moi encore !

Resté à genoux, sa bouche se colle à mes fesses, je sens sa langue me pénétrer, la salive glisse sur les parois. Mes jambes restent très en arrière, le bassin relevé, toutes mes lombaires sont détachées du matelas mes genoux écartés à la hauteur de mes épaules. Greg regarde ma pastille, trois doigts me pénètrent facilement, un quatrième m’ouvre mieux, la main plonge jusqu’à la jonction du pouce. Elle me fouille, va et vient en faisant un bruit sourd, un clapotis. Je suis béate.

L’homme va et vient, me lèche à nouveau, ses doigts se mettent en pointe, le pouce dans la paume... C’est énorme ce qui se passe, comme si deux queues me défonçaient. La partie la plus large de la pointe bloque, tourne sur elle-même comme pour forer l’anus avec une poussée régulière.

Je bloque ma respiration, pousse fort... encore, encore, encore ! Les chairs se distendent, se déchirent, ça y est, elles cèdent, la main est dans mon sphincter, ne bouge plus, puis tourne sur elle-même, s’enfonce encore. Mon anneau se contracte sur le poignet, le tient prisonnier le poing qui se referme avant de se détendre. Comme un énorme sexe, il bouge, le poignet est le tronc, la main est le gland, un mouvement de piston débute lentement, s’intensifie régulièrement. Après quelques tentatives, la main sort de mes fesses et replonge. Greg joue un moment, à chaque sortie un flot de jute, de mouille, de sperme s’étale sur l’œillet, le sillon et les fesses. Il me quitte. Je n’en peux plus, mon dos se déroule, mon postérieur est sur le matelas, mes pieds retrouvent le sol.

Gregorios, contre moi m’embrasse à pleine bouche, sa main étale notre jouissance sur mon ventre, mes seins. On se calme, on se sourit, encore un bisou du bout des lèvres.
Le silence est total, un coup d’œil à l’arrière, Olivier et Lina tendrement enlacés semblent dormir, un autre par le vasistas dans la cabine, Yanis et Monique couchés se bécotent... Les libertins sont fatigués.
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