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Incroyable croisière

Chapitre 4

Soirée à Mykonos

Avec plusieurs hommes
A 4 heures du mat le soleil se lève, les libertins se réveillent. Il fait frais presque froid. Sans perdre de temps Yanis veut lever les voiles pour Mykonos. Après un rapide bisou et la promesse de se revoir à Santorin, nos amis Greg et Lina rejoignent leur bateau.
Les filles dans le carré, nous préparons le p’tit dèj. Les hommes à la barre filent plein est. A peine le café et les tartines en place, la barre bloquée, le foc et la grand’ voile gonflés, nous pouvons manger tranquillement. Manger et parler de la soirée passée.
Monique fait rigoler tout le monde quand elle raconte comment elle a reçu mon filet de bave sur la figure alors que chacune à notre étage on se faisait tringler. Par contre tous étaient beaucoup plus admiratifs quand je leur ai dit comment je m’étais fait fister la rondelle. Olivier est le moins bavard, il rêve probablement de sa nuit avec Lina en faisant une observation :

— J’ai l’impression qu’ici les hommes et les femmes sont très portés à trifouiller les trous du cul ! 

Et tous ensemble de lui répondre en rigolant :

— C’est bien connu, « Va te faire voir chez les grecs » !

Après un moment à parler de Lina et Greg, le capitaine nous interpelle :

— Bon les copains, en milieu d’après-midi nous arriverons à Mykonos, nous avons un anneau réservé au port et nous commencerons par un tour en piscine dans un l’hôtel où j’ai réservé pour le dîner. Demain nous ferons des courses et les filles vous irez vous faire papouiller, Nadine tu connais l’Institut. Olivier, tu les accompagneras, je voudrais que tu sois plus... comment dirais-je ?

J’ajoute en murmurant « Sexy » avec l’approbation de la tête de Monique.

— C’est ça ! (complète Yanis)… que tu rajeunisses de 10 ans ! Avec une légère teinture puis... une épilation de tout ce poil grisonnant !
— AH NON ! (crie Olivier offusqué) et tous ensemble de hurler : Si, Si, Si ! TOUT NU !.
— Oui Olivier... sans poil du tout ! Une épilation intégrale.
— NOOOOOOOOOON !
— OLIVIER ! Yanis élève la voix. Tu n’as pas le choix ! C’est un ordre de ton capitaine, ou on t’attache tout nu au mat et crois-moi le soleil te brûlera plus que n’importe quel fouet... Nous connaissons tes habitudes, et nous sommes sûrs que ta Maîtresse sera contente de te retrouver épilé et tout bronzé... (Après un long silence, signe de soumission et d’acceptation, Yanis reprend) Après nous ferons quelques achats de vêtements, je vous veux toutes les trois très belles ! »

Olivier redresse la tête en s’entendant associé aux filles, mais n’ose plus broncher. Alors comme pour montrer sa domination Yanis prend Olivier par le cou et l’amène jusqu’à son sexe :

— Fais leur voir mon chéri comme tu suces bien !

La pression sur le cou s’accentue, Olivier assis à son côté résiste mais sous la force la tête s’abaisse, d’un coup sec la tête est sur le ventre et l’ordre claque ’’ SUCE ! ’’ Il prend la queue à moitié endormie entre ses doigts, la décalotte et la lèche comme une glace au cassis, le gland est rouge carmin. Yanis contrôle la situation en gardant la main sur le cou d’Olivier. En une dizaine de coups de langue la verge se redresse et il commence à la masser. Elle prend forme... Alors toute retenue disparaît et il se met à genoux face à lui. Il l’avale et le suce pour de vrai.

Monique semble outrée. Je la prends par les épaules, elle couche sa tête au creux de mon cou, elle murmure « Quel salaud ! C’est la première fois que je le vois sucer ! » Je la caresse doucement, on s’embrasse, elle a une larme à l’œil. Je décide de passer à l’action et l’entraîne aux pieds de Yanis. Il nous regarde, nous sourit, écarte Olivier d’une main et approche Monique de l’autre.

Vengeresse, elle reprend la fellation, plus exhibitionniste pour Olivier, plus gourmande pour Yanis. Elle sait comme il aime que ce soit fort et c’est très fort, sa bouche aspire, ses joues se creusent, elle suce bruyamment comme une gloutonne, va et vient de plus en plus vite en faisant de temps en temps un « Beuargh » accompagné d’un débordement de bave. Yanis repousse l’ogresse en lui souriant. Elle se relève toute rouge d’agitation et de colère et face à son mari resté à genoux au sol, elle s’emmanche sur le dard couvert de bave, ses yeux injectés de sang :

— Voilà mon chéri ! (crie-t-elle ironiquement) C’est comme ça qu’on suce et maintenant... Regarde comme ta femme se fait baiser !

Olivier est atterré, à 50cm de lui, il voit le membre brun-noir avalé par les lèvres et le bouton rosés. Je viens à côté de lui, l’embrasse sur la joue, le couche sur le caillebotis du cockpit aux pieds de Yanis et l’enjambe tel Andromaque son destrier. Voir sa femme chevaucher au dessus de sa tête, lui donne des moyens insoupçonnés. Tous les quatre baisons ainsi pendant un bon moment, Yanis gicle le premier.

A peine comblée, Monique se relève et, alors que la verge ramollie goutte sur le front d’Olivier, elle le chevauche en ’’face sitting’’. Elle est morte de rire en me regardant, elle se fait nettoyer la chatte et moi, je bricole sur le ventre. On rigole à haute voix en tombant dans les bras de l’autre pour s’embrasser. C’est à ce moment qu’Olivier décharge. Je le garde un moment en moi face à Monique qui continue de le nourrir. On tortille du bassin, on s’amuse, on fait durer le plaisir. Enfin je me lève et lui laisse le soin de nettoyer la queue qui jute encore.

Le soleil est haut dans le firmament, la brise baisse, le bateau file moins vite. Yanis et Olivier installent le taud, on navigue tranquillement. Je retrouve mon mari heureux de ce début de vacances prometteuses et laisse les parents de John assis à l’arrière faire le point sur leurs rencontres.

…..

En soirée nous voyons l’île et ses moulins emblématiques. Au moteur nous arrivons facilement à l’anneau réservé entre un voilier italien et une grosse vedette avec un pont supérieur, un petit yacht battant pavillon grec. Nous sommes tranquilles, amarrés à un ponton en bois qui conduit jusqu’au quai du port où il y a foule.

Après le vent du large l’air du village semble étouffant, la robe bain de soleil au dessus du bikini me paraît insupportable. Heureusement Yanis nous conduit rapidement au ’’Bohême Hôtel’’ où nous nous baignons dans la piscine et dînons de langouste. La nuit tombée nous nous baguenaudons dans les ruelles de la petite Venise, le monde, la bousculade, le bruit sont incroyables. Nos hommes en bermudas et chemisettes, moi et Monique nues sous nos robes, parfois Éole est coquin et soulève plus que de raisonnable nos fins tissus. L’ambiance survoltée appelle à la fête mais ce soir elle nous saoule, la journée a été fatigante et nous décidons de rentrer au bateau.

La chaleur dans la cabine est insupportable, on s’installe dehors et nous laissons Olivier et Monique se retrouver dans l’intimité de la plage avant du bateau. Ils ont certainement beaucoup de choses à se dire après ces deux jours de navigation.

…..


Avec Yanis on s’installe sur la banquette arrière près du ponton d’amarrage. Loin du quai, il y a peu de passage et à Mikonos, être nu chez soi, même si c’est un bateau ne gêne personne. Ainsi allongés, en regardant la proue nous sirotons une bière bien fraîche lorsque nos voisins grecs reviennent guillerets sur leur bateau en nous saluant d’un grand sourire. Yanis échange quelques paroles avec eux et me propose :

— Ça te dit de prendre un pot ? Les deux types nous invitent.
— Oh, il est tard ! Que je réponds sans grande conviction, par contre Yanis est très convainquant en me prenant par la main.
— Allez viens ! On dormira demain matin, on n’aura rien à foutre.

On prend tout de même la peine de passer un maillot et montons à bord de la vedette. Deux Apollons, un brun d’une trentaine d’années bien musclé et un plus jeune blondinet, nous accueillent dans un salon climatisé aux banquettes de cuir. La conversation en grec m’échappe complétement. On me sert un whisky, par cette chaleur... Pas top.

Je reste coi lorsque je vois les deux hommes se caresser et s’embrasser sur la bouche puis se lever, le plus musclé déshabille le plus jeune. J’espérais autre chose qu’un spectacle de deux homos. Je ne réagis pas vraiment quand Yanis me mordille l’oreille et fait sauter l’agrafe de mon soutif. Je ne résiste pas plus quand il se met debout face à moi pour que je lui taille une pipe, au contraire je me place à genoux et m’applique en fermant les yeux. La surprise est totale l’instant d’après quand je sens sur chacune de mes épaules se poser un pénis. Nos deux hôtes sont à mes côtés, Yanis me prend les mains pour que j’empoigne les deux sexes bien fermes. Le salaud me sourit et murmure « Une triplette ne te fait pas peur ! » Pour assurer ce petit monde, je fais une petite gâterie à chacun d’eux, la queue au poil noir est beaucoup plus grosse et l’autre épilée a le prépuce retenu par le frein presque vierge.

A nouveau ça discute entre eux, Yanis me relève « On va dans leur chambre ça sera plus confortable ! »
Les deux hommes nous précèdent en se tenant par la main. La cabine climatisée est occupée presque en totalité par un lit carré, les cloisons sont en acajou et en miroir... un vrai baisodrome !
C’est Yanis qui baisse mon string et c’est le plus costaud qui m’allonge sur le lit, il me dit s’appeler Achille. Un bel homme d’une trentaine d’années, très soigné, j’aime son parfum très frais. Avec beaucoup de douceur il m’embrasse sur la bouche, sa main découvre tous les secrets de mon corps, la sensibilité de mes seins, mes dispositions et ma souplesse. Ces attouchements me font vibrer et réveillent mes désirs. Il s’en prend à mes tétons, savoir jusqu’à quel point je supporte la douleur. Satisfait, il se place entre mes jambes et me soulève en enserrant le bassin. Sa bouche est sur mon sexe.

Je jette un coup d’œil sur le côté et je vois mon mari faire un 69 avec Hélios, le p’tit blondinet, un gourmand, un expert de la gorge profonde avec ses « Grrrr, Glups,Beuargh »...répétitifs. Je n’ai pas à me plaindre d’Achille qui me fait un cunni d’enfer et rapidement me fait jouir une première fois. Excité par mon élixir, il me plie en deux et s’attaque à mon petit trou, il l’écarte, y met la langue, il me crache dessus et me doigte.

Encore un échange avec mon mari en grec totalement incompréhensible. Le couple de garçons se sépare en même temps qu’Achille me lâche pour se mettre sur le dos, il me guide, me fait l’enjamber et m’embroche de son chibre tout en m’étreignant et écrasant ma poitrine contre la sienne. Il m’embrasse à pleine bouche

Je sens un homme sur mon arrière-train, je reconnais les mains, les habitudes de mon mari. Il comprime mes reins et me fait ressortir automatiquement le popotin, deux, trois doigts me badigeonnent l’anus de salive, pressent l’anneau, ils me pénètrent tout de suite profondément et s’agitent dans mon tube. Je sens maintenant le gland sur mon œillet, il me force mais avec Achille en moi, mon anneau est resserré. Malgré mes efforts il n’arrive pas à ses fins. Il me doigte à nouveau, puis revient sur moi. Le gland pointe l’anus, je participe à la poussée, je me dilate, il force, pénètre, me déchire et d’un coup il est en moi, le tronc glisse lentement dans mon fourreau. Un moment pour s’habituer, il se retire un peu pour aller plus loin. Ça y est il est en place et commence à me labourer tout doucement, prise en sandwich.

Achille me sourit, pousse mes épaules, me redresse. C’est à ce moment-là que Hélios se présente debout devant moi. Le sage petit garçon s’impose, me regarde sévèrement, il se masse lentement la bite, sa peau est blanche comme la neige, il découvre et recouvre son gland rosé. D’une main autoritaire il me prend par les cheveux et m’impose une fellation. C’est lui qui conduit la danse, il me tient à deux mains la tête et me baise la bouche.

Yanis excité par l’image de nous quatre renvoyée par les miroirs, me pistonne avec rage. Achille laisse tout le monde s’exciter en moi. Il sent probablement la verge de son compagnon me ramoner. Hélios manque encore de retenue, il est le premier à juter, son foutre est particulièrement épais et abondant, une partie déborde de ma bouche par la commissure des lèvres et tombe sur la poitrine velue dessous moi ; peu après c’est Yanis qui m’arrose, je le sens se vider, il se dissout en moi avant de me quitter.

Je ne sais combien d’orgasmes j’ai eus mais c’est certainement le dernier avec Achille le plus puissant. Ses coups de reins me font sauter sur son ventre, je suis tellement fatiguée que je me laisse aller. Je veux me coucher sur l’homme mais ses bras puissants me maintiennent droite, il me bouscule comme une poupée de son encore un moment avant de s’épandre longuement en hurlant. Enfin je tombe sur lui, la tête au creux de son épaule.

Le comble du luxe, une douchette me permet de me rincer de partout proprement. On se quitte, Yanis me dit qu’on se retrouvera demain, ils séjournent à Mikonos. Il est plus d’une heure du matin, les quais sont vides, nous rejoignons le voilier à poil et nous nous endormons sitôt couchés, protégés d’un drap.
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