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Incroyable croisière

Chapitre 5

Orgie à Mykonos

Orgie / Partouze
Nous nous réveillons en milieu de matinée, Monique et Olivier papotent tranquillement sur le pont au dessus de nos têtes. Peu après nous nous retrouvons pour le petit déjeuner. Nous racontons notre rencontre de la veille avec Achille et Hélios. Mais il est déjà tard, il n’y a pas trop de temps à perdre avant la grosse chaleur ; Yanis s’occupe des approvisionnements et nous trois allons chez le coiffeur et l’esthéticienne.

Nous en sortons rafraîchis et Olivier transformé ! Il a rajeuni de plus de 10 ans avec ses cheveux châtain-clair et la disparition de ses poils grisonnants sur le corps.
La vie au port apporte le confort de l’eau douce mais l’obligation du vêtement. Je décide d’acheter un string blanc à Olivier et des bikinis noirs pour nous deux : trois triangles de 10 centimètres de côté pour couvrir correctement mamelons et sexe.

A notre retour sur le bateau, Yanis a installé le taud et mis la table. Dans le cockpit, la toile nous protège du soleil et des voyeurs, nous abandonnons robes et bermuda pour mettre nos bikinis. Nous faisons sensation mais Yanis s’intéresse particulièrement à Olivier en le prenant par l’épaule :

— Tu es tout mignon comme ça, mais il te faudrait un bijou... LÀ ! (en élevant la voix au final et posant un doigt sur la raie des fesses). Allez, pour l’instant à table je vous ai préparé un déjeuner de première.

Le repas, araignée de mer et salade de tomates, feta, olives avec un rosé frais est effectivement excellent. Après je ne sais comment je me suis retrouvée avec Monique sur la plage avant du bateau à l’ombre d’une toile où je me suis endormie.
Longtemps après, le soleil n’étant plus au zénith, Monique me réveille en murmurant :

— Nous avons de la visite !

En me retournant je vois Achille et Hélios discuter avec nos maris. Les quatre semblent bien rigoler puis nos visiteurs s’éclipsent. Toutes les deux nous nous allongeons encore un peu avant de revenir à l’arrière, dans le cockpit. A ce moment-là, Yanis nous annonce que nous avons rendez-vous ce soir avec nos voisins pour aller dans un club, le ’’Sodome bath’’ et nous rappelle que pour l’instant c’est l’heure du shopping !

En robes légères ou bermudas et chemisettes nous faisons d’abord du tourisme et découvrons la magnifique anse de la petite Venise avec ses maisons blanches à balustrades colorées en jaune, bleu, vert, rouge, ses placettes, ses bars et son pélican. Puis nous partons dans Matoyianni street au milieu de la foule .

Les galeries d’art, bijouteries et magasins de haute couture se succèdent. Le monde s’y promène, s’y bouscule. Yanis nous amène dans une boutique de mode pour nous habiller en Blanc. Avec Monique notre choix se porte sur une robe faite de deux bandes de coton drapé, cousues à la taille dans le dos et sur les côtés et retenues par une large ceinture de cuir doré. Elle peut être habillée ou hyper sexy selon la manière de croiser les pans. Yanis de son côté choisit un pantalon et une chemisette de lin et pour Olivier en fin de compte ce sera un short et un débardeur en coton très près du corps. Yanis lui murmure :

— Tu vas être beau, viens que je t’offre maintenant ton bijou.

Un peu plus loin dans une petite rue perpendiculaire il pousse la porte d’un sex-shop suivi par Olivier que nous pressons par derrière. A l’intérieur des curieux, des revues et vidéos pornos, des sex-toys... A notre demande un vendeur nous présente les rosbuds. Le choix est impressionnant du petit au très gros, il y en a terminé par une queue de cheval, d’autres sont de vrais bijoux avec un cristal coloré. Sur le conseil du vendeur Yanis choisit un bijou de 10 centimètres et 5 de diamètre d’un peu moins de 900 gr avec un cristal blanc.
Olivier sort atterré du magasin, Yanis le prend par l’épaule et l’embrasse dans le cou :

— Je te le mettrai tout à l’heure, tu verras comme ça te musclera ton p’tit trou... Bien, venez les filles prendre un pot.

On s’installe sur une terrasse face aux moulins, ouzo pour les uns, bière pour les autres. Nous admirons le coucher de soleil, la mer et les maisons deviennent dorées du blanc au jaune puis au rouge. Avec le crépuscule on a l’impression que la vie devient plus trépidante ; sur le chemin du retour nous nous arrêtons pour dîner simplement dans une taverne, d’une salade de poulpe et d’une moussaka.

Nous arrivons au bateau juste à temps pour nous préparer. Un maquillage très léger puis nos habits blancs, nous avec nos robes bien croisées et sur mon conseil un foulard de lin sur les épaules, Yanis en pantalon et chemisette, c’est Olivier le plus sexy, en short et débardeur très provocant, d’autant plus quand on sait le bijou qu’il porte bien caché. Nous retrouvons Achille et Hélios sur le ponton. Après la présentation de Monique, seule inconnue de nos voisins, nous prenons le taxi pour le ’’Sodome bath’’.

Le Club est isolé, entouré de hauts murs. A l’entrée un grand malabar nous accueille et nous donne un bracelet magnétique en nous expliquant qu’il fonctionne comme une carte de crédit et donne accès aux vestiaires. Après avoir signé une feuille où sont écrites ’’The Sodome bath’s rules’’ les portes s’ouvrent sur un jardin fleuri qui n’est qu’un sas. Une jeune hôtesse en micro-bikini rouge (tenue officielle du club) nous souhaite la bienvenue et nous invite à passer derrière la haie.

L’espace arboré dans lequel nous arrivons, est plus grand qu’un court de tennis, il y a d’un côté un bar, des tables et des chaises autour d’une piste de danse où trois couples font du sur-place, de l’autre une piscine avec des matelas bain de soleil et au fond une grande maison moderne.

Achille nous propose de prendre un verre et commande un mousseux italien. Il prend Monique près de lui alors que je retrouve Hélios, Yanis reste avec son protégé Olivier. Tout de suite les mains et les sourires palient aux difficultés  de langage. A la première bouteille nos robes sagement croisées deviennent ouvertement sexy. Yanis commande une deuxième bouteille alors qu’Achille entraîne Monique sur la piste de danse, sa ceinture tombe, sa robe s’ouvre, les danseurs s’étreignent. Je prends l’ascendant sur mon blondinet et nous rejoignons Achille. Quelques pas de danse, quelques frottements de bassin je sens le sexe dur d’Hélios. Il reprend la maîtrise de la situation en abaissant son short et défaisant ma robe. Il reste en string contre mon corps nu, il va vite en besogne. On se regarde, se sourit, il m’embrasse fougueusement, il me fait sentir outrageusement sa virilité . C’est un p’tit jeune que j’essaie de calmer, en m’écartant « Please slowly »... On ne va pas en rester là tout de même !

A côté Achille en douceur, avec ses baisers et ses caresses, se fait très bien comprendre et conduit Monique sur le chemin du bonheur. Après deux danses on retrouve Olivier discutant dans les bras de Yanis.
Les deux se lèvent alors que tous nos yeux se tournent vers la maison, la bien nommée ’’Sodome’’ où nous nous dirigeons. Une autre Aphrodite en bikini rouge nous y accueille et nous oriente vers une salle où nous déposons nos vêtements, avec Monique nous gardons juste notre foulard de lin sur les épaules avant qu’une double porte ne s’ouvre. Nous entrons dans un lieu où nous ne distinguons qu’une scène éclairée et un bar. La première impression passée, on entend une musique techno rythmée et pas très forte, on découvre une grande pièce aux lumières tamisées pourpres, dans un coin des danseurs, au fond des couples discutent au bar, au centre sur la scène éclairée de spots, deux femmes et deux hommes font l’amour et autour des canapés. Nous rejoignons les spectateurs dont certains sont aussi acteurs.

Dans les bras d’Hélios, je suis très intéressée par ce qui se passe sur scène au point de ne pas me rendre compte qu’un spectateur nous a rejoint, il se signale d’une caresse sur mon bras. Je le regarde, c’est un homme d’une soixantaine d’années, grisonnant, assez bien foutu, visiblement de bonne société. Mon sourire, l’abandon de mon foulard, l’autorisent à passer son bras dans mon dos et à descendre jusqu’au creux de mes reins, il est très doux, très caressant, il m’embrasse le cou, ronronne, me mord le lobe d’oreille.

Le spectacle du trio se termine, il me parle, je ne comprends pas mais Hélios me sourit, me prend la main et me fait signe de monter sur la scène... Me donner en spectacle avec un inconnu ! Je lui sers la main de peur, il le prend pour un accord, les deux hommes se lèvent et me font monter sur scène.

L’inconnu entame deux pas de danse, Hélios se colle dans mon dos, les acteurs se présentent sous quelques faibles applaudissements. Le nouveau venu me couche sur le dos et plonge entre mes cuisses en même temps qu’Hélios me regardant dans les yeux, me chevauche la tête et me plante son asperge. Tout de suite il me baise la bouche avec frénésie, décidément ce p’tit jeune ne sait pas se tenir. De l’autre côté l’inconnu me fait un cunni divin. Enfin Hélios se calme, je le caresse pour l’en remercier du milieu du dos jusqu’aux fesses et là... surprise, je sens la main de l’inconnu. Le salaud ! Il se fait doigter par le vieux, le vieux qui en fait dirige l’action. Voilà que le blondinet passe au-dessus de ma poitrine, écrase mes seins au passage et descend jusqu’à s’enfiler dans ma vulve comprimée entre mes jambes serrées par les siennes.

La fine lame m’embroche sans difficulté et voilà que ce p’tit con tend son cul au vieux qui le défonce d’un coup si violent que je ressens son coup de boutoir jusqu’au fond de mon vagin.
Notre trio attire du monde, j’entends des chuchotements autour de nous . Hélios est au centre des attentions, " ...The Son with his Mum and Granddad... " D’accord trois génération qui baisent mais de là à imaginer un double inceste ! Le "fils" est mignon comme il ahane, la bouche grande ouverte et les yeux fermés, ses mains sur les seins de sa ’’mère’’.

Son manque d’expérience est amusant. L’inconnu s’en prend à ses tout petits tétons, il a des difficultés à les trouver, il les pince et les allonge. J’ai vraiment l’impression que c’est l’inconnu qui me baise. Ceci étant la p’tite bite est très efficace et me voilà partie au nirvana, secouée, balancée comme dans un train. Tout s’accélère, le jeune se vide en moi, il gémit comme s’il pleurait et malgré tout continue à être chahuté par l’inconnu un moment avant que ce dernier ne gueule et bloque tout. Le petit est comprimé entre mon ventre et celui qui l’encule. La pression se relâche et sous les applaudissements des spectateurs qui nous entourent notre trio se disloque.

L’inconnu s’évapore, Yanis me récupère tout comme Achille accueille son minet en l’embrassant. Des lingettes sont à la disposition de tous pour s’essuyer. A voir ce qui se passe près de nous, je pense qu’au moins deux couples ont baisé en nous regardant.

Une hôtesse nous apporte une bouteille de vin et avec un grand sourire et nous remercie « With the cortesy of the management ». Très belle attention vis à vis des artistes. Monique m’enlace et m’embrasse dans le cou.

— Ben dis donc qu’est-ce que tu t’es pris !
— Dis plutôt Hélios, je sentais le mandrin du vieux jusque dans mon ventre.

A défaut d’acteur une hôtesse se déhanche sur scène. Je découvre enfin l’espace où nous sommes. Il y a sur les côtés trois autres pièces nommées ’’Eden’’, ’’Mykonos’’ et ’’Lesbos’’, il y en a pour tous les goûts. Olivier vient à mon côté alors que sa femme est dans les bras du petit jeune, il me félicite pour ma prestation et m’embrasse tendrement, j’y  réponds avec force. Je dois reconnaître qu’il est vachement gentil. Yanis parle beaucoup avec Achille.
Ils nous proposent d’aller à côté, dans la chambre nommée ’’Mykonos’’. Avec Monique nous attachons à la taille notre foulard en guise de jupette. C’est une pièce de 8 mètres sur 8 environ avec un espace câlin dans chaque coin occupé par un ou deux couples de mecs et au centre une petite estrade avec une drôle de table en cuir, une sorte de croupe de taureau avec un grand trou ovale sur l’arrondi. Deux mots d’Achille incompréhensibles et voilà Yanis qui emmène Olivier vers la table. Il le tranquillise alors qu’il imagine ce qui va se passer

— T’inquiète pas, je suis là.

Il l’attache aux quatre pieds de la table, le ventre sur l’ovale est dans le vide, probablement par le stress le sexe a perdu toute vitalité. Il lui caresse le dos avec beaucoup de douceur et lui retire de ses fesses le bijou au cristal blanc qui étincelle de tous ses feux. Achille le rejoint et s’occupe tendrement de ses cuisses et de ses fesses. Ce qui se passe au centre intéresse les couples qui sont sur les lits. Un homme vient et lui palpe le sexe, un autre se lève la queue couverte de salive et lui plante dans la bouche. Ça y est Achille l’encule et la suite va durer près d’une demi-heure sous nos yeux ahuris. Je tiens Monique dans mes bras, elle regarde medusée son mari pris en permanence par deux, trois hommes. Ils se succèdent dans ses fesses, dans sa bouche, ses cuisses se couvrent de sperme, ce doit être le quatrième qui se vide en lui. Pendant ce temps un mec est assis par terre sous la table, il s’en prend à sa bite dure comme du béton, il sait faire durer le plaisir.

Ce ne sont que chuchotements, gémissements, râles et cris.
Yanis reste près d’Olivier et sous sa plainte « Arrête ! » il le détache, l’aide à se relever puis nous sortons de la maison.
Achille nous conduit jusqu’à la piscine où on s’ébat un bon moment. Monique est avec son mari, on les laisse tranquilles, on se régénère. En sortant une hôtesse nous passe des draps de bains. Sur une table nous attendent des sandwiches et une bouteille de rosé glacé. On attend qu’Olivier reprenne quelques forces, nous sourit et dise « Inoubliable ! » son épouse d’ajouter « Mon chéri ,  tu étais superbe ! ». Les deux s’enlacent amoureusement, probablement  qu’une nouvelle relation est née.

On termine la bouteille avant de revenir dans la maison, au fond du passage  ’’Eden’’ on trouve une alcôve avec un grand lit pour nous six, la soirée ne fait que commencer.
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