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Incroyable croisière

Chapitre 8

Réunion familiale à Santorin

Erotique
Le soleil illumine la chambre, le ventilateur au dessus du lit rend la chaleur supportable. J’ouvre un œil, Monique dort encore profondément. J’entends qu’on s’active sur la terrasse probablement que Nikos, le gardien, prépare le petit déjeuner.
Il faut se lever, dans moins de deux heures les enfants arrivent à l’aéroport. Je tente de réveiller Monique en lui soufflant sur le visage, sans succés j’embrasse son bout de nez, enfin je l’appelle doucement sur l’accent de ’’La folie des grandeurs’’

— Monique, il est l’or, ma chérie, l’or de se réveiller !

Elle bouge un peu, je lui souffle sur la bouche, elle ouvre un œil, me sourit, me fait la moue que j’écrase de mes lèvres. Enfin nous nous levons et retrouvons sur la terrasse nos maris qui déjeunent. Nous avons juste le temps d’échanger quelques paroles sur le nuit, ils nous disent combien ils sont heureux de nous revoir ainsi ensemble.
Tout s’accélère après le petit-dèj, Douchées, habillées nous prenons toutes les deux la Méhari pour rejoindre en une demi-heure l’aéroport pendant que Yanis et Olivier vont s’occuper de la maison avec Nikos.
Nous arrivons à temps. Monique est stressée et inquiète :

— John ne va pas me reconnaître ! Ne va pas m’accepter comme je suis devenue. Ça fait plus de deux mois que je ne l’ai pas vu.
— T’inquiète pas ma chérie, tu es ravissante et il va adorer.

C’est vrai qu’elle s’est transformée, physiquement et psychologiquement et cette croisière, le soleil, les amours au pluriel ont fait d’elle une femme libérée. Elle est radieuse avec sa chevelure blonde au vent et sa peau bronzée. En nu-pieds à talon, jupette blanche et blouse nouée à la taille, elle est vraiment sexy. Adieu la Monique au chignon, aux jupes à mi-mollet et blouses col Claudine .
A 11 heures sous un soleil harassant, l’avion s’arrête face à l’aérogare, on voit les enfants traverser le tarmac, ils nous cherchent du regard, un geste, non ils ne nous voient pas. Monique me prend par le bras, se presse contre moi, je sens son sein nu.
Un quart d’heure plus tard ils sortent du hall de débarquement, Mélina est la première à me voir, elle court, me saute au cou et me fait la bise sur les lèvres.Je ne quitte pas Monique de la main, John arrive face à nous, reste perplexe, dubitatif puis murmure :


— Maman ?
— John ! mon chéri.

Comment va-t-il réagir ? La traiter de pute ? Son bagage tombe au sol, les deux se regardent , tombent dans les bras de l’autre, se serrent fort :

— Tu es magnifique Maman ! Je t’aime !!!
— Ça fait si longtemps mon chéri.

Ils s’embrassent tendrement. Mélina les rejoint, les prend tous les deux par les épaules, les baisers à trois se perdent, se font sur les joues, dans le cou, les oreilles, la bouche. Je m’associe à eux pour les embrasser à mon tour. C’est tellement émouvant que les larmes montent aux yeux. Après plus de cinq minutes d’embrassade, nous quittons l’aéroport pour rejoindre la voiture, moi au bras de Monique, nos enfants à nos côtés.

Sur le chemin du retour, nous montons devant et laissons les enfants derrière. Je les regarde dans le rétroviseur, leur demande des nouvelles de Paris mais mes paroles s’envolent avec le vent. En arrivant au ’’Jardin d’Éden’’ effusion de joie, toutes les craintes se dissipent, toutes les barrières tombent. John s’étonne de voir son père les cheveux teints et le félicite « Tu as rajeuni de 10 ans ! »

Assis sur la terrasse, on reprend contact, on boit une citronnade, on parle croisière. John reste silencieux puis vient à l’arrière du fauteuil de sa mère, se penche sur elle pour la serrer dans ses bras croisés sur la poitrine ; ses mains posés sur la taille nue, il sent probablement les seins libres sous la blouse. Il l’embrasse longuement dans le cou et elle se prête à ce baiser en baissant la tête sur le côté, on peut l’entendre dire « Que tu es belle ! ».

Il est presque midi et il fait très chaud, Mélina demande à se baigner. Son père la conduit dans la chambre qui leur est réservée, celle à côté du séjour.
De mon côté avec beaucoup de difficultés j’ai convaincu Monique à mettre le micro-bikini du’’Sodome bath’’ (il faut dire que c’est osé, trois triangles de cinq centimètres sur douze de hauteur, ils couvrent juste les tétons et la vulve)

— Nadine, tu n’y penses pas devant mon fils ! Alors qu’elle enfile comme moi le ’’maillot’’.
— Ma chérie il est temps de lever le voile... et vite jetons-nous à l’eau.

Nous sommes les premières dans la piscine. Yanis en string noir et Olivier en blanc sortent de la maison et s’installent sur les transats.
Un moment plus tard apparaissent Mélina en micro-bikini rouge, cadeau souvenir de Mykonos et John en string blanc. Ils courent vers nous quand John se fige devant les transats... nouvelle surprise pour John de voir son père épilé.

— Whouhaou Papa ! Le mec... tu as viré ta cuti.
— Comme toi mon fils...

Réplique bien méritée qui entraîne des éclats de rire de tous. Il faut dire que père et fils font tous les deux sacrément minets d’autant plus quand Yanis les prend par la taille.
Les trois sautent ensemble dans la piscine dans une énorme gerbe d’eau. Mélina nage vers nous et nous prend ensemble dans ses bras en mêlant ses jambes aux nôtres, elle embrasse tendrement Monique dans l’oreille : « Tu es splendide ! ». John discute avec son père avant de nous rejoindre en nageant au fond de la piscine, en remontant il nous voit toutes les trois quasiment nues :

— Coucou maman, quel bonheur de te découvrir aussi belle... Aussi libérée !

Il prend la main qu’elle lui tend, nous les laissons se rapprocher, se parler, ils se tiennent par le cou et s’embrassent tendrement. Les corps nus de la mère et du fils pour la première fois se touchent, s’étreignent.
Nikos annonce que l’apéritif est servi. Monique est la première à sortir sous les yeux de son fils qui oublie de se retenir en la sifflant d’admiration. Je ne sais alors quel cupidon l’a piquée mais la voici qu’elle s’éloigne en tortillant du croupion.
C’est une fois tous réunis qu’elle se rend compte de sa tenue. Les bikinis et les strings attirent l’attention sans rien cacher. Les corps s’exhibent, épilés à l’exception de Yanis, le mâle dominant de la meute.
Les corps s’exhibent et les marques sont mises à nu. Je découvre avec Monique quatre coups de fouet sur les fesses de John. C’est sa mère qui réagit :

— John, mon chéri, on t’a fouetté ? Le garçon devient rouge cramoisi et c’est Mélina qui répond.
— Rien de grave, Monique, un invité à une ’’Soirée privée’’ l’a puni pour avoir été en retard.
— Tel père, tel fils ! Dit-elle en rigolant alors que Olivier devient rouge à son tour en comprenant que sa femme n’était pas dupe des marques qu’il avait de temps en temps.

Après avoir laissé passer un ange, les conversations et la bonne humeur reprennent leurs droits.
Tout en parlant l’habitude de voir un sein, une fesse, un sexe est prise, une joyeuse ambiance naturiste s’installe. Mélina retire son haut avant d’aller jusqu’à Monique, elle lui parle à l’oreille, la fait sourire et lui détache son haut. Pour ne pas être en reste je quitte le mien et avec les deux filles à mes côtés j’invite les hommes à passer à table. Nous nous installons dans la salle à manger, Mélina et John face à Monique et Olivier, Yanis et moi en bout de table.
Nikos apporte un plateau de crudités suivi d’une magnifique daurade au sel. Yanis porte un toast aux enfants et félicite Monique et Olivier pour la croisière, pour leur participation, pour ces moments d’exception de rencontre et de partage, chacun entendra ce qu’il voudra de ces moments. Le repas est convivial, on plaisante, arrivé au dessert une grande complicité règne autour de la table.

La chaleur est accablante, John et Mélina s’excusent pour aller se reposer. Nous autres allons à l’ombre dans un coin du jardin. La chaleur est telle qu’on a l’impression que même la nature fait la sieste.

….......


Deux heures plus tard je suis réveillée par le soleil qui a tourné. Je m’essuie l’entrejambe et le dessous des seins dégoulinant de sueur. Monique me voit faire et me chuchote « On va se baigner ? ». Les hommes dorment.
Peu après nous entrons sans bruit dans la piscine. L’eau est relativement fraîche. Nous nageons tranquillement, nous nous bécotons tendrement quand nous entendons un petit « Coucou » juste au dessus de nos têtes. Effrayée Monique m’éloigne. C’est Mélina, elle nous rejoint sans bruit dans l’eau. Avec malice elle nous serre nues dans ses bras et embrasse Monique du bout des lèvres.

— Que tu es belle Monique, on ne croirait jamais que tu es la mère d’un grand garçon... C’est maman qui t’a amené à t’épiler (La garce s’amuse à m’appeler maman pour me vieillir)
— Pas que ma chérie... Nadine m’a amené à faire bien d’autres choses.

Mélina la prend au sexe, la coquine réagit peu et la laisse faire, leurs lèvres se joignent. Je les abandonne pour faire quelques brasses. Rapidement elles me rejoignent, nous nageons tranquillement toutes les trois quand John saute dans la piscine comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Cris et éclaboussures alertent les deux maris et nous voilà tous les six à jouer au ballon comme toute famille avec leurs enfants.

Après le bain nous nous restons à l’ombre du parasol. L’ambiance est détendue, familiale, on parle beaucoup de la croisière, Mélina cherche à en savoir plus mais nous restons très discrets quant à nos rencontres. Le soleil baisse derrière la maison, Yanis rappelle qu’il a réservé un restaurant de Fira et qu’il faudrait se préparer.

Avec Monique, comme deux sœurs, on se met d’accord pour notre robe blanche de Mykonos et un string. Tous nous rejoignent de blanc vêtus sauf Mélina en robe de cocktail bleu-ciel au décolleté vertigineux. Nikos nous sert le champagne sur la terrasse. Et là surprise :

Les enfants debout se tiennent par la main face à nous et nous déclarent solennellement qu’ils vont se pacser !!!
Applaudissement, félicitations, embrassades. Après le baiser des fiancés il y a le traditionnel échange de cadeaux. Lui, offre un large anneau d’or blanc gravé ’’Mistress’’ et la promise offre une chaîne en or blanc satiné, un tour du cou avec un anneau en disant haut et fort « Tu es à moi ! » paroles et cadeaux bien étranges. Dans un petit discours John déclare son double bonheur d’être ’’attaché’’ à Mélina (pour ceux qui n’auraient pas compris) et de voir nos familles réunies dans une telle harmonie. A nouveau embrassades, vœux de bonheur, félicitations, une petite larme par-ci par-là.

Inutile de parler de la joie qui anima la soirée et le dîner. Le restaurant était superbe, le repas raffiné et la vue sur les vestiges de la caldeira et la mer, inoubliable. La bague et le collier des fiancés resplendissaient à l’image de leur bonheur. La foule dans le village nous donna envie de rejoindre au plus vite le calme de la villa,

Presque minuit et il fait encore tellement chaud. Sur le gazon les vêtements sont abandonnés et nous nous retrouvons tous les six dans la piscine dans une ambiance très libertine. Qui tripote qui ? Peu importe.

Ce sont les fiancés qui s’échappent les premiers en s’excusant de leur coup de fatigue. Nous restons un moment à barboter, à bavarder, tout est calme, les lumières sont éteintes... les enfants dorment ou ’’ le font ’’ très sagement.
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