Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 134 J'aime
  • 5 Commentaires

Incroyable croisière

Chapitre 9

Réunion familiale à Santorin - 2

Hétéro
Après le dîner, Mélina et John fatigués de leur voyage, sont allés se coucher.Nous restons tous les quatre au bord de la piscine à discuter de la prochaine union de nos enfants. Nous sommes très contents que cette union scelle par la même occasion notre amitié. Ceci étant, leurs relations nous semblent bien étranges, que ce soit les marques de fouet sur les fesses de John, les cadeaux échangés, un gros anneau et une chaîne de cou ou le commentaire de Mélina ’’ Tu es à moi ! ’’ et sa réponse ’’ Je te suis attaché ’’ ne laissent pas de doute. Yanis énervé se lève en disant :
— Ce que je sais c’est qu’ils s’aiment ! A mon avis le patron de John et le père de Mélina en sait beaucoup plus.
Et comme pour mettre fin à la conversation, il prend la main de Monique et l’emmène dans la maison. Je reste dans l’eau avec Olivier à le bécoter. Après notre partie carrée d’hier soir j’ai envie d’aller beaucoup plus loin avec lui. On décide de sortir et nous allons directement dans ma chambre. Inutile d’allumer la lumière ni de fermer les rideaux, la lune nous éclaire, je mets juste en route le ventilateur. Olivier reste debout à l’entrée les mains dans le dos en me regardant, je le laisse venir mais … rien ne vient.
Le coquin veut jouer la soumission, alors il va voir de quel bois je me chauffe !. Il est figé comme une statue, sans aucun signe d’érection. Je marche vers lui en me déhanchant telle une lionne qui va chasser. Je le fixe, l’hypnotise et d’un bond je suis sur lui. Il me regarde droit dans les yeux, j’en rage. Je le prends fermement par les couilles et d’une main sur la tête plaque ses lèvres aux miennes. Il prend le risque de plonger sa langue dans ma bouche, je la mords violemment et la tire tout en lui tournant les burnes. Sous la douleur, incapable de crier, il ferme les yeux en crispant les paupières. J’entre dans un jeu de dominante :
— Alors sale môme ! (drôle de situation, même s’il n’a pas 50 ans, je n’en ai que 33) Un, tu ne prends pas la position, deux, tu te permets de me foutre ta sale langue dans ma bouche alors que tu lèches tous les culs et les bites qui se présentent.— Excusez-moi madame (super il entre dans mon jeu) je ne savais que faire.— Tu ne savais pas prendre la position ? (je le regarde sévèrement et lui donne une gifle) Te mettre à genoux plutôt que me regarder de manière insolente (je le prends par l’oreille et le tire violemment au sol) Lèche-moi les pieds... (au moment où il me lèche le coup de pied, je crie) MIEUX QUE CA ! Entre les orteils !.
Accroupi devant moi, je m’amuse à le pousser, à lui faire perdre l’équilibre. Il prend le pied en main, le caresse, lèche le dessous des orteils, je découvre un nouveau plaisir, sans un mot d’encouragement je lui tends l’autre qu’il traite avec la même dévotion. Toujours avec autorité, je le prends par les cheveux :
— CA SUFFIT ! Lèche-moi la chatte maintenant.
J’imagine que mes cris et notre jeu intéressent beaucoup nos voisins, sa femme et mon mari. A genoux, les mains au sol, il commence à me laper la vulve. Je lui donne une nouvelle gifle :
— Dis donc sale cabot je ne suis pas une gamelle !.
Il se place entre mes pieds, assis sur ses talons, ses mains sur mes fesses. Instinctivement mes cuisses pivotent, mon pubis s’approche de lui. Sa bouche est sur mon sexe, sa langue pointe mon clito. D’un doigt je tire dessus, le redresse et découvre ma pissette. Ses doigts se crispent dans mes fesses. Sa langue, lèche, titille, agace le méat et le bouton, il est tellement agile qu’il me fais jouir très vite. Je veux me reculer mais ses mains me bloquent. Il continue encore avant de glisser entre mes lèvres. J’arque mes jambes pour lui donner l’accès au périnée. La langue ouvre le sillon de la vallée, la bouche revient sur la tige, la langue repart dans ma vulve, le parcours est le même mais l’intensité, le vibrato différent. Je m’offre mieux, je tremble sur mes jambes, je jouis, je vais tomber. Je l’arrête par les cheveux.
— Si tu continues je te pisse dessus !— Comme il vous plaira madame.
— Ce qui me plairait sale gosse, c’est que tu t’appliques, je suis exigeante (même si le bougre m’a déjà donné deux orgasmes)
Je le tire par les cheveux jusqu’au bord du lit où je m’assois et pars à la renverse :
— J’espère que tu peux faire beaucoup mieux, je te donne une nouvelle chance sinon je te tape !
A genoux entre mes cuisses il se remet à l’ouvrage et me renvoie très rapidement en l’air. Même en étouffant mes gémissements, ma chatte me trahit et lui jette un jet de cyprine.
— Est-ce mieux ainsi madame ?— C’est mieux mais j’attends plus, en même je relève mes genoux aux épaules et ordonne : SUCE MON CUL !.
Il s’attache immédiatement à me satisfaire et comme une sex-machine il me lèche de la raie au périnée de manière répétitive ce qui m’oblige à intervenir :
— Dis-moi, tu recommences, tu veux vraiment que je me fâche ? Astique-moi mieux que ça !
Et là comme par miracle sa langue devient inventive, ses doigts agiles. Je m’ouvre, me dilate, pars au nirvana. Il passe d’un puits à l’autre en les faisant vibrer sur les notes les plus aigües. Il ne me lâche plus. Je grogne et le repousse violemment en me redressant. Son nez, sa bouche, son menton sont couverts de mouille. Il me sourit, je le tiens par un téton et on se lève, pour le féliciter je lui crie dessus :
— Tu vois sale môme, quand tu veux tu sais bien faire ». Je le pince fort, lui fais mal, son visage se crispe sous la douleur « Tu aimes ? — Tant qu’il vous plaira madame, murmure-t-il.
Je le tire au milieu du lit. Allongée sur le dos, les mains croisées sous la tête je lui dis :
— Fais moi l’amour et tu ne jouis que sur mon autorisation, tu m’as démontré hier que tu savais te retenir alors je n’en attends pas moins.
A genoux à mon côté, il me regarde, me sourit, il est séduisant mais je reste impassible. Il veut m’embrasser, par dédain je tourne la tête, ses lèvres se posent sur mon oreille, sa langue plonge dans le pavillon suit les sinuosités du cartilage jusqu’au conduit ou se produit un bruit de ressac très érotique.
En même temps sa main me caresse doucement un sein et l’autre maintient mon coude au dessus de ma tête. La bouche glisse sur le cou, arrive sur l’aisselle, sensuel, il se délecte de mon odeur sauvage, lèche la sueur qui perle puis descend sous la mamelle à la recherche d’autres gouttes de sueur. Satisfait il me regarde toujours appuyé sur mon coude. Les doigts prennent un téton, le pince doucement, le comprime. Il attend un signe de ma part. Une forte inspiration, un rictus des lèvres, les yeux qui se ferment et rapidement il me triture la pointe du sein, l’échauffe, la roule, la tire, me fait mal. Un gémissement... Il continue à brutaliser le mamelon pendant qu’il me tète l’autre, le pince entre les dents, le suçotte, le mord en le tirant. La mamelle s’allonge. Les deux tétons me font mal, il arrête juste avant que je ne crie.
Il se met à califourchon sur mon ventre et prend mes deux seins à leur baseIls sont lourds et fermes, il les redresse, les palpe, les masse et enfin les pétrit simultanément. Tout le sein s’échauffe, sa carnation rosit. Il cherche dans mon regard un sentiment mais je m’efforce à rester imperturbable.
A quatre pattes il descend vers mes jambes. Il dessine un chemin de bisous sur le ventre, s’attarde sur mon nombril, arrive sur le pubis. Il excite de nouveau le gros bouton et la pissette. Je sens sa queue en érection contre ma jambe. J’ai envie de lui, le bouscule, le remonte sur moi. Le soumis a compris ce que madame veut et il devient un super amant. Mes jambes s’ouvrent, s’enroulent sur ses mollets. Ça y est il est en moi,, sa verge est fine, trop fine, alors je le repousse brutalement par les épaules :
— NON, sale bête, prends-moi comme une chienne !
En un saut il se détache de mon ventre, je suis en levrette, la tête sur l’oreiller le popotin relevé. Je sens le gland sur ma vulve, je balance le bassin vers le bas :
— Par-là, sale chien !.
D’un coup sa tige glisse au fond moi. Il commence à me fourrer, couché sur mon dos ses mains sur mes seins, il s’enfile lentement dans l’arrière-train, accélère, s’arrête, puis reprend et tape très fort les intestins, il me pétrit les mamelles ou accentue leur balancement. Très traditionnel mais tellement efficace que je ne peux m’empêcher de gémir quand il me soulève une cuisse à 90 degrés avant de me renverser sur le dos. Une jambe allongée, l’autre tenue à la verticale et lui planté dans mon cul.
Il a chaud, il transpire. Il se penche sur moi, me fixe du regard. Il me caresse un sein, le palpe et lui donne une petite tape sur le côté, il attend, recommence, m’interroge du regard, je murmure dans un souffle « Oui ! tape-moi»
Et à ce moment, avec un sourire carnassier, il relève l’autre jambe, les ouvre largement tout en continuant à me sodomiser. Ses deux mains libres s’emparent brutalement de mes seins, il les masse. Soudain une claque violente frappe le côté de l’un alors que l’autre mamelon est martyrisé, puis il inverse. Chaque sein est successivement tripoté et frappé de plus en plus violemment au rythme lent de ses coups d’épée. Il continue de me sodomiser. Il sait jouer de la douleur et de la jouissance, les deux se rejoignent, se confondent, mes orgasmes se succèdent, je ne peux plus me retenir je hurle... et il me demande très respectueusement
— Madame permettez que je vous ensemence.— … Libère-toi sale type !
Il s’abandonne immédiatement au fond de moi. Il n’est pas bien gros mais long. Je le sens se vider tout au fond dans mes intestins. Son éjaculation est puissante puis il reste en moi. Enfin je le rejette sur le côté et le prends comme un enfant dans mes bras :
— Comment as-tu appris tout ça ? Pourquoi cette corsetière ? Pourquoi les hommes ?— Tu sais... et il m’explique.
Né d’une famille de pasteur et élevé par des religieux il a été assez tôt pris en mains au sens propre. A quinze ans il a quitté le collège en ayant son brevet mais perdu sa virginité depuis longtemps. Il est entré en apprentissage chez un charpentier, un homme ayant un grand savoir faire en bien des domaines et qui a profité de la voie ouverte alors que sa femme la lui refusait. Olivier a appris à travailler le bois et la comptabilité.
A 22 ans ses parents ont décidé de le marier à la fille de 19 ans du châtelain bien sous tout rapport.Ainsi Monique et Olivier ont fondé une famille, c’est le cas de le dire puisque moins d’un an plus tard, un petit garçon John venait au monde. Les trois ont vécu sagement. Monique fréquentait plus le confessionnal que le lit matrimonial. Pour elle, le sexe est pécher, on fait l’amour pour procréer.
Le gentil Olivier ne voulait pas contrarier son épouse pudique. Il travaillait à la comptabilité d’une entreprise de travaux publics. Rapidement son patron a remarqué ses qualités et l’a mis dans son lit... avec sa femme !. A 25ans il leur était très attaché. Il découvrait la soumission, il devint rapidement leur esclave sexuel. Pendant 10 ans tout fonctionnait bien jusqu’au jour où à la boîte ferma ses portes. Sans travail, ils montèrent à Paris où Monique avait de la famille. A l’époque l’emploie était facile et les deux furent embauchés rapidement dans les bureaux.
Monique restait ferme dans ses croyances ’’très grenouille de bénitiers’’ Olivier plutôt sympa et mignon multipliait ses aventures.Monique avait une chef de bureau Germaine qui l’avait prise à la bonne et lui proposa de loger John à son entrée universitaire ce qu’elle accepta.La suite de l’histoire vous la connaissez, Olivier qui rencontre Germaine qui le présente à sa corsetière Élisabeth qui le soumet à ses caprices.
Je l’écoute sans l’interrompre, je le garde dans mon bras, l’embrasse sur le front, il ne parle plus, on s’endort.
Diffuse en direct !
Regarder son live