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Incroyable croisière

Chapitre 10

Réunion familiale à Santorin - 3

Hétéro
Le soleil inonde la chambre, malgré la baie ouverte et le ventilateur, il fait chaud, je sens la sueur perler un peu partout. Une verge s’appuie sur ma cuisse, j’ouvre les yeux, face à moi Olivier me sourit. Après un temps de réflexion je l’embrasse du bout des lèvres...

Il est le même qu’hier, "attentiste". Ma main sur sa cuisse remonte jusqu’au sexe. Il bande comme un cerf. Je prends la verge en main, c’est une grosse asperge. Un sourire, un nouveau bisou, un tête à queue de ma part, j’ai son légume en bouche. Je sens sa respiration sur ma chatte, il hume la moiteur de mon entrejambe, puis ses lèvres se posent, sa langue me lape, nettoie les traces de notre copulation d’hier. J’ai ses bourses sur le nez, il sent fort, probablement comme moi, je retrouve le goût acre de la jouissance sur sa verge que je lèche comme un sucre d’orge, je l’astique et enfonce l’ongle de mon auriculaire dans le méat. Je lui fais mal, il émet juste un petit gémissement aigu. J’arrête et recommence plus fort, plus profond, la pointe de l’ongle griffe l’entrée du canal, il supporte encore. Je lui suce les couilles, les aspire, les gobe les deux ensemble et je recommence à le branler la pointe de mon doigt enfoncée dans sa petite bouche.

C’est vrai, sa verge est comme une asperge longue, filiforme, sans relief, son gland n’est pas plus gros que le tronc.
Le coquin commence à me tripoter le fion alors je préfère prendre mes précautions :

— Viens on va prendre une douche... attends-moi !

La salle de douche est attenante à la chambre avec un lavabo et une toilette. Face à lui je pisse et me fais un petit lavement. Je connais l’érotisme qu’offre une femme qui pisse et se lave, il regarde discrètement tout en se savonnant.
Assurée de ma propreté je le rejoins, l’eau est délicieusement fraîche. Je me fais très câline avec lui, reprends en main le manche qui a perdu un peu de virilité, à genoux je lui fais une gâterie en lui mettant un doigt dans le cul... ’’La salope’’ elle a l’habitude de se faire prendre mais moi c’est d’un mec dont j’ai besoin alors je me concentre sur Popol. Bien dur, je me relève, me colle à lui, sur la pointe d’un pied, une jambe au niveau de sa ceinture, je m’emmanche...

— Fais-moi voir ce que tu sais faire comme ça !

Bien guidé il redevient une fine lame. Il me lime une dizaine de fois puis m’appuyant contre le mur il me soulève à deux mains par les fesses tout en continuant de buriner et en se mettant à me trifouiller le petit trou. Dans cette position mon anus est étiré et s’ouvre facilement à la sollicitude des doigts.

Ça y est me revoilà partie, je vocalise. Olivier prend en main l’affaire, me dépose et me tourne, je m’appuie au mur bien offerte. Pas besoin de préparation, la lame est fine, l’étui bien large et le voilà qu’il le fourrage en s’accrochant à mes hanches. Ses coups sont puissants, mes seins se ballottent comme des mamelles, à chaque fois ma tête frôle le mur. Comme pour démontrer sa domination, il me claque les fesses. Excitée, j’aime être prise comme ça, sauvagement. C’est la chevauchée fantastique jusqu’au coup final où je me cogne la tête. Je le sens se contracter, se raidir, m’asperger. On n’entend plus que l’eau couler, il se vide avant de "déculer" et de me redresser. Face à face on s’embrasse tendrement. A peine essuyés, on sort directement sur la terrasse où les enfants, Monique et Yanis nous attendent. En souriant, mon mari me demande si j’ai bien dormi ?

Aujourd’hui c’est dimanche, Nikos est de repos, et un brunch est sur la table, les quatres convives l’ont déjà bien entamé. Avec Olivier on rattrape le retard. Monique est assise à mon côté, nous voyons Mélina et John se promèner comme Adam et Eve au Jardin d’Éden, elle m’interpelle en les voyant de dos :

— Regarde Nadine !... on croirait deux sœurs.
— C’est vrai que de dos John à des courbes très féminines, la taille bien marquée et un fessier bien rond. Tu sais il y a deux ans en jouant à colin-maillard dans une piscine je l’ai confondu avec Mélina, je ne te dis pas LA HONTE !

Tout le monde profite du calme de la matinée lorsque Yanis nous annonce qu’il a loué un Zodiac pour se balader autour de l’île.
Une heure plus tard, les filles en robes légères, les mecs en bermudas et chargés de victuailles nous voilà au port d’Oia où nous trouvons le bateau équipé de deux puissants moteurs. Yanis s’installe à l’arrière avec Olivier pour piloter et nous quatre à l’avant. Dès que la digue du port est dépassée le capitaine se fout à poil et nous abandonnons nos robes. Je reste en micro-maillot rouge, les tétons sont juste cachés et ressortent plus gros quant au slip il s’enfonce dans la fente et sépare les lèvres, je trouve que c’est plus sexy que la nudité.

On admire le paysage, les falaises sont impressionnantes, vestige du volcan qui explosa il y a 2000 ans et créa un tsunami qui détruisit la flotte crétoise. Les villages perchés au sommet sont tout petits, au centre de la caldéra renaît un volcan et de l’autre côté une autre petite île Thirasia subsiste du volcan initial. On se navigue à bonne allure, Yanis s’amuse de temps en temps à mettre plein gaz ce qui nous fait bondir et retomber lourdement. Avec Monique on parle doucement, avec le bruit du bateau notre conversation reste privée, elle veut savoir comment c’était avec son mari ? Comme je m’en doutais elle a tout entendu de nos ébats de la veille et mes trémolos de ce matin l’ont bien fait rire.

— Ma chérie, avec ton mec tu n’as qu’une solution le soumettre, t’imposer, lui dicter tes volontés, soit une maîtresse femme, s’il ne fait pas ce que tu veux tu le punis.
— Dis donc c’est lui qui t’a fessée ce matin.
— Oui mais c’était un peu sa récompense comme à un chien qui t’obéis et à qui tu donnes un quelque chose. Je t’avoue qu’il m’a donné beaucoup de plaisir hier soir et ce matin.
— Autant que moi ?

Sans se démonter devant les enfants, elle me couche au fond du bateau et se met en 69 sur moi et sous les yeux de Mélina écarte le string et me lèche, probablement déçue elle ne trouve aucune trace des amours de son mari, ceci étant la coquine maîtrise parfaitement l’art du cunni.

Il m’a fallu un an pour la conduire de sa vie d’ascète au triolisme et en dix jours elle est devenue une libertine accomplie, s’offrant sans détour au regard de son fils, elle qui il y a deux jours craignais de le surprendre et d’être rejetée.

En même temps je vois que Olivier est entrain de sucer le capitaine qui imperturbable conduit le bateau.
Je me désintéresse de ce qui m’entoure, des paysages, de ceux qui nous regardent je ne vois maintenant qu’une chatte glabre au bouton arrogant et aux lèvres qui baillent entre lesquelles perle une goutte de nectar. Mes deux mains sur les fesses j’approche la fleur jusqu’à mes lèvres. Délicatement ma langue pointe le nectar, le goût est à peine âcre, puis glisse entre les lèvres pour atteindre la tige et remonter jusqu’au bouton que je suce comme un pénis, je mordille la base, l’agace de la langue. Je reviens entre les pétales et m’enfonce au cœur de la fleur, la langue pénètre les bords du vagin pour qu’il libère son nectar. Je vais, je viens, je fouille j’excite, j’obtiens ma récompense, le flot inonde ma bouche, un délicieux régal qui accélère mes vibrations qui augmentent son flux de cyprine.

Monique fait volte face ; allongée entre mes cuisses elle écarte les deux bouts de tissus censés couvrir les tétons et fond sur eux comme un bébé affamé. Elle lèche en cercle mes aréoles de l’extérieur à l’intérieur, la langue tourne à l’exemple d’un aiguillon avant de toquer la pointe. Sa bouche englobe la pointe du sein, l’aspire fort, fort comme pour le détacher, l’avaler, elle la mord et la tire en déformant la mamelle. Elle fait délicieusement mal, à deux mains je veux écarter sa tête et au contraire la plaque contre ma poitrine. La morsure se termine par un doux baiser.

Elle revient sur mes lèvres, après un bisou on vire sur le côté, face à face. On se parle en secret de ce qu’on a vécu, de ces 10 jours en mer, du prochain Pacs des enfants et du départ le lendemain matin. On allait tomber dans la mélancolie quand un violent bruit de chaîne nous ramène au moment présent. Yanis prend par surprise Monique dans ses bras et la jette à l’eau en criant :

— AU BAIN !

Immédiatement John la rejoint et l’enlace amoureusement, leur baiser n’a plus rien de filial. Elle s’accroche à son cou et maintient l’étreinte.
Tous les quatre nous les observons avant de plonger. Le bain en pleine mer est pur bonheur. Il y a au moins 15 mètres de fond et on voit l’ancre du Zodiac briller dans l’eau cristalline. On joue comme des gamins, ce sont éclaboussements , cabrioles, plongeons... Ce sont œillades, bisous, caresses. C’est le bonheur. J’aime voir les corps nus sous l’eau et revenir tout contre l’un d’eux, le caresser. Le soleil baisse, Yanis donne le signal du retour.

Les deux pilotes restent à l’arrière, à l’avant je rejoins sur un bord du bateau John face à Mélina et Monique. A son tour il me fait des confidences, il m’explique son étonnement et son bonheur de voir sa mère ainsi, libre et libertine. bien sûr il avait observé son évolution d’apparence, d’habillement, de coiffure mais sa transformation de comportement est extraordinaire. Alors je lui raconte ce qui s’est passé en un an, notre relation d’amie à amante, ce long cheminement qui s’est fait à son rythme, puis sa première rencontre avec Yanis et la découverte du libertinage de son mari. Je lui dis aussi combien elle était stressée de le revoir, sa crainte d’être considérée comme une pute.

En même temps face à nous Mélina et Monique se font d’autres confidences. On entre au port, on mange rapidement une pizza avant de revenir à la maison.

Le soleil couché il fait encore chaud. A peine descendus de la Méhari nous courrons à la piscine. Je suis avec Monique la première dans l’eau puis tous les six chahutons un peu, nous embrassons sans limite dans une ambiance très libertine. Monique se colle à moi et me susurre « Allons nous coucher ! ». Premières entrées dans l’eau, premières sorties, suivies de nos maris et je fais signe aux enfants que nous allons nous coucher. Ils nous rejoignent immédiatement et tous les six sur la terrasse nous nous souhaitons « Bonne nuit ! » :

— Bon les enfants, dit Monique plein de tristesse, demain nous avons l’avion à 7 heures alors on va se reposer un peu. On se dit au revoir maintenant, on a été très heureux de passer ces journées ensemble, de s’être trouvés ou retrouvés. On vous souhaite de très bonnes vacances et on se réunit à votre retour à Paris.

Ce sont des embrassades, des souhaits et des promesses puis nous rentrons dans nos chambres, Monique vient avec moi et nous laissons les hommes dans l’autre chambre. Rapidement le calme s’installe, la lune illumine la pièce, le ronronnement du ventilateur, les huhulements de la chouette et le chant des grillons troublent le silence de la nuit.

Trop tristes, nous n’avons pas le cœur à faire l’amour, notre nuit n’est que douceur, caresses, bisous et promesses pour le futur.

La saga va se poursuivre à Santorin avec Nadine, Yanis, les enfants et... quelques visiteurs, une nouvelle histoire commence avec "Bonnes vacances"
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