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Incroyable famille, vue par John

Chapitre 1

John tourne la page

Gay
Un an après "Libertinage à la ferme"...

Je m’appelle John, je suis un jeune libertin de 22 ans. Je vis avec Mélina et avons une sexualité débridée.
Nous venons de terminer notre licence de Sciences économiques. A l’occasion de la remise de nos diplômes nos mères, Monique et Nadine, se sont rencontrées... signe d’un rapprochement futur de nos familles ?
Mélina souhaite s’orienter vers une carrière juridique et entame une licence de Droit. Son expérience chez Maître Frarot, lors de notre stage de l’an passé, avec une sale affaire d’exhibition lui a probablement donné cette envie.
Moi, je suis intéressé par la finance et depuis plus d’un mois je recherche un job dans cette branche.

Depuis "Libertinage à la ferme" j’ai rarement revu les parents de Mélina sauf que les circonstances vont faire que...
Aujourd’hui je tourne la page en entrant dans la vie active.

  Je rencontre ce matin Yanis, le père de Mélina et patron d’une boîte de lingerie féminine, pour un entretien d’embauche.

J’ai rendez-vous à 9 heures dans ses bureaux à Vincennes où se situent ses ateliers de confection. Il m’a demandé de venir en costume cravate. C’est sa secrétaire qui me reçoit et me fait entrer dans son bureau.

— Bonjour John, entrez s’il vous plaît, je suis à vous tout de suite.

— Bonjour… monsieur ! 

— Denise, en s’adressant à sa secrétaire, apportez-nous deux cafés et on se revoit dans un quart d’heure...

Le café servi, la porte fermée :

— Salut John, mettons tout de suite les choses au clair, entre nous c’est « Tu » avec les autres c’est « Vous ». Bien ! Que je t’explique qui nous sommes et ce que j’attends de toi.

    Lebaudy ce sont 20 personnes qui produisent et commercialisent des sous-vêtements féminins de haut de gamme. La vente se fait dans notre magasin place Blanche, pas loin de Pigalle, où nous captons la clientèle des sex-shop et à domicile par notre réseau de conseillères pour la clientèle bourgeoise. Pourquoi j’ai besoin de toi dans mon affaire ? Pour la comptabilité et toutes les relations avec les banques, les assurances, les administrations. Qu’en dis-tu ?... J’ai également une autre petite idée dans la tête mais il est trop tôt pour en parler.

— Vous savez je n’ai aucune expérience !

— Oui, oui, je sais, mais tu as avec toi une employée Fifine qui connaît l’affaire et Maurice, l’expert comptable. Ne t’inquiète pas. Tu comprends que ta fonction impose une tenue correcte... une tenue de cadre. J’entends que ma fille soit fière de son conjoint.

— Oui bien sûr.

— Alors si on est d’accord, j’appelle Fifine et je prépare le contrat de travail. Cette après-midi je t’ai prévu une visite de nos ateliers avec le chef de production et nous nous retrouvons à 18 heures dans mon bureau.

— D’accord, merci monsieur.

— Je te souhaite une bonne journée et à ce soir.

....................Le soir à 18 heures..........
Plus personne ni dans les bureaux ni à l’atelier, je frappe à la porte de « Yanis Andropoulos P.D.G. »

— Oui, entrez !

Yanis a quitté sa veste et sa cravate, il range les papiers qu’il a sur le bureau.

— Salut John, fais comme moi, mets-toi à l’aise et ferme la porte à clé, on sera plus tranquille au cas où la femme de ménage ait idée de faire du zèle … Voilà, c’est mieux ainsi. Assieds-toi et parle-moi de ta première journée. Tiens un petit whisky.

L’attitude de Yanis n’est plus celle du patron mais celle d’un copain avec un regard... je dirais concupiscent. Installés tous les deux dans un canapé il passe son bras sur mes épaules :

— Bon ! Je vais être franc et direct avec toi. Tu m’intéresses beaucoup John pour ton savoir universitaire et... ton goût du libertinage. Je souhaite profiter des deux faces de ta personnalité... » Après un long silence il reprend « Es-tu d’accord de les partager avec moi ?... De revivre avec moi des moments comme à la ferme, l’an dernier. Je sais qu’il n’y aura pas de problème avec nos femmes.

Je reste silencieux, buvant une petite gorgée de whisky. Lui est entreprenant, sa main sur mon épaule me tire contre lui. Pour éviter d’être en contact avec ses lèvres, je n’aime pas embrasser les hommes sur la bouche, je baisse ma tête sur sa poitrine. Je sens son souffle sur ma nuque, il me mordille l’oreille.

— Tu n’as pas aimé le moment passé à la ferme … Tu te rappelles je t’ai dit « T’es une bonne toi, on se retrouvera ! »

— Uiiiii ! je réponds tout bas en expirant.

Sa main libre défait un bouton de ma chemise et se glisse sur mon débardeur de coton, jusqu’à saisir mon téton qu’il presse brutalement de ses doigts.

— Tu es toute chaude... Entre nous, veux-tu être Jane ?.

— Uiiiii !... Yanis.

Instinctivement ma main passe de mon genou au sien, ses cuisses s’ouvrent et de manière incontrôlée je remonte lentement jusqu’à la braguette. Le pantalon est démesurément gonflé. En une fraction de seconde il a ouvert sa chemise et sa ceinture, avant qu’il ne pétrisse mon entrejambe. Ma tête repose sur ses pectoraux bien musclés, au milieu des poils pointe un téton sombre que je titille de la langue alors que ma main se faufile dans le pantalon. Sa respiration au dessus de ma tête s’accélère, devient bruyante, son nez pousse mes cheveux sur les côtés, découvre ma nuque qu’il couvre de baisers humides. Et brusquement il me pousse en avant, le ton change, d’une voix sourde il m’ordonne :

— Déshabille-toi !

Je me lève, le regarde dans les yeux sans sourire. Je défais la ceinture et laisse tomber le pantalon sur les chevilles tout en ouvrant la chemise que je rejette en arrière. Je suis en sous-vêtements de coton blanc d’où sa réaction :

— Tu portes ça ?

— De temps en temps,

— Je ne veux plus jamais te voir comme ça … Tourne-toi. A poil !... Un vrai corps de fille, un p’tit cul haut placé, une taille fine...Tu es si belle !

John est devenu Jane, je suis de dos, nue. Son doigt descend le long de ma colonne vertébrale jusqu’à la raie des fesses, il termine en me donnant une grande claque sur le côté de la fesse :

— Tiens, en me tendant un carton, c’est pour toi, choisis et rhabille-toi !

Le carton est marqué Lebaudy. J’ouvre, une multitude de serre-tailles, de culottes de tous genres, de toutes couleurs, des bas, des nuisettes. Je vais pour le remercier, son regard me décourage. Il est debout, pieds écartés, mains dans le dos, en pantalon, chemise ouverte.

Je choisis rapidement un serre-taille de dentelle blanche, des bas nylon et une petite nuisette en soie avec deux losanges en dentelle au lieu des seins.

Son regard laisse penser qu’il est satisfait de mon choix et au moment d’enfiler un shorty il m’arrête et se colle à moi :

— Inutile pour ce que nous allons faire...

Son pantalon est tombé sur les chevilles, son sexe moulé dans le boxer blanc ressort long et gros. Vous savez que j’aime le sexe... Les deux et j’ai envie de celui-là.

Debout face à lui, je le caresse du bout des doigts, je l’embrasse au cou, à l’épaule, mes lèvres glissent sur la peau, arrivent sur les poils, se fixent sur le mamelon, je le lèche, le tète... le suce encore plus fort, le mord. Ma main suit un parcourt similaire sur l’autre moitié du corps. Je m’accroupis et tombe à genoux, mes lèvres retrouvent la peau glabre sur l’estomac, arrivent au nombril. La pointe de ma langue s’y attarde un instant jusqu’à ce que mes doigts prennent sur les côtés, le bord du boxer et l’abaissent.

Mes lèvres suivent la descente du vêtement et trouve la broussaille odorante du pubis. D’un coup le boxer dégage le sexe et tombe sur les chevilles. Là tout va très vite, j’embouche le membre, décalotte le gland, m’empare des bourses et du tronc. En deux pressions, deux aspirations et deux coups de langue le sexe s’est redressé, a triplé de volume, est devenu dur comme du béton.

Il ne me laisse pas goûter le plaisir de la transformation qu’il me met debout et me couche brutalement sur sa table de travail. Lentement il me caresse le dos, les flancs, les cuisses de ses doigts ou du dos de la main. A genoux, je sens sa barbe sur mes fesses, sa main parcourt à partir du creux de mes genoux l’intérieur des cuisses, s’empare de mon sexe. Il me masse les testicules avant de les broyer, prend la verge en érection et la rabat à 180° vers l’arrière. Ainsi le nez dans mes fesses, il peut me sucer le gland et commence à me branler. Il redevient brutal, me masturbe le tronc en le tirant très en arrière :

— Arrête, je vais jouir !

— Tais-toi salope et donne-moi tout... tu aimes te faire traire ainsi ?

— Me faire traire !... Oui j’aime comme tu le fais !

Et je lui gicle trois fois dans la bouche comme à la régalade. Il finalise en me suçant le méat.

Il se relève, me tape trois, quatre fois violemment les fesses puis les écarte comme pour éclater une pastèque. Il continue en étirant la rosette puis me suce le cul, sa langue est dure et pointue, elle s’insinue dans le petit trou, couvre mes chairs de salive, je sens sa bave couler sur le périnée jusqu’aux couilles.

L’homme s’impose à moi, ses pieds écartent les miens, son gland est sur l’œillet, il me tient fermement à deux mains par les hanches. Je retiens ma respiration, il me tire à lui, je l’accompagne dans sa poussée, un« HUN » bref et strident des deux, annonce la conquête de la place... Il est en moi ! Presque immédiatement je me détends et il glisse au fond de mes entrailles :

— Tu en avais envie... Hein, tu aimes ça, la bite.

— …

— Tiens, prends la que je te défonce bien !

Et ce n’est pas une dizaine de petits coups comme la première fois, il fait durer le plaisir, me laisse avachi, les bras allongés sur le bureau, il continue de me taper sur les fesses tout en me sodomisant... ça me brûle.

Il me redresse en me prenant par les épaules. Les reins creusés mes omoplates touchent son torse. Il m’embrasse dans le cou, gémit de plaisir, sa barbe me caresse le cou, sa langue me lèche l’oreille, le mâle s’impose à moi. Comme chez les grecs anciens, le jeune Eromène avec l’adulte Eraste, je me fais mettre.

— Putain que t’es bonne ! Ce n’est pas stipulé dans ton contrat mais on est d’accord, ça fait partie de ta prestation.

— Ui... ui (au rythme de la sodomie)

— Tiens prends-la bien à fond!

Un coup de reins me pousse contre le bureau et lui reste fiché au plus profond de moi, je le sens vibrer, se contracter, gicler. Depuis un moment ma main est passée sous la table, je me caresse doucement, sans vraiment bander quelques gouttes de sperme coulent du méat. Yanis est couché sur mon dos, je sens sa barbe me caresser. Il se relève et se retire en me donnant une tape amicale sur les fesses.

— Jane, je dois partir. Tu jettes tes frusques de garçonnet et tu emportes ce carton. Rhabille-toi, tel que, Mél sera contente de te laver le cul. Je vais essuyer tes cochonneries sur le carrelage sinon la femme de ménage ne va pas comprendre.

    Bon, tu prends ton contrat tu me le rapporteras signé. Demain tu retrouves directement Fifine et le soir on se retrouve dans mon bureau à 18 heures. J’aime bien faire le point des affaires avec mes cadres après le boulot autour d’un verre.

— D’accord, (il me tend la main pour me saluer) Bonsoir Yanis !

— Bonsoir John et à demain.
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