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Incroyable famille, vue par John

Chapitre 4

John styliste

Avec plusieurs hommes
Deux semaines après ma présentation du projet de développement d’une nouvelle gamme de produits Lebaudy, je reçois un message de madame Petipa la Directrice de notre agence m’annonçant que le prêt est accordé et qu’elle souhaiterait me rencontrer avec le Président pour signer le contrat et parler des modalités du déblocage des fonds.

Le rendez-vous est fixé dès le lendemain soir à 17 heures.
Avec Yanis nous arrivons à la banque et la caissière nous fait entrer dans le bureau de madame Petipa.
Immédiatement la conversation est très professionnelle, la directrice nous confirme l’intérêt que la banque porte à notre projet et nous présente les clauses du prêt : 50000 euros remboursables sur 5 ans avec mise en gage du matériel, le déblocage au vu des factures …

Les formalités se poursuivent lorsque les employés quittent l’établissement et que la caissière laisse à la directrice le soin fermer l’agence.

Peu après, l’opération est conclue. Monsieur Yanis Andropoulos signe le contrat en 3 exemplaires. Les dossiers sont alors rangés, Denise sort le champagne, le tutoiement remplace le vouvoiement. On trinque, on boit et tout s’accélère sous mes yeux. Yanis quitte veste et cravate, je reste à l’écart quand Denise me tire du fauteuil :

— John, tu m’avais promis !

C’est elle qui me déshabille. Comme d’habitude sous mon costume cravate de cadre administratif, je suis en bas et sous-vêtements féminins en harmonie avec mon androgénie. Au même rythme face à moi, Yanis se met à poil, c’est le cas de le dire vu sa pilosité avant de mettre à nu la directrice. Elle reste avec son ensemble de dentelle blanche, un sein-nu et une culotte fendue, dernier cadeau de Yanis.

Sans préliminaire, lui assis sur la banquette, elle se place face à lui et le chevauche les genoux sur le canapé. Après deux trois aller-retours, bien en place elle écarte sa culotte fendue et me tend ses fesses en me regardant d’un œil narquois, la demande est on ne peut plus explicite. Debout à son côté, je lui prépare la rosace de deux doigts et la pénètre sans difficulté.

Nous nous accordons tous les trois, Yanis relève les jambes et de ses pieds me prend par la taille. En légère flexion je m’accroche aux hanches de la banquière et la sodomise un bon moment, entraînant les deux par mon balancement. J’ai les yeux rivés sur les fesses de la banquière et contrôle le va et vient de mon engin.

La salope a de l’expérience en double, elle me masse le tronc de son sphincter alors que mes couilles glabres tapent régulièrement les burnes velues du patron. Cette position fléchie commence à me fatiguer, mes coups de reins deviennent plus saccadés, je ne tiens plus et jouis en un long rugissement. Je me retire en laissant quelques gouttes de sperme tomber. Les deux plus à l’aise continue de baiser, les fesses écartées laissent s’échapper ma semence qui s’étale sur la moquette.

Denise est une sacrée cavalière et Yanis un superbe destrier, je participe à leur coït en embrassant Denise dans le cou et lui pelotant les nichons. Enfin ils atteignent le nirvana en gémissant, en hurlant.
L’affaire se termine par un rapide passage aux toilettes, une dernière coupe, un bisou d’au revoir et un retour à la maison. J’y retrouve ma chérie et lui raconte ma journée... l’excitation est revenue et elle a sa part de plaisir.

.....................................
Le lendemain avec le PDG et le chef de fabrication nous parlons de l’accord de la banque pour le développement de notre gamme transgenre les  commandes d’investissement et mise en route du projet. Il en ressort que la production des articles transgenres impose la confection de patrons de coupe. C’est à ce moment que je pense à la corsetière Lise. (voir John étudiant libertin, chap7)

J’en parle à Yanis et lui fait part d’une possible double collaboration par la diffusion de ses produits par nos réseau et de son côté la promotion de notre marque dans sa clientèle.

— Excellente idée John, je compte sur toi pour engager cette double collaboration !

Inutile de dire que le jour même j’avais rendez-vous avec Élisabeth.

Je n’ai pas vu Lise depuis la soirée "Histoire d’O" lorsque j’y ai rencontré mon père et c’est avec appréhension que je la retrouve.

— Bonjour... JOHN ! Quelle surprise.
— Bonjour Lise.
— Incroyable ! Je ne te connaissais homme d’affaires" elle fait comme si rien ne s’était passé avant ". J’imagine que ce n’est pas la corsetière que tu viens voir.
— Bien au contraire je voudrais travailler avec toi," Elle reste bouche-bée, me fait asseoir et va chercher un café. " Voilà, je suis dans une maison de lingerie féminine et avec mon patron nous voudrions développer une ligne pour transgenre... en cachant les attributs de ces messieurs.
— Aaaaah ! Je comprends, confectionner des articles comme les miens.
— NON, NON, PAS DU TOUT ! que je m’exclame. Nous ne voulons pas entrer en concurrence, bien au contraire. Nous voudrions travailler avec toi à la réalisation de patrons de slip que nos couturières produiraient.
— Donc tu me demandes de dessiner des patrons de couture...
— C’est exactement ça ! Que je t’explique, je pense à deux produits de base, le slip qui découvre au maximum le pubis et dans lequel le sexe est plaqué au périnée et le slip où il est plaqué au ventre et ouvert sur le derrière... regarde ces deux croquis.
— Oui, oui c’est très clair, pour celui plaqué sur le ventre vous le travailleriez comme une culotte gainante.
— Parfaitement, on veut que le travesti puisse porter des pantalons féminins.... Mais surtout notre idée est de développer avec toi une réciprocité de représentation. Notre clientèle est haut-gamme et peut s’intéresser à la corseterie, tout comme la tienne peut s’intéresser à notre lingerie.
— Superbe idée, ça me plait beaucoup, je vais tout de suite travailler à vos patrons mais avant nous pourrions …

La coquine est déjà levée, elle me prend par la main et m’entraîne dans sa chambre... La dernière fois j’y étais, c’était avec mon père. Sa robe très stricte d’apparence cache une vraie salope dans son corset de cuir rouge qui creuse exagérément la taille et retient des bas rouges. Je connais ses goûts de dominatrice et la laisse me déshabiller,

— Ben dis donc on voit que tu travailles dans la lingerie !

Je suis en nuisette très seyante qui me couvre jusqu’aux hanches, avec un serre taille, des bas et un tanga, de soie noire et brodés bleu.
Lise est très autoritaire mais aussi amoureuse que gourmande. Nous sommes déjà sur le lit à nous câliner. Nos baisers sont intenses, ses mains me couvrent de caresses, reconnaissent mes formes, la dentelle de ma nuisette ne cache rien de mes tétons qui bandent au travers des trous. Je ne perds pas un instant pour lui masser les cuisses, lui pétrir les fesses, sa poitrine de cinquantenaire est ferme et redressée par son corset alors que son ventre à la toison bien coupée est nu.  Elle me rend la pareille quand elle se rend compte que je porte ma cage :

— Toujours enfermé !
— Exigence de mon patron.
— Ah ! Tu fricotes avec ton patron !
— Oui... mais comme avec toute la famille.
— Et ta copine ? Gigi (ma propriétaire est aussi amie de Lise) m’a dit que tu étais en ménage.
— Avec Mélina... C’est leur fille. C’est par elle que j’ai connu le père lors d’une soirée et qu’il m’a embauché.
— Putain ! Quelle incroyable famille !!! Bon, tu me donnes les clés.

Elle connais le système et m’en débarrasse. L’ogresse reste sur mon ventre et rapidement me fait bander. Telle qu’elle est allongée à mon côté, je n’ai à ma disposition que ses jambes et ses fesses. Le corset comprime tellement la taille que les hanches paraissent plus rondes et amples. Je caresse négligemment mais avec d’autant plus de sensualité ses mollets, le creux de ses genoux et m’insinue entre ses cuisses qui s’écartent au fur et à mesure de ma progression. Je suis dans l’entrejambe, je touche la vallée humide en même temps ma langue agace la plante du pied.
Elle se décide enfin à s’offrir... à s’imposer ! En me regardant, elle me chevauche la poitrine, ses jambes bloquent mes bras le long du corps. Elle s’assoie sur mes lèvres, mon nez contre son clito. Je manque d’air, je tire la langue et c’est elle qui dirige l’opération en se tenant à la tête du lit. Je ne suis qu’une langue sur laquelle elle s’excite.

— Tu sais que je suis une Dominatrice, que tu n’es qu’un sex-toy.’’ Elle se relève pour descendre d’un niveau et se planter sur mon chibre. ’’Je me fous de ton plaisir, seul le mien compte, fais-moi jouir avant de me donner ta sauce, sinon je te fouetterai.

C’est elle qui danse sur ma bite, son vagin s’anime, me masse, me suce. La pression du corset la fait paraître matrone, les seins gonflés, les hanches larges. Ma seule liberté d’action mes mains sur ses seins. Je sais intensifier mes caresses, je sais masser la mamelle, pétrir la pâte, pincer le téton jusqu’à la douleur, accroître le plaisir, la mener du gémissement, aux cris. Elle hurle et elle jouit alors que je l’arrose de quatre jets puissants.
Elle s’écroule sur moi. Sa bouche cherche la mienne, la trouve, on s’embrasse à nouveau comme des sauvages. Lentement la violence disparaît, les mains deviennent douces, les caresses frôlements.
On se sourit, un dernier baiser, le cadre se rhabille, retrouve son calme et sa dignité.
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