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Incroyable famille, vue par John (suite)

Chapitre 2

John et ses amis - 2

Gay
J’amène Mateo et Justin dans ma chambre. Elle est petite, juste un grand lit, de un mètre 60, avec deux chaises en guise de table de chevet, deux petites lampes et deux boîtes de lingette. Pour agrandir l’espace Mélina a placé de chaque côté un grand miroir qui fait que l’image se répète à l’infini.

— Impossible de faire l’amour à deux ici ! s’exclame Mateo en rigolant.

Il se couche en travers du lit et entraîne Justin à quatre pattes avec lui. Assis au bord du lit j’ai sous les yeux ses seins d’ado et je vois dans une glace son postérieur, dans l’autre sa tête sur le ventre de l’espagnol. Je les regarde faire en lui caressant négligemment la raie des fesses. Le petit trou que je sens, que je vois se dilater, est irrésistible. Je me lève, l’embrasse et le couvre de salive. La position en diagonale des deux sur le lit m’impose une acrobatie pour le pénétrer, avec un pied par terre et un genou sur le lit. Je commence à limer Justin qui est rapidement martelé des deux côtés.

Mateo heureux, tout sourire, appuyé sur ses coudes nous observe, il voit dans le miroir le rosebud briller de tous ses feux entre mes fesses... Ça lui donne des idées :

— Tiens Justin allonge-toi, John va te prendre comme une fille.

Je retrouve celle que je connais, Justine, ses petits seins, ses lèvres pulpeuses, son puits d’amour bouillonnant.. Elle s’offre, le bassin relevé, les jambes largement ouvertes sur les côtés. Une grande affection nous unit, ce n’est pas que sexuel entre nous, on commence à faire l’amour tendrement.

Mateo ne reste pas inactif, il est déjà sur mon arrière-train. Il s’amuse avec le bijou bien en place dans mon fourreau qui fait ventouse, avec difficulté il le détache, puis le fait aller et venir pour enfin le sortir. Sa bouche, ses doigts le remplacent, je sens la salive couler puis son gland appuyer. Il force, je l’accompagne, je le reçois, il est plus gros que je ne le pensais.

Il est en moi, il se fixe bien au fond. L’homme me prend par les hanches, se solidarise à mes fesses et donne le rythme à ma sodomisation. Puis ayant trouvé sa place dans mes chairs, de ses deux mains sur mes reins il me plaque au ventre de Justin et me laboure de plus en plus fort. Son chibre sort régulièrement de mes fesses pour y replonger brutalement.

Quel bourrin, j’ai l’impression d’avoir l’anus éclaté, je ne sens que le choc répété de son ventre. Il ne cesse de râler et me donne l’estocade. Le glaive me transperce profondément avec un grand ’’AAAHHH’’ victorieux. Ses contractions sont puissantes, il se vide et reste jusqu’à se liquéfier en moi ; enfin il se retire, tombe sur le côté en soufflant comme un taureau.


Avec beaucoup de tendresse, Justin et moi restons accouplés, bougeons à peine, j’ai joui sans m’en rendre compte sous les assauts de Mateo, on se regarde, se sourit, on s’embrasse amoureusement. Je vire sur l’autre côté complètement vanné, Justin se redresse juste pour prendre sur la chaise voisine deux lingettes et nous les donner.

…..


On reprend notre souffle, allongés côte à côte. Une main se pose sur moi et me sors de ma somnolence. Je trouve celle de l’espagnol sur le sexe de Justin. Mateo rompt le silence :

— Putain que c’était bon !... Dis-moi John, t’as un cul d’enfer et une bite en béton.

— C’est ce qu’on appelle être Bi, que je réponds en rigolant.

— Ouais mais ton cul à ce point !!!

— Je dois dire qu’en ce moment je reçois plus que je ne donne ! Mais là, tu m’as mis la double dose.

— Mais tu dis que t’es en couple avec une Nana, je ne comprends pas, tu nous racontes un peu ?

Après un long silence j’explique mes relations avec mon patron, puis mon service tous les quinze jours à ’’La Nouvelle Athènes’’.

— Et ta femme ? S’étonne Justin.

— D’abord mon patron est son père ! et elle s’en amuse.
J’explique aussi son absence et ses relations avec sa belle-mère.

— Quelle incroyable famille ! s’exclame Mateo.

Depuis un moment, Mateo tète les seins de Justin. Tel que le monsieur est placé je caresse l’extérieur de sa cuisse du plat de la main. Immédiatement son compas s’ouvre à 90° et libère deux belles couilles qui semblent à nouveau bien pleines et un jonc endormi dans la broussaille épaisse. Délicatement je relève la tige du bout des doigts, ma langue taquine le bourgeon avant de lécher la queue sur toute sa hauteur, je tripote les deux fruits comme pour jouer aux osselets. L’effet magique ne tarde pas. Le jonc se dresse, grossit, durcit. La queue devient une grosse banane macho.

Mateo renverse la situation ; avec force il soulève Justin d’une main, le met en levrette et l’encule d’un coup lui provoquant un grand « AH ! ». Appuyé à son dos il enserre sa poitrine de ses deux bras. Je vois le couple se répéter à l’infini dans les miroirs, d’un côté le cul poilu avec les couilles proéminentes de Mateo de l’autre Julien, les yeux fermés, la bouche grande ouverte en recherche d’air. C’est un accouplement intense, les deux sont à l’unisson. La saillie dure longtemps ponctuée de gémissements.

Ensemble ils se redressent sans changer de rythme. L’homme collé au dos, la tête appuyée sur l’épaule de Justin regarde dans le miroir les deux corps si différents, si complémentaires. La puissance de l’un et la fragilité de l’autre, le poil noir et le cheveu clair, le teint basané et la carnation blanche, la peau velue et la chair glabre. Le mâle dominant, bouscule la femelle et insémine son ventre dans un rugissement audible par les voisins.

Comme la fois précédente, il s’écroule sur le côté et laisse Justin pantelant comme une chienne fourbue, un filet de sperme s’échappe de l’anus. Je tends la lingette à Mateo et essuie avec attention les fesses de Justin avant de le prendre dans mes bras. Il reste sur le côté épousant ma position en cuiller. Je crois qu’on s’endort un moment.

…..


Ce sont les cloches de Notre Dame qui me réveillent... Douze coups. Il est minuit. Je murmure à Justin :

— Tu n’as pas faim ? Il répond d’un sourire et d’un signe de tête.

Mateo dort. Je me lève sans faire de bruit et prépare à côté un plateau de fromage et de charcuterie, j’ai aussi quelques fruits, une bouteille de vin, voilà de quoi ranimer ce beau monde. En revenant dans la chambre je retrouve les deux réveillés, Justin donne à nouveau la tété à Mateo. Je les interpelle :

— Mateo, inutile tu n’obtiendras rien de ce côté. Venez plutôt je vous ai préparé un plateau repas.

— ’’Que buena idea, tengo hambre !’’ braille l’espagnol.

On se retrouve tous les trois à poil dans le séjour. Justin assis sur une chaise face à nous deux.

Mateo revient sur notre discussion de ’’La Nouvelle Athènes’’, et me demande des précisions. Je n’y suis allé que quatre fois mais j’ai accumulé des anecdotes croustillantes.

— Combien le plus vous étiez ?

— Une fois il y avait 12 hommes et 10 garçons mais généralement ce sont plutôt 7/8 pour 4/5 garçons.

— Et les soirées commencent tôt ?

— Je crois que le club ouvre en milieu d’après-midi et ferme très tard. Un soir Yanis m’y a conduit à 20 heures, on en est sorti les derniers à 2 heures du matin.

— Tu t’es fait tringler pendant 6 heures !

— Oh non ! Parce qu’on joue aussi aux cartes, celui qui perd à un gage ou la carte indique un partenaire, une position, il y a aussi le service des boissons, il faut préparer des sandwichs, présenter les plateaux repas.

— Et la baise dans tout ça ?

— Ça reste l’essentiel bien sûr, fellations, fornications. A deux, trois ou plus. Parfois plusieurs hommes s’occupent de nous en changeant de partenaire toutes le 5/10 minutes.

Justin nous écoute en se tripotant les tétons alors que inconsciemment j’ai pris en main la queue de Mateo, tant et si bien qu’il bande à nouveau comme un cheval.

— Tiens ! Viens mon chéri, occupe-toi de moi comme au Club !

Il m’impose une fellation ; un coup violent au fond de la gorge me fait régurgiter un flot de salive. Il me relève et m’assoit sur lui. Je me retrouve dos à lui emmanché sur son chibre, il me tient par les tétons. En appui sur mes jambes je suis la chevauchée qu’il m’impose en me tenant par les seins.

Justin nous a rejoints et il s’occupe de mon rat sans patte qui en deux coups de main a pris belle allure en battant la mesure de ma cavalcade jusqu’à ce qu’il le prenne en bouche. Je me fais sucer et enculer comme jamais. Je m’enfonce la bite dans le cul ou au contraire enfonce la mienne dans la bouche de Justin. Il tient ma queue d’une main et pelote les couilles de Mateo de l’autre.

On baise ainsi encore un bon moment, je suis le premier à lâcher la sauce que Justin avale à titre de dessert. Puis Mateo bloque ma danse, je le sens vibrer et m’arroser une seconde fois les intestins.

Il me pousse pour me relever, je suis cassé. Je le prends par la main :

— Tiens Mateo, viens, j’ai un cabinet de toilette avec une douchette.

Par manque d’espace, chacun notre tour nous prenons une douche. Justin le dernier alors que Mateo se rhabille. Dès que Justin sort de la douche, il nous quitte :

— Salue, les filles, vous êtes superbes mais dans quatre heures je dois prendre mon service !

Il nous embrasse toutes les deux et s’enfuit. On se regarde, se sourit.

— Tu reste dormir... Justine ?

Pour toute réponse elle me prend par la main et va dans la chambre.
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