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Incroyable famille, vue par John (suite)

Chapitre 3

Service privé

Erotique
En ce vendredi de fin juillet, mon patron, Yanis, vient dans mon bureau :

— Salut John, demain je pars en croisière et je te laisse les clefs de la maison (je rappelle au lecteur que je suis Directeur adjoint de son affaire). Je te souhaite bon courage et on se retrouve dans 15 jours à Santorin. Tiens ce courrier, tu as rendez-vous la semaine prochaine avec monsieur Martin, surtout n’oublie pas. Allez, je te laisse, Nadine m’attend, tu embrasseras Mélina (leur fille et ma compagne) pour nous. Demande lui d’aller retirer vos billets d’avion à l’agence, ils sont commandés.

Il me quitte en me donnant une poignée de mains, face au personnel pas de familiarité. Dès que je me retrouve seul dans le bureau j’ouvre l’enveloppe qu’il m’a donnée :

La Nouvelle Athènes

Club privé

John tu te rendras chez monsieur Robert Martin, 152 rue Vaugirard, Paris 15ème, vendredi 3 août à 19 heures pour un Service Privé.
Hygiène et Tenue de Club de rigueur.
Ton Parrain Yanis

Depuis mon inscription au Club, je savais que mon engagement à servir les Membres de "La Nouvelle Athènes" s’entendait sans limites et que mon parrain pouvait me demander de tels services mais c’était la première fois que Yanis le faisait. Robert Martin, Bob, je le connais... C’est un géant, c’est une fine lame et c’est aussi le parrain de mon copain Janot.
J’ai toute une semaine pour y penser et me préparer. Avec Mélina on en parle souvent sur l’oreiller. Elle s’intéresse beaucoup à mes relations de "La Nouvelle Athènes".
….....................


Une semaine c’est long et c’est court quand on se retrouve pour la première fois en charge d’une société. On se fait rapidement dépasser par les problèmes, les clients et les fournisseurs. Et me voilà ce soir au pied du mur pour mon rendez-vous. Il est 18 heures quand je ferme le bureau. Je fonce à la maison pour me préparer, en aucun cas je pourrai être à l’autre bout de Paris à 19 heures.
Mélina m’aide à me changer et me taquine au moment de partir:

— Mon chéri, dépêche-toi, tu vas être en retard et ton ’’Papa’’ va te punir !.

Entre nous, on appelle les Membres du Club des ’’Papas’’ vu leur âge et Mélina sait comme moi que tout manquement par rapport à eux peut entraîner une punition. J’ai beau courir, le temps de transport fait que j’arrive avec une heure de retard à mon rendez-vous. C’est tout essoufflé que je me présente à la porte en costume :

— Bonsoir monsieur, je vous prie de m’excuser.
— Bonsoir John, (il me fusille du regard) question excuse on en reparlera plus tard. (Très en colère il rajoute) Il était prévu Hygiène et Tenue du rigueur.
— Oui monsieur,( et tout en me déshabillant je murmure), je suis prêt mais je ne pouvais pas voyager en tenue dans le métro.

En un minute je suis quasiment nu avec mon pagne, j’ajuste mon nœud papillon et sors de mon sac la cape en viscose bleu-nuit avec l’inscription ’’Nouvelle Athènes’’ brodée en lettres d’or.

— C’est mieux ainsi ! Et l’hygiène ?
— C’est fait monsieur mais si vous permettez je vais vérifier.
— Oui et dépêche-toi, c’est au fond du couloir à droite ! ( en même temps il appelle) Danielle tu es prête ?
— Oui, mon chéri j’arrive.

En sortant des toilettes je découvre une femme svelte, élégante, haut perchée sur des talons aiguilles qui l’approchent du mètre 90 de son mari. Elle a des petits seins, peu de hanche mais ses cheveux blancs et son visage dégagent un charme irrésistible. Son battement de cils confirme qu’elle en est consciente. Elle est très joliment maquillée et porte une robe d’été boutonnée sur le devant dont certains boutons oubliés font que ses jambes se découvrent à mi cuisses et laissent entrevoir un joli soutien gorge blanc.
Dans la voiture je monte à l’arrière et avec la chaleur je quitte la cape. Danielle assise à l’avant près de Bob m’observe dans son miroir de courtoisie, elle me découvre torse nu avec mon nœud papillon. Évidemment avec Janot, le filleul de Bob, elle connaît la tenue de Garçon de salle :

— John tu es ravissant, j’aime tes courbes très féminines et j’espère que tes relations ne se limitent pas à celles avec les hommes ?
— Non madame, je suis en couple !
— Et te savoir au service d’hommes, ne gêne pas ta femme ?
— Elle s’en amuse, et de son côté elle aime goûter aux plaisirs saphiques.
— Et l’amour avec le 3ème sexe ?
— Également madame je partage ces plaisirs, moi-même je me travestis....
— C’est vrai, j’adorerais te voir en fille !
— Pourquoi pas... alors je m’appelle Jane. De naissance je suis androgyne et je maintiens mes formes par des exercices et mon habillement.
— Pas de seins mais tu as de vrais tétons de fille !

Depuis un moment elle s’est retournée complètement vers moi, appuyée d’une main sur son dossier son autre main me caresse le genou, descend sur le mollet, les chevilles et remonte sur ma cuisse :

— J’aime ta peau de bébé, la finesse de tes attaches, le galbe de ta jambe, tu as tout d’une femme !... (Jusqu’à ce qu’elle atteigne mon entrejambe et qu’elle élève la voix) Sauf Là ! Une vraie ’’banane macho’’... Ce n’est pas comme l’asperge de notre Janot n’est-ce pas Bob ?.
— Danielle un peu de tenue s’il te plait, nous arrivons.

Effectivement dans une banlieue chique de l’ouest parisien nous arrivons devant un grand portail en bois peint en blanc, il s’ouvre et apparaît une maison de maître style Mansart.
Je reconnais Nike qui se dirige vers nous, un noir rencontré au Club lors de mon inscription, un basketteur avec un marteau pilon entre les jambes. Il est en survêtement blanc et accompagné d’une brésilienne à la peau cuivrée, très maquillée, ses cheveux auburns lui arrivent aux fesses, elle est habillée d’un short blanc extrêmement moulant et au ’’ras de la touffe’’ comme on dit et d’un top en coton blanc côtelé beaucoup trop petit qui fait que ses seins, probablement du 90D, débordent par le haut et les côtés. Des sandales à semelles compensées mettent la jeune femme au niveau du compagnon.

— Vous êtes en retard ! Crie le Black.
— Ne m’en parle pas, j’ai un compte à régler avec John.
— Ce n’est pas grave, nous avons toute la nuit. Je vous présente ma compagne Johanna, ’’do Brasil’’ !

La voiture garée sur le gravier de la propriété, nous passons immédiatement à l’arrière de la maison où les haies nous protègent du regard des voisins. A peine avons-nous passé le coin de la maison que Nike me retire la cape et se plie presque en deux pour m’embrasser dans le cou. Je sens ses lèvres gourmandes, ses dents et sa langue me couvrir de salive :

— Je suis content de te retrouver ma p’tite caille mais pour l’instant file à la cuisine Janot t’attend !

Effectivement je retrouve mon copain en tenue ’’Nouvelle Athènes’’, pagne et nœud papillon. On s’embrasse sur la joue comme deux potes mais on n’a pas de temps à perdre il faut servir les apéritifs. On apporte flûtes et bouteilles de champagne. Très stylés, une main dans le dos, tenant la bouteille d’une main avec le pouce dans le cul, nous faisons le service penchés vers nos convives, puis nous servons les canapés. Nous passons presque inaperçus comme de simples serveurs, nous laissons les deux couples discuter et retournons en cuisine pour préparer le repas :

— Mais que fais-tu là Janot ?
— Bob, mon parrain, m’a prêté pour une semaine à Nike.
— Mais pourquoi faire ?
— A ton avis... Pour enfiler les perles ? Crois- moi il a de l’appétit et il façonne mon petit trou à sa dimension au moins deux fois par jour. Regarde !

Il se penche et me fait voir son anus, l’œillet est tout enflammé, le rouge de l’inflammation déborde largement sur les côtés et l’anneau ne se referme plus complètement, on croirait une gueule de poisson qui respire quand il se contracte et relâche alternativement.

— Et la brésilienne alors, elle ne te soulage pas ?
— Celle de ce soir, Johanna, c’est une pute, je ne la connais pas.
— Putain elle est sacrément roulée.
— Ouais, mais attention c’est peut-être un travelo, il les aimes autant que les jeunes garçons. Bon on n’a pas de temps à perdre, va servir une autre flûte et je commence à préparer la table, le repas va être livré par le traiteur.

Lorsque je reviens dans le jardin, tous rigolent à gorge déployée. En garçon stylé je reste discret et sers le champagne sans prêter attention à la conversation . L’atmosphère s’échauffe. La bouteille vide je vais pour retourner en cuisine quand Nike m’attrape et m’oblige à m’asseoir sur ses genoux. Il m’entoure de son bras et me pince violemment mon téton avant de m’embrasser à pleine bouche. Je n’aime pas et l’évite mais il me bloque contre lui. Ses lèvres épaisses font ventouse, sa langue me pénètre comme un pénis, elle force le passage entre mes dents et envahit toute ma cavité. Elle me paraît énorme, épaisse, elle va et vient, et repousse la mienne ridiculement petite. Puis il arrête, courroucé il me crie dessus.

— Dis donc p’tite pute, tu as déjà refusé de m’embrasser au club, tu veux que je t’apprenne comment on fait ?

Pour toute réponse, je ferme les yeux et l’embrasse en plongeant mon petit appendice dans sa gueule. Il s’en amuse, m’aspire avec force, tire sur mon frein et me mord d’un coup sec. Je me retire brutalement une larme aux yeux. De retour en cuisine Janot qui a suivi l’altercation me conseille d’être très docile comme au Club.
Le repas se sert à table. Généralement le convive me demande de le servir, exercice que je pratique assez bien alors que les mains se glissent entre mes jambes à la rencontre de mon paquet ou de ma petite fente. Après la salade du Périgord et la pintade aux cèpes, les couples décident de faire une pause et de s’amuser un peu avec nous.
Janot est pris par les deux hommes quant à Danielle elle m’entraîne à danser. Comme pour m’inviter à aller plus loin elle abandonne ses chaussures ce qui la met à ma hauteur, ouvre un bouton de son chemisier et me défait mon nœud pap.
— C’est vrai qu’il faut t’apprendre à embrasser ?
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