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Incroyable famille, vue par John (suite)

Chapitre 4

Service privé - 2

Orgie / Partouze
Ce soir je suis un Garçon du club  "La Nouvelle Athènes", prêté par mon parrain Yanis et au service de deux couples libertins.

 Après avoir servi l’apéritif et le dîner une des épouses m’invite à danser.A son interrogation " Est-ce vrai qu’il faut t’apprendre à embrasser ?" je réponds par un baiser intense. Je lui démontre toute ma sensualité et ma douceur en défaisant les derniers boutons de sa robe qu’elle rejette en arrière. Danielle a la cinquantaine dépassée et sans être une beauté elle est charmante. Elle est à présent en serre-taille de dentelle qui lui arrondit les hanches et en soutien-gorge qui couvre sans avoir besoin de soutenir ses deux nénés qui ne remplissent pas mes mains. Le mini-string blanc qu’elle porte me rappelle une de mes créations mais son ventre plaqué à mon pagne empêche toute investigation. La femme a surtout de belles jambes et un très bel arrière train, aux fesses rondes et bien fermes. On danse depuis un moment, je défais son soutif et découvre ses tétons bien plus petits que les miens.

A l’écart de la terrasse, dans une semi-pénombre, un gros arbre abrite un canapé et un lit en fer forgé couverts de matelas et de coussins ; à une branche est suspendue par quatre chaînes une sorte de grande balancelle en cuir.

Danielle m’entraîne et me pousse sur le lit. Elle prend le dessus et pèse sur moi de tout son poids les jambes relevées. Mon corps s’imprime dans le sien, je ne vois que ses yeux bleus et ses cheveux blancs. Ses lèvres ont un goût de rose, son baiser n’est que douceur. Son bassin en allant de droite à gauche me met le feu au ventre.

— Oh John, que tu es dur !

Elle glisse sur moi vers le bas et se retrouve à genoux entre mes jambes, elle écarte mon pagne et va directement à l’objet convoité, elle me suce, me caresse, m’excite à me faire mal et m’interdit de la toucher, un véritable supplice de tantale. Enfin elle vient sur moi en mettant mes mains au dessus de ma tête. Elle me chevauche et là, elle me présente effectivement ma création, le string ’’Brésilien’’, le slip cache une petite quéquette mollassonne entre ses cuisses. Danielle est une trans ! Je veux la toucher mais elle retient ma main :

— Tu sais mon chéri après 40 ans d’hormones tu ne peux plus rien lui demander, par contre ma petite chatte est un vrai puits d’amour.

Elle s’emmanche sur ma queue et me fait connaître l’extase avec une relation sexuelle très particulière. Elle danse, elle masse, ses mains, sa bouche m’enflamment. Je l’accompagne dans sa chevauchée en relevant les genoux et basculant le bassin Tout son être me couvre, ses seins excitent mes tétons. Son sphincter se contracte en rythme, il jute comme un vagin et me couvre de jouissance. Nos gémissements et le chuintement de notre coït s’amplifient dans la nuit. Je me laisse aller, me libère en un râle obscène et explose dans son ventre en longues saccades. Elle reste sur moi, me masse tant qu’elle peut, veut garder en elle ma verge qui fond et ressort de sa grotte au moment où j’allonge mes jambes sur le lit.

Je constate que les quatre autres nous entourent en spectateurs. C’est Nike, le basketteur noir qui nous sépare, il met Danielle au bord du lit, ses genoux sur la poitrine et lui, à genoux au sol lui bouffe le cul en se régalant de mon jus.

Janot, un autre Garçon du club, vient sur moi en levrette pour me faire un nettoyage en règle et m’offrir son asperge au gland tout rose à sucer, alors que sur le canapé Bob se fait tailler une plume par la Brésilienne.  Les libertins savent gérer leurs efforts et le Maître de maison, Nike nous rappellent à l’ordre :

— Dites donc les Garçons, un peu de tenue, la glace va fondre, allez préparer le dessert !

Sous une crise de rires on se relève, avec Janot on file à la cuisine et les quatre convives retournent à table. 

Au moment de présenter le dessert, à la demande de Nike, Danielle s’allonge sur la table, elle a abandonné string et serre taille et on nous demande de présenter le dessert sur le corps nu. En cinq minutes le dessert est en place. Entre fruits, glaces, entremets et crèmes, avec cuillères et seringues à pâtisserie, le corps est magnifiquement décoré.

Avec Janot et les trois autres convives nous nous partageons le dessert. Langues, lèvres et doigts s’activent de partout. On passe d’un sein à une bouche, d’un abricot à un éclair, on titille le nombril ou l’aisselle. Tous gouttent à même la peau aux fruits sur les seins, aux entremets dans la bouche, aux crèmes avec framboises et groseilles sur le ventre, à la glace posée au creux des cuisses et du pubis. Je veux la limace qui s’y trouve cachée, avec l’aide de Johanna à ses pieds, les jambes s’écartent, le reste de glace coule sur l’animal qui dort sur le périnée. Les deux coucougnettes ne sont pas plus grosses que des framboises. Je touche enfin le pénis. Ma bouche le relève de son lit et le gobe. Occupée par ailleurs Dany me laisse faire et même s’offre à moi en élevant légèrement le bassin et contractant les fessiers. J’ai en bouche peut-être six centimètres d’une tige molle, couverte de crème glacée et épaisse comme un doigt. Je suce, j’aspire, je mordille mais rien n’y fait. J’ai beau décalotter, pincer, tirer, titiller rien n’y fait, le sexe reste inerte, par contre l’anus crie famine et m’avale deux doigts.

Le dessert se termine, tous quittent la table et Nike conduit Danielle à la salle de bain. En revenant elle veut sa part du gâteau. Les deux hommes nous prennent, Janot et moi entre eux. Assis tous les quatre un peu à l’étroit sur le canapé nous offrons nos sexes aux bouches gourmandes des deux dames. Je suis contre Nike, celui-ci décide à nouveau de me rouler un patin. Après un instant de refus je me laisse envahir. J’ai l’impression qu’un pénis me force les lèvres, c’est un véritable acte sexuel qui se déroule, une pénétration, rien à voir avec un baiser. Pendant ce temps mes deux voisins me tripotent et une bouche me dévore le ventre. J’ai en main la matraque de Nike et partage l’asperge de Janot avec son parrain. Le Black me regarde :

— Je te préfère ainsi ma p’tite caille, bien soumise.

Il m’embrasse à nouveau goulûment.  La tension est longtemps maintenue sans faire exploser la jouissance. Les deux femmes entretiennent nos forces et décident de nous offrir un spectacle. L’une habillée et l’autre nue, se relèvent et entament une sorte de lambada, l’une accolée au dos de l’autre. C’est d’abord Danielle en second plan qui par ses caresses soulignent les formes de Johanna, avant de pivoter ensemble et de nous offrir son petit cul nu. Elle est super sexy. La brésilienne retire son top avant de revenir face à nous avec ses deux pamplemousses couverts de ses mains. Danielle à nouveau en arrière s’attaque à la ceinture du mini short qui semble exploser à l’ouverture du dernier bouton. Immédiatement je reconnais mon autre création ’’Coup de cœur’’ cette gaine qui cache les très gros rats sans patte des travestis en les plaquant sur le ventre. Un demi-tour sur elle-même, Johanna nous expose ses fesses dénudées par le cœur découpé dans la culotte. C’est elle-même qui de dos abaisse sa gaine et nous exhibe son œillet violet au bas de la vallée à la peau cuivrée.

Les deux trans terminent leur danse en nous faisant face. Une brune aux gros seins siliconés et une aux cheveux blancs et seins d’ado, l’une avec une grosse banane au garde-à-vous et l’autre équipée d’un petit limaçon endormi. Ceci étant, la surprise est totale, l’une et l’autre habillées ont trompé leur monde, l’une très provocante, l’autre très bourgeoise.

Danielle organise la suite de la soirée en s’intéressant à Janot qu’elle emmène sur le lit alors que Johanna me conduit vers la balancelle en cuir. Elle s’y installe confortablement sur le dos comme dans un hamac les bras et les jambes relevés sur les chaînes auxquelles elle me demande d’attacher poignets et chevilles. Bob m’accompagne et nous nous partageons la tâche et les appâts, moi je suis plutôt ’’Polla’’ et lui ’’Culo’’. Assis parterre il lui bouffe la raie des fesses tout en me pelotant les couilles alors que je m’occupe de la queue de la belle et de ses seins. Je reconnais que les seins siliconés sont attractifs visuellement mais au toucher je préfère les hormonés. Par contre son engin entre les cuisses est irrésistible. Une belle grosse queue très sombre aux veines saillantes entièrement épilée qui ferait pâlir bien des africains. Je tiens le pieu à deux mains et le suce avec frénésie. 

Depuis un moment Bob me pompe, je bande comme un turc et il pointe ma queue sur l’œillet. D’une simple poussée, je le pénètre sans difficulté tellement bien lubrifié. L’homme se relève, me caresse avec beaucoup de douceur le dos, puis mes fesses, sa main accompagne mon va-et-vient dans le ventre de la belle. Je le sens me couvrir le fion de salive tout en me massant copieusement de ses doigts. Il me fait creuser les reins et d’un coup puissant il me pénètre. Nous voilà tous les trois en harmonie mise à part notre différence de taille. Je me grandis sur la pointe des pieds et en me tenant aux chaînes. Je sens sa respiration dans mon cou, j’aime cette position en sandwich. L’homme bien en place, s’en prend au vit de la brésilienne tout en me labourant. Il la manipule tant et si bien qu’elle jouit rapidement et nous couvre de grandes giclées blanchâtres tout en gueulant. Je sens alors Bob "déculer" et tout de suite un autre membre se présenter entre mes fesses.

C’est Nike ! La fine lame cède la place à une matraque d’au moins 6 centimètres d’épaisseur. J’imagine qu’elle sort directement des entrailles de Janot et qu’elle est couverte de la jouissance de mon ami, cette idée m’excite et je m’offre d’autant mieux. Il s’applique, il vient sur l’anneau, tente, repart, lèche, mouille, doigte. Deux doigts d’abord puis trois, me forent, m’élargissent. Son gland se positionne à nouveau. Depuis un moment je ne bouge plus et Johanna maintient mon érection de son muscle anal.

Nike me tient fermement par les hanches, son gland est sur ma pastille, je pousse au maximum pour mieux m’ouvrir. Mes chairs se distendent, s’écartent laissent passer l’énorme gland oblongue... Je le sens bien, inutile de guider Nike, il est patient, il sent la pression de mon anneau faiblir, le moment est venu, la longue matraque s’enfonce, élargit progressivement le sphincter. Il touche le fond de l’ampoule, ne va pas plus loin, il se fait sa place, bouge lentement, ramone le tuyau. Puis il me dit en me soulevant de terre :

— Accroche-toi !

Je pars en avant, bascule sur le corps de la ’’fille’’ en même temps qu’il se redresse. Je vole, bien fiché dans le ventre de Johanna, pour garder l’équilibre je me tiens fermement aux chaînes, contre ses poignets.

 Nike me tient à la taille et il donne la cadence à notre trio. Mon ventre s’habitue à la taille du bélier qui le défonce. Mon corps se soude à la "fille". J’aime le balancement imposé. D’un coup de reins plus puissant Nike transperce l’ampoule et ouvre les intestins, son ventre se colle à mes fesses, il est tout entier en moi. Depuis un moment ma jouissance bouillonne dans mes testicules, je la retiens mais les coups de boutoir me font perdre le contrôle et dans un râle sourd je me vide dans le ventre de Johanna au moment où Nike dans un rugissement m’envoie en avant en relevant la balancelle dans laquelle je suis couché avec la brésilienne. Il se vide tout au fond de moi. Il reste un moment soudé à mes fesses

— Putain John que t’es bonne, si large, si profonde, laisse-moi encore venir.

Je le sens encore vibrer en moi. Seulement trois, quatre minutes plus tard, on se défait les uns les autres.

Je suis couvert de sperme, le ventre, la poitrine, les fesses, je le sens couler sur mes jambes, mon cul est en feu, malgré mon éjaculation, je bande encore. Johanna m’emmène à la douche que nous prenons ensemble. Très gentiment enlacés, nous sommes épuisés et profitons du bien fait de l’eau qui ruissèle sur nos corps.

En revenant Janot a servi des jus de fruit pour tous. Il n’y a plus de Monsieur, Madame, Garçon mais six libertins. Il est tard, je pense qu’on va bientôt rentrer lorsque Bob se lève et avec autorité m’ordonne :

— John mets-toi à plat-ventre sur la balancelle.

Je suis debout, penché dessus et il attache mes poignets aux chaînes les plus éloignées. Nike revient de la maison avec une badine de cuir noir de près d’un mètre et nous montre sa souplesse en la fléchissant. Il la donne à Bob qui me caresse une fesse quand sa main se lève très haut et me crie :

— John, je n’aime pas attendre !

Vlan ! Vlan ! À deux reprises la badine siffle dans l’air et s’abat sur ma fesse. Les deux coups sont rapprochés et violents. Je ne sais si c’est une brûlure ou une entaille qui me donne une telle douleur, insupportable. Immédiatement Nike ajoute :

— John, je n’aime pas qu’on me résiste !

Vlan ! Vlan ! La badine frappe l’autre fesse de la même manière. Mes pieds se dérobent, je ne suis retenu que par le cuir de la balancelle, je crois que je vais m’évanouir.

Bien après, quatre mains me ramènent en douceur au moment présent. Elles me caressent, les doigts suivent les entailles. Mes fesses sont en feu, on y étale une fine couche de crème qui apaise rapidement le feu des coups. On m’aide à me relever, on me couvre juste de la cape, Johanna me prend dans ses bras, me console et m’embrasse dans le cou. Je sens sur mes fesses les doigts de Danielle effleurer les quatre fines boursoufflures, la douleur se diffuse sur tout l’arrière train. Elle me prend par la main et me conduit à la voiture. Je monte à l’arrière, je me sens incapable de m’assoir et me mets à genoux au sol la tête sur la banquette arrière. Danielle vient à mon côté et pose ma tête sur ses cuisses nues en me caressant les cheveux, on parle peu sur le chemin du retour.

— C’est la première fois que tu t’es fait fouetté.

— Oui avec une badine, j’ai été cravaché il y a longtemps.

— La badine marque mieux mais ne t’inquiète pas avec le baume demain tu n’auras plus mal par contre les marques vont rester au moins 10 jours... Puis longtemps après elle ajoute en murmurant à l’oreille : Jane je compte sur toi pour sortir entre filles, on ira draguer !

Arrivés en bas de l’immeuble elle m’embrasse tendrement sur les lèvres. Bob me tend la badine et le pot de crème :

— Tiens John, c’est pour Mélina !

Elle m’attend, elle me sourit, sans me parler elle prend les objets qu’on vient de me donner, j’ai l’impression que c’était une commande.

— Tourne-toi, ses doigts suivent les quatre marques sur mes fesses... J’aime te voir ainsi. C’est bien on t’a déjà appliqué de la crème, demain tu ne sentiras plus rien mais les marques sont profondes !

Je repense à ses mots au moment de partir « Dépêche-toi, ton ’’Papa’’ va te punir ». Je suis convaincu qu’elle a quelque chose à voir avec cette bastonnade. Je deviens sans aucun doute son esclave sexuel !
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