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Incroyable famille, vue par John (suite)

Chapitre 6

Le temps des vacances

Hétéro
Depuis un moment je suis réveillé. Seul le ronronnement du ventilateur trouble le silence. Tournée vers moi Mélina dort en chien de fusil, je la taquine en lui soufflant sur les yeux, en lui titillant ou pinçant doucement le téton du bout des doigts. Elle sourit, bouge un peu, se détend, ouvre les yeux

— Bonjour ma chérie ! Bien dormi ?
— Hun, Hun !

Juste un sourire, un bisou du bout des lèvres et tel un serpent elle rampe jusqu’à mon ventre. Son menton se heurte à mon baton qu’elle embouche de suite. Sa bouche gourmande déborde de salive, ses lèvres coulissent sur le manche. Mes fesses se contractent et amorcent une ondulation d’avant en arrière en amplifiant la caresse de la main. La tension est forte, j’ai une de ces triques, je me crispe aux draps, je veux retarder l’issue fatale. Je repousse brusquement sa tête :

— Viens sous la douche !

D’un bond nous sommes dans la salle de bain attenante à la chambre. L’eau fraîche nous fait un bien fou, nos corps s’accolent, nos bouches se soudent Telle une danseuse des temples de Khajuraho, sur la pointe d’un pied elle place une jambe à ma taille et m’enserre le cou. Son yoni trouve immédiatement sa place sur mon linga. Sa danse sensuelle reçoit son énergie du mouvement du pied au sol. La fraîcheur de l’eau, l’excitation, nos frottements lui font bander ses petits seins, ses tétons pointent sur ma poitrine. Nos gémissements s’amplifient s’accélèrent, ses ongles se plantent dans mes épaules, nos têtes se logent dans le creux du cou de l’autre. Je sens ma jouissance monter du fond de mon ventre, contracter ma verge, en grognant je l’arrose de trois ou quatre jets puissants. Nous reprenons pieds, on se détache. J’arrête l’eau, nous sortons directement sur la terrasse pour courir jusqu’à la piscine.
Le bruit de notre plongeon fait sortir Yanis de la chambre.

— Coucou les fiancés ! Dit-il en rigolant, bien dormi ?... Aujourd’hui, Nikos est de repos et je vous embauche pour préparer le brunch.

On retrouve ma mère à la cuisine. Visiblement les couples se sont réorganisés cette nuit. Elle a passé une robe légère. Je lui fais un gros câlin, en oubliant que je suis nu. En une demi-heure tout est prêt sur la terrasse à l’ombre du store, il y a tout ce qu’on peut désirer,charcuteries, olives, feta, tomates, carpaccio d’espadon, brioche, pain...

Quand on a fini, mon père et Nadine nous rejoignent. C’est à ce moment que Yanis nous annonce qu’il a loué un Zodiac pour la journée.
On se prépare vite fait pour embarquer. C’est une journée de pur bonheur, vue de la mer, l’île est surprenante. Mes parents sont tout autant surprenants, des libertins qui s’assument.
Assis avec Mélina entre mes cuisses nous regardons les deux femmes se câliner puis glisser au fond du bateau... ma mère qui baise la nuit avec Yanis qui fait minette le jour avec Nadine. Les deux s’offrent en spectacle, les têtes donnent des coups pour mieux pénétrer le siège du plaisir, les cuisses s’écartent pour mieux offrir leur secret. Le vrombissement des moteurs couvrent tout autre bruit, les sauts du bateau sur les vagues accentuent le choc des sexes et des bouches. Enfin elles se séparent, les visages rougis, les lèvres couvertes des élixirs de leurs amours. Assises dans les bras de l’autre, elles nous sourient, semblent demander « Le spectacle vous a plu ? »

Yanis coupe le moteur et libère la chaîne d’ancre qui dans un bruit d’enfer se déroule jusqu’à ce que le bateau s’immobilise. Tout est calme, on entend juste le clapotis des vagues sur la coque.

C’est connu, les meilleurs bains sont en haute mer et celui-là est exceptionnel. Je retrouve Nadine nageant avec ma mère, j’évite des contacts incestueux... C’est à la fois un bain de gamins qui chahutent et de libertins qui se retrouvent. L’eau est chaude le bonheur intense. Malheureusement Yanis nous rappelle pour rentrer. Sur le retour je prends Nadine dans mes bras et lui demande de me dire ce qu’elle sait de ma mère

— Voilà mon chéri c’est très simple, tout a commencé à la remise de ton diplôme universitaire. Dès le premier jour je me suis prise d’affection pour elle, c’était une femme charmante, mal fagotée, mal baisée, avec des idées sur l’amour débiles. On est devenue amie, puis confidente, puis intime. Elle a changé d’apparence, pris soin d’elle puis elle est passé du sexe tabou au sexe plaisir. A son rythme je lui ai fait découvrir la sensualité, le plaisir, la jouissance... Elle a rencontré Yanis, il l’a séduite, l’a fait jouir. C’est à ce moment que nous avons décidé de partir en croisière, elle avait une soif de vengeance vis à vis de ton père. Avec les rencontres aux mouillages et dans les ports elle s’est révélée libertine.

Je suis abasourdi, je passe le reste du temps à réfléchir et à digérer ces nouvelles. En arrivant à Oia on mange une pizza puis nous rentrons à la villa. La soirée s’écourte, maman souhaitant se reposer :

— Vous savez les enfants, dit ma mère un peu triste, demain nous avons l’avion à 7 heures alors on va se reposer un peu. On a passé deux jours exceptionnels, deux jours de révélation, nous sommes différents de ce que nous étions. Nous partons sur de nouvelles bases. Nos relations ne seront plus les mêmes. Passez tous les quatre de bonnes vacances et on se retrouve dès votre retour à Paris pour faire la fête.

Ce sont des embrassades, des souhaits et des promesses, nos parents disparaissent dans leurs chambres.
On reste à parler. Mélina pense que c’est mieux ainsi, qu’il n’y ait plus de cachoterie, ma mère avec Nadine, mon père avec la corsetière. Mélina devient câline... coquine, elle quitte son transat pour venir sur moi et rappelle que moi aussi je lui suis soumis à son jeu :

— C’est incroyable... vous êtes 3 en manque de dominant et nous sommes 3 en manque de soumis... Quelle incroyable famille allons-nous former et d’ailleurs si tu ne te décides pas à me faire l’amour, c’est moi qui vais te violer.

Et là au milieu du jardin éclairé par la lune comme en plein jour nous faisons l’amour. Allongé sur une serviette, elle vient à califourchon sur moi, elle est Andromaque sur son destrier, plantée sur ma verge, en appui sur ma poitrine elle simule une cavalcade au petit trot, sa course s’accélère. Ses seins de jeune fille restent figés. Je l’accompagne dans sa chevauchée, relève les genoux et la fait se coucher sur moi. C’est moi à présent qui donne le rythme, elle est ballottée. Elle se redresse en s’aidant de ses bras :

— Encule-moi ! Me dit-elle à haute voix.

Elle se détache de moi, se lève pour se mettre comme une chienne sur le gazon, une main au sol, l’autre sur une fesse pour l’écarter. Je viens derrière elle, sans préparation ma verge couverte de cyprine la pénètre lentement jusqu’au fond. Juste un temps d’attente pour que les chairs se retrouvent et je commence à la sodomiser. Au son des grillons s’ajoutent le chuintement et les gémissements de notre accouplement. On fait encore l’amour un moment, collé à son dos et ses seins prisonniers de mes mains avant que ma jouissance n’explose dans son ventre.

On s’écroule dans l’herbe, on reprend notre respiration... Je me lève, la prends dans mes bras pour sauter avec elle dans la piscine.
On rigole, chahute, jouons avant de regagner notre chambre, elle en entrant directement par la terrasse, moi en faisant le tour par la cuisine pour prendre une bouteille d’eau.
En revenant dans le couloir, je vois que la porte de la chambre voisine entrouverte, curieux je vais y jeter un œil et là... stupeur.
Yanis est en train d’enculer mon père, lui est en levrette, il a un bâillon qui étouffe ses plaintes et Yanis à genoux le burine sauvagement. On entend à peine le clap, clap des deux corps. Je reste un moment à les observer quand je les vois bouger, je me prépare à disparaître alors que le couple s’installe mon père sur le dos, et Yanis lui relevant les jambes pour le prendre comme une femme , j’imagine que dans l’autre chambre les deux femmes revivent l’accouplement sur le bateau. Quel délire !

Mélina me retrouve un peu contrariée :

— Ben dis donc il t’en a fallu du temps.
— Mél... Yanis est avec mon père à côté !

Elle éclate de rire, j’ai le réflexe de l’étouffer de ma main. On se câline et la nuit nous emporte dans son monde de rêve

Pour mes parents c’est leur dernier jour de vacances, pour nous c’est le début , la suite de nos ’’ Bonnes Vacances ! ’’ sera écrite par Nadine et mon histoire reprendra à notre retour à Paris.
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