Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 48 J'aime
  • 9 Commentaires

Incroyable famille, vue par John (suite)

Chapitre 8

Relation passionnelle

Avec plusieurs femmes
Ma position de directeur dans la Société Lebaudy me donne plus de responsabilités, de travail mais aussi d’indépendance avec le bureau.

Ce matin j’avais rendez-vous avec un fournisseur de satin dans le quartier du Sentier et au lieu de repartir en banlieue pour travailler, je décide de rester à la maison pour traiter mes affaires.

En milieu d’après-midi Germaine, ma proprio qui habite au dessus de moi me demande de monter pour lui rendre un service. Quand elle m’appelle ainsi je sais de quel service il s’agit. Je me dis que tirer un coup ne fait jamais de mal et que je rattraperai le temps perdu. Arrivé chez elle, elle m’explique.

— John j’ai dans la chambre une furie. Je l’ai attachée. Fais-moi plaisir règle lui son compte mais s’il te plaît en toute discrétion. Je veux que ça reste anonyme, elle est bâillonnée et le visage couvert. Donc tu la baises, comme une pute, sans un mot, sans un bruit et tu disparais.

— C’est une vieille ?

— Tu verras, c’est un beau cadeau, déshabille-toi que je vérifie !

La coquine vérifie en me faisant une turlute qui me met dans d’excellentes dispositions si besoin en était

— Et maintenant pas un mot, pas un bruit !.

En entrant dans la chambre tout est calme. Sur le lit, face à moi je ne vois qu’un bas du dos et en l’air une paire de fesses légèrement halées, un foulard bleu couvre le visage et les membres sont attachés aux barreaux de la tête de lit. Je m’approche, sous le sexe épilé j’aperçois la poitrine enchâssée entre les cuisses. Les seins, le rosé des tétons et des chairs intimes me font penser à une jeune femme de 35/40 ans châtain ou blonde. Sa position indécente, son sexe gonflé de sang et largement ouvert sont irrésistibles.


Je la touche, la caresse, l’embrasse, de surprise elle frissonne. J’aime son odeur de femelle en chaleur. Mes lèvres, ma langue décèlent les secrets, la saveur de son sexe. Mes mains plongent entre ses cuisses et vont directement sur les seins. Je les palpe, ils sont fermes. La femme se contracte, ma langue titille le clito, glisse dans le vagin, savoure les premières gouttes de cyprine, je sens ses tétons se dresser entre mes doigts. Elle est conquise.

Je suis contre ses fesses, fais aller mon sexe de bas en haut entre ses lèvres, je la pénètre facilement tellement elle est ouverte. Elle est merveilleuse, je sens comme son vagin s’anime. Je ne cesse de la caresser des seins aux aisselles. Je me penche pour embrasser le dessous de bras, Germaine me rappelle à l’ordre.

-  Ne t’appuie pas sur elle !

Appuyé à la tête de lit, seule ma bouche est sur son aisselle, goûte sa sueur, tout en continuant de la limer. Maintenant je veux connaître d’autres plaisirs, je la quitte, me redresse et embrasse ses fesses. Le sexe déborde de cyprine qui s’étale sur le périnée jusqu’au petit trou. La voie étroite est humide et souple, je la doigte et déjà mon gland est sur l’anneau, les chairs s’ouvrent sans résistance et m’accueillent tout entier. Je la ramone un moment avant de passer d’un trou à l’autre, je me retiens de gémir mais le chuintement de notre coït laisse entendre notre plaisir partagé.

Depuis un moment Germaine se tient debout à mon côté observant notre union, elle prend la fille par la chatte alors que je la sodomise.

— Oui c’est bien, elle mouille bien alors... Découvrez votre amant !

D’un mouvement les deux foulards sont arrachés. J’ai sous moi ma mère ! Je suis terrorisé :

— GERMAINE, en hurlant, t’es une salope ! C’est ma mère !!!

— Oui ! Et alors comme elle tu fantasmais de la baiser.... Mes chéris, vous êtes adultes, dépassez les limites du soit-disant correct.

Je regarde ma mère, je reste en elle, je pleure, retire le bâillon de sa bouche. Je ne sais ce qui se passe, la frayeur devient sérénité, le rejet, consentement.

— Maman !

— Mon chéri !

Une fraction d’hésitation, je détache ses chevilles, ses poignets, elle m’entoure de ses bras, m’embrasse à pleine bouche, je bande à nouveau, nous faisons l’amour. Elle se livre tout à moi, je lui donne tout.

Après un moment on se rencontre que Germaine nous a quitté, nous sommes un couple comme un autre qui vient de s’aimer... Presque !

Monique frissonne, j’ai également un peu froid, peut-être une réaction nerveuse. On se glisse dans les draps, sous la couverture, Enlacés, de côté, on ne parle pas, on se regarde, on se sourit, on s’embrasse. Elle ferme les yeux, nous apprécions le moment présent. On s’endort.

Bien longtemps après, il fait sombre. Il est cinq heures. On passe par la salle de bains, une douche câline entre deux amants.

— Il faut que j’y aille mon chéri.

— Moi aussi, je descends j’ai du travail.

On quitte Germaine en la remerciant, peu de paroles, aucune allusion, on se sépare en se promettant de se revoir bientôt.

… Un mois plus tard ...


Depuis la première fois chez Germaine, avec Monique on se retrouve régulièrement, toujours plus tendrement, plus amoureusement.

Ce samedi, j’ai rendez-vous avec elle et Nadine au musée du Luxembourg pour l’exposition ’’Fragonard, amoureux, galant et libertin’’, le titre est évocateur.

Lorsque j’arrive à 10 heures, les deux m’attendent au pied du musée. En me voyant, Monique court vers moi et m’embrasse à pleine bouche sans crainte d’afficher notre relation, Nadine la suit et m’embrasse discrètement du bout des lèvres. Fier comme un coq je monte les marches avec à chaque bras une femme et nous entrons dans le bâtiment sous l’œil amusé des vigiles. Certainement que notre trio aurait inspiré le peintre pour une nouvelle version du Libertinage ou du Baiser volé.

Nous abandonnons nos manteaux au vestiaire et sommes parmi les premiers visiteurs. Le peu de monde nous facilite la visite, l’éclairage des tableaux et l’obscurité des salles nous permettent de nous tenir collés-serrés. Sous les quolibets du voisinage, les filles entre elles ou moi avec l’une ou l’autre échangeons un bisou, une caresse, pouffons de rire après un commentaire grivois. La plupart des tableaux présentent avec beaucoup d’élégance et d’érotisme des couples en situations scabreuses. Au fur et à mesure de la visite, les œuvres, les commentaires, les baisers, les caresses enflamment nos esprits et nos corps. Le temps passe et peu à peu le monde envahit les salles, se bouscule et nous pousse à quitter le musée.

En ce début novembre il fait frais, on profite du soleil pour se promener dans le jardin du Luxembourg au milieu des étudiants, des joggeurs et des flâneurs. Les parterres de chrysanthèmes, le bassin central et son jet d’eau, les couleurs d’automne des arbres sont magnifiques. Il fait bon, nous sommes heureux, Monique entre nous deux nous tient par le bras et nous marchons tout en discutant :

— Je suis ravie de vous voir ainsi tous les deux, nous dit Nadine. Vous avez dépassé vos scrupules et assumez vos sentiments. Ça surprend une femme et un jeune ensemble, crée peut-être des convoitises, ça choque une mère et son fils qui sont amoureux mais quelle importance puisque vous êtes heureux... Bien mes chéris, je vous propose d’aller déjeuner.

On se retrouve au restaurant à une table loin de l’animation des politiques qui le fréquentent. En gentleman j’invite mes deux amantes à s’asseoir sur la banquette face à moi assis sur une chaise. Cette disposition m’évite de faire une jalouse et peut m’offrir un charmant spectacle qui se met déjà en place, Nadine bloque Monique dans le coin et passe sa main dans le dos :

— Non Nadine ! Sois raisonnable.

— Ma chérie tu as chaud, tu devrais ouvrir ton chemisier.

Nous sommes isolés, d’un sourire, d’un regard je l’encourage. Elle est en tête à tête avec moi et une marionnette entre les mains de Nadine, elle écarte son décolleté sur sa poitrine et découvre la naissance des seins, les tétons se réveillent et pointent au travers du tissus. Je montre ma satisfaction avec ma cheville qui circule entre ses mollets et mon pied droit entre les chaussures de Nadine.

Les soufflés aux champignons et à la pistache en dessert sont délicieux, le vin d’Anjou est gouleyant, trois cafés et en gentilhomme j’offre le repas. En sortant nous sommes saisis par le froid et une bourrasque de vent. Nadine accélère le pas :

— Mes chéris, inutile d’attraper la crève, allons vite à la maison nous sommes à 10 minutes à pied.

On ne parle pas, on marche aussi vite que possible, on se protège la tête baissée et entrée dans les épaules. Monique me prend par la main et serre mon bras contre sa poitrine. Nous arrivons au pied de l’immeuble quand il se met à pleuvoir, sale temps d’automne.

Oufff ! Nous voilà arrivés, les manteaux jetés en vrac sur un canapé dans l’entrée.

— Installez-vous, je vais nous faire un café.

Monique se cale contre moi sur le canapé, je l’entoure de mon bras sa tête sur mon épaule. Les yeux mi-clos, les lèvres entrouvertes, je réponds à son attente en l’embrassant amoureusement jusqu’au retour de notre hôte qui s’annonce en se grattant la gorge.

— Ça va les amoureux ? Le café est servi.

Un regard malicieux, un bisou du bout des lèvres, ma main passe sur l’épaule et se pose sur son sein, la sienne me tient le genou. On parle de tout et de rien. Nadine vient s’asseoir à nos pieds, sa main se pose sur mon autre genou et remonte jusqu’à mon entrejambe, je glisse sur le canapé, m’approche d’elle, ouvre mes cuisses. Sous le regard de Monique elle s’affaire à ma braguette (Je rappelle que depuis la croisière ma mère sait que je suis l’amant de Nadine) J’ouvre le corsage, la poitrine repose sur un sein-nu de satin noir type ’’bondage’’.
Toutes retenues de conduite se volatilisent. Les boutons sautent, les blouses et les chemises volent. Monique part à la renverse, un pied sur le dossier et l’autre au sol, je suis à la fourche de ses jambes et Nadine assise par terre entre mes genoux. Ce ne sont que bruits de succions et gémissements jusqu’à ce que n’en pouvant plus, Nadine me tire et nous entraîne tous les trois.

— Allons dans la chambre ça sera plus confortable.

Nous quittons le salon, tous nos vêtements éparpillés sur le sol et le canapé. On se retrouve tous les trois sur le lit dans le même ordre qu’au salon et Monique ferme le triangle en gougnottant Nadine. Se faire sucer par l’une en suçant l’autre est une situation incomparable au 69, comme la conversation est incomparable au dialogue. Comme souvent en discussion notre relation s’enflamme. Monique tente d’échapper à mes léchouilles comme j’essaie de sortir de la bouche vorace de Nadine. C’est elle qui rompt la chaîne en me bousculant et prenant Monique par les jambes, elle l’immobilise et la bâillonne assise sur son visage. Espiègle et avec un rire satanique elle me dit :

— Regarde comme elle est belle !

Elle écarte les chairs, le vagin ressemble à une blessure sanguinolente. Cette image indécente me rappelle celle d’il y a trois mois offerte par Germaine. J’abandonne tout sentiment, je deviens une bête de sexe, Priape, fils de Dionysos et d’Aphrodite au phallus démesuré

Cette chatte béante, ce cul entrouvert me fascinent. Ce ne sont que des trous à bites. Entre les deux mon choix est fait, mes doigts se portent de ma bouche au petit trou, je le couvre de salive, le doigte profondément, il est souple, déjà mon gland le perfore, je n’entends pas les gémissements étouffés et sans précaution je le pourfends. Nadine tortille du croupion sur le visage où elle est assise, ses seins pesants bougent de droite à gauche puis elle se lève. Monique retrouve sa liberté, mugit
-  Ouais, vas-y encule-moi plus fort, c’est bon, continue, défonce-moi !

On copule ainsi encore un moment quand elle roule sur le côté pour inverser nos positions et s’empaler sur mon chibre. Dans le même temps Nadine me chevauche le visage et plaque sa vulve déjà couverte de salive sur ma bouche. Les deux femmes me chevauchent chacune à sa manière, Celle sur ma bouche m’étouffe presque, celle sur mon ventre me couvre de mouille. Notre coït se poursuit au milieu des feulements et des râles de jouissance. Nadine me déverse un flot de cyprine pendant que mon sperme se mêle à la mouille dans l’autre ventre.

Repues, les deux femelles me libèrent. Épuisé je reprends ma respiration alors que Nadine va à la salle de bain. Monique s’allonge à mon côté et murmure :

— John, je t’aime autant amoureux que passionné, amant que baiseur, j’aime autant ta douceur que ta brutalité.

Nadine fait couler un bain alors qu’en amoureux on continue à se câliner. Il fait nuit, une fois baignés, habillés, je prends ma mère par le bras et quittons l’appartement.
Diffuse en direct !
Regarder son live