Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 41 J'aime
  • 4 Commentaires

Incroyable famille, vue par John (suite)

Chapitre 9

Une relation en danger

Avec plusieurs femmes
Je connais les tendances homosexuelles de Mélina, notre bisexualité les ont masquées et depuis trois ans nous vivons en parfaite harmonie en inversant occasionnellement les rôles. A sa demande au retour de nos vacances j’ai suivi un traitement local à base d’œstrogènes pour développer ma poitrine par concentration de graisse. Après quelques semaines s’est formé un joli vallonnement, c’est à ce moment qu’elle décide d’aller plus loin :
— Tes nichons commencent à être mignons,— N’exagère pas Mél, juste un peu renflés,— Ouais mais sous ta chemise ils sont remarquables d’autant plus avec tes tétons qui pointent (je rappelle que depuis longtemps tous les jours, je les pompe et les masse, l’inflammation permanente fait qu’ils sont devenus gros comme la pointe de mon auriculaire). Il faut aller plus loin.— Oui en continuant !— Pas seulement, en faisant tes aréoles plus larges et plus sombres. On en a parlé durant les vacances.— Euuuh ?— Oui, tu te rappelles très bien, en les tatouant !— Quoiiiiiii ? Nooooooooon !!!— Si, si ! On en a déjà parlé, tu étais d’accord et j’ai pris rendez-vous chez le tatoueur rue de la Verrerie.
J’ai beau contesté, rien n’y fait et le lendemain, samedi matin nous sommes dans un cabinet qui a tout l’air d’une salle d’opération et me donne confiance. Une jeune femme en blouse blanche nous accueille, Mélina confirme ses souhaits, taille et couleur du mamelon.
— C’est parfait, si mademoiselle veut s’installer.
Le genre est déjà donné, je m’allonge en petite tenue (bas et culotte) sur un divan d’examen, sous un énorme luminaire. La femme entre dans la salle masquée avec ses aiguilles et ses flacons d’encre. Elle commence par dessiner une petite couronne de deux, trois millimètres autour du mamelon. Très contracté au départ, peu à peu je me détends, rassuré par la douceur de l’opératrice et m’habitue aux centaines de micro-piqûres à la minutes. Une heure plus tard l’affaire est terminée. Au moment où je vais pour me regarder elle me dit :
— Ne vous inquiétez pas mademoiselle, ça ressemble plus à une plaie qu’à un tatouage, mais déjà demain l’inflammation va se résorber.
Le lendemain pas vraiment ! Mais quatre semaines après on commençait à voir un joli mamelon beige-rosé en dégradé vers le téton, moi-même j’étais séduit.
— Pour fêter ça, me dit Mél, on va aller dîner chez les gouines. Tu t’habilles en garçon avec cette blouse de soie et un très léger maquillage.
Le résultat est confondant tant mes ’’seins’’ ressortent sous la soie. Au restaurant ’’Ente elles’’ les tables sont occupées par des couples de filles et circule une ’’garçonne’’ qui nous présente la carte en nous proposant ses suggestions. Le repas n’a pas d’importance mais tout au long du dîner une convivialité, une connivence se développent entre la patronne et nous, au point qu’au moment de partir elle me met la main aux fesses et nous fait un bisou sur les lèvres.

— J’espère mesdemoiselles que nous nous reverrons bientôt.
En entrant à la maison, Mélina me félicite :
— Bravo ma chérie te voilà une vraie gougnotte séduisant les nanas !
Je n’imaginais pas les conséquence de ce dîner.
…......

Peut-être un mois plus tard en rentrant du travail, je retrouve la patronne du resto habillée en complet veston et chemise, en compagnie de Mélina en train de prendre un verre.
— Jane ma chérie, dépêche-toi, je te présente Colette... Tu te rappelles ?— Oui bien sûr.
Colette coupe court à mon embarras en me prenant les mains et me tirant jusqu’à ses lèvres pour un bisou à peine appuyé.
— Jane ! Que je suis contente de te revoir. Tu es toute mignonne même non maquillée.
L’absence de maquillage et une barbe invisible même en fin de journée ne trahissent pas le genre de mes formes. Elle a une trentaine d’années, sa petite poitrine, ses cheveux coiffés à la brosse, son visage aux arcades sourcilières marquées et aux lèvres fines ne laissent pas vraiment paraître sa féminité .Les deux retournent dans le canapé et je m’installe dans un fauteuil. Colette est très entreprenante et Mélanie se laisse faire ce qui donne un spectacle aussi mignon que chaud jusqu’au moment où la maîtresse de maison vaque à ses obligations :
— Excuse-moi Colette je te laisse avec Jane, je vais m’occuper du dîner.
Immédiatement elle me fait signe de m’asseoir à son côté, m’entoure d’un bras et passe sa main dans la chemise, en oubliant les préliminaires. Son regard vert d’eau me transperce, son sourire satanique me pétrifie, je me sens fragile entre ses mains. Déjà sa bouche me dévore, ses mains me mettent à nu :
— Plate comme une limande mais des tétons de nourricière, t’aime qu’on te suce, rien qu’à te voir je savais que tu étais une vicieuse, alors qu’elle me tournicote les bouts de sein.
Son bras me serre plus fort, sa langue semble grossir dans ma bouche. D’un coup sa main tombe sur le genou, plonge dans l’entrejambe. La surprise est de courte durée, la réaction à peine audible :
— T’es un trav !— Si tu veux. En vérité je suis androgyne et m’habille indistinctement de robe ou de costume, je sais être mâle ou femelle.— Et toujours en cage ?— Non, ça dépend de Mél, aujourd’hui elle l’a exigée, c’est marrant, ça m’oblige à avoir un comportement féminin !— Tu me fais voir ?
A ce moment Mélina coupe court à nos ébats et nous invite à passer à table.
— Après le dîner ! que je réponds.
La table ronde évite la promiscuité et freine les ardeurs même si la conversation se poursuit sur le plaisir de notre rencontre. La pizza est avalée en moins de temps qu’il n’en faut pour la préparer et lorsque Mél propose le dessert, Colette demande à le prendre plus tard :
— Jane, tu me fais voir, tu avais dit après dîner.
Mélina pour ne pas la contrarier la suis sur le canapé et la laisse lui déboutonner la robe. Face à elles deux, j’enlève ma chemise en me dandinant langoureusement et la rejetant en arrière. Je bombe le torse, ’’seins’’ nus, admirée par la visiteuse :
— Elle est bien foutue la gamine !
C’est la première fois qu’après mes traitements et mon tatouage je me fais voir à une passagère et suis ravie de son commentaire. Ça m’encourage à baisser le pantalon, je le fais dos aux spectatrices, cuisses serrées en accompagnant le vêtement au sol, petit exercice d’assouplissement pour montrer mes fesses nues encadrées de jarretelles et séparées par la ficelle du string. Je tortille du popotin en passant d’une jambe sur l’autre, je sais qu’ainsi je suis très féminine Enfin je me tourne face aux filles en abaissant le dernier triangle de soie et découvrant mon sexe en cage sous les applaudissements des deux.
Mélina rejette en arrière sa robe, nue elle vire au dessus de Colette et chevauche ses genoux. Les deux se bécotent du bout des lèvres. Elle déboutonne la chemise d’homme et découvre une petite poitrine avec un anneau d’or à chaque pointe. Les deux farfouillent sur la ceinture du pantalon en pouffant de rire. Mélanie murmure d’une supplique :
— Emmène-moi dans la chambre !
La femme se lève en la soulevant facilement par les cuisses. La tête sur son épaule Mél me regarde alors comme un gêneur. Je les suis tandis que Colette en deux coups de hanches se débarrasse de son pantalon. La chambre est juste à côté, meublée d’un grand lit et de deux chaises, sur le mur un grand miroir horizontal, pour agrandir la pièce...
En entrant elle la jette sur le lit, comme un paquet de linge sale, dans un grand éclat de rire. Elle la rejoint en avançant à quatre pattes tel un félin jusqu’à la couvrir totalement en levrette. Assis au bord du lit, je vois sous ses fesses, entre ses cuisses musclées son intimité garnie de quatre gros anneaux d’or. Ils étirent et séparent les lèvres qui forment une gorge profonde.
Je pose délicatement la main sur la fesse pour signaler ma présence, un léger balancement du bassin m’autorise à aller plus loin. Je flatte le derrière, le caresse avec le majeur sur le sillon, en descendant jusqu’au sexe. Le doigt glisse entre les lèvres distendues jusqu’à buter sur le clito puis revient, excite les nymphes humides. Elle écarte les cuisses et se fourre deux doigts dans la chatte, ils entrent en action, je suis fascinée par les quatre anneaux qui s’entrechoquent.
Les deux filles se suçotent, se ’’baisouillent’’. Colette passe de sa position à quatre pattes à celle sur le dos en même temps elle m’attrape par les oreilles et m’amène jusqu’à son ventre :
— Fais-moi voir si tu suces aussi bien qu’une fille !
Immédiatement mes doigts se fichent dans les quatre anneaux, écartent les lèvres et ouvrent le fruit de l’amour. En même temps je découvre un cinquième piercing vertical sur le capuchon du clito avec un diamant sur la peau et une bille en contact avec le bouton. Ma langue glisse sur la vulve, titille le clito et la petite bille, s’enfonce dans le vagin. La femme me contrôle les deux mains crispées dans mes cheveux. J’ai l’impression que mon cunni a des effets dévastateur tel que Colette chante. Sa cyprine est abondante et épaisse.A ce moment je sens Mélina me caresser les fesses, tirer et s’en prendre à la cage qui enferme "Popol". Elle me lèche la raie, s’attarde sur mon petit trou, me doigte sommairement avant de pointer le bout de son gode ceinture. Je participe en creusant les reins et l’accompagnant dans sa poussée. Habituées toutes les deux, elle me pénètre sans difficulté. Je deviens leur exutoire alors qu’elles discutent entre elle :
— Putain c’est vrai qu’elle suce vachement bien ta meuf, beaucoup mieux que bien des femelles.— Et tu entends comme elle mouille ?— Ouais, une grosse cochonne.— En plus elle baise super, une vraie bête !— Ouais, mais là pardon, les mecs c’est pas du tout mon truc, rien ne vaut une petite mimine bien placée. Tu pratiques avec la main ?— ...
De nouveaux plans se dessinent, l’une me repousse la tête, l’autre sort de mes fesses ; elles se retrouvent et s’embrassent comme si elles ne s’étaient vues depuis une éternité. Elle lui murmure en chantonnant
— Lâche-Toi. Ferme les yeux. T’as envie d’autre chose. Va falloir que tu oses. Laisse-moi te guider, laisse-moi faire.
    J’ai l’habitude de voir Mél avec des femmes mais je ne sais pourquoi aujourd’hui je la vois différente, tellement sûre d’elle d’habitude et tellement troublée entre les bras de Colette. Elle est séduite, charmée, envoutée par cette femme... elle semble amoureuse et je me sens exclue du couple. Elle ne parle pas ou de manière inaudible, tout se passe dans le regard, les mains sont fébriles. Mélina s’est abandonnée.
Colette la couche en diagonale sur le lit, un baiser, un tête à queue, tout va très vite. Face à moi, j’ai la femme qui me regarde, ses yeux me glacent me disent « Tu n’as plus rien à faire ici ! Fous le camp, elle est à moi ! » Elle a les jambes de ma fiancée sous les aisselles et me présente de manière indécente ses fesses et son intimité. La tête plonge entre les cuisses. Rideau ! Seuls les bruits de succion, les gémissements nourissent mon imaginaire. Mél miaule, dit des mots d’amour auxquels je suis habituée mais qui ne me sont pas destinés
— Ma chérie que c’est bon, oui le bouton, plus fort, plus profond.
Le rideau se lève sur le sexe luisant de salive, le clito rouge vif et le vagin béant. Déjà deux doigts l’occupent, tout de suite avec un troisième. Quelques rotations et le quatrième doigt le pénètre. Ils s’enfoncent dans les chairs intimes jusqu’à la jonction du pouce. Ma fiancée se livre à Colette comme elle le ferait avec moi, la main entière disparaît dans son vagin. Rapidement le poignet sort et entre, les lèvres se couvrent d’élixir blanchâtre en même temps que les gémissements et le chuintement du coït s’amplifient. Le spectacle est d’une telle intensité que je ne peux me retenir. Incapable de me branler, je me couche sur un coin du lit, prends le gode ceinture abandonné et me le plante d’un coup dans le cul sous les yeux de la femme. Elle rigole en me voyant m’astiquer la pastille, je pivote pour me mettre à quatre pattes face à elle alors qu’elle continue de la manipuler :
— Suce-la, regarde comme je la fais mouiller !
Je m’accomode du poignet pour la lécher tout autour, goûter sa jouissance et titiller le bouton, je ne peux faire plus jusqu’à ce que la main sorte du gouffre béant, rouge intense, qui dans le vide continue à se contracter et se relâcher pour téter. Mon groin plonge dans les chairs à vif. J’ai l’impression que de mon nez à mon menton sont dans le sexe débordant de jus. Je lape comme un chien sa gamelle. Les deux mains de Colette me plaque à l’entrejambe. D’un coup j’expulse le gode que j’avais encore planté dans mes fesses. Colette me lâche dans un grand éclat de rire, vire sur le côté, je retrouve Mélina épuisée les yeux fermés, la bouche ouverte pleine de salive, de jute. Je la couvre toute entière et l’embrasse à pleine bouche, j’y trouve un goût inconnu, celui de la mouille, peut-être de la pisse de Colette. Mél reste sans réaction. Un peu après elle reprend ses esprits, me sourit timidement
— Oh John, c’est toi ! Que c’était fort, que c’était bon, sa main, son clito, sa chatte gorgée de jus.
A notre côté Colette attire son attention en lui caressant la joue, Mél se tourne vers elle et les deux s’embrassent amoureusement.
— Ça va Mél ? Elle l’appelle par le petit nom que je lui donne, elle n’a pas le droit.— Oui ma chérie... Ce n’était pas que sexuel !— Je le sais.
Je me sens à nouveau hors jeu. Je les laisse se cajoler, se dire des ’’Je t’aime’’. Je sens que quelque chose de très fort se déroule avec Colette, Mél a toujours été portée sur les filles. La femme se lève quitte la chambre
— Reste ! Supplie Mélina.— Non viens ! Ordonne Colette.
Elle est à côté... Elle est partie. Mélina reste dans mes bras se pelotonne contre moi.— John, je l’aime !!!!
Diffuse en direct !
Regarder son live