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Incroyable famille, vue par John (suite)

Chapitre 10

Une relation en danger - 2

Avec plusieurs femmes
La nuit a été agitée, comme Mélina j’ai mal dormi. Le matin on se parle peu, il faut que j’aille travailler. On se quitte d’un bisou.
— A ce soir ma chérie !— Bonne journée, répond-t-elle mécaniquement.
….............
Le soir en entrant, Mélina n’est pas à la maison, je suis surpris. Le jeudi après-midi elle n’a pas cours peut-être est-elle partie faire des courses, je vérifie le frigidaire, pas besoin il y a largement de quoi manger. Un vague coup d’œil dans l’appartement, tout est normal.Je prends une bière et attends patiemment, le temps passant l’inquiétude augmente. A 19 heures n’y tenant plus j’appelle la belle mère de Mélina :(je rappelle que l’histoire se déroule avant que le téléphone portable n’existe)
— Nadine, je suis inquiet, Mélina n’est pas rentrée... Un accident, je ne sais pas, je crois plutôt qu’elle est partie avec une fille... Si, si ! Hier nous avons partagé un câlin avec une femme d’une trentaine d’années, une vraie gouine, j’ai été mis sur la touche et elles ont baisé ensemble.... A la fin Mél lui a demandé de rester et la fille est partie en lui disant ’’Non, viens’’... Comment elle est ? Comme un mec, sans cul, sans sein, les cheveux châtain clair coiffés à la brosse, des yeux verts... Elle s’appelle Colette, tu la trouveras certainement dans son resto ’’Entre elles’’ rue Charlot, c’est à l’écart du quartier gay... OK, je t’attends... T’inquiète même au milieu de la nuit je t’attendrai.
A deux heures du matin on gratte à ma porte. Discrètement je fais rentrer Nadine. Un rapide bisou et on s’installe dans le canapé.
— J’ai vu Mélina avec cette pouffiasse. Je l’ai repérée au resto. A la fin du service les deux sont parties à Pigalle, elles étaient tellement dans leur monde qu’elles ne m’ont pas vue les suivre. Elle sont rentrées dans une boîte à filles. J’ai attendu et une demi-heure plus tard je suis entrée dans le cabaret. C’était la première fois que je rentrai dans ce genre de boîte. Le monde, le manque d’éclairage, les filles qui me faisaient du gringue et à qui je devais répondre pour ne pas passer pour une enquêtrice ont fait que ce fut difficile de les retrouver.
Progressivement Nadine se rapproche de moi, m’entoure de son bras, sa tête sur mon épaule elle m’explique sa soirée
— Là j’ai vu Mél à moitié dévêtue avec deux autres bonne-femmes et la Colette avec une gamine de moins de 20 ans. C’était chaud. Excuse-moi d’être si directe mais pour moi c’est plutôt une bonne nouvelle. Ta Colette n’a aucun sentiment pour Mél... Avec ses deux copines, elles veulent passer du bon temps avec des jeunettes ; après tu verras ta chérie revenir à la maison comme Pomponette dans la Femme du boulanger !
On se regarde, elle me sourit, étire mes lèvres aux commissures et me murmure :
— Il est presque trois heures allons nous coucher.
Sans chichi, on se déshabille, nous passons à la salle de bain puis nous glissons sous les draps. On se cale l’un contre l’autre, elle dans mes bras et ses mains sur ma poitrine.
— Il me semble que ça fait une éternité qu’on s’est vu tous les deux. Tout en palpant ma poitrine elle continue : Dis-moi John tes seins grossissent ?— N’exagérons rien, oui ils se développent un petit peu avec des traitements d’œstrogènes... ça augmente la masse graisseuse, c’est plus simple et plus rapide que le body-building.— C’est surtout beaucoup plus chouette ; j’adore te masser ainsi et dis-moi encore, tes mamelons, t’avais des tétons de filles mais maintenant...— Oui c’est vrai Mélina les a fait tatouer, plus larges et plus foncés.— De vrais seins de femme !
Elle continue à me masser la poitrine et l’autre main descend sur mon ventre et décalotte mon sexe. Je l’enserre plus fort en lui caressant l’échine du reins au cou. Dans la nuit nos bouches se joignent tendrement.
— Ça fait si longtemps que nous n’avons pas été ainsi comme un vrai couple.
Sa jambe passe par dessus ma taille, sa vulve est largement ouverte contre ma verge, d’un mouvement coordonné nous nous accouplons. Elle bouge un peu, se positionne mieux, nos pubis se touchent et d’un mouvement partagé imperceptible nous commençons à nous aimer. Notre étreinte s’accentue, notre baiser devient plus intense, nos mains sur nos fesses accompagnent notre danse qui s’amplifie, maintenant j’ai au moins la moitié du membre qui coulisse entre les lèvres.
— Attends, encule-moi !
Elle fait une demi-rotation en mettant son derrière contre mon ventre, elle lève un genou, d’une main écarte sa fesse, l’autre dirige mon gland dans le creux de ses fesses. J’ai ma bite couverte de mouille sur son cul, je tente de le pénétrer, probablement je le pourrais mais je préfère ajouter un peu de salive et le doigter. Ainsi préparée, elle m’accompagne dans ma poussée et m’avale le nœud. Elle tortille pour s’emmancher jusqu’à avoir ses fesses plaquées à mon ventre. Elle cambre ses reins pour mieux me sentir, je la prends par les seins, ses mamelles, comme elle dit, avec ses tétines pour plaquer ses épaules à mon torse. Notre coït est tout de suite plus brutal
— Ouais, encule moi fort !
Je la bouscule en la mettant sur le ventre et je continue à copuler couché sur elle jusqu’à la prendre par les hanches pour relever son bassin et la sodomiser en levrette. Ses gémissements deviennent gutturaux, ses murmures obscènes. Elle râle un « Oui, ui, ui » rauque et répété, je me libère en grandes giclées avant de me vider lentement.On se sépare, on se retrouve comme au début, allongés, enlacés, on reprend notre souffle.
— C’est si bon avec toi, tu allies si bien la tendresse et la virilité... Chuuut, écoute !
On entend la porte s’ouvrir, mon cœur bat plus fort, plus vite, ma respiration s’accélère, contre son oreille, d’un murmure à peine audible :
— C’est Mél !— Oui elle est entrée dans la salle de bain, mettons-nous contre le mur pour lui faire une place, chut !, elle sort.
Peu après elle entre dans le lit, on l’entend pleurer dans l’oreiller en étouffant ses reniflements. Je pose la main sur son épaule, la caresse à peine. Elle se retourne d’un coup vers moi, me prend par le cou et éclate en sanglot contre ma poitrine. J’ai ses cheveux sur ma bouche, je la caresse, ses larmes coulent, à voix basse, en hoquetant elle me demande pardon :
— Te voilà, j’étais très inquiet parce que tu ne me l’avais pas dit.. Nadine est partie à ta recherche, elle ne t’a pas trouvée, elle dort à côté de moi.— Par...don, je su...is une sal...ope, une sale goui...ne !— Chuuut, calme-toi, repose toi,
Je caresse sa tête, son dos, son visage et alors que je touche ses seins
— Aïe, doucement, j’ai mal.— Veux-tu que je mette un peu de baume, celui que j’utilise.
Je n’attends pas la réponse, je me lève dans la nuit, trouve la crème de suite et reviens, elle a cessé de pleurer.
— Nadine est là ?— Oui je te l’ai dit, elle t’a cherchée, elle dort. Relève tes bras pour que je te masse un peu,— Vas-y doucement, j’ai si mal.— Tes tétons sont tout gros.— Oui je sais.
Je masse tout le sein doucement en remontant sur la pointe, progressivement je concentre l’attouchement à la pointe avec deux doigts, j’ajoute un peu de baume apaisant et commence à rouler le téton
— C’est bon comme tu le fais,
Je titille le téton avant de donner des bisous tout doux, elle se détend, sa respiration est plus profonde, mes caresses suivent le rythme de l’halètement. Ma main caresse le torse, le ventre touche le pubis, la vulve. Le sexe semble être une plaie ouverte
— Non mon chéri, excuse-moi, ne me touche pas.
Sans quitter la place ma main se fait légère comme une plume, toutes les tissus me paraissent enflammés, ils ont doublé de volume.Je sens Nadine dans mon dos, elle est réveillée, elle m’embrasse le cou, ses seins me caressent le dos. J’ai contre moi le dos de Mél, d’une main j’englobe son sein, de l’autre je protège son sexe. Elle est calme, ne bouge plus, sa respiration est régulière, elle dort. C’est alors que Nadine me caresse le dos :
— Bonne nuit Nadine, merci pour tout.— Bonne nuit, je suis bien avec toi.
…..............
Il fait jour quand je me réveille. Nous sommes tous les trois comme nous nous sommes endormis emboîtés les uns dans les autres. D’un balancement de fesses, d’une main sur l’épaule, je sors le groupe de sa léthargie. Ça ronchonne, ça bouge, ça maugrée. Nadine dans mon dos m’embrasse dans le cou, sa main passe sur l’épaule de Mélanie devant moi , j’y joins la mienne et embrasse les cheveux.
— Bonjour ma chérie, je le dis le plus naturellement comme si rien ne s’était passé.— Bonjour...— Reste couchée à te reposer avec Nadine, je vais préparer le petit déjeuner et téléphoner à la boîte pour leur dire que je ne viens pas aujourd’hui.
Une demi-heure plus tard je reviens dans la chambre, les deux femmes murmurent, Mélanie pleure. Je leur apporte un peignoir et un kimono, en caressant la tête de ma fiancée je les invite à déjeuner.On se retrouve dans le séjour, Nadine a des petits yeux, Mélanie au contraire à les yeux gonflés et j’ai l’impression les lèvres légèrement enflées, je reste discret et nous nous installons à table. On mange, café, pain toasté, beurre, le petit déjeuner le plus simple, le meilleur petit déjeuner qui soit. On prend notre temps, on profite, on parle peu, on laisse le malaise se dissiper, il n’y a ni interrogation, ni jugement.Mélina a les traits tirés, les yeux cernés, rougis, son sourire est crispé. En se levant elle se jette dans mes bras et sanglote. Je tente de la consoler en la serrant dans mes bras
— T’inquiète ma chérie, nous sommes ensemble, ça va aller.— Venez ! En nous prenant tous deux par la main et nous conduisant jusqu’au canapé. Je vais tout vous dire.
Tous les trois assis dans le canapé, elle entre nous deux, elle se réfugie dans mes bras :
— Hier après-midi j’étais à la maison. Colette m’a téléphoné et m’a demandé de la rejoindre au restaurant. J’y suis allée et nous sommes montées dans son appartement. Nous avons fait l’amour tendrement comme la veille jusqu’à ce qu’elle ouvre son restaurant. Je suis restée chez elle quand elle travaillait. A la fermeture elle m’a rejoint, je voulais rester mais elle avait rendez-vous avec des copines. — Nous sommes allées dans une boîte à filles. Elle a retrouvé deux femmes d’une cinquantaines d’années et une gamine d’un peu plus de 18 ans. A notre arrivée elles ont décidé de changer de partenaires, Colette m’a livrée aux deux pouffiasses et elle a commencé à bécoter la jeunette. J’ai été horrifiée mais j’ai accepté l’échange et n’ai pu me défaire des deux matrones, je passai de l’une à l’autre, je dansai avec l’une ou l’autre, elles étaient ordinaires, me pelotaient ouvertement. Puis l’une d’elle a demandé un salon privé.— Le salon était une chambre entourée de miroirs et de canapés avec un lit rond au centre. Nous avons à nouveau dansé, rapidement avec la jeunette je me suis retrouvée à poil. On s’embrassaient, elles me doigtaient, me suçaient, me pinçaient, me faisaient mal. De temps en temps j’entendais ou je recevais un claque sur les fesses ou les seins. Peu à peu toutes les cinq nous nous sommes retrouvées nues et nous avons fait l’amour comme des bêtes, l’une d’elle m’a fistée. Une fois la voie ouverte, j’ai reçu les poings fermés les uns après les autres, mon vagin me faisait mal, mes seins étaient endoloris, mes fesses étaient fouillées en continu, je ne savais plus qui me faisait quoi. Un moment l’une d’elle m’a prise sur ses genoux et m’a donné une fessée magistrale. On a baisé pendant plus deux heures. Épuisées, on s’est rhabillées. Nous étions les dernières à quitter le club, un taxi m’attendait pour revenir à la maison. Il était trois heures du matin.— Voilà mes chéries vous savez tout, je suis fourbue et j’ai mal de partout.
Nadine et moi restons silencieux après ce récit. Mélanie serrée entre nous deux repose sa tête sur mon épaule. Après un long moment je lui murmure :
— Je suis là, ça va aller, je t’aime, ma main glisse sous peignoir, je prends son sein, pointe un doigt sur le bout,— Aïïïe ! Doucement, doucement mon chéri !— Tu me fais voir, veux-tu que je te mette de la crème ?
D’un geste brusque elle ouvre son peignoir et se montre nue. Ses tétons sont deux fois plus gros, ses seins portent plusieurs hématomes. Elle écarte ses cuisses, son sexe est béant, rouge vif, tout enflammé, on croirait qu’elle vient d’accoucher
— Ma chérie, il faut voir un gynéco.— Non, non ! Répond-t-elle.— Je vais aller chez le pharmacien acheter une crème pour les jeunes mamans, propose Nadine qui déjà s’habille pour descendre.
Mél se lève et laisse tomber son peignoir, ses fesses sont couvertes de marques.
— Viens ma chérie dans la chambre, je vais m’occuper de tes fesses et de tes seins, nous avons tout ce qu’il faut.
J’ai à peine terminé les massages que Nadine revient— Voilà, j’ai parlé avec la pharmacienne, elle m’a dit que si tu avais mal ou si tu avais des pertes de sang, il fallait consulter, sinon qu’il ne fallait pas s’inquiéter dans trois, quatre jours le sexe aura désenflé et retrouvé sa physionomie. John tu traites ta chérie comme une jeune maman, alors pas d’excès pendant une semaine et dorlote la bien ! Allez mes chéris je vais vous laisser vous reposer.
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