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Incroyable famille vue par Nadine

Chapitre 1

Séduction au féminin

Erotique
Je m’appelle Nadine et j’ai 33 ans. On me dit jolie. Ma chevelure auburn, bouclée jusque sur mes épaules retient l’attention et ma silhouette aux jolies  rondeurs ne laisse pas indifférent, à mon mètre soixante-dix j’ajoute au moins 8 centimètres de talons qui me donnent une cambrure très sexy
Je suis mariée en seconde noce avec Yanis Andropoulos, un grec de 50ans, père de Mélina une étudiante de 22 ans. 
Mélina vit depuis presque deux ans avec John, ils ont fait ensemble une licence de Sciences Eco après quoi lui a été embauché par Yanis, dans son entreprise de lingerie féminine et elle a commencé une licence de Droit.

Soyons directs nous formons une famille libérée, il y a une exception, Monique la maman de John. Lui-même dit que c’est une ’’grenouille de bénitier’’ !

Il y a six mois, j’ai fait la connaissance de Monique lors de la remise des licences de Sciences Economiques à nos enfants John et Mélina.
Nous avons pris un thé en parlant des études et de l’amourette de nos enfants. Cette femme blonde, timide, pas très grande et d’allure négligée était au demeurant charmante et je ne sais pourquoi un courant de sympathie passa tout de suite entre nous. En nous quittant nous nous sommes promis de nous revoir.

A partir de ce moment je m’étais lancé un défit : ’’La séduire et la rendre séduisante’’. Sans le savoir, Monique très pratiquante avait rencontré le diable !
Tout d’abord j’ai commencé par l’apparence, elle abandonna le chignon, retourna chez le coiffeur, la manucure puis se maquilla avec plus d’attention.
J’ai poursuivi avec l’habillement, elle passa du mocassin aux petits talons de 4 puis de 6 centimètres, en même temps les jupes remontèrent du mi-mollet au dessus du genou et le col Claudine fut remplacé par de sages décolletés, les corsages plus ajustés mettait en valeur sa poitrine pas très développée.

Par la suite nous nous sommes revues régulièrement et en même temps que l’apparence évoluait notre relation se faisait plus intime. Le baiser amical sur la joue remplaçait la poignée de mains, le ’’’Tu’’ prenait la place du ’’Vous’’, une franche amitié se développait et nos rencontres sont devenues hebdomadaires

Pendant six mois, avec beaucoup de patience, j’enveloppais Monique dans un cocon comme une chrysalide pour la faire renaître.

Elle était contente de sa transformation d’apparence. Il fallait s’atteler maintenant au mental, au plus intime.
Une grande complicité se développait entre nous. Elle me parla de sa crainte, presque de son aversion pour le sexe. Avec prudence je lui fis comprendre qu’il n’y avait pas de raison d’avoir honte de parler de sexe, que le sexe n’était pas tabou mais raison de vivre.

Pour la rejoindre dans ses croyances je cherchai dans la Bible des textes allant dans mon sens. Ce premier pas accompli je lui fis voir combien le sexe était célébré dans l’art, la peinture, la sculpture. Sans jamais la brusquer, je l’amenai dans les musées, les expositions de peintures, elle s’habitua à regarder les sexes, à retirer les feuilles de vigne que la religion y avait posées. Elle fit un troisième pas avec la lecture des poètes et découvrit la beauté de ces textes et le plaisir qu’ils apportaient... Le sexe n’était pas uniquement objet de procréation mais également source de plaisir.

Je rencontrais Monique au moins une fois par semaine, nous étions devenues de vraies amies, des confidentes. Les chastes baisers se multipliaient dans la journée, les balades se faisaient bras dessus-dessous.

Ce fut au cinéma que Monique fit le quatrième pas, en voyant ’’Annabelle’’ :
C’est l’histoire de la rencontre d’une enseignante en littérature, plutôt collet monté et d’une lycéenne aussi sexy que rebelle qui réveille un amour passé et libère des pulsions refoulées.
En ce début de printemps nous étions en robe légère. Assises dans la salle obscure, j’avais Monique tout contre moi, je sentais son sein posé sur mon bras, sa tête sur mon épaule. Comme Annabelle, j’ai su que le fruit était mûr, d’une main sous le menton, je tournai son visage face au mien, nos lèvres se joignirent, s’ouvrirent, les langues se cajolèrent, le baiser se prolongea. Peu après Monique revint et m’embrassa à nouveau à pleine bouche. Nos têtes restèrent l’une contre l’autre, d’autres baisers s’échangèrent. A la fin du film Monique prit conscience de son péché, s’enfuit en déclinant mon offre de prendre un café.

Je laissai le temps passer. Au moins quinze jours plus tard Monique m’appela et s’excusa en pleurant. Le lendemain nous nous retrouvâmes à notre habitude dans le square Louis XVI. Nous sommes restées plus d’une heure dans ce jardin très peu fréquenté. Entre de longs silences nous avons échangé de tendres paroles, je sus la convaincre et ses regrets de pécheresse se dissipèrent. Finalement nous nous sommes embrassées longuement, les yeux pleins de larmes.

A partir de ce moment ’’ma Chérie’’ a remplacé le prénom et sans se quitter des yeux, nous avons pris notre café, main dans la main.
Je sus doser ma victoire, sans précipiter les choses nous en sommes restées à ce point pendant quelques semaines, jusqu’au 5 mai, son jour anniversaire. Monique avait 45 ans, je décidai alors de faire un pas de plus.

Après les bisous habituels et le « Bon Anniversaire » traditionnel nous allâmes déjeuner dans un bon restaurant avec champagne. A la fin du repas je l’invitai à me suivre dans une petite boutique de lingerie pour lui offrir un maillot de bains. Monique penchait pour une pièce alors que je préférais le bikini. La vendeuse, peut-être complice appuya le choix du bikini et nous proposa un essayage en nous apportant les maillots.

Là ensemble dans la cabine, l’inévitable se produisit. Monique se déshabilla avec pudeur dans un coin pour essayer le une pièce. En même temps que je quittai ma robe, je l’observai de dos, une fois le maillot mis je lui demandai de se retourner.

— Il te va très bien, et tout en passant mes doigts dans le décolleté pour mieux l’ouvrir je continuai : Il met bien en valeur tes formes, tu as de beaux seins.
— Tu rigoles, je suis moche !
— Oh NON ! m’exclamé-je, Ma chérie, tu es magnifique, avec un beau p’tit cul bien ferme, tout en lui donnant une petite tape, des cuisses bien rondes. Allez passe-moi ce bikini, nous serons ainsi comme deux sœurs.

Pour l’encourager à rester de face je quittai mon soutien-gorge et ma culotte. On s’observa un moment entièrement nues, je trouvais Monique vraiment jolie, sa maternité n’avait pas laissé de traces, ni à son 90B ni sur son ventre garni d’un buisson à l’état naturel. Je ne voulus rien précipiter, restai à distance, choisis mes mots d’admiration sans parler de sexy :

— Waouh ! Ma Chérie regarde comme tu es belle !

Je ne voulais pas effrayer l’animal à dompter. Elle opta pour le deux pièces, ma victoire était totale. Je payai les deux bikinis et nous quittâmes la boutique en nous promettant de bientôt les porter.
La semaine suivante nous nous sommes retrouvées à la piscine Molitor. Une piscine en plein air avec trois balcons autour desquels s’alignent les cabines individuelles d’un mètre carré environ. Je laissais Monique se changer seule. Le loup ne voulait pas effrayer l’agneau

— Vas-y ma Chérie la première, j’irai après.

Tout de suite après, nous plongions dans le bassin, mais l’agneau n’aimait pas l’eau. On se baignait accrochées l’une à l’autre. Elle par sécurité, moi par plaisir. On se retenait à une épaule, à un maillot en touchant accidentellement ou volontairement un sein, une fesse ou un ventre. A chaque fois s’étaient des éclats de rire et en sortant du bain :

— Nadine, je ne me suis jamais autant amusée.
— C’est vrai ma chérie ? Allons prendre la douche avant qu’il y ait du monde.

Les douches pour femmes étaient communes, déjà une jeune fille se lavait nue dans un coin. Le plus naturellement du monde je quittai mon bikini et allai dans un autre angle encourageant Monique à me suivre. Après un temps de réflexion elle abandonna son maillot et me retrouva sous le même pommeau de douche. Toujours pour ne pas l’effrayer je me plaçais derrière elle et lui murmurais :

— Veux-tu que je te savonnes ?
— …

Son silence valut acquiescement, mes mains couvrirent les épaules, s’y attardèrent comme pour les masser, puis descendirent sur les côtés de manière très prude, se rejoignant au creux du dos pour remonter à la nuque... L’absence de réaction valut encouragement. Je me mis à genoux derrière elle, je l’embrassai au creux des reins avant de masser les deux globes blancs. Les pouces suivirent la raie, la pénétrèrent à peine. Les cuisses restèrent serrées, la voie n’était pas encore libre. Je lui frictionnai chaque jambe sans aller trop haut toujours pour ne pas toucher la maman au lieu de la procréation. Enfin je me relevai et l’embrassai dans le cou :

— Voilà c’est fait, à ton tour.
— ...

Elle se retourna nous nous sommes retrouvées face à face à nous observer longuement :

— Tu n’as pas de poil !!!
— Parfois Oui, aujourd’hui Non … Je m’épile le plus souvent, mon mari n’aime pas trop les poils.
— Le mien n’y porte pas d’intérêt.
— C’est dommage, tu es tellement belle !
— Tu as de beaux seins, plus gros que les miens, Monique me regarde pour la première fois avec attention, Waouh tes aréoles sont si larges et tes tétons roses comme les miens.

Avec précaution je lui caressai un sein en suivant sa ligne médiane puis descendis jusqu’à la limite de la toison pubienne. Monique ferma les yeux, respira très lentement, me prit par les épaules pour se maintenir en équilibre, à ce moment ma main se plaqua sur son pubis et mon majeur sur la vulve. Je sentis une contraction, l’animal était blessé et je quittai immédiatement la toison, pour la prendre dans mes bras et l’embrasser dans le cou. Je m’étais laissée emporter et le regrettais.

Le temps que les choses se calment nous sommes restées enlacées appréciant la pluie de la douche. Puis nous sous sommes lavées. Comme devant un miroir, les gestes de l’une se répliquèrent sur l’autre. On se sourit, s’embrassa tendrement sur la joue, remit le maillot pour rejoindre notre cabine.

Je laissai Monique entrer seule, après un instant d’hésitation elle me tendit la main et nous enferma. Timidement elle me prit par le cou, sa tête dans mon épaule elle dégrafa le haut de mon bikini, à son rythme nous nous déshabillâmes. L’Audacieuse suivait la Timide, je ne voulais plus la froisser. Nos caresses étaient superficielles, les siennes malhabiles mais d’autant plus excitantes, les corps frissonnaient, les tétons durcissaient, les vulves s’humidifiaient. Elle s’excusa de ne pas savoir faire, je la rassurai en lui disant que je lui apprendrai.
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