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Incroyable famille vue par Nadine

Chapitre 2

Séduction au féminin 2

Lesbienne
Monique, la mère de John, avance à petits pas sur le chemin de la luxure : aimer n’est pas péché, le nu est beau, le sexe n’est pas tabou.
Si Nadine, ’’l’Audacieuse’’, lui fait découvrir les plaisirs de l’amour au féminin, c’est elle,’’la Timide’’, qui fixe le tempo.


Pendant le mois qui a suivi l’après-midi à la piscine, je me suis contentée d’accompagner Monique, en promenade, dans les boutiques ou aux expositions.
Dans les parcs et jardins nous cherchions des coins tranquilles pour nous asseoir et parler. A l’abri des regards nous échangions de tendres baisers. Elle était intriguée par mon passé, ma vie de couple, mes habitudes. Je m’amusais à l’émoustiller en lui racontant certaines anecdoctes coquines. Notre complicité se renforçait de jour en jour , j’avais l’impression que ses sentiments amicaux devenaient amoureux.
Ce jeudi nous devions nous rencontrer au parc Monceau mais la pluie était annoncée alors je lui ai proposé de venir prendre le café à la maison et de décider sur le moment.
Lorsqu’on sonne à la maison il pleut comme « vache-qui-pisse ». C’est Monique, elle arrive ruisselante, malgré la proximité de la station de métro :

— Ma pauvre Chérie, entre vite, tu es toute trempée, quitte ton imper... Donne, je m’en occupe.

L’impatience l’emporte, en une seconde l’habit tombe au sol et nous dans les bras de l’autre. Nous nous étreignons et nos lèvres se joignent en un baiser intense. Le premier émoi de retrouvailles passé, nous reprenons notre respiration en éclatant de rire :

— Oh là, là, même ta jupe est mouillée, viens, tu vas passer un peignoir et on va faire sécher tout çà !

Je la conduis au fond de l’appartement dans ma chambre et la salle de bains

— Quitte-moi ta blouse aussi et enfile mon peignoir.

Juste avec sa culotte et son soutif de coton, elle enfile le peignoir. Je lui frictionne le dos pour la réchauffer. Après un bisou du bout des lèvres je la prends par la taille et nous retournons dans le séjour qui donne directement sur le parc, la pluie s’est calmée, la fenêtre grande ouverte on entend les oiseaux et les cris des enfants :

— Assieds-toi, je vais faire un café.

Je la retrouve souriante, enfoncée dans un coin du canapé. Je m’assieds tout contre elle, elle se pelotonne dans mon bras sa tête sur mon épaule. Nous parlons tranquillement de la pluie, de la famille, des enfants. Je profite qu’un pan du peignoir s’ouvre pour poser ma main sur son genou en même temps que j’engage la conversation sur notre dernier après-midi à la piscine...

— Tu sais Nadine, tu me conduis dans un monde interdit, un monde de perdition, un monde de damnation... J’ai peur mais je ne me sens pas capable de résister.
— Mais non ! Ma Chérie, je te conduis dans un monde d’amour, un monde de partage, un monde d’exaltation. Laisse-moi te guider. Je te l’ai dit, le sexe est le centre du monde, notre raison d’être est le maintien de notre lignée, le sexe est source de vie et de bonheur.
— Oui... Et source de plaisir... de péché.
— Mais NON ! », je m’exclame en élevant la voix « Être heureuse n’est pas péché, la vie est belle en se faisant du bien, pas du mal, on parle bien de jouissance de la vie !
— Je ne sais pas ce qu’est jouir !
— Tu m’as dit que Olivier ne prête pas attention, il ne t’a jamais fait jouir ?
— … Je ne crois pas.
— Je vais te faire découvrir le plaisir. Je vais transformer ton apparence, tu es belle, très belle, je vais te rendre sexy, très sexy.
— Tu veux faire de moi UNE PUTE ???
— Mais NON ! Je veux te rendre désirable à tous, comme je te désire !
— Mais entre femmes... Ce n’est pas possible, ce n’est pas bien, c’est interdit.
— Balivernes ! Tout ça. L’amour n’a pas de limites, entre hommes, entre femmes, en couple, en groupe... Oublie tes préjugés, et découvre la jouissance avec moi, entre femmes.

Nous restons enlacées un moment sur le canapé, silencieuses, nous nous observons avec sérieux, elle circonspecte et moi confiante, elle en peignoir et moi en robe. Mon doigt dessine des arabesques sur son genou, un timide sourire apparaît sur ses lèvres, ma main remonte sur la cuisse, le peignoir s’ouvre jusqu’à la jonction des jambes protégée d’un coton blanc côtelé. Elle me laisse faire, ma main glisse entre ses cuisses qui s’ouvrent lentement et m’invitent à les séparer. Le pouce relevé, mes quatre doigts se plaquent sur l’entrejambe.

Sa respiration s’accélère, devient haletante, fixe le rythme à mes doigts qui en saccade excitent la vulve cachée sous le tissus. Le loup sait que l’agneau s’abandonne. Sans précipitation, je défais la ceinture du peignoir, écarte les côtés, abaisse le coton qui protège les seins. Ma bouche plonge sur le téton rose. Ma main continue d’exciter les chairs intimes, le coton se mouille.

Dans le canapé Monique s’abandonne, totalement inerte, la tête en arrière, les yeux mi-clos, les bras allongés contre elle, les cuisses entrouvertes au repos.
Je déboutonne ma robe, viens face à elle et la chevauche. Nos positions font que ma poitrine est à hauteur de son visage. A deux mains je lui prends l’arrière de la tête et plaque sa bouche sur mon sein nu.

Il y a 6 mois, jamais la grenouille de bénitier n’aurait pensé en arriver à ce point de soumission.
Sans difficulté, comme un bébé elle me tète, pas très bien d’ailleurs :

— Tète plus fort ma chérie, aspire mieux... Oui comme çà... Mords-le... Plus fort, n’ait pas peur !

La coquine apprend vite, s’attaque à l’autre mamelon en gardant en main le premier que de deux doigts elle triture.

— Hummmm ! C’est bon, viens dans la chambre.

Ses yeux concupiscents parlent pour elle. Nous traversons lentement le couloir pour rejoindre ma chambre, en se tenant par la taille, en se regardant amoureusement.
Elle se laisse conduire avec une certaine appréhension. Sans précipitation, je la mène sur la couche, assises côte-côte, dans mon mouvement je l’entraîne en arrière. Elle sur le dos, moi sur le côté, penchée sur elle, on se sourit, on s’embrasse, nos yeux, nos respirations parlent.

Elle m’enlace le cou d’une main, avec son aide ma main passe dans son dos et dégrafe le soutien-gorge que j’abaisse en revenant devant. Ses seins nus s’écartent à peine sur les côtés. Après un bisou sur chaque pointe rosée, j’aspire ses tétons de mère. Je palpe, pétris les deux oranges, je lèche, titille, suce à nouveau les mamelons qui grossissent comme pour allaiter, alors j’ose tirer, pincer, tortiller la chair... faire mal.

Monique paisible jusqu’à maintenant, se transforme, le visage se crispe, après une longue inspiration bruyante la respiration se bloque.
Craignant un rejet, je cesse immédiatement pour embrasser longuement la chair endolorie.
Je l’observe, elle me regarde toujours silencieuse me sourit. Je me décide à faire le pas décisif.

— Mets-toi mieux que ça au milieu de lit.

Elle s’allonge en retirant son soutien-gorge. Je ne la quitte plus du regard, l’hypnotise. A califourchon sur ses genoux, mes deux mains abaissent la culotte de coton, l’air inquiet elle accepte, soulève les reins et laisse filer la protection jusqu’à ses genoux. Je caresse son ventre avec une infinie douceur, me penche, embrasse le nombril, le titille de la langue puis descends en ligne droite sur le buisson. Il est naturel, une forêt dense abandonnée, épaisse, profonde, odorante. Ma langue ouvre le chemin dans la broussaille, comme un socle de charrue dans les labours, et atteint la chair secrète, sensible, délicate. Mes doigts écartent la canopée de poils blonds, découvrent le lieu mystérieux, une crête de chair rose, fragile.

D’un baiser je demande la permission, suivi d’un autre plus mouillé. Ma langue glisse sur la crête, elle caresse, s’infiltre, pénètre, fouille, excite... Le sexe se réveille, devient humide. ses genoux s’agitent sous mes fesses, elle se débarrasse de sa culotte, ses cuisses pivotent sur les côtés, s’écartent, le bassin vient à ma rencontre, le fruit s’ouvre, libère son élixir à la saveur légèrement acre.

Ma langue le pénètre aussi loin que possible, ma bouche le suce avec plus de force. A deux mains Monique veut me contrôler mais plus rien ne m’arrête, deux doigts plongent et excitent le point G. Enfin elle se libère totalement, sa respiration s’accélère, ses miaulements étouffés deviennent gémissements, râles... elle crie :

— ARRETE ! ARRETE !... puis reprenant sa respiration, calmement elle ajoute, jamais, jamais je n’ai connu ça !
— …Tu viens de jouir !
— Que c’était bon, que c’était fort.

Je m’allonge sur le dos à côté d’elle, lui prends la main et la pose sur mon sexe épilé alors que je retrouve sa toison pleine de salive et de cyprine. Pour Monique, ma nudité crue est une découverte, son doigt s’agite sur ma vulve à l’exemple du mien sur la mienne :

— Tu te rases ?
— Je m’épile... Tu n’aimes pas ?
— Je ne sais pas, ça fait petite fille !
— L’avantage de ta fourrure est de garder les odeurs. Certains disent que ça pue, je trouve que c’est très sauvage. Tu sais Napoléon demandait à Joséphine de ne pas se laver. Ton odeur est très délicate mais ce soir je suis sûr que ton mari...
— Ce soir mon mari ne me touchera pas, pas plus qu’hier ou les autres soirs !
— Vous ne faites pas l’amour ?
— Olivier préfère les garçons et se faire fouetter !
— Oh mon dieu !!!... Ce n’est pas possible, je comprends ta frustration.

Je viens sur elle entre ses jambes. Face à elle, nos corps glissent l’un sur l’autre, s’excitent l’un l’autre.

— Tu sais Monique, un joli gazon comme le tien, il faut l’entretenir sinon ça fait négligé.
— C’est à dire ?
— Couper les herbes folles sur les côtés, le tailler... Tu veux que je sois ton jardinier ?
— Si tu veux !

Décomplexée elle s’abandonne à mes ciseaux et rasoir. En même temps je repensais au dire de John : « Ma mère est une grenouille de bénitier » et au sien « Olivier préfère les garçons et se faire fouetter ». J’en conclue que s’est une mal baisée, tout sauf frigide. Après son éducation à la con aujourd’hui elle à un connard de mari, elle n’a pas de vie sexuelle. En fait c’est une sorte de femme ’’vierge’’ qui ne connaît rien de l’amour et qui s’abandonne avec prudence.

Quand je pense, il y a six mois, on se vouvoyait, se faisait la bise sur la joue et aujourd’hui je la fais jouir, je mets à nu son minou ! Après une demie-heure de soin, comme chez le coiffeur à l’aide d’une glace je fais voir le résultat, peut-être que c’est la première fois qu’elle va regarder son sexe, il est magnifique, une vulve rasée de prés, sous un triangle de poils dorés apparaît une crête rose. Admirative Monique demande en riant :

— Je ne mettais jamais vue, C’est ce qu’on appelle sexy ?
— Oui ma chérie, que je réponds en souriant.

J’embrasse longuement son ventre en pensant aux prochaines fois. On reste un moment ainsi, moi la tête sur son ventre, elle me massant le cuir chevelu.
Je me moque de Monique lorsqu’elle se rhabille :

— Ça ! ce n’est pas très sexy, la prochaine fois nous irons faire quelques achats.

On se quitte après un tendre baiser. Peu après Yanis arrive à la maison, il a probablement rencontré Monique dans l’escalier.
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