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Incroyable famille vue par Nadine

Chapitre 4

Un jeu à trois - 1

Erotique
Yanis, mon mari, me surprend au lit  avec Monique quand elle se réveille après avoir fait l’amour.
Une surprise attendue,  espérée ! 

J’essaie de tranquilliser l’oie blanche, effrayée d’être ainsi découverte. Nous nous rhabillons avant de le rejoindre.
Dés notre entrée dans le salon il nous accueille avec le plus grand sourire et en prenant à deux mains notre "invitée" pour la saluer chaleureusement

— Entrez, entrez ! Bonjour Monique, je suis très heureux de vous rencontrer, Nadine m’a beaucoup parlé de vous. Je suis content de connaître par la même occasion la maman de John, le responsable administratif de mon affaire. Un garçon très efficace qui fait le bonheur de ma fille et le nôtre.

Il est charmeur, respectueux mais entreprenant. En la gardant par ses deux mains, il la fait asseoir près de lui sur le canapé,

— Monique que puis-je vous offrir ?... Rouge comme une pivoine, mal-à-l’aise au possible elle ne pipe mot. Un vin doux, un whisky ?... Je suis grec, prenez un Samos, vous verrez c’est très doux... Puis se tournant vers moi : Nadine, ma chérie sers-nous un Samos et un whisky s’il te plait.

En la couvrant d’attentions le libertin tisse sa toile autour de l’oie blanche. Séducteur, hypnotiseur, il passe son bras sur son épaule tout en gardant une de ses mains, puis à voix basse :

— Merci Monique, vous m’avez offert un magnifique tableau érotique et une très belle présentation de ma dernière création, ce corselet blanc à petites fleurs vous va à merveille.

Quand je me retourne pour apporter les apéritifs, Yanis a son visage dans le cou de notre visiteuse qui les yeux mi-clos apprécie autant la douceur de la barbe que celle de ses mots. Satisfait de son premier pas Yanis relâche son étreinte. 
Je me suis servi également un Samos et souhaite une bonne santé à tous. Un peu rouge et affolée, elle s’empresse de boire son apéritif :

— Je vous remercie mais je dois rentrer, je suis attendue à la maison.

— Mais bien sûr Monique ! Faites moi plaisir, je vous propose de repasser à la boutique avec mon épouse quand vous voulez et nous prendrons plus de temps pour faire connaissance.

L’apéritif terminé, Monique s’enfuit et Yanis ne manque pas de marquer un point de plus en l’embrassant affectueusement à la commissure des lèvres alors que je l’embrasse à mon habitude maintenant du bout des lèvres sur la bouche.

.....................

Mon mari me fait accélérer les choses et j’invite Monique à me retrouver directement à la boutique dès mardi matin.

Jacqueline a à peine ouvert le magasin que je suis sur place. A 11 heures comme prévu Monique arrive, je l’accueille et la conduis dans le petit salon où j’ai préparé café et viennoiseries.

Après la collation, on s’installe dans les deux fauteuils et en nous tenant par les mains, nous discutons de notre après midi précédent, la drague sur les Grands boulevards, notre relation dans la chambre et la visite surprise de Yanis. Elle m’avoue combien elle a aimé ces moments et combien elle a trouvé charmant mon mari.

Je me rends compte que l’oie n’est plus aussi blanche que ça et je lui propose de faire quelques essayages de sous-vêtements. J’ai préparé cinq parures en 90B du plus sage au plus dénudé.

Pour respecter sa pudeur je la laisse se déshabiller dans la cabine derrière le rideau en lui passant le premier ensemble de soie blanche, très classique. Après avoir vu le trois pièces, elle passe le suivant un peu semblable à celui de la semaine dernière avec un soutien-gorge qui permet de dégager ou non les tétons, un ensemble de satin bleu avec une culotte très ajustée qui s’enfonce dans les fesses et le sexe. Alors qu’elle vient vers moi, les tétons cachés je l’embrasse doucement sur les lèvres et dégage les tétons :

— C’est beaucoup mieux comme ça ma chérie !

Comme nous restons très proches l’une de l’autre, je pince en tirant le mamelon en la faisant gémir « Et encore mieux ainsi ! » tout en l’embrassant à pleine bouche. Elle retourne à la cabine ; de dos mais sans tirer le rideau elle passe le troisième ensemble. C’est un push-up rouge qui soutient le dessous du sein et le laisse nu aux 3/4 avec le serre-taille et un mini string qui dégage totalement le pubis. Monique vient vers moi en faisant une petite moue contrariée « C’est osé ! » Au moment où elle repart vers la cabine on frappe à la porte, elle a juste le temps de fermer le rideau que Yanis entre dans le salon :

— Ma chérie, c’est Yanis, il n’y a pas de problème !

— Bonjour Monique, si vous permettez je voudrais vous inviter avec Nadine à déjeuner.... Puis-je rester pour voir vos essayages ?

— …

— Ma chérie !

Pour l’encourager je la rejoins dans la cabine où je la retrouve entièrement nue. Semblable à une biche effrayée, je la câline, la tranquillise, nous prenons le temps, je l’aide à passer l’ensemble suivant, un trois pièces gris-perle, très sexy qui habille… mais si peu. D’un regard elle me dit : « Je suis prête ». Je tire le rideau.

Yanis attend assis dans un fauteuil, un café à la main face à la cabine d’essayage. Comme lors d’une présentation de mode j’annonce : « Je ne cache rien » et Monique joue le jeu en avançant jusqu’à Yanis faisant demi tour devant lui telle une mannequin et retournant vers la cabine où les miroirs renvoient son image puis refait un aller-retour.

Je referme le rideau derrière elle. On pouffe de rire, je la sens détendue, heureuse de son effet et elle accepte de passer la dernière pièce : un corset de satin noir qui emprisonne la taille et libère totalement le ventre, les seins et les épaules. Avant d’ouvrir le rideau je lui demande si elle est chiche de se planter devant lui ? Sans répondre elle ouvre grand le rideau. J’annonce l’article « Nuit torride ». Elle avance, revient jusqu’à moi puis retourne jusqu’à Yanis. Face à lui, les mains sur les hanches, elle écarte légèrement les pieds et s’immobilise en se déhanchant.

Yanis n’a qu’à se pencher pour embrasser son gazon pubien. La coquine s’en retourne immédiatement sans lui laisser le temps de humer la végétation. C’est moi qui ferme le rideau derrière elle. On éclate de rire avant de s’embrasser longuement :

— Lequel prends-tu ma chérie.

— C’est vrai, tu m’en offres un ?... alors celui-ci « Je ne cache rien ».

Elle le met, se rhabille et réapparaît face à Yanis, sûre d’elle, sa blouse ne cache rien de sa poitrine. Il l’aide à mettre sa veste, la maintient par les épaules et l’embrasse dans le cou.

— Merci... dit-elle dans un souffle et après un silence elle ajoute : Yanis !

— Merci à toi !

Tous les trois nous quittons la boutique, la gérante nous remet deux cartons en nous tenant la porte de la boutique :

— Au revoir monsieur Andropoulos, au revoir mesdames.

— Au revoir Jacqueline ! puis se tournant vers Monique il ajoute : Nous t’offrons également « Nuit torride » en noir naturellement, couleur de la nuit.

— Si je comprends il faudra qu’il en soit ainsi.

— Tu as tout compris Monique... Mesdames j’ai réservé une table chez « Lapérouse » sur les quais.

Par chance un taxi passe et nous emmène. Arrivés sur place, on nous installe à l’étage, dans un petit salon décoré de boiseries et de miroirs style 18ème siècle, outre la table ronde et les trois chaises, il y a un canapé. Monique est intriguée par les graffitis gravés sur les glaces ’’Zoé... Lulu... Merci Loulou...’’ Il y a aussi des cœurs avec des initiales. Yanis s’approche d’elle par derrière, il la prend par les épaules et murmure :

— On dit que les Cocottes gravaient leurs initiales de la bague que le monsieur venait d’offrir pour s’assurer que c’était du diamant.

Il l’embrasse dans l’oreille et la conduit à table en lui tenant la chaise. Le champagne est servi suivi du repas. Le cadre, la discrétion du service et l’intimité du salon font que notre conversation devient rapidement libertine, Yanis parle beaucoup d’érotisme, de philosophie du boudoir.

Les esprits s’échauffent mais la tenue reste distinguée.

Le repas est parfait et à la fin du déjeuner on demande un taxi. Dans la voiture il est assis entre nous deux, ses mains se posent sur nos genoux, glissent entre les jambes, je lui permets de remonter sur le bas jusqu’à atteindre ma chaire nue alors que Monique garde les jambes serrées.

En arrivant à l’appartement, avec galanterie il aide notre invitée à quitter sa veste et l’accompagne jusqu’au canapé pour prendre place dans un fauteuil face à elle.

J’apporte le café, les deux s’observent sans vraiment se parler, je sens Monique sur la défensive. Pour détendre l’atmosphère je mets un disque de musique douce et l’invite à danser. Enlacées au cou et à la taille, je dodeline contre elle. Je sens ses seins que j’écrase de ma poitrine. Elle a sa tête sur mon épaule, je sens sa respiration dans mon cou, elle s’abandonne, oublie l’environnement. Ma main se colle à son postérieur, remonte la jupe jusqu’à ce que je touche sa fesse. Elle balance son bassin de droite à gauche puis d’avant en arrière, m’invite à la caresser, mon indexe suit le vallonnement de sa raie. Le spectacle qu’elle offre est très érotique, c’est le moment que choisit Yanis pour nous rejoindre, en se mettant contre son dos.

Il la tient serrée par les hanches et accentue son mouvement de bassin. Elle se laisse guider. C’est moi qui déboutonne la blouse, c’est Yanis qui la retire, c’est moi qui ouvre la fermeture éclair latéral de la jupe, c’est Yanis qui la descend. Elle est en sous-vêtements entre nous deux habillés. Je reste encore un moment puis je les laisse. Je les regarde danser une sorte de lambada, lui derrière elle, elle la tête penchée sur le côté, le cou offert aux baisers de l’homme, j’entends un rire, un miaulement. Il la tient fermement par les hanches, son bassin simule le coït.
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