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Un incroyable shooting

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
De grosses larmes coulaient maintenant sur ses faux-cils dont le fard teintait ses joues toutes luisantes de sa propre salive. Alexandra alternait la dizaine de queues qui se présentaient à elle avec un tel appétit que certaines échappaient à ses mains pour venir caresser son visage. Il y avait des sexes petits et épais, d’autres longs, tantôt veinés, tantôt offrant une surface uniforme, certains poilus, d’autres entièrement rasés. Il y avait du chibre, de la queue, de la bite, des dards et tous les noms qu’on peut donner à ce pieu de chair. À genoux, Alexandra ne voyait plus les hommes, mais que leurs désirs dressés devant elle, attendant patiemment leur tour dans sa bouche. La jolie brune aux seins rebondis et aux lèvres pulpeuses semblait comme possédée par l’envie de les savourer toutes. Elle sous-pesait les couilles viriles ou branlait celles qui n’étaient pas dans sa bouche.
Je dis "celles", car il lui arrivait parfois de coller deux glands l’un à l’autre pour les flatter ensemble de sa langue agile, les pressant l’un contre l’autre pour faire s’ouvrir leur urètre.
Dans une odeur forte de baise, j’enchaînais les photos de cet incroyable spectacle multipliant les plans serrés sur cette figure angélique à l’appétit diabolique. Alexandra n’avait jamais été aussi belle qu’entourée de toutes ces bites qui réclamaient leur part de plaisir. Puis la jeune femme s’allongea au sol, calant sous ses reins le coussin qu’on lui tendait. Ses cuisses si blanches sous sa chatte surmontée de courts poils noirs étaient ouvertes, l’offrant à qui voulait la lécher. Et c’est ainsi que tout pendant qu’elle se faisait laper et explorer le sexe, des queues continuaient à se succéder au-dessus de son visage jusqu’à plonger sur elle comme pour lui pénétrer le visage. Dans cette position, Alexandra pouvait certes se faire baiser sa petite gueule d’amour, mais elle pouvait aussi reprendre le dessus quand un cul lui semblait prometteur et que l’envie lui prenait d’en lécher le petit trou.
Elle écartait alors à pleines mains les cuisses de l’heureux élu qui pouvait alors sentir Alexandra lui lécher la rondelle avec passion. Et des beaux petits musclés, il y en avait !
Mais le plus souvent, c’était les couilles qu’elle aspirait avec gourmandise comme si elles allaient fondre dans sa bouche pour y libérer tout leur contenu. Je me plaçais au-dessus de son visage pour immortaliser la scène tout comme son sexe fouillé au second plan. J’étais évidemment furieusement excité par le spectacle, bandant au point que ma queue semblait vouloir déchirer sur mon jeans. Les gémissements d’Alexandra et les commentaires salaces de ces messieurs se mélangeaient aux bruits mécaniques de l’appareil. L’ambiance était électrique.
Je finis par poser mon boitier pour me mettre moi aussi nu et plus à l’aise pour continuer ce shooting très particulier. La queue dressée, maintenant à genoux, j’opérais rivé à cette réalité à laquelle je faisais face et qui pourtant ne se matérialisait pour moi que sur le miroir de la chambre noire. Il y avait d’incessants mouvements, mais heureusement, beaucoup de lumière pour que je puisse travailler la profondeur de champ jusqu’à isoler un gland, un regard.Ce fut alors que commença une longue série de levrettes, chacun voulant y aller de son dard dans la chatte exquise de la belle libertine. Près de la moitié n’y tinrent pas cinq minutes, sortant tout juste pour ôter précipitamment leur préservatif avant de gicler sur le dos ou les fesses d’Alexandra. D’autres étaient plus endurants, la pilonnant sauvagement ou tout au contraire faisant lentement glisser leur dard dans sa chatte aux lèvres de plus en plus éclatées.
Le regard lumineux à chaque coup de queue, Alexandra fixait mon objectif qui ne la quittait que pour saisir ses glands turgescents déversant leur foutre sur sa peau. Ainsi maculée, Alexandra ne se fit pas prier par les suivants de ses messieurs pour se faire prendre cette fois sur le dos et regarder sa toison noire se faire couvrir des lourdes goûtes de cette crème masculine que la gravité faisait tomber à l’orée de sa chatte, seules les premières giclées étant suffisamment puissantes pour atteindre ses seins. La chambre sentait maintenant l’odeur âcre de sa chatte, celle aussi du foutre et des sueurs mélangées. Ceux qui avaient joui se tenaient à distance de la scène, la queue de plus en plus ballante, le regard un peu perdu de s’être aussi intensément vidés.
Alexandra, comblée, se releva non sans peine. Quelques mains l’y aidèrent. Elle salua comme une actrice sur la scène d’un grand théâtre. Tous applaudirent. Elle rayonnait tout en semblant vaciller d’épuisement ou des derniers spasmes du plaisir. Elle se dirigea vers la salle de bains pour s’y doucher tandis que dans un silence étonnant, chacun des hommes présents quitta la chambre de l’Appart Hôtel. Quant à moi, je m’installais au bureau pour vider la carte mémoire sur ma tablette, attendant qu’Alexandra termine sa douche. Une dizaine de minutes plus tard, elle sortit de la salle de bains aussi nue qu’elle y était entrée, hormis une serviette blanche pour sécher sa lourde chevelure brune. Elle se pencha sur mon écran. Son souffle caressa mon oreille droite. Elle me dit "Alors ?". Je n’eus pas besoin de répondre, Alexandra était ravie du travail. Une longue séance de sélection, de petites retouches commença. Ah oui, et moi dans tout ça ?
Et bien j’eus pour récompense une fellation exquise et salvatrice tant mes couilles étaient pleines et mon sexe douloureux. Je garde encore un souvenir ému de sa bouche chaude glissant sur ma queue, mon gland entrant en elle comme dans un four.
Ce fut tout et peut-être déjà trop, car mon plaisir, je l’avais pris en réalisant cet incroyable shooting.
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