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Chapitre 1

Je découvre un attrait pour une autre sexualité

SM / Fétichisme
— Oui c’est moi qui ai tout conçu.— Cela se voit ! Vous auriez dû prendre un architecte.
La réplique est cinglante et ne fait qu’ajouter à mon malaise. Je rencontre un architecte désirant remodeler toute ma maison et depuis son arrivée je n’en mène pas large. C’est la première fois que je me sens ainsi impressionné. Par son physique d’abord, puissant, plus grand que moi, tout exhale la puissance chez lui. Il ne me regarde qu’à peine, ne répond pas à mes questions, me rend fébrile.
Sa dernière remarque m’humilie, en temps normal, je l’aurais mis dehors immédiatement, mais là je ne fais rien, pas même une blague. Je baisse les yeux et stupéfait, je découvre que son jean moule un sexe que je trouve vraiment énorme. Il ne semble pas bander, ce qui est encore plus impressionnant, mais apparemment il ne porte pas de slip, car je distingue parfaitement son sexe d’un côté, ses couilles de l’autre.
— Cela semble beaucoup plus vous intéresser que ce que je vous dis ! — Je, je... non pas du tout !

Rouge de confusion, je ne sais pas où me mettre. Non cela ne m’intéresse ni de près ni de loin, je suis un pur hétéro, c’est simplement que c’est un magnifique mâle je dois l’avouer, et puis voilà.
— Écoutez-moi, votre maison a beaucoup de potentiel, elle est magnifique. Vous l’avez massacrée, il faut tout repenser et tout revoir. Si c’est juste pour des aménagements, cela ne m’intéresse pas. Vous me rappelez quand vous serez décidé.

Il me plante là sans que je sache quoi lui répondre. Je suis juste sidéré et un peu tremblant de stress. Je me croyais mâle dominant, je révise d’un coup mon jugement. Je ne sais si c’est le stress ou l’architecte, mais j’ai une furieuse envie de me masturber. Mon sexe est dur si vite, et toute honte bue, je me fais jouir au souvenir de son sexe que j’imagine démesuré. J’ai honte de cette image, mais au moins je suis soulagé !
Pas pour longtemps. Mon sexe reste dur, tout comme mon désir de jouir. Je ne me reconnais pas, j’ai plutôt une libido calme pour mes 38 ans. Ma nuit est agitée, je me relève même pour regarder des vidéos et photos de mecs, mais cela ne me fait rien, je suis rassuré, mais en même temps l’excitation de cet homme reste pleinement en moi. Je n’arrive pas à m’en débarrasser. Je n’ai qu’une image en tête, sa bite incroyable moulée dans son pantalon. J’ai envie de la toucher, de la sentir dans ma bouche.
Je n’ai jamais eu d’attirance pour les hommes, mais en même temps je ne suis pas homophobe, donc je me dis que c’est une nouvelle expérience à tenter, qui sait ce qu’il en sortirait ? Mais ce n’est que de lui, Philippe, dont j’ai envie, sans même pouvoir définir mon envie. C’est tellement violent et profond, que je n’arrive pas à comprendre.
Il est à peine 10 heures, que je lui envoie le message que j’ai écrit cent fois dans la nuit.
— Bonjour Monsieur, suite à votre visite d’hier qui m’a fait réfléchir, je souhaite avancer avec vous à vos conditions. Je suis à votre disposition en fonction de vos disponibilités.


Le message peut se lire suivant une lecture professionnelle, liée à mon projet, ou bien très personnelle, mais je me suis peut-être complètement avancé et j’ai peut-être construit tout un fantasme sur rien du tout.
Mon sexe me fait mal tellement je me suis fait jouir en vain pour calmer toutes les images qui virevoltent en moi, de plus en plus hards. Il met deux jours à me répondre.
— Bien je serais là lundi en 8 à 15 h pour lancer le début de notre relation. Prévois une bouteille de champagne pour fêter cela.

Dans 10 jours ! Je m’effondre. Je ne me reconnais pas, je n’arrive à penser à rien d’autre, j’annule toutes les sorties prévues, je ne veux rien faire d’autre. Je passe des heures sur les sites gays, je me sens plus attiré par les bears, le cuir, les trucs un peu limite je trouve. Pour la première fois, je me fais jouir sur des vidéos gay, cela me semble bizarre. Mais la boule que j’ai dans le ventre ne semble que gonfler.
La nuit, je me stresse de me dire que je n’ai que fantasmé, que le mec ne veut qu’un nouveau projet et gagner un nouveau client, qu’il ne doit pas même être attiré par moi. Et puis soudain, je réalise que dans son message, que j’ai relu vingt fois au moins, il me tutoie ! Et il parle de relation. Non je ne me trompe pas, il mélange le pro et le personnel.
Je suis hagard, et comme je n’en peux plus, je sors avec un plan cul que j’aime beaucoup. Mais tout de suite elle sent que je ne suis pas là, pas connecté, elle m’interroge et assez honteux je lui avoue mon fantasme avec ce mec. Cela la fait rire, de me voir ainsi aussi transi, et fébrile. Et surtout moi le mâle dominant aussi en attente. Je crois qu’elle est un peu jalouse, en tout cas elle me torture en me chevauchant, me traitant de lopette, de trou à bite, cela l’amuse tellement, et moi cela me fait jouir. Je suis au comble de la honte, et elle n’arrive pas à ne pas rire tout le temps. Il y a quelques jours je ne savais pas ce qu’était une lopette !
Il est à l’heure, tandis que mon cœur saute dans ma poitrine. Je n’arrive décidément pas à contrôler ma réaction. Il rentre sans même me saluer ni me regarder, il est totalement inaccessible. Avec honte et excitation, je constate qu’il est toujours nu sous son pantalon et sa bite est très visible. J’ai du mal à détacher mon regard.
Il s’installe à la table, me commande un café serré et m’explique comment cela va se passer.
— Je prends habituellement 14% d’honoraires, mais ce projet me plaît beaucoup, tout le projet si tu comprends bien.— Oui, c’est bien ce que j’ai compris.— Très bien, alors du coup je ramène mes honoraires à 10%. Mais cela va être un gros projet.— Vous pensez que cela fera combien de travaux ?— Je ne pourrai te le dire qu’une fois le projet architectural fini, mais tu disposes de 300 m2 en plein Paris, au moins 3 000 € le m2, et peut être un sous-sol en plus, je te laisse faire le calcul.

Je n’ai pas l’impression qu’il me demande mon avis. Certes j’ai l’argent, mais ce n’est pas ce à quoi je m’attendais. De toute façon il y a une phase de conception et je verrai bien comment cela avance. Je signe son document et engagement, et il m’ordonne d’aller chercher le champagne au frais.
— Maintenant nous allons fêter le début de notre relation !— Oui.— Oui qui ? (D’un coup son regard s’est posé sur moi et me transperce). Il a une intensité incroyable.— Euh oui Monsieur.— Voilà très bien. Mets-toi nu.

Sans regarder ma stupeur, il va se mettre dans le canapé avec la bouteille et les deux coupes de champagne. Je tremble de tout mon corps. Je suis en face de l’obstacle. J’ai imaginé plein de scènes dont celle-ci, donc je ne suis pas si pris au dépourvu. Je décide de le surprendre. Je me mets nu, puis je me mets à genoux aux pieds du canapé.
— Voilà une lope qui connaît sa place. Qu’est-ce que tu fais donc à genoux ?— Je, je suis à ma place Monsieur.— Je vois cela, sers-moi une coupe de champagne, non juste pour moi.— Bien Monsieur.— Alors, dis-moi, est-ce que tu t’es masturbé en pensant à moi.— Oui Monsieur.— Une fois, plusieurs fois ?— Plusieurs fois Monsieur.— Pourtant tu n’es pas homo n’est-ce pas ?— Non Monsieur, je n’ai jamais eu de relation avec un homme.— Alors qu’est-ce que tu fais là à quémander ma bite ? Parce que c’est ma bite que tu quémandes n’est-ce pas ?— Oui Monsieur. Je ne sais pas, vous me faites un effet que je ne connais pas.— Et qui te donne envie de quoi ?— De faire tout ce que vous voulez.— Intéressant, vraiment tout ?— Oui je crois.— Y compris pour les travaux et la maison ?— Oui bien sur Monsieur.— Oh tu es déçu, c’est tout pour jouir auquel tu pensais ?— C’est vrai Monsieur, mais pas seulement.

Il boit tranquillement son champagne en me regardant. Je dois le resservir. Il me fait tourner, présenter mes fesses, les écarter pour qu’il voie mon cul complètement vierge. Il me demande pourquoi je m’épile le sexe et les fesses.
— Je n’aime pas les poils sur moi, Monsieur.— Cela va bien à une petite lope comme toi, veille à ne jamais avoir de poils.— Oui Monsieur.— Viens ici.

Les mains dans le dos, il caresse à peine mon sexe, fait rouler mes tétons en les pinçant progressivement. C’est bon, cela fait de plus en plus mal, mais je veux m’offrir, je ne dis rien. La douleur devient insoutenable, je sens des larmes dans mes yeux, mais je ne bouge pas. Je suis récompensé quand il desserre ses ongles sans rien dire. Sa main descend sur mes couilles. Il en serre une, puis l’autre, les tord. La douleur est différente, mais pas très forte. Il m’envoie m’allonger face contre la table, jambes écartées. Je n’en crois pas mes yeux, mais je ne dis rien. Les tortures m’ont mis dans un état d’excitation avancée.
Il fouille dans la cuisine et sort une bouteille d’huile. Il me badigeonne le cul avec, c’est très sensuel, excitant. Il ne dit pas un mot, s’essuie avant de presser un doigt sur mon cul. Il rentre facilement, je suis stressé d’être propre. Apparemment c’est le cas. La sensation est bizarre, comme si j’allais déféquer. Je laisse échapper un peu d’air, mais rien de trop embarrassant. Un deuxième doigt, aussi doux que le premier, vient progressivement m’élargir. Je pensais avoir mal, mais c’est au contraire une sensation très douce et excitante, je me sens divinement bien. Le troisième doigt vient tout aussi naturellement et je sens qu’il est satisfait, je suis complètement détendu.
Il essuie ses doigts, enlève son pantalon et ses chaussures sans que je ne puisse voir son sexe qui pourtant me hante tant. Je le sens peser sur mon anus qui s’ouvre déjà facilement. Il est à peine plus gros que les trois doigts enfoncés tout à l’heure. Mais je le sens bien, il progresse facilement dans mon cul, il me prend d’un coup, ni violemment, ni brutalement, mais d’une seule poussée. Au bout d’un temps qui me semble interminable, je sens son pubis cogner contre moi, son pieu me transperce, la douleur est profonde, j’ai l’impression qu’il pénètre tous mes organes, qu’il pourrait sortir par ma bouche. Et alors, sans me toucher, sans même le sentir venir, j’explose dans un orgasme jamais connu, je convulse, je râle, je crie.
Philippe n’en a cure, il me pilonne doucement, profondément, remuant tout mon ventre à chaque fois. Je suis extatique, je ne pense plus à rien, juste à lui donner du plaisir. Je cambre mes reins, je serre mes sphincters, qu’il sache que je suis tout à lui. Je lui crie de me défoncer, et c’est ce qu’il fait, maintenant cela devient violent, avant que je ne le sente gémir et se relâcher. Il a joui en moi. Je suis tellement fier.
Il sort, attrape mes cheveux et me fait mettre à 4 pattes. Je peux enfin voir son sexe, partiellement débandé. Je n’en reviens pas, il est vraiment impressionnant, comment ai-je pu le prendre ainsi pour une défloration ? Pas le temps de penser, il me l’enfonce dans la bouche, m’intime l’ordre de le nettoyer. Je n’hésite pas, s’il me le demande, je ne me pose aucune question. Je lèche le gland, toute la tige, pour qu’il soit ainsi magnifique. Il redevient dur, et alors que je croyais avoir une belle bite, la sienne fait presque le double, un truc de fou.
Après m’avoir fait nettoyer le parquet de mon sperme, j’ai vu cela dans plein de vidéos gay donc je ne suis pas pris au dépourvu, il me fait le resservir, prend ma coupe et se soulage dedans. Il me la tend.
— C’est maintenant qu’on trinque petite lopette.— Oui Monsieur.

Et sans hésiter, je le bois d’un coup. Le goût me donne envie de vomir, mais je n’exprime rien, je ne veux pas lui déplaire... A genoux je lui embrasse les pieds, pour qu’il sache que j’ai tout adoré. Mais il le sait bien sûr.
— Alors tu es prêt à tout faire de ce que je te demande ?— Oui Monsieur.— Il est vrai que tu bois ma pisse, lèche mon sexe rempli de ta merde et de mon sperme, tu nettoies tout de ta langue. Et en plus tu prends ma queue d’un coup dans ton cul de jeune fille. Je crois que tu as un beau potentiel.— Merci Monsieur.— Tu ne me demandes pas potentiel pour quoi ?— Euh pour vous plaire Monsieur ?— Oh il te reste beaucoup à faire pour me plaire. Non un beau potentiel pour être dressé et faire de toi un esclave.— Me dresser ? Mon Dieu, mais ce n’est que du sexe, non ?— Mais la vie n’est que du sexe. Tu n’as pas aimé ?— Si bien sûr ?— Tu n’es pas excité à la perspective d’être mon esclave sexuel ?— Si Monsieur.— Et tu ne veux plus faire tout ce que je veux comme tout à l’heure ? Ca y est tu as joui et c’est fini ?— Non, non. Vous avez raison, je ferai ce que vous désirez.— Donc tout ce que je désire.— Oh oui tout ce que vous désirez.— Et si j’ai envie de faire tatouer le mot esclave sur ton front ?— Euh, non quand même.— Je croyais que c’était tout ?— Oui, mais vous savez bien, — Non je ne sais pas, dis-moi.— Cela doit rester intime, dans la sphère privée. Ne pas toucher à ma vie sociale ou professionnelle.— Oh alors tu es d’accord pour que je fasse tout ce que tu veux, mais tu veux d’abord valider, c’est cela ? Seulement ce que toi tu veux.— Non, mais ...— Quand tu te seras décidé, tu m’appelleras. Je sais que tu vas le faire, car les femelles dans ton genre je les connais bien. Quand tu seras prête à avoir le mot esclave gravé sur ton front, tu m’appelles.— Mais vous le ferez vraiment ?— Je veux pouvoir faire ce que je veux, sans que tu mettes une limite, tant que tu n’auras pas compris cela, nous en resterons là.

Il se rhabille sans un mot, s’en va en prenant quand même le contrat. Je suis exténué, vide, et rempli de lui, mais l’esprit enfin un peu détendu. Je m’endors sur le canapé, toujours nu, souriant et heureux de ma première expérience homosexuelle.
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