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Chapitre 2

Découverte de la vraie nature avec Eva

SM / Fétichisme
Eva, ma sex-friend, rit à gorge déployée quand je lui raconte la suite de mon aventure. J’avais besoin d’en parler et à qui d’autre mieux qu’elle qui n’a que le sexe dans la tête et qui a vécu tant de choses.
— Tu vas me dire que c’est une de tes meilleures baises ?— Oui j’avoue avec honte.— La meilleure ?— Oui ...— Je suis vexée !— Oh non tu es le meilleur coup que j’ai jamais eu, mais là c’est autre chose.— Non, pas vexée ainsi, mais vexée de ne pas avoir su deviner en toi ton côté soumis et masochiste.— Mais je ne suis pas soumis, et encore moins masochiste.

Cela la fait rire de plus belle. Et moi cogiter. Je me suis toujours vu comme au contraire dominant et dans le contrôle, là c’est vrai que c’était un peu différent. Mais pourquoi masochiste ? Elle me fait remarquer que mon goût d’être totalement lisse, allant jusqu’à faire de l’épilation définitive sur mes fesses, mon sexe et mes aisselles aurait dû l’alerter. Je suis une bonne petite femelle, me dit-elle. Cela me heurte, même venant d’elle, mais je sens aussi une excitation à être traité ainsi.
Elle me demande de me mettre à genoux entre ses jambes. Elle relève sa robe et je ne suis pas surpris qu’elle soit nue en dessous. Comprenant ce qu’elle veut, je la lèche d’abord doucement, autour des lèvres, sur les cuisses, avant de remonter sur son pubis pour redescendre doucement sur son abricot, m’enivrer de son odeur. Elle me traite de tous les noms, me promet de faire de moi une bonne femelle obéissante, me saisit les cheveux pour se caresser avec ma tête comme un gros coussin, et jouir si vite de la situation.
Je suis tendu comme jamais, j’ai le sentiment que mon sexe va exploser. Elle m’envoie m’allonger sur le lit et vient me chevaucher en m’interdisant de jouir. Sans réfléchir, je lui obéis et je dois penser à des choses rébarbatives pour contrôler le flux qui n’aspire qu’à jaillir. Ce sont les premières minutes qui sont difficiles, après c’est plus facile à maîtriser. Elle s’allonge à côté de moi, une main caressant mon sexe, l’autre écrasant un téton tandis que ses dents se referment sur l’autre. La sensation est prodigieuse, mon corps se tend comme un arc. La douleur est progressive, elle m’ordonne de ne pas crier, de me laisser aller. Elle mord encore plus fort, lâche mon sexe pour serrer mes couilles. Je couine, mais ne me défends pas, je sens mon sexe qui va exploser, mais je ne peux plus rien faire pour le contrôler, et je jouis en hurlant, un voile noir sur les yeux, il me faut longtemps pour retrouver mes esprits et croiser le regard amusé de ma tortionnaire.
— Alors convaincu ?— Peut-être, oui, c’était...— Enorme.— Oui, merci ma belle, tu es merveilleuse. Mais j’ai supé mal aux tétons.— Comme cela tu ne m’oublieras pas !— Tu pars ?— Oui j’ai un rencart, je n’avais pas prévu qu’on baiserait.
— Mais tu baises vraiment tous les jours ?— Oh si tu savais, j’y passe mes journées ! Et mes nuits. D’ailleurs samedi, prépare-toi, je t’emmène.— Où cela ? Tu ne me demandes pas si je suis dispo ?— Tu verras, tu ne seras pas déçu ! Je file.

Je me retrouve pas plus avancé, mais au contraire perdu. D’autant que j’ai joui et que j’ai encore plus envie de jouir. Normalement au bout d’une fois je n’ai plus de libido pour quelques jours ! Je pense à Philippe, pourquoi suis-je si fasciné par la force et la puissance de cet homme. Eva m’a convaincu que son idée de tatouage sur le front était juste pour voir ma motivation, que cela n’avait aucun sens sinon. Personne ne faisait cela. Du coup, je repense sans cesse à lui et à cette sensation incroyable que j’ai quand je suis à ses pieds. Les propos insultants d’Eva me remontent aussi, même si c’était beaucoup pour se faire jouir. Je ne me suis jamais vu comme une femelle, mais cela m’excite vraiment. Une idée perverse me traverse l’esprit, cela me fait bander comme jamais, je me caresse, mais je n’arrive pas à me faire jouir, juste à m’irriter la peau !
Je suis tellement excité que je décide de réaliser cette idée, j’appelle ma dermato, et lui demande si elle fait une épilation de la barbe. Je voudrais aussi du torse, du dos, des jambes, des bras. Elle me coupe, elle me dit tout le corps en fait. Cela ne semble pas la choquer ou la gêner, c’est juste que le prix est astronomique. Elle me propose une séance vendredi après-midi, cela dure trois heures. Je vais prendre une journée de RTT. Je tremble de désir, je n’ai jamais connu une telle excitation sexuelle.
Je fais quoi avec Philippe ? Sans le rendez-vous d’Eva, je l’aurais rappelé de suite. Je décide d’envoyer une sonde avec un message pour le remercier de sa visite, que cela m’avait profondément plu. J’attends fébrilement sa réponse, mais rien ne vient. Je me dis qu’il doit être fâché, courroucé que je n’ai pas accepté son offre. Mais comment pourrais-je accepter ainsi ? Je repense à sa bite, à mon cul, j’ai envie de le sentir rempli. Je prends une bombe désodorisante, et après m’être ouvert le cul avec l’huile, je la glisse en moi. Il faut que j’appuie fort, je suis surpris comme cela résiste. Mais quelle sensation de sentir l’engin glisser en moi, me remplir, me tenir. Il rentre presque complètement, je suis fasciné par cette sensation, mon sexe ne bande plus si dur, mais je jouis même s’il est mou. J’ai du sperme plein les mains qui collent, je me les lave avant de me vider. Que de sensations en quelques jours, j’ai la tête qui tourne.
Je mets un nouveau message à Philippe pour lui dire que je me suis rempli en pensant à lui et à son sexe. Je n’attends pas de réponse cette fois-ci, j’ai compris qu’il fallait que j’accepte ses conditions, mais elles sont bien trop excessives, je trouve. Mais je ne pense qu’à cela. A sa main attrapant mes cheveux pour que je le nettoie. A chaque chose qu’il m’a fait vivre.
Je rejoins Eva à l’adresse qu’elle m’a indiquée. Elle est magnifique et ultra-sexy, moulée dans une combinaison en cuir, genre catwoman. Ses cheveux noirs sont tirés en arrière très serrés, ses seins déforment joliment son ensemble, elle est absolument canon. Le talon métallique de ses stilettos semble bien menaçant. Je me sens hyper-fier d’entrer dans le club avec elle. Nous descendons quelques marches, et je comprends d’un coup d’œil l’endroit. Nous sommes dans un club sm et je me trouve du coup un peu ridicule en costume, elle aurait pu me prévenir que j’ai une tenue plus adaptée ! Mais en fait elle y a pensé et me pousse vers les vestiaires. Devant tout le monde, je me mets intégralement nu. Malgré la pénombre, Eva découvre ma peau intégralement épilée, la caressant longuement, et quand je lui dis que j’ai fait de même avec ma barbe, je sens qu’elle est impressionnée. Et excitée. Moi aussi, rien que de me caresser, je suis excité.
Un peu refroidi quand même quand elle me tend ma tenue de soirée. Un large collier noir en cuir, qu’elle serre trop fort, une courte laisse métallique et une paire de menottes pour mes mains qu’elle m’attache dans le dos. Je ne suis pas pudique, mais je baisse mécaniquement la tête en entrant à nouveau dans la grande salle. Mon statut est maintenant clairement identifié, que je le veuille ou non. Eva m’annonce qu’elle m’offre une initiation à la soumission, que je découvre ainsi ma vraie nature ! Et m’ordonne de lui baiser les pieds pour la remercier. Je prends conscience que je suis en train de lécher ses stilettos une fois agenouillé. Je n’ai pas réfléchi, pas réagi, juste agi spontanément en obéissant. J’aime obéir. Cela me bouleverse.
Elle me fait marcher à 4 pattes tandis que nous parcourons les lieux. Que des hommes soumis, quelques femmes soumises aussi, mais que des dominatrices. Aucun Maître. La couleur est mise. L’ambiance est franchement bon enfant, rien de bien terrible, je trouve. Certes deux esclaves sont enfermés dans une cage bien trop petite, leurs corps pressés contre les barreaux, tandis qu’un autre est pendu partiellement par son sexe attaché à un treuil, les pieds et les mains liés à des anneaux au sol, mais le reste semble bien paisible.
La soirée avançant, les choses se corsent pour beaucoup des soumis présents. Eva a discuté avec plusieurs autres couples, je suis resté spectateur, honnêtement très excité par tout ce que je découvre. C’est alors que je vois une sorte d’amazone s’approcher à nouveau de nous. Elle a longuement échangé avec Eva. Elle traîne en laisse une jeune femme un peu ronde qu’elle confie à ma compagne, tandis qu’elle saisit ma propre laisse. Je lance un regard interrogatif à Eva, mais elle ne me calcule pas, affairée à embrasser sa proie du soir. La femme que je suis est impressionnante, peut-être 1m85, puissante sans être grosse, une poitrine énorme qui me fascine, un visage dur, slave peut être. Elle me chuchote à l’oreille :
— J’adore entendre un homme pleurer.

Là je ne suis pas du tout rassuré. Mais je ne me rebelle pas. Je suis la traction sur la laisse, les yeux rivés sur ses chaussures. Elle me relève pour me coucher sur une sorte de cheval d’arçon, la tête en avant dans le vide. Mes menottes sont ouvertes, et mes mains attachées en avant à chaque pied de l’engin. Puis les jambes aux deux autres pieds, bien écartées également. Je ne peux pas bouger d’un millimètre. Je repose sur mon ventre, les fesses bien offertes, et sans doute mon cul exposé. Elle caresse mes fesses, apprécie leur douceur de femelle comme elle me le murmure. Sa main sur mes couilles offerte se fait pressante, stressante avant d’être vraiment douloureuse. Elle les serre à la base et les tire très fortement en arrière, m’arrachant mes premiers cris et supplications. La tension me semble extrême et ne diminue guère quand elle me relâche : j’ai les couilles étirées par des cordes attachées aux pieds du cheval.
Je crie doucement, essaie de bouger pour me soulager, en vain. Un gros bâillon vient tarir mes cris et supplications, il est très serré sur ma nuque endolorie par la position.
Je suis laissé ainsi longuement, cogitant sur ce qu’il va m’arriver, je me doute bien que je ne suis pas attaché là juste pour faire joli. Mais le temps passe, mes jambes et mes bras tirent, mes couilles hurlent leur douleur. Lorsque la canne s’abat sur mes deux fesses simultanément, je me suis presque assoupi. Le cri incontrôlable est étouffé par le bâillon tant la brûlure est intense. Des larmes me montent aux yeux, je me concentre sur la douleur, j’essaie de me détendre. Le deuxième coup vient tout aussi fort, les suivants s’enchaînent, je voudrais m’enfuir, je tente de ruer, mais rien ne bouge, sauf la douleur dans mes couilles étirées. Je vois l’amazone me sourire, tandis qu’elle abat ses coups de plus en plus fort, descendant sur mes cuisses, mes mollets également qui doivent bien marquer après la séance d’épilation de la veille. Ma vue se brouille, je pleure de souffrance.
Eva vient se mettre dans mon champ de vision, la main glissée dans la fermeture éclaire de sa combinaison, tandis que la petite chienne qui lui a été confiée semble toute aussi mal en point que moi, la poitrine striée au sang.
J’ai la tête qui s’envole. Je sens les coups violents s’abattre sur moi, la douleur se transformer en quelque chose de doux et chaud. Je voudrais tendre mes fesses pour en recevoir encore plus, je suis totalement détendu maintenant, même mes couilles se font douces et chaudes. Je ne réalise que les coups se sont arrêtés que lorsque l’amazone repasse devant moi pour que je voie son harnachement. Elle a enfilé une ceinture avec un gros olisbo noir qui pend devant elle. Bien plus gros qu’un sexe usuel, je me demande comment il se compare à celui de Philippe. Je vais vite le savoir.
Elle m’enduit les fesses lisses de crème, introduit rapidement ses doigts gantés en moi, m’ouvrant doucement, mais fermement. Je suis au paradis. Je sens le bout du gode peser sur mon trou qui est resté un peu ouvert. Pourtant elle doit forcer, moi je pousse pour aider. Mais l’introduction me brûle, c’est trop gros, bien plus gros que je ne pensais. Pourtant elle ne recule pas, mes chairs cèdent, s’ouvrent. La sensation est monstrueuse. Je n’espère qu’une chose, c’est qu’elle se retire. J’essaie de crier en vain, mais elle ne fait que s’enfoncer, cogner au fond contre mon bassin, elle est loin d’être entrée complètement. Je sens mon sexe couler abondamment, est-ce que j’urine ? Je me sens honteux. Les va-et-vient me font un bien fou, le plaisir monte, irrésistible, je jouis à nouveau de mon cul, raidissant tout mon corps, essayant d’avaler encore plus le monstre en moi.
La Maîtresse ne s’arrête pas à mon plaisir, me lime ainsi longuement, me battant régulièrement le dos d’une courte canne pour me sentir bondir de souffrance. La tension sur les couilles est insupportable, la douleur ravivée par les coups de boutoir de ma tortionnaire. Je n’en peux tout simplement plus. Je sens que je lâche, je ne suis plus qu’une poupée entre ses mains, je ne résiste pas, je ne pense pas, je me concentre juste à respirer, je suis dans un état second.
J’ai du mal à réaliser que tout s’arrête, que le gode sort de moi, que je suis détaché. Je m’effondre à terre et sans aucune conscience de ma part, je me jette aux pieds de l’amazone pour lui embrasser les chaussures, lui dire que je l’aime. N’importe quoi ! Je l’implore de mille tourments et ne récolte en retour qu’un coup de pied peu appuyé dans la figure.
Eva récupère la laisse et me ramène à ma place, le regard triomphant. La démonstration est faite. Je me repose sur ses genoux, la serrant aussi fort que possible, ne désirant qu’une chose, la pénétrer et jouir en elle. Mais Eva me fait comprendre que cela ne m’est pas permis et que je dois rester dans cet état de désir inassouvi en permanence. Cette frustration est horrible, pire que tout ce que j’ai subi, j’ai hâte de pouvoir me masturber afin d’apaiser cette tension et cette vision qui me hante. Eva me dit que je ne mérite pas de pénétrer une femme, quelle qu’elle soit, que je suis une femelle et que je vais apprendre ma place. Cela me sidère, je me dis que c’est pour m’exciter, et cela m’excite en effet, même si je suis convaincu qu’il ne s’agit que d’un jeu.
Une chose est certaine, Eva n’est pas la Maîtresse que ses propos laisseraient entendre, c’est avant tout une nymphomane, érotomane, baiseuse de première, à la palette impressionnante, mais refusant de s’arrêter à un seul partenaire.
Bien qu’épuisé, je vais me regarder dans la glace en rentrant. Je suis à vrai dire un peu déçu des marques qui sont visibles, mais que je pensais bien plus impressionnantes. Je caresse ma peau malmenée, mes fesses boursouflées quand même. L’air sur mon corps me procure des sensations inconnues, je me sens encore plus nu que nu sans mes poils. Quant à mon visage, l’absence totale de pilosité se voit en fait. Je pensais que ce serait comme si j’étais rasé de près, mais c’est autre chose. Eva n’a pas voulu monter, j’aurais tout donné pour baiser avec elle, je lui ai dit. Elle m’a répondu que cela lui plaisait, mais non. J’ai envie de me soulager, mais je n’y arrive pas, c’est bizarre, sans doute trop d’émotion. J’ai toute la journée pour récupérer.
Lundi, c’est le cœur battant que je découvre un mail de Philippe. Entre lui et Eva, je suis complètement perdu. Je n’ai jamais été attaché, et du coup deux personnes me fascinent en même temps. Aussi insaisissables l’une que l’autre. Le cœur pincé, c’est un courrier professionnel avec un appel d’honoraires pour les travaux à faire chez moi. Néanmoins le ton est très directif, lorsqu’il m’impose d’être libre jeudi toute la journée pour que les entreprises puissent venir faire leur devis. Il ne me demande pas si je suis disponible et comme il me l’avait annoncé, je n’ai pas voix au chapitre concernant les travaux. Je suis très excité de cela, et je me dis que je suis complètement fou. Que je ne dois pas me laisser guider par mes hormones. Que ma sexualité ne peut dicter ma vie. Cette blague !
Ce n’est qu’en relisant pour la troisième fois le mail, je suis un peu obsédé, je crois, que je réalise qu’il y a des pièces attachées ! Et ce ne sont pas les plans futurs de ma maison, mais des photos de moi le suçant, ou me faisant prendre par lui. Je ne suis pas très reconnaissable, mais quand même, et surtout la maison l’est. Cela m’excite de me voir ainsi, et aussi de pouvoir avoir des photos de son gros sexe s’enfonçant dans mes fesses. Pourquoi me les avoir envoyées ? Il attend toujours ma reddition sans doute.
Lorsqu’il sonne le jeudi matin, il est accompagné d’une entreprise. Il ne me dit pas même bonjour, ne me présente pas, et demande simplement que je serve le café. Je le trouve magnifique, je suis profondément humilié et bien entendu j’obéis. Il passe la matinée avec différentes entreprises, j’écoute à peine ce qu’il dit, comprends qu’il parle d’escalier, de sous-sol, alors que je n’en ai pas, de poteaux à supprimer, mais je suis comme anesthésié, un peu absent. Et la bite dure dans mon pantalon trop serré. Quand il a fini, il s’installe dans le canapé, et enfin me parle pour m’ordonner de me déshabiller et de me mettre à genoux. Comment ne pas obéir, mon sexe est soulagé de pouvoir bander librement. Ce qui le fait sourire, je crois, de me voir si tendu pour lui.
Il se lève, tourne autour de moi, suit les marques qui finalement sont longues à partir, caresse mon corps, caresse mon visage. Il serre mes couilles dans ses mains géantes, je retiens mon souffle, la pression est très progressive, j’ai le temps de m’offrir, je ne bouge pas, instinctivement les mains dans le dos. Tout en maintenant la pression sur mes parties si sensibles, il me demande de m’expliquer tout ce qu’il a vu et senti.
Haletant, je lui raconte le désir d’épilation, le récit à Eva, notre soirée, l’amazone, mes souffrances, mon plaisir. Ma découverte surtout, initiée par lui et que je n’arrivais pas à comprendre.
— Et maintenant tu as compris ?— Oui Monsieur.— Tu as compris quoi ?— Que j’aime être soumis.— Seulement soumis ?— Et torturé Monsieur, et que ...— Que ?— Que je suis une femelle Monsieur (je crois que j’aurais presque pu jouir de dire cela, tandis que je me sens complètement humilié en même temps)— Oui tu as raison, tu as tout d’une femelle et tu l’as bien compris en te faisant intégralement épiler, même s’il faut aller plus loin. Tu ne crois pas ?— Je ne sais pas Monsieur.— Non c’est vrai, tu ne sais rien. Mais c’est avec moi ou avec Eva que tu veux avancer ? Si j’ai bien compris Eva c’est une folle de cul qui va s’amuser avec toi. Moi je vais te dresser et totalement t’asservir, faire de toi une réelle chienne et femelle. Nous avons un contrat et ce que je vais construire dépend un peu de ta réponse, ce n’est pas la même chose une maison pour un esclave.— Un esclave Monsieur ? Je ne crois pas que ce soit ce que je veux.— Ecoute chienne, je ne suis pas là pour perdre mon temps. A toi de choisir, est-ce que tu veux jouer avec Eva et retourner à ta vie inutile entre les moments où elle te sifflera, ou bien vivre en permanence en accord avec ce que tu es et t’épanouir à chaque instant ?
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