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Inextricablement liés

Chapitre 1

Erotique
Qu’est-ce que je fiche là ?
Mon nom est Alex, j’ai dix-neuf ans, je m’approche rapidement des vingt. Léo un bon pote avec qui je faisais de la voile étant plus jeune, et avec qui j’avais gardé le contact depuis, m’a invité à la fête qu’il organise pour ses dix-huit ans.Mais je ne connais aucun des autres invités, et Léo, partagé entre ses amis n’a pas trop de temps à m’accorder. La salle est peuplée de visages inconnus, ils sont pour la plupart de l’age de Léo, -donc plus jeune que moi-.
Le hasard de la soirée m’a fait asseoir au milieu d’un groupe de jeunes amies qui parlent trop fort et qui enchaînent crises de gloussements sur crises de gloussements, rendant la conversation énervante au possible (pour moi).La musique assourdissante, et les rires suraigus des donzelles qui descendent un fût de bière immonde me tapent sur le système. Je décide de sortir me griller une clope.En ouvrant la porte de la salle, je constate qu’il pleut des cordes. Le porche devant le bâtiment est occupé par des fumeurs qui rigolent à pleins poumons (noirs), et la musique est toujours trop forte. Je traverse le parking et vais m’installer sur le banc d’un abribus, hors de vue des autres.
Je me roule une cigarette et la coince au coin de mes lèvres en cherchant mon briquet. Je mets finalement la main dessus. Impossible de lui faire cracher une seule étincelle. Plus de gaz. Je soupire.
-Mauvaise soirée ?
Je relève mon visage, une belle brune, les cheveux trempés, se met à l’abri de la pluie à mes côtés. Je ne l’ai pas entendue approcher. Je ne veux pas faire mon rabat-joie, aussi lui réponds-je en modérant mes propos :
-Non, j’avais juste un peu chaud, j’avais besoin d’air.
-Hum, fit-elle, visiblement pas convaincue. Moi, je suis là parce je m’emmerdais carrément, je ne connais personne.
Surpris par sa franchise, je me retourne vers elle. Elle sourit.
-Alex...tu ne me reconnais pas ? Me demande-t-elle.Elle connaît mon nom. Je la dévisage, fouillant dans ma mémoire.
-Euh, non, je suis désolé. Je sèche.
Alors même que je prononce ces mots, une idée me vient à l’esprit. J’ajoute donc :
-Attends ! Tu n’es pas...Élisa ?
Son sourire s’éclaircit de nouveau. J’ai visé juste. Élisa est la sœur de Léo. Je ne l’ai pas vue depuis plus de six ans.
-Tu as changé, me dit-elle.
-Ben et toi ! Ça fait super longtemps !
Nous poursuivons notre conversation en évoquant de vieux souvenirs, puis elle me raconte ce qu’elle est devenue depuis cette époque. Elle me questionne sur mes études. Puis nous en venons à l’évocation de nos relations amoureuses respectives. Personnellement je n’ai pas eu de relation sérieuse depuis plus de six mois. Mon ex compte toujours au nombre de mes amis et je n’arrive pas à tourner la page, la culpabilité me ronge à chaque réveil aux côté d’une autre personne. Pour Élisa, ça se passe un peu mieux : elle est en couple avec un garçon qui d’après ses mots semble formidable. Je ne peux m’empêcher d’éprouver une pointe de jalousie face à l’évocation de leur bonheur.
-Il n’est pas là ce soir ?
-Non, il ne connaît pas mon frère donc il ne voulais pas s’imposer. Mais, son appartement est juste à côté, si tu veux, on peux aller le voir !
L’idée ne m’emballe pas du tout, mais je vois mal comment refuser : Élisa à l’air si enthousiaste. Je ne peux même pas prendre la pluie comme excuse pour que nous n’ayons pas à nous éloigner de la salle, car il s’est arrêté de pleuvoir pendant que nous parlions. J’accepte donc. Nous marchons pendant quelques minutes en discutant. Devant nous à quarante mètres environ, une jolie blonde appui sur un interphone et quelques secondes plus tard, un résident lui ouvre la porte, elle pénètre dans le bâtiment de plusieurs étages.
-Il habite ici, me dit Élisa en indiquant précisément ce bâtiment.
La porte est en train de se refermer, je me précipite avant que la porte claque derrière la blonde, pour ne pas avoir à déranger le petit ami. Élisa entre à ma suite et se fige instantanément. Le résident qui vient d’ouvrir à la blonde est en train de caresser le dos de la jolie blonde en lui chuchotant des mots doux à l’oreille et je comprend instantanément ce qui se passe. Le nouvellement-ex-petit ami d’Élisa fais rentrer la blonde dans sa chambre avec une main aux fesses très révélatrice du type de relations qu’il entretiennent :
-Tu m’as manqué. Grouilles-toi d’entrer ! Dit-il, visiblement excité -et convaincu que personne ne peut l’entendre-.
La porte se ferme. Je me retourne vers le visage blême d’Élisa. Qu’est-ce que je fiche là ? La sensation de ne pas être à ma place m’envahit de nouveau, puissance mille. Qu’est-ce que je suis sensé faire maintenant ? La première idée qui me vient, c’est de suivre la blonde et le connard aux yeux doux et de cogner violemment la tronche de cet enfoiré contre une chaise...ou une brique peut être, je ne sais pas. J’inspire profondément. Bon. Ce n’est clairement pas une idée de génie.
-Viens. Je te ramènes chez toi, dis-je à la fille au cœur brisé.
Je lui empoigne l’épaule pour la diriger vers la sortie. Elle semble incapable de montrer la moindre réaction émotionnelle mais elle me suit. Nous parcourons en silence le chemin vers la salle où se tenaient la fête d’anniversaire. La musique résonne dans la nuit, étouffée par les murs de la salle et l’éloignement. J’emmène Élisa à ma voiture et elle s’installe en silence. Je prend la route et me dirige vers chez elle.
-Ça va aller ? Demandé-je stupidement.
Elle relève le visage vers moi, me lançant un regard noir :
-Qu’est-ce que t’en as à foutre ? Essayes pas de faire le mec cool, pitié !
Vous êtes tous les même ! semble-t-elle me crier.
Mon cœur se serre. Elle est cruelle. Je mets ça sur le compte de sa colère. Je décide de ne plus parler, de lui laisser le temps d’encaisser ce qui vient de lui arriver. Après un trajet silencieux qui me paru durer une éternité, je me gare finalement devant la maison de Léo et Élisa.
-Au revoir, Élisa. Fais-je, désolé pour elle et totalement impuissant à l’aider.
Elle me répond amèrement :
-Tu n’essaies pas de me raccompagner jusqu’à ma chambre pour planter ta queue dans mon cul ?
Je serre les dents. Là elle est carrément injuste. J’ai une folle envie de lui en coller une pour qu’elle se réveille un peu. Au lieu de cela, je lui répond froidement :
-Bonne nuit, Élisa.
Elle descends de la voiture et claque violemment la portière.
J’accélère aussitôt, énervé et un peu blessé par le comportement d’Élisa. J’y suis pour rien moi.
-Au moins, elle est encore capable d’être en colère, me dis-je.
Je reprends la route de la salle, une boule au ventre. Il est à peine minuit et j’ai soudain une envie folle de boire un verre...ou deux.
La fête bat toujours son plein. Léo m’accueille joyeusement, visiblement éméché :
-Alex ! Tu as l’air sobre ! Ça c’est strictement interdit par la convention de Genève ! Viens, on va te trouver un verre.
Il me présente à plusieurs de ses amis, tout en m’abreuvant -abondamment- de whisky orange. Je fais la connaissance de Marion, une délicieuse blonde aux yeux de biche, avec laquelle Léo essaye de me caser sans s’en cacher. La blonde et moi, l’alcool aidant, commençons à minauder sur le ton de la rigolade. Je commence à apprécier la soirée.
-Qu’est-ce que t’attends pour l’inviter à danser ? me demande Léo en riant et en me poussant vers Marion.
Impossible de me défiler, et d’ailleurs, je n’en ai pas envie : je ne suis pas mauvais danseur et Marion a tout pour plaire. Je l’invite à danser avec un baisemain ostentatoire :
-M’accorderiez-vous cette danse ? Lui demandé-je.
-Volontiers, me répond-t-elle avec un magnifique sourire, en se prêtant au jeu.
Elle me suit sur la piste où les corps s’affolent sous la musique, seulement éclairés par les flashs d’un stroboscope. Marion est diablement sexy. Elle bouge ses hanches sensuellement en se collant à moi, ses yeux d’un bleu incroyable ne lâchent pas mon regard. Sa courte robe noir dévoile de longues jambes superbement galbée. J’ai une terrible envie de l’attirer à moi de toutes mes forces. La musique change brusquement. La musique qui passait s’arrête, remplacé par un slow. Je jette un coup d’œil au type qui s’occupe de la musique. Léo l’a rejoint et me fait un grand sourire idiot.
-J’aurai dû m’en douter, me dis-je en riant intérieurement.
Marion m’offre son sourire le plus éclatant, je lui souris en retour et m’empare de sa taille. Je l’attire tout contre moi, et nous commençons à nous mouvoir sur la piste. Marion quitte mon regard des yeux pour venir nicher sa joue contre la mienne.
-Tu sais...mon studio est juste à côté, me glisse-t-elle à l’oreille, d’une voix sensuelle au possible.
-Vraiment ? ...j’aimerais beaucoup visiter.
-Oui, tu aimerais beaucoup, me répond-t-elle en posant un petit baiser sur ma mâchoire.
Je lâche sa taille et prend son visage entre mes mains pour poser un rapide baiser sur sa bouche.

Quelques minutes plus tard, nous nous sommes discrètement éclipsés. Marion me tient par la main et me guide vers chez elle. Nous tanguons de droite à gauche, tous les deux, affectés par l’alcool. Marion rit à pleine gorge, dans le rues silencieuses. Tous les cinquante mètre, je la plaque contre un lampadaire ou une clôture et l’embrasse longuement en caressant son corps à travers sa fine robe sexy. J’ai envie d’elle. Terriblement. Faites qu’on arrive bientôt !Je reconnais soudain le bâtiment devant lequel nous passons : quelques heures plus tôt, un couple a explosé ici. La boule dans mon ventre, qui s’était estompée revient en force. Je commence à redouter que Marion me guide vers la porte, mais elle continue et me mène vers une autre résidence, à plus de cent mètre de là. Mon esprit revient un peu vers Élisa, si bien que mon excitation se transforme partiellement en colère. Marion me fait pénétrer dans le hall de sa résidence, je sens la vague de brutalité me traverser, mais, après avoir appelé l’ascenseur, Marion se colle dos au mur et calme ma colère de son regard brûlant. Je redeviens tout à elle. Elle a posé sa main sur mon jean et caresse la bosse qui se forme. Ouf! Je passe mes bras sur ses hanches et je l’embrasse. Si elle continue, je vais m’occuper d’elle là, maintenant. Elle continue.Je retrousse sa robe, je sens sa peau sous mes mains. Je la veux nue. Offerte. Mais l’ascenseur choisit cet instant pour arriver. Marion m’échappe pour pénétrer dans la petite cage. Elle réajuste sa robe.
-On est bientôt arrivés Alex, me fait-elle avec un clin d’œil.
Ma main a retrouvée la sienne. Mon pouce caresse doucement le dos de sa main. Nous le sentons tous les deux : le calme avant la tempête.L’ascenseur monte à une vitesse affreusement lente. La pression de ma main sur celle de Marion s’accentue. Vite. Vite.
Lorsque l’ascenseur s’ouvre finalement quelques étages plus haut, Marion se précipite pour ouvrir la porte de son studio. Elle la claque derrière nous et me fait traverser le petit logement jusqu’à son lit, laissant tomber son manteau, son sac et son gilet à même le sol. Elle retire également mon manteau et déboutonne ma chemise en caressant mon torse. Je te veux !
Je la soulève, elle passe ses jambes autour de moi et je l’allonge sur la couette, elle me coince entre ses douces jambes. Tandis que je l’embrasse et que je relève sa robe, elle tente de retirer ma ceinture mais avec peu de succès. Je me relève en emportant sa petite culotte au passage, puis je m’occupe moi-même de défaire ma ceinture. Marion me dévore des yeux pendant l’opération. Elle est allongée sur le dos, les jambes écartées, la robe retroussée, dévoilant son intimité délicieuse. Elle se mord la lèvre.
-Il y a une capote dans la table de nuit, me souffle-t-elle.
Après quelques tâtonnements peu fructueux dans le meuble encombré, je met finalement la main sur l’objet convoité. Je déchire le petit sachet et je me replace entre les jambes de Marion. Elle ondule du bassin pour m’exciter. Ouf!
Je défais ma braguette et libère enfin ma queue tendue de désir. Tandis que je me passe le préservatif, je surprend le regard de Marion sur ma hampe. Elle se tortille sous moi. Plus vite. Plus vite !Je caresse sa fente luisante avec toute la longueur de ma queue. Marion miaule.Je n’en peux plus. Marion non plus. Je m’enfonce en elle. Ses jambes m’attirent vers elle.
Un étrange sentiment de puissance m’envahit : Marion suspend ses bras autour de mon cou, ses jambes entourent mes cuisses et mon membre est en elle, profondément. Son corps entier bouge sous mes mouvements, elle gémit délicieusement à mon oreille tandis que je plonge encore et encore en elle. Mes muscles sont tendus et Marion touche à peine le lit. Lorsque je viens en elle, je sens tout son corps se plier sous moi.Je continue à la prendre, sans changer de position.Marion jouit, et je la suis peu après, sentant les longs jets de sperme remplir la capote.Marion me fait un grand sourire et en se glissant sous le drap, elle m’invite à la rejoindre. Je me faufile à son côté avec le peu de courage qu’il me reste et la belle blonde ferme les yeux en se blottissant contre moi. Nous nous endormons tous les deux, sans nous défaire du peu de vêtements qu’il nous reste, accablés par le sommeil.

Je me réveille à cause de la chaleur. Je n’ai pas l’habitude de cette chambre, et les draps son trempés de sueur. Je me glisse hors du lit pour boire un verre d’eau. Une pensée me vient à l’esprit : pas une fois depuis que j’ai rencontré Marion -jusqu’à maintenant- je n’ai songé à mon ex, alors que d’habitude, je ne peux m’empêcher de penser à elle et de me sentir coupable après avoir fait l’amour. En revanche, mon estomac se noue lorsque je repense à Élisa. Pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fais de mal ?
Je bois directement au robinet de la salle de bain. Je revois Élisa, que j’ai laissée sur le trottoir, devant chez elle. Si seule. Si vide. Si désemparée. Je serres les poings et les dents.
-Ça ne va pas ?
Marion est réveillée. Elle me regarde, appuyée contre l’encadrement de la porte. Elle a l’air inquiète. Elle a retiré sa robe pour passer un fin peignoir noué à la taille.
-Ne t’inquiètes pas, lui réponds-je. Ce n’est rien.
-Tu ne comptais pas partir, hein ?
Oh ! Elle est si mignonne. Mon cœur se serre. Je la connais à peine, mais je ressens une tendresse infinie à son égard. Je l’embrasse doucement et glisse une mèche de ses cheveux derrière son oreille.
-Je ne vais nulle part, je lui glisse à l’oreille.
Sur ces mots, je la raccompagne au lit et nous réitérons nos exploit de la veille. Et nous nous assoupissons de nouveau.

Lorsque je me réveille, il fait jour. Marion caresse la fine ligne de poil qui relie mon torse et la base de mon sexe.
-Tu sais, je n’ai jamais fait ça, me dit-elle.
Je lève un sourcil :
-Tu n’as jamais... ?
-Si ! Dit-elle en rougissant. Je voulais dire, je n’ai jamais emmené quelqu’un que je connais à peine chez-moi.
-Tu regrettes ?
Elle secoue la tête vivement en signe de négation. Je crois qu’elle en pince sérieusement pour moi. Moi aussi. Je me sens si bien. Tout d’un coup, j’ai le sentiment que Marion à le droit de savoir, qu’elle peu m’aider à voir clair dans ce qui s’est passé avec Élisa. Je lui déballe toute l’histoire. Elle m’écoute attentivement.
-...et donc je suis rentré à la fête. Mais j’ai repensé à ça pendant la soirée -et cette nuit-. Est-ce que tu crois que j’ai fais quelque chose de mal ?
Marion a un air grave. Elle réfléchit:
-Quand tu l’as laissée, est-ce que tu l’as vue rentrer chez elle ?
-Euh, je crois que oui...non, attends. Je ne sais plus.
Marion prend le temps de choisir ses mots :
-Tu ne crois pas qu’elle aurait pu...faire une connerie ?
L’horreur m’envahit. Pitié, non ! Faites qu’elle n’ai rien fait de stupide! Pas pour ça ! Son regard perdu me revient à l’esprit. J’entends un vibreur au sol. Je me relève brusquement et j’attrape mon téléphone portable dans la poche de mon manteau, trop tard pour répondre. Je constate que j’ai cinq messages. Un texto de Léo et quatre messages d’un numéro inconnu.
Léo m’a seulement envoyé une plaisanterie grivoise sur mon départ précipité avec Marion.
Je lance le message suivant, de 00h10:  « Alex, c’est Élisa. Rappelles-moi vite s’il-te-plaît ». Sa voix est sanglotante. Mon cœur se serre. 00h10, peu de temps après que je l’ai quittée. Je n’ai pas dû sentir le vibreur de mon téléphone.
Je passe au message suivant, 00h35 : « Alex, c’est encore Élisa, je suis désolée pour ce que j’ai dit. S’il-te-plaît rappelles-moi vite. J’ai besoin de parler ». Elle est désolée. Sa voix est si triste. Je m’en veux terriblement, j’ai envie de lui crier que ce n’est pas grave. Elle a déjà pris un sacré coup par son copain, je ne veux pas la faire souffrir en plus.
Suivant, 1h20 : « Alex, je sais que tu ne dors pas. Tu es reparti à la salle et tu es censé dormir à la maison avec Léo. Donc tu as décidé d’ignorer mes messages...Écoutes, je viens de mettre une annonce en ligne. Si tu ne reviens pas avant, je vais coucher avec le premier mec qui y répondra. Ça à l’air si stupide, non...c’est si stupide...ne m’ignore pas s’il-te-plaît, reviens. Je suis tellement désolée ». 1h20, faites qu’elle n’ai rien fait. Pitié, faites qu’elle n’ai rien fait !
Suivant, 7h00 :  «Tu n’es pas venu. Je t’ai attendu. Quelqu’un a répondu à l’annonce, j’ai été à son hôtel. » Oh non, Élisa, non non non ! « Je...Je n’ai rien fait...oh, je me sens tellement conne ! Tu devais dormir ailleurs. Quelle conne... ! Je ne veux pas rentrer chez moi, je veux te voir. Je suis au parc. Viens me chercher s’il-te-plaît. » Un immense soulagement m’envahit, Marion semble également se détendre. Je regarde ma montre, il est un peu plus de 7h00, c’est elle qui vient d’essayer d’appeler.
-Je vais la chercher, fais-je en rassemblant mes affaires.
-Vas-y vite, me répond Marion. Oh, la pauvre ! Elle n’a pas dû dormir de la nuit.
Marion griffonne son numéro de téléphone sur un papier et le glisse dans ma poche en déposant un baiser sur mes lèvres.
-Tiens moi au courant...et reviens dès que tu peux. Et si elle ne veut pas rentrer chez elle, tu peux revenir ici avec elle tu sais.
Marion veux que je revienne ! Elle semble gérer la situation avec un sang froid peu commun. Je la prend dans mes bras un moment. Je la connais depuis si peu de temps, mais je la trouve incroyable. Je lui dis. Elle me sourit, m’embrasse et me pousse vers la sortie.
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C’était mon premier récit. Avec assez peu de sexe finalement, mais cette introduction semble nécessaire pour instaurer la suite des événements.
Selon-vous, que va-t-il arriver à Alex, Élisa et Marion?
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