Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 236 J'aime
  • 5 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Infirmière indépendante

Chapitre 1

Les jeunes de l'allée C

Divers
Je m’appelle Sandra. J’ai 31 ans et je suis infirmière indépendante.
Un matin, je fus appelée par une dame pour lui donner un traitement par injections (des piqûres quoi) à faire chaque jour à son domicile pendant un mois. Dès le lendemain, je me rendis donc chez cette personne. Elle habitait dans un complexe de plusieurs immeubles, un peu vieillot, et surtout mal entretenu comme l’on peut en trouver en périphérie de toutes nos grandes villes. Une fois garée au milieu de dizaines de voitures sur un parking délabré où quelques carcasses en ruines ou brûlées décoraient le paysage avec une certaine harmonie, je me dirigeais vers l’allée où résidait ma patiente : la C.
Sur l’escalier qu’il fallait emprunter pour accéder à l’entrée, étaient assis cinq jeunes d’une vingtaine d’années.
— Bonjour !Deux seulement me répondirent par un simple bonjour.
— Excusez-moi, c’est bien l’allée C ?— Oui m’dame, vous voulez passer ?— S’il vous plaît, oui.
L’un d’eux se leva et je me glissai entre les autres.
— Merci.— Mais c’est normal de laisser passer une jolie femme...— Euhm... Merci. Réponds-je intimidée et gênée.
Je continuai donc mon chemin jusque chez ma patiente ou je lui administrai son traitement, sans aucun problème. Une fois ma mission accomplie, je ressortis de l’immeuble et me retrouvai de nouveau confrontée aux mêmes personnages.— Pardon.— Ah revoilà notre belle inconnue ! Passez !
Le jeune homme écarta ses bras autour de moi et descendit les marches avec moi.
— N’ayez pas peur, si vous tombez, je vous rattrape !— Oh merci, quelle élégance !— C’est normal, vous êtes tellement jolie qu’il ne faudrait pas que vous tombiez. Me disait-il avec un sourire charmeur.
Je savais bien que tout ceci n’était qu’un jeu, mais cela m’amusait et c’était totalement innocent. Nous savions qu’il ne se passerait jamais rien.
Comme dit plus tôt, je devais me rendre tous les jours chez ma patiente, pendant un mois. J’avais alors prévu que l’ensemble de mes rendez-vous quotidiens, chez cette dame, seraient toujours en début d’après-midi.
Au bout de quelques jours, mes entrées et sorties de l’allée C furent remarquées et je crois même attendues pour certains, car je retrouvais chaque jour les cinq mêmes jeunes, sur l’escalier de l’allée C. Un jour, cela devait être ma septième visite, je fis involontairement tomber mes clefs juste devant eux au bas des marches. Je me penchai alors pour les ramasser. Et au moment où je me relevai, un des gars m’interpella:— Oooh je voudrais bien des airbags comme ça dans ma voiture, putain !

J’avais complètement oublié l’échancrure de mon chemisier qui leur dévoila mon soutien-gorge noir et une vue imprenable sur mes seins du dessus.
— C’est vrai ? Mais vous savez, ceux-là ne vous protégeraient pas beaucoup. Répondis-je pour le taquiner.
— Si, parce que si je les avais dans ma voiture, je ne roulerais plus, je passerais mon temps à les déclencher pour les recevoir dans la figure.
Je me mis alors à rire.
— Hé madame, pourquoi vous venez ici tous les jours ?Je leur expliquai donc la raison de mes visites et je remarquai que cela leur fit plaisir de savoir qu’ils me verraient tous les jours pendant un mois. Après mon explication, je montai justement faire mon travail, avant de repartir quelques minutes plus tard.

Le lendemain, à mon arrivée, ils étaient encore là, le plus entreprenant des cinq, Jean, celui avec qui je discutais toujours un peu et qui me faisait sans cesse du charme, lança devant les marches un trousseau de clefs.
— Ah zut, mes clefs ! Excusez-moi madame, vous pourriez me redonner mes clefs s’il vous plaît, je me suis foulé la cheville et je peux pas bien descendre les marches ?— Et vos amis ils ne peuvent pas descendre, eux ?— Si, mais comme vous passez juste devant...
En réalité cela m’amusa et je ramassai ses clefs, comme demandé. Malheureusement pour eux, n’ayant pas la tenue adéquate, ils furent un peu déçus de ne pas pouvoir me mater.
— Ah bin non on n’a rien vu !Finissant par trouver ce personnage amusant, sympathique et je dois le reconnaître plutôt mignon, je me surpris à lui répondre :
— Demain peut-être !— Ah oui ? Hé m’dame, vous allez venir encore combien de fois !Il me restait encore trois semaines de traitement, mais je ne voulais pas leur dire.
— Ha encore quelques fois...
Chose promise chose due, le lendemain matin, sortant de ma douche, je décidai de lui faire une surprise en laissant mes seins libres sous une chemise très large et optai pour une jupe mi-longue fendue généreusement sur le devant.
Arrivée sur le parking je fis sauter le second bouton de ma chemise en ouvrant un peu plus le col. Devant l’allée C mes petits amis étaient au rendez-vous, je marchai jusqu’à l’escalier et là je fis tomber, cette fois volontairement, mon sac que j’avais pris soin de laisser ouvert. Mon petit bazar personnel s’en échappa et se répandit par terre.
— Ah zut qu’est-ce que je suis maladroite !
Une fois accroupie au-dessus de mes affaires, je me penchai en avant pour les ramasser. J’eus le droit à quelques compliments de la part de mes admirateurs, allant même jusqu’à de l’aide.— Attendez, je vais vous aider !Mon charmant Don Juan se précipita vers moi pour m’aider.
— C’est gentil d’avoir pensé à moi. Dit-il. En le regardant je constatai que son regard était plongé dans ma chemise. Je décidais de l’allumer.
— Bah c’est normal. T’es si charmant avec moi...
A ces mots j’écartai légèrement les jambes, cela ouvrit la fente de ma jupe qui lui offrit ainsi une vue imprenable sur mon string en dentelle noir.
— Oh pas mal, mais je suis pas très dessous sexy. Je préfère la liberté, comme eux là. Dit-il en désignant ma poitrine avec un petit geste de la tête.— Ah bon ! Moi qui pensais te faire plaisir...
— Ah ouais ?! C’est sympa merci, mais je suis juste un peu déçu parce que j’ai toujours entendu dire que les infirmières étaient nues sous leurs blouses.— Je sais, mais ce n’est qu’une légende. En plus cela ne concerne que les infirmières qui travaillent dans les hôpitaux.— C’est con parce qu’avec une jupe comme ça ce serait plutôt cool. Et ça vous arrive jamais de vous habiller sans sous-vêtements ?
Cela m’arrivait en effet, mais je ne voulais pas le lui avouer de façon trop directe.
— Peut-être— Ah oui. Bah ça me ferait plaisir de te voir ainsi !
Je ne répondis pas à sa remarque. Une fois toutes mes affaires retournées dans mon sac, à l’exception d’un stylo que Jean avait pris, je me relevai. Je tendis alors naturellement la main vers lui pour qu’il me le rende, mais il se recula, pour que je ne puisse pas le prendre.
— Demain, vous viendrez comme ça. Dit-il d’un ton catégorique.
— Je sais pas. C’est assez bizarre pour une infirmière à domicile...
Je voulus alors lui prendre le stylo des mains, mais il le retint et se recula une seconde fois.
— Ce n’était pas une question ! Demain, vous viendrez comme ça. Dit-il une nouvelle fois.— On verra s’il fait beau et si j’ai envie. Bref je vais y réfléchir. Allez, lâche mon stylo, ma patiente doit m’attendre !Il lâcha alors enfin prise et me laissa passer.

Lorsque je redescendis, ils étaient tous assis sur les marches ne laissant pas de place pour descendre.— Excusez-moi vous pourriez vous écarter un peu ?Jean s’allongea alors sur les marches et me lança:— Si vous voulez descendre, il faudra me passer sur le corps ! Il prononça cette phrase d’un ton très théâtral et je pensais qu’il plaisantait, mais ce n’était pas le cas.— Ah bon, et je te marche dessus, Ducoup ?Il poussa alors les cuisses de son voisin qui ne bougea que de dix centimètres environ.
— Voilà de la place pour tes pieds.
Comme je n’étais pas particulièrement en avance et que je n’avais pas le temps de m’amuser ou de discuter, je m’avançai et descendis les marches en lui passant au-dessus. Ma jupe étant fendue, il put tout à loisir profiter de l’ouverture généreuse qu’elle lui offrait pour se rincer l’œil.
— Alors satisfait ?
— Mais non je t’ai dit que je n’aimais pas les dessous ! Je pensais que tu avais compris et que tu aurais fait ce qu’il fallait.— Chez ma cliente !? C’était difficile ! Bon allez je suis en retard. Dis-je en me mettant à courir...
Le soir même la dame de l’allée C m’appela pour annuler la visite du lendemain, car elle devait s’absenter. Bizarrement, pensant à ce jeune homme qui prenait de plus en plus de liberté avec moi, je ressentis comme un léger regret...
Deux jours plus tard, et dans la perspective de ma nouvelle rencontre avec la bande de copain du C, je m’habillai de nouveau en jupe, et je laissai de nouveau mes seins en liberté sous mon T-shirt. J’enfilai tout de même, après avoir hésité, un string. Mais pour compenser cette décision, je remplaçai la jupe que je portais par une autre beaucoup plus courte, fendue à l’arrière pensant ainsi compenser la déception que j’allais sans doute donner à Jean.

Arrivée devant l’allée C, mes acolytes étaient là.
— Alors je t’ai attendu hier tu as eu peur ?— Non ma visite a été annulée.— Bon, tu veux passer, je suppose ?— Evidemment !
Il se coucha de nouveau sur les marches.
— Cette fois j’espère que tu as pensé à ce que je t’ai dit !Le jeu m’amusait et puis j’avais bien prévu ce petit exercice en m’habillant ce matin, alors je m’avançai et commençai mon ascension. Deux d’entre eux se levèrent et se placèrent juste après la tête de Jean, et me barrèrent le chemin. Je fus donc obligée de m’arrêter juste au-dessus du visage de Jean.
— Alors elle en a ou pas ?
— Oui, mais pas pour longtemps !
Les deux mecs m’attrapèrent par les bras, les deux autres de chaque côté de Jean me prirent les pieds, et Jean glissa ses mains sous ma jupe.
— Hé qu’est-ce que vous faites !?Jean se saisit de mon string et le fit glisser jusqu’à mes chevilles, là ses deux voisins me soulevèrent les pieds l’un après l’autre afin que Jean puisse dégager entièrement ma culotte. Cela s’est passé si vite que je n’ai même pas eu le temps de me débattre.
— Voilà, maintenant, t’es une vraie infirmière.

Jean profita de la vue quelques secondes avant que ses amis ne me lâchent. Je me précipitai alors jusqu’à la porte de l’allée.
— Putain t’es con. Allez, rends-moi ça, maintenant !— Va travailler d’abord. Je te la rendrais quand tu redescendras.— Ça va pas non je ne vais aller chez ma patiente comme ça, vu la jupe que j’ai...— T’auras qu’à rester debout ! Allez, on t’attend.
Voyant qu’il ne changerait pas d’avis, je me résignai et entrai dans l’allée.

À suivre
Diffuse en direct !
Regarder son live