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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Infirmière

Chapitre 1

Lesbienne
Je suis infirmière à Broussais. Lorsque cette histoire a eu lieu, je n?étais encore qu?une stagiaire à laquelle on refourguait sans vergogne les taches les plus ingrates.
C?est ainsi que je me suis retrouvée un jour chez un vieillard particulièrement capricieux. Il passait ses journées complètement affalé dans un fauteuil: il se plaignait sans cesse. Je passais deux heures par jour chez lui et mon travail consistait essentiellement à lui administrer deux piqûres par jour dans les fesses ce qui l?amena un jour à m?insulter devant le concierge qui venait apporter le courrier, en me traitant de vicelarde et en laissant entendre que je n?avais rien sous mon habit d?infirmière.
Cet homme m?écoeurait au plus haut point: il était d?une laideur parfaitement répugnante, d?ailleurs je crois bien que j?ai rarement vu quelqu?un d?aussi laid et aussi curieux que cela puisse paraître il exerçait sur moi une sorte de fascination.
Un jour, je me suis risquée à lui demander s?il avait déjà été marié. Bien entendu, nous n?étions ni l?un ni l?autre dupe du sens de la question: ce que je voulais savoir en fait c?était si il existait une femme qui l?avait un jour désiré. Sur quoi il m?a demandé si j?avais moi-même envie de coucher avec lui. Je lui répondis qu?il n?en était pas question. Il me proposa alors de me payer. Je feignais d?être offusquée mais en fait j?étais excitée?et il le savait.
Le lendemain, je suis retournée voir mon patient. J?avais fait exprès de ne mettre sous ma blouse que des sous-vêtements voyants en satin violet clair. Puis, je me penchais régulièrement devant lui de manière à ce qu?il sache bien comment j?étais vêtue. Je sentais son regard descendre le long de mon corps. Il me demanda alors si j?étais plus disposée que la veille à satisfaire ses désirs sexuels : je lui dis que même son argent ne me donnerait pas envie de le faire et que s?il continuait j?allais partir. Alors, il me dit qu?il ne me retiendrait pas.
Je pris alors le chemin de la porte qui était fermée. Je demandais alors à mon patient de me donner la clé. Il éclata de rire et me dit de m?approcher. Maintenant, j?avais vraiment peur. Je m?approchais. J?étais debout à côté de lui lorsqu?il m?attrapa le bras avec une force dont je ne l?aurais jamais cru capable et il mit une de ces mains entre mes cuisses. Il remonta sa main jusqu?à ma culotte et la déchira d?un coup sec: je mouillais déjà.
’Alors, petite salope çà te fait quoi de te faire peloter par quelqu?un comme moi? Tu mouilles, on dirait. J?ai toujours dit que les femmes étaient toutes des salopes mais toi tu dépasses les records. On dirait une fontaine.’
Il me dit d?aller chercher le tabouret dans la cuisine et de le poser en face de son fauteuil. Je me faisais pitié mais j?obéis quand même: puis il me dit de m?asseoir dessus en écartant les cuisses de manière à ce qu?il puisse observer ma fente. Il me demanda d?y promener un doigt. Puis il me demanda d?enfoncer mon doigt dans ma fente.
C?était délicieusement humiliant mais je ne me masturbais pas suffisamment à son goût et il m?approcha de lui pour m?enfoncer trois de ses gros doigts entre les lèvres. Je fus sur le point de m?évanouir tellement il se montrait brutal: je lui dis qu?il me faisait mal mais visiblement cela ne lui faisait ni chaud ni froid. Tout cela l?amusait beaucoup : d?habitude, c?était moi qui lui pétrissais le cul et ce retournement de situation lui plaisait beaucoup. Il commença alors à me traiter de salope, de pute ?
Ces mots m?ont toujours beaucoup excitée. Il enleva ses doigts de ma fente pour venir les poser sur mon ventre puis je les sentis remonter le long de ma blouse: il dégrafa mon soutien-gorge et me tripota doucement les seins; ceux-ci étaient bien entendu tout durs.
Puis, tout à coup, il me mit deux doigts de son autre main dans le cul. Je poussais un cri : il enleva ses mains de mon corps et je tombais par terre, à genoux. Je n?avais plus que ma blouse sur moi et on pouvait voir à peu près tout ce qu?on voulait regarder: de ma vie, je ne m?étais jamais sentie aussi ’pute’. Il me demanda de le sucer.
J?étais particulièrement bien positionnée pour le faire. Je lui défis sa ceinture, lui enlevai son pantalon et lui retirai son slip. Je pris sa queue dans ma main et j?approchais ma langue. Puis, c?est en tremblant que je mis sa bite dans ma bouche. Je tournais lentement ma langue en attendant qu?il ait un orgasme; il m?a alors attrapé la tête et s?est mis à la secouer pour que mes va-et-vient autour de son sexe soient plus rapides. Il m?éjacula alors dans la bouche.
A ce moment-là, il dégagea ma bouche. Je restai par terre l?air hagard. Pendant ce temps iI se rhabilla rapidement. Il se leva et alla prendre mon manteau à la penderie et revint pour me le jeter à la figure.
’Mettez votre manteau mademoiselle, et partez. Vous m?écoeurez. Vous nettoierez tout çà demain. ’
J?avais à peine remis mon manteau qu?il me poussa vers la porte, enfonça un billet de 100 francs dans ma poche et me claqua la porte au nez.
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