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Infirmière à domicile

Chapitre 1

Hétéro
Infirmière à domicile Après une intervention chirurgicale sous le pied début juillet, je suis à la maison. Le chirurgien m’a prescrit des soins donnés par une infirmière et des visites tous les dix jours pour vérifier l’évolution de la guérison et éventuellement changer le protocole des soins.
Je me déplace avec une béquille pour ne pas poser le pied. Une infirmière passe donc tous les matins pour faire des soins. Elle enlève le pansement, nettoie le pied, passe une lotion désinfectante et cicatrisante sur la plaie avant de faire un nouveau pansement. Il y a trois infirmières qui sont sur le secteur.
Le lendemain de mon retour de l’hôpital, une infirmière sonne chez moi en fin de matinée comme convenu par téléphone la veille. Avec cette chaleur du mois de juillet, elle porte des nus pieds, un pantacourt et un tee-shirt à fines bretelles.
— Bonjour, je suis Hélène, l’infirmière à domicile.— Bonjour, réponds-je en appui sur une béquille.
Je m’écarte pour la laisser entrer.
— On s’est déjà croisé n’est-ce pas ?— Oui en effet, chez vos grands-parents, je crois... rétorque-t-elle.— Voilà... c’est ça. Vos deux collègues aussi d’ailleurs.— Exact, ajoute-t-elle en souriant et en croisant les bras sous sa poitrine.
Agée d’une quarantaine d’années, Hélène est petite, menue et musclée. Elle m’explique qu’elle aide son mari dans les vignes. On se dirige vers la salle de bain.
Je m’assois sur le bord de la baignoire avec les pieds dedans. Elle retire le pansement et commence à nettoyer la plaie. Dans ma position, je peux voir dans son décolleté. Je peux alors regarder sans gêne sa petite poitrine sans soutien-gorge avec de longs tétons. J’ai envie de me jeter dessus pour les caresser, les embrasser et les sucer.
— Voilà c’est terminé, dit-elle en se relevant.
Elle attrape une serviette, se met à genoux pour essuyer le pied. Là encore j’ai une vue plongeante sur ses seins, mais aussi sur son pantacourt qui colle à ses fesses comme une seconde peau laissant apparaître sa chatte que j’imagine poilue.
Nous retournons dans la pièce principale, elle lit le protocole de soins établis par le chirurgien puis fait le pansement.

— Donc demain à la même heure, dit-elle en sortant, avec Juliette, ajoute-t-elle avant de s’éloigner.
Le lendemain, Juliette sonne vers 11 heures. Elle est aussi de petite taille, mais un corps plus rond, une poitrine volumineuse qui semble vouloir sortir de sous son tee-shirt. Ses hanches et fesses larges sont serrées dans un pantalon dont le bouton est prêt à lâcher.  Bien que son physique soit à l’opposé de celui d’Hélène, je la trouve sexy, attirante. Son visage souriant encadré par une coupe de cheveux blonds mi-longs lui donne un air coquin. Ses lèvres charnues renforcent son charme.
On procède de la même façon qu’avec Hélène. Je ne peux dégager mon regard de ses seins et je m’imagine glisser ma tête entre eux ou y faire coulisser ma bite dure et humide, sa langue qui vient lécher le gland décalotté sortant d’entre ses seins gonflés.
— Vous avez eu quoi ? me demande-t-elle.— Eh bien...un durion, puis une ampoule qui a éclaté. Ensuite une infection et pour finir une opération chirurgicale pour nettoyer.— Oh lala ! répond-elle, il ne faut pas s’inquiéter, avec nous comme infirmières, tout va vite se soigner.— D’accord, dis-je.
Je pense qu’il ne faut pas guérir trop vite, car je ne pourrai plus avoir le plaisir de la voir ni Hélène.
Elle termine le pansement.
— Alors cette semaine, c’est moi qui viens et ensuite c’est Chantal. Puis Hélène, après moi et ainsi de suite.
La semaine se passe tranquillement. Juliette fait les soins et les pansements. Je fais la connaissance de Chantal, la troisième infirmière. C’est l’opposé des autres. Elle est grande, quelques formes, cheveux longs ramenés en chignon serrés au-dessus de son crâne. Sa tenue vestimentaire est stricte avec pantalon en toile, chemisier fermé jusqu’au cou.  Sa paire de lunettes aux verres carrés lui donne un style de directrice. La discussion est réduite aux formalités d’usages et de politesses. J’ai hâte que la semaine soit passée pour revoir Hélène et Juliette.  Dix jours après l’opération, je me rends à l’hôpital pour un contrôle avec le chirurgien. J’attends allongé sur une table d’examen.
— Bonjour je suis l’infirmière en chef Sophie, comment allez-vous ? me demande-t-elle, où on en est avec cette cicatrisation ?— Bonjour, tout va bien, réponds-je.
Elle porte une tenue avec pantalon, blouse blanche à boutons pression. Ses cheveux attachés en queue-de-cheval lui donnent un air de jeune étudiante.
Elle consulte mon dossier et le pose sur le chariot derrière elle. Dans son mouvement, un bouton de sa blouse saute. Je vois la naissance de son sein dans un soutien-gorge blanc.
Elle s’assoit sur un tabouret à roulettes et monte le lit sur lequel je suis installé. Elle retire le pansement. Ses gestes sont rapides et précis. Le contact avec sa main me fait sursauter.
— Chatouilleux ? demande-t-elle en souriant.— Non pas du tout, mais vous avez les mains froides.— Ah bon !... Eh bien il ne tient qu’à vous de les réchauffer ! dit-elle en faisant un clin d’œil.
Je lui fais un sourire avant de lui dire : je suis prêt à réchauffer ce que vous voulez.
— Ah oui ? Huummm... intéressant, ajoute-t-elle en défaisant un bouton de sa blouse.
Elle sort du bureau et revient accompagnée par une autre infirmière brune aux cheveux bouclés.
— Je veux te montrer la plaie de monsieur, dit-elle à sa collègue en me désignant de la main.
Après avoir regardé la plaie, elle dit à l’infirmière-chef :
— Tu as raison, il faut un traitement spécial... mais le pied peut attendre.
Elles se tiennent par la taille au bout du lit. Elles me regardent avant de s’embrasser à pleine bouche. Leurs langues se mêlent, leurs mains se touchent, se caressent. La brune, Carole sur son badge, retire la blouse et le pantalon de Sophie.
Elle porte un ensemble de sous-vêtements blanc. Son ventre rond retombe un peu sur l’élastique de son slip bombé au niveau de son sexe. Une petite auréole apparaît sur le tissu. Déjà excitée ? Humide ?  Après un baiser passionné, Carole s’approche de moi. Ses doigts courent sur mon bras, sur mon torse. Je ne sais pas quoi faire ni quoi dire. Je suis comme hypnotisé par ces femmes. Elle me prend une main qu’elle plaque sur son sein et l’autre entre ses cuisses. C’est chaud, brûlant même.
Sophie ne reste pas inactive. Elle monte à genoux sur la table et commence à défaire mon pantalon.
— C’est mon cul que tu vas réchauffer mon beau, dit Sophie en jetant mon pantalon et caleçon sur le sol.
Malgré moi, je commence à bander. Elle passe sa langue sur ses lèvres et y glisse le bout de ma bite décalottée. Cette caresse est douce et chaude. Je gémis doucement de plaisir.
Carole m’embrasse à pleine bouche, sa langue cherche la mienne, l’aspire, la suce comme une petite bite. Je sens la bouche de Sophie monter et descendre sur ma bite couverte de salive. Elle presse mes couilles, les caresse.  Les deux infirmières ne tardent pas à se retrouver nues debout face à face, penchées sur ma bite. Elles jouent avec, l’embrassent, la sucent. Quand Carole tète le gland, Sophie lèche les couilles ou ma bite sur toute la longueur.
Quand elles jugent qu’elle est assez dure et tendue, Sophie monte sur la table et me chevauche. Elle présente le gland sur son anus qui cède sous la pression. Elle ne s’arrête pas quand le gland  dilate son trou et s’assoit d’un seul coup sur ma bite.
Ses fesses cognent contre mes cuisses. Carole, à genoux derrière Sophie, lui pince les tétons, tire dessus fort.
— Que c’est booonn lâche Sophie en gémissant.
Carole l’embrasse pour la faire taire et ne pas ameuter tout le bâtiment avec ses cris. Je sens l’anus se contracter sur ma bite. Avec sa main, elle lui branle aussi le clito que je vois long et dur au milieu d’une grosse touffe de poils. Sophie gémit encore plus fort. Elle rebondit sur ma bite rapidement et avec force.
De la mouille coule sur ma bite et sur les poils de sa chatte aux lèvres gorgées de sang. Je l’aide en la tenant par les fesses. Je vois du désir, de l’envie dans le regard de Carole qui veut aussi participer. Quelques secondes plus tard, j’ai Sophie empalée sur ma bite et Carole assise sur mon visage dont la moule est totalement rasée.
Son clitoris est petit, mais très sensible. Je le suce, le lèche, le pince entre les lèvres, ce qui procure des frissons dans tout son corps. Elle gémit comme sa collègue. Alors pour ne pas se faire entendre dans le couloir, elles s’embrassent.
Elles me chevauchent l’une sur mon visage et l’autre sur ma bite au même rythme. Soudain je reçois un jet puissant dans ma bouche, sur mon visage. Carole resserre ses cuisses sur ma tête et écrase son sexe plus fort sur ma figure. Elle se frotte le clito sur mon nez, mon menton et couvre mon visage de son jus.
Sophie, comprenant que sa collègue vient de jouir, cambre encore plus les reins et accélère le rythme. Le claquement de ses fesses sur mes cuisses est violent, rapide. Je ne tiens pas longtemps et j’explose dans son cul quand son anus se contracte sur ma bite, que tout son corps se crispe et tombe entre les bras de Carole toujours assise au-dessus de mon visage.
— Tu m’as bien réchauffée, dit Sophie en se rhabillant.
Je quitte l’hôpital et je rentre chez moi en taxi ambulance.
— Qu’en pense le chirurgien ? me demande Hélène.— Euuhh... tout va bien, qu’il faut poursuivre les soins jusqu’à complète guérison.— D’accord, alors continuons pour vite soigner ce pied.
Elle prépare le pansement, la lotion pour nettoyer la plaie. Aujourd’hui, elle porte une jupe courte volante et un chemisier, des chaussures à semelles plates. Je remarque qu’elle prend son temps pour faire le pansement. Je ne sais pas pourquoi, mais j’en comprends vite la cause. Son regard se porte souvent sur mon short et je constate, d’abord avec surprise ensuite avec un peu de coquinerie, qu’un testicule apparaît. Porter un caleçon sous un short n’est pas toujours ce qu’il y a de mieux.
— Tout va bien ? je demande en souriant.
Pas de réponse.
— Est-ce que ça va ? dis-je.— Hein... elle me regarde et tourne la tête pour terminer le pansement, oui oui tout va bien merci !
Elle range les produits, va se laver les mains et part sans plus tarder. Les soins se poursuivent. La plaie diminue de jour en jour. Hélène termine sa semaine. Je retourne voir le chirurgien qui est présent lors du rendez-vous qui ne dure que dix minutes. Il propose un nouveau protocole de soins et demande aux infirmières de ne venir que deux fois par semaine. Je suis un peu triste de cette annonce, mais aussi content de savoir que la plaie est bientôt guérie. J’appelle le bureau des infirmières pour leur expliquer le nouveau protocole.
Trois jours plus tard, Juliette sonne. Elle entrer directement sans attendre que j’ouvre. Quand je la vois fermer la porte, je reste sans voix, bouche bée, prête à gober tout ce qui passe.
Ses cheveux attachés en une courte queue-de-cheval libèrent son visage et font ressortir ses yeux en amande. Elle porte une longue robe légère à fleurs qui la colle comme une seconde peau et une fine ceinture autour de la taille. Je reste debout sans bouger.
— Qu’est-ce qui ne va pas ? me demande-t-elle en avançant.
Je peux voir sa poitrine comprimée sous le tissu, le décolleté laissant voir la raie profonde entre ses seins et les tétons.
— Est-ce que vous allez bien ? demande-t-elle à nouveau en me prenant le bras.— Euuhh... oui oui...ça va merci ! dis-je en me tournant rapidement après avoir aperçu un léger sourire sur son visage et avançant vers la salle de bain.— Hélène m’a expliqué la visite chez le chirurgien. C’est bien, alors plus besoin de soins, dit-elle en me lavant le pied.
Mon regard se pose sur son visage, ses seins puis ses larges hanches et fesses. Je la trouve excitante. Je veux de la serrer dans mes bras, la caresser et plus encore. J’ai un petit moment de panique quand je me rends compte que je porte un short et que je commence à bander. Je vois le tissu se tendre et gonfler. Heureusement pour moi, Juliette termine de me laver le pied.  Je prends mon temps pour essuyer mon pied et j’attends que mon sexe retombe pour avoir une taille normale. Je m’assois dans le fauteuil et je suis à nouveau scotché quand elle se tourne vers moi. La robe baissée sur ses épaules, je vois maintenant le haut des aréoles de ses seins. Elle se penche sur le pied pour faire les soins. La gravité joue sur ses seins qui tombent comme deux obus lâchés d’un avion. C’est excitant.
— Qu’est-ce qui vous est arrivé tout à l’heure quand je suis entrée ?
Pas de réponse.
— Eh oohh... vous m’entendez ? demande-t-elle en me secouant le bras.— Hein... qu’est-ce qu’il y a ? dis-je en gardant les yeux collés sur sa poitrine.
Je lève la tête. Elle me regarde avec crainte puis avec un petit sourire au coin des lèvres.
— Ne bougez pas... je sais quoi faire !
Elle est debout devant moi qui suis encore assis dans le fauteuil. Elle pose ses mains sur mes genoux, les seins à nouveau pendants.
— Je sais ce qui s’est passé la semaine dernière pendant son intervention et je dois avouer que ça m’a chauffé un peu.
Je reste assis sans bouger, sans prononcer un mot.
— Je vois que cela vous fait de l’effet, ajoute-t-elle en posant une main sur ma bite qu’elle caresse, qu’elle pince.
Ses doigts poussent le short et caleçon sur le côté pour libérer ma bite maintenant dure et tendue. Elle crache dans sa main et caresse le gland décalotté avec la paume, puis referme les doigts sur le membre qu’elle branle.
Je gémis, je glisse mes fesses sur le bord du fauteuil et j’écarte les jambes. Juliette tient ma bite en la pressant avec force, pose un baiser sur le gland.
— AAhhh... fais-je en sentant cette caresse humide soudaine sur ma bite.
J’ouvre les yeux, elle se redresse. Elle roule la robe sur ses épaules. Ses seins apparaissent lourds avec des larges aréoles et petits tétons.
Elle se dandine un peu pour passer la robe sous la taille et les hanches. Sa poitrine bouge dans tous les sens comme le punching-ball d’un boxeur.
Une fois nu, son corps m’apparaît dans toute sa beauté. Les formes généreuses de ses hanches, cuisses et fesses sont excitantes, le volume de ses seins est hypnotisant, je veux tout embrasser, sucer, lécher et mordre. Un triangle de poils taillés courts est visible entre ses cuisses.
— Maintenant à vous...à toi ! me dit-elle.
Nos vêtements sont étalés sur le sol, elle est allongée sur la table, les cuisses largement écartées à la verticale. La tête plongée entre ses cuisses, je lèche sa moule odorante et humide, son clito long et dur sort de son capuchon. Je le suce, l’aspire comme une petite bite.
— Oooohh oouuiii c’est booonnn, crie-t-elle quand j’enfonce deux doigts dans son sexe.
Elle presse ses seins, tire sur les tétons. Son jus coule de plus en plus sur ma langue, dans ma bouche et sur mes doigts. Deux doigts lubrifiés par son jus s’enfoncent facilement dans son anus.
Elle remue la tête de droite à gauche. Sa respiration s’accélère. Voyant qu’il n’y a plus aucune résistance de ses trous à mes doigts, je pose ma bite contre sa chatte dilatée. Je la lubrifie en la frottant, le gland frappe contre son clitoris.
Elle me demande de la prendre maintenant... vite. Je me penche sur elle et l’embrasse à pleine bouche.
— Ce n’est pas ta chatte que je veux baiser...! elle me regarde un peu étonnée, mais ton cul !
Sans dire un mot, elle attrape ses genoux et les ramène sur sa poitrine. Le cul ainsi relevé, je vois son anus encore ouvert par mes doigts, lubrifié par son jus. Je pousse le gland dans ce conduit étroit qui entre sans résistance. Je m’enfonce en elle sans arrêt jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses.
— Ooohhh merdeee, gémit-elle en soufflant, tu me dilates le cul, j’adooore !
Je commence à baiser son orifice avec force et rapidité. Je glisse mes doigts dans sa chatte baveuse et couverte de son jus, je frappe son clito bandé. Tout son corps tremble lorsque ma main disparaît en entier dans son sexe, puis ses muscles se contractent, sa respiration se bloque.  Son visage se crispe avant qu’elle ne lâche un cri violent et fort avec les yeux révulsés. Ses jambes tremblent, ma main dans son intimité est retenue par ses muscles vaginaux avant d’être expulsée avec un jet puissant qui m’éclabousse. Ma bite bien enfoncée crache son jus chaud dans son cul. Je vois le bout de ses doigts devenir blanc tellement elle presse ses tétons.
Sa respiration devient plus lente, son corps se détend. Je m’effondre dans le fauteuil. Je la regarde reprendre son souffle, essuyer son front couvert de sueur. Du sperme coule d’entre ses fesses et tombe sur le carrelage. Elle se redresse sur un coude.
— Maintenant, je dois finir le pansement, dit-elle en rigolant.
Une semaine est passée, je suis dans la salle d’attente de l’hôpital pour un dernier rendez-vous avec le chirurgien. Il constate qu’il n’y a plus de plaie, alors il décide d’arrêter les soins.
Sur le chemin du retour, je m’arrête au bureau des infirmières pour les prévenir. Je sonne... pas de réponse... je frappe à la porte... toujours rien. Je regarde par la fenêtre et j’aperçois une silhouette dans la pièce. Je frappe et sonne en même temps. Au bout de quelques secondes, j’entends le son d’une voix assourdie derrière la porte.
— Le bureau est fermé... revenez demain !— Bonjour, je suis monsieur K., pouvez-vous dire aux infirmières que ce n’est plus nécessaire de venir faire le pansement parce que je..... le bruit d’une clé dans la serrure, une tête apparaît dans l’ouverture de la porte.
D’abord surpris, je mets quelques secondes pour reconnaître Chantal. Elle, si stricte et l’air un peu sévère avec ses lunettes carrées et son chignon, est debout en appui contre la porte, sans lunettes, les cheveux détachés.
— Ah... oui... d’accord, dit-elle en se passant une main dans les cheveux, puis sur la nuque.
Un sourire se dessine sur ses lèvres, elle passe ses doigts sur le col de son chemisier dont deux boutons seulement le tiennent fermé.
— Mais entrez... je veux vérifier si tout est OK, ajoute-t-elle en ouvrant la porte.
La première chose que je sens en entrant, c’est une odeur enivrante, piquante, le parfum que j’assimile à celui du sexe. Je donne un rapide coup d’œil dans la pièce... personne. Le bureau est rangé. Elle m’indique la table d’examen placée dans le fond et un paravent.
— Installez-vous... je reviens !
Elle tire le paravent, j’entends le bruit d’un fauteuil à roulette, de tiroirs. Mon regard se porte sur la petite poubelle contre le mur et là... je vois l’étui d’un préservatif ouvert.
Des images me viennent en tête et je comprends alors cette odeur dans la pièce. Chantal se faisait baiser... mais par qui ? Personne dans la pièce ! Peut-être est-elle planquée dans les toilettes ?
Je commence à imaginer Chantal d’un nouvel œil. Est-elle une coquine ? Une affamée de sexe ?
— Me voilà ! dit-elle.
Elle pose sa main chaude et humide sur ma cheville. Certains de ses cheveux sont collés par la sueur sur sa nuque et son front.
Elle inspecte le pied. Je l’imagine se faire baiser en levrette sur le bureau, les seins à l’air aux tétons durs, de crier et gémir. Ces pensées réveillent en moi du désir et je sens mon sexe gonfler sous mon short.
— C’est très bien dit-elle en reposant mon pied, je pense que vous...... sa voix s’arrête quand elle tourne la tête vers moi, le regard sur mon short.
Le renflement de ma bite maintenant dure apparaît, les couilles sont à nues contre ma cuisse. Sans dire un mot, sa main remonte sur ma cuisse, je pose la mienne sur son cul que je masse, pétris. Elle se penche et m’embrasse avec force, nos langues font un duel. Ma main passe sous sa jupe qu’elle s’empresse de jeter, son chemisier ne tarde pas à suivre.
Sa poitrine nue laisse voir des tétons durs et tendus percés d’anneaux comme son nombril. Elle arrache presque mes vêtements. Elle suce mes tétons, les mord, je crie.
— Tais-toi, ordonne-t-elle une main sur ma bouche.
Sa langue descend sur mon ventre avant de venir lécher le bout de ma bite. Elle serre les lèvres dessus pour l’enfoncer et ainsi décalotter le gland.
Sa langue joue sur ma bite, elle me pompe avec force et rapidité. Je tends une main pour pincer les tétons, mais aussitôt elle l’attrape pour la plaquer sur la table.
— Toi tu ne bouges pas ! Tu ne fais rien, tu me laisses faire, dit-elle en montant sur la table en 69.
Je vois sa chatte totalement épilée, de grosses lèvres pendent sur un trou humide, dilaté avec de la cyprine. Son anus est aussi un peu dilaté et de la sueur recouvre ses fesses et sa raie profonde.
Je sens sa langue tourner sur mon gland, sur mes couilles qu’elle tient fermement dans une main. De l’autre, elle écarte les lèvres de sa chatte, j’aperçois un petit clito.
— Lèche, dit-elle sèchement entre deux mouvements de sa bouche sur ma bite.
Je m’exécute en pointant la langue sur son bouton décalotté. Elle pousse un petit gémissement. Je lèche son bouton comme une glace, elle remue son bassin pour accentuer la caresse.
Ses gémissements sont étouffés par ma bite qu’elle suce et qu’elle branle. Parfois, j’enfonce ma langue dans sa chatte odorante et couverte de cyprine. Elle baisse son bassin et fait un face-sitting. Sa chatte aspire ma bouche, mon menton et mon nez.
Elle bouge son bassin d’avant en arrière, elle se frotte sur mon visage qui se couvre de son jus. Je sens mon nez en contact avec son anus qui s’ouvre sous la caresse et la pression. Je dégage mes bras et lui écarte les fesses, je les claque, les pétris, les gifle.
Chantal bouge de plus en plus vite et fort sur mon visage. Ma langue lèche, pénètre sa chatte ouverte, mais aussi son trou de cul. Les reins cambrés, elle se frotte une dernière fois sur mon visage avant de serrer les cuisses et de m’écraser la tête. Sa chatte se contracte et laisse échapper un liquide translucide qui couvre mon visage et mon torse.
— Oooohh oouuiiii put....... son cri de jouissance est arrêté puis suivi d’un gémissement, comme si quelque chose ou quelqu’un lui avait fermé la bouche.
Je sens les mouvements d’une personne qui monte sur la table et vient s’asseoir sur mes cuisses. Deux mains caressent le dos de Chantal, je penche la tête sur le côté pour voir un corps de femme. Je ne vois pas le visage, car la tête de l’autre est cachée par celle de Chantal.
Elles s’embrassent. Chantal descend de la table et je vois... Hélène assise nue sur mes cuisses, des pinces reliées par une chaîne sur ses tétons longs. Elle se penche sur moi et pose ses mains au-dessus de ma tête, sa chatte poilue contre ma bite encore dure.
Elle frotte ses tétons sur ma bouche, je les suce, je tire sur la chaîne. Elle lâche un petit cri et gémit. Ma bite couverte de salive frotte sur son sexe et dans la raie des fesses. Elle soulève son bassin pour pointer mon gland sur sa fente humide. C’est chaud et doux. Dans un geste lent et continu, elle s’assoit sur ma bite qui s’enfonce en elle.
— Huummm, gémit-elle alors je pousse un long soupir.
Sa chatte étroite est comme un gant chaud qui couvre ma bite. Je bande encore plus fort. Je suce ses seins, je les mords, on s’embrasse. Elle bouge son bassin en cercle pour sentir mon sexe en elle. Son clito frotte contre mon pubis, nos poils se mêlent. Elle monte et descend de plus en plus vite et fort au point de claquer ses fesses ouvertes sur mes cuisses. Nos poitrines se touchent, se frôlent. Je serre Hélène dans mes bras pour un va-et-vient plus fort.
— Ooohh oouuiiii c’est booonn ! crie-t-elle.
Chantal monte debout sur la table avec un imposant gode ceinture long et épais. Elle jette quelque chose dans la poubelle... l’emballage d’un préservatif. Elle me sourit, déroule le préservatif sur le gode et se place derrière Hélène qui continue de s’empaler sur ma bite. Elle se couche sur nous.
— Tu vas sentir comme c’est bon avec deux bites ma petite chienne ! dit-elle à l’oreille d’Hélène qui s’arrête et cambre les reins.
Je prends ses fesses et les écarte. Hélène pousse un petit cri quand le gode se pose sur son anus humide. Je tiens fermement Hélène contre moi, je ne bouge pas.
Chantal l’attrape par les hanches et pousse. Hélène souffle fortement en sentant le membre en plastique lui dilater le cul. Elle gémit et crie pendant que le gode la pénètre jusqu’à la garde. Je le sens glisser dans ce conduit étroit contre ma bite.
Personne ne bouge, le temps de laisser le corps s’habituer à cette pénétration, puis Chantal bouge. D’abord doucement puis de plus en plus fort. Je m’active dans la chatte de sa collègue qui crie, râle. On joue avec ses trous maintenant dilatés et ouverts. Son corps est pénétré avec force en simultané ou chacun son tour.
— J’en peux..... plus...! crie Hélène au bord de l’orgasme.
Chantal tire sur ses tétons, claque les fesses, elle accélère ses coups de reins entre les fesses d’Hélène qu’elle écarte au maximum. Elle y va fort et vite. Si vite et si fort que le gode sort de l’anus boursoufflé et disparaît dans la chatte baveuse et gluante d’Hélène.
— Aarrgghhhh ! Hélène relève la tête et tout son buste dans la surprise de cette double pénétration vaginale, la respiration coupée, le visage déformé.
Chantal attrape Hélène par les épaules pour l’attirer contre elle, lui prend la gorge dans une main.
— Maintenant on va t’exploser ma petite salope ! lui dit-elle.
Elle repousse Hélène qui tombe avec violence sur mon buste, l’attrape par les hanches et la bourre avec force. Le gode glisse contre mon sexe, le frottement est rapide et violent.
Chantal prend les cheveux d’Hélène et tire sa tête en arrière. Le son qui sort de sa bouche est un mélange de souffrance et de jouissance. Ses petits seins tressautent à chaque coup de reins.
J’arrive à bouger et glisser ma bite en rythme avec Chantal. Pendant dix minutes, le corps d’Hélène n’est qu’une poupée sexuelle. Chantal l’utilise pour son propre plaisir. Elle joue avec les orifices brutalement investis. Elle ne manque pas de pénétrer à nouveau l’anus puis de revenir dans le sexe dilaté aux lèvres gonflées.
— Vas-yyyyyyyyyyy ! crie Hélène en jouissant quand son corps se met à trembler violemment.
Ma bite est écrasée dans son sexe qui crache un flot de cyprine. Je ne peux me retenir plus longtemps et j’explose sur sa fente. Les deux femmes retombent sur moi en soufflant, le visage couvert de sueur.
Le son du clocher nous ramène à la réalité.
Je passe les voir de temps en temps pour dire bonjour, prendre un café et pour entretenir de bonnes relations infirmières patient.
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