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L'infirmière et le prisonnier

Chapitre 1

Hétéro
J’arrive dans une cage faite de béton et d’acier, traité comme un vulgaire criminel et lancé dans la cage aux fauves. Je suis choqué par la violence qui règne entre ces quatres murs, ils me dévisagent déjà et me font des signes qui ne laissent personne perplexes. Je suis à peine installé que des hommes vêtus de bleus viennent me chercher pour m’emmener je ne sais où, me regroupant avec des autres ils nous pressent. Le sol devient du carrelage et une bassine est là pour accueillir nos vêtements, en nous groupant par cinq, ils nous font entrer dans un espace clos embué aux pommeaux argentés. Il ne fallut pas longtemps à ces détenus pour venir en cercle autour de moi, m’infligeant des morsures en blessant mon corps, souillant mon âme.
Première douche et me voilà à terre suffoquant avec l’eau et incapable de me relever. Mais je les comprends à leur place j’aurais fait pareil et même pire, car je respire encore à peine. Quelques minutes, c’est tout ce qu’ils ont eu et pourtant je ne me sens plus le même, abîmé par des hommes vengeurs qui ont pris cœur à me punir. Ne les blâmez pas vous non plus, je les pardonne et les conjure d’en finir la prochaine fois.
Les gardiens viennent trop tard, le mal dans mon esprit est immiscé. Ils me relèvent sans difficultés et me traînent hors de la douche par les bras, mes pieds nous suivent en frottant le sol. Ils me déposent non loin de là, face contre terre dans le couloir à la vue de tous. Je les entends rigoler derrière les barreaux qui les retiennent et nerveusement je commence à rire aussi. On me porte à nouveau et on me met sur un brancard pendant ma crise, eux se sont tu, sûrement médusés par ma réaction.
Je ne peux pas parler et les regardent passivement avec mes dents pleines de sang, leur visage se décomposent devant ma folie. On me pique le bras gauche, m’injectant sûrement un tranquillisant et ils me déplacent. Les néons s’enchaînent, puis s’arrêtent, je ne sais pas si c’est bon signe. J’entends une sonnette, c’est reparti on monte dans un ascenseur et l’on tourne dans les couloirs. Je ne sais pas où ils vont m’emmener comme ça, mes pensées s’embrouille.
Les murs gris deviennent blanc et un ange m’apparaît dans sa tenue de camouflage. Se fondant dans le décor je ne vois qu’elle, qui s’affaire à me réparer. Je suis à moitié dans les vapes et ne ressens plus aucune douleur. La morphine faisant son bonhomme de chemin dans mes veines, je vois trouble et entend de loin. Mon premier jour en prison et je suis déjà à l’hôpital, ça promet ! J’ai été puni par ses hommes virils et d’abord apeuré qu’elle me juge elle aussi, je deviens enjoué juste par sa joie. En souriant joliment, elle panse mes blessures mais contrairement aux autres, elle me regarde et comprend mon mal. Ses pommettes se gonflent et rougissent quand elle esquisse ses sourires. Elle appose sa main sur la mienne, pour me signifier qu’elle me protégera et elle me dit tout bas qu’elle reviendra.
— Je le garde trois nuits en observation.— Bien.
Le désespoir qu’elle lit sur mon regard quand elle quitte la pièce la fait souffler, marquant l’ennui profond de me laisser seul. Les matons m’attachent de menottes et m’arriment solidement au matelas, pourtant ils font tous erreur de me prendre pour le mal sans état d’âme. Le vrai cours toujours... Les quatre fers entravés les heures sont longues et je ne peux que penser, mon esprit s’évadant au-delà de cette fenêtre grillagée. Condamné par la société sur les dires d’une gamine apeurée, je suis rejeté par tous et bouclé dans une cellule depuis mon jugement expéditif.
Vingt années si vous gardez votre tranquillité, qu’ils ont proclamé avant de m’enfermer. Jamais je ne survivrai, pas pour sentir la liberté dûment gagnée la quarantaine passée. Les remarques du juge et son martèlement final quand la sentence est tapée de son marteau. Ce clappement solennel sonne la fin de mes amitiés et au yeux de la société j’en suis le coupable. Je les ai maudit, tous… un à un, mais cela ne change rien. Clamant haut et fort mon innocence à qui veut l’entendre, par des rires moqueurs, je me suis fait rembarrer. La procédure est lancée à ce que m’a confirmé mon avocat en ajoutant de surcroît, ”n’ayez guère d’espoir” , avec une timide tape sur l’épaule droite.
Tout ça est injuste. Le mauvais endroit ou le jour trop ensoleillé pour mes yeux fragiles ? Non un mélange de tout ça et de circonstances de la vie. Voilà ce qui m’a poussé ce vendredi à prendre le large en pleine après-midi. Le boulot est sans intérêt et le patron est gonflant. Personne ne m’attends à la maison, personne pour me consoler et par mélancolie je prends le chemin du bois pour rentrer chez moi, la casquette vissée sur la tête pour me protéger de ce feu ambiant, dans les nuages pour décompresser.
Dandinant au pied des arbres verdoyants, je me prélasse un long moment sur un banc et ne vois pas passer le temps. Bientôt, il fera nuit et je suis encore loin de chez moi. Je cours à vive allure quand en plein milieu d’un croisement, les poulets armés jusqu’aux dents m’interpellent violemment. Puis tout est allé si vite, mes lunettes de vue teintées, la même casquette, la fille en pleurs me reconnaissant fermement les parents indignés souhaitant uniquement mon malheur.
La nuit avance et je vois maintenant le croissant de lune. Mes membres me font souffrir et l’étiquette de ma combi me démange à l’entre jambe, j’essaie de dormir mais je ne fais rien de mes journées, surtout attaché comme maintenant. Les lumières du couloir s’allument, qui va venir tromper ma solitude ? Peut-être me délivrera-t-il de ce corps futile d’un coup de lame, taillée dans une brosse à dents à la vas vite ? Les lumières s’éteignent et rien, ce n’est que la première ronde des gardes.
Je ne risque pas de m’enfuir, de plus je ne veux pas. À l’infirmerie je suis protégé du mal qui rôde en prison, mais aussi en dehors. La famille de mon affabulatrice veut voir ma tête sur une pique et les pères en colère même si ce ne sont pas leurs affaires, caillassaient de pierres le moindre pas que je peux faire. Descendu plus bas que terre et le nom traîné dans la boue, je me fais renier de mes pères car il n’ont pas foi en moi.
Dans le noir la porte s’ouvre et la petite infirmière de tout à l’heure se glisse à mon chevet, un air sérieux gravé sur le visage éclairé par la pâleur de la nuit. Puis, elle s’avance près de mon oreille pour me parler à demi-mots.
— J’ai lu ce que vous avez fait mais je n’ai pas peur de vous.— Pourquoi venir vers moi, vous me croyez ?
Elle me caresse la joue gauche avec son autre main, la seule partie de mon visage sans contusion, puis y dépose un tendre baiser. Sa blouse entrouverte laissant paraître le galbe de ses généreux seins, attire mes yeux mais je m’en détourne, sentant la flamme qui brûle en moi s’attiser.
— Oui vous êtes innocent, vous ne me reconnaissez pas, c’est normal cela fait si longtemps… Vous m’aviez protéger de ces hommes qui m’ont finalement eu, je pensais qu’ils vous avaient tué.— C’était vous… m’etonné-je, sans en croire les oreilles. Vous parlez de protection, j’ai essayé de venir vers vous mais je ne me rappelle plus de rien, je suis tombé dans les pommes avant d’arriver à trois mètres de vous.— Ce n’est pas votre faute, le quatrième est arrivé par derrière au même moment et vous a assommé, avec une telle violence...— Mais je…
Elle dépose un doigt sur ma bouche en me regardant intensément et se rapproche doucement de moi. Je sens mon âme se consumer à mesure que le temps passe, cette triste journée je l’avais oublié, mais maintenant ayant compris ce qui était arrivé, je peux enfin tirer un trait sur ce passé. Je sens son souffle sur mon visage se presser et ses lèvres commencent à bouger.
— Je n’aurais jamais imaginer que je pourrais enfin te remercier.
Elle appose ses lèvres délicatement sur les miennes meurtries, je lui rends en me moquant de cette légère douleur. Je ferme les yeux mais sa douceur me quitte déjà, me laissant sur ma faim, mais bien assez pour que toutes les douleurs disparaissent, menées par le désir.
— J’ai une idée ! Il faut vous reprendre et leur montrer à tous que vous avez aimé votre traitement, après ils ne recommenceront peut être pas. — C’est mieux que rien, merci de m’aider.— J’aimerais en faire tellement plus et vous sortir de ce mauvais pas, vous pouvez compter sur moi.— Que quelqu’un croit en moi est déjà beaucoup, merci infiniment.
Elle me sourit sans bruit en prenant ma main dans la sienne.
— Avez-vous les clés des menottes pour me libérer une main afin que je puisse me gratter ? — Non je n’en ai pas, je ne suis qu’une simple infirmière.
Elle se lève et se retourne pour tirer le rideau et nous donner ainsi une légère intimité. Je ne la quitte pas des yeux une seconde, elle me paraît irréelle et j’ai l’impression d’être en plein rêve, mais gesticulant un peu en me replaçant, la douleur de mes jointures paraît elle bien réelle. Elle a de magnifiques jambes, nues sous sa blouse, elles sont interminables et quand j’arrive à sa chevelure lisse, elle revient vers moi en se retournant rapidement. Ses cheveux fouettent son visage en un bruit silencieux et se bloquent sur sa commissure entre ouverte, les dégageant avec ses doigts fins, elle me chuchote en s’avançant vers moi :
— Ça vous gratte où ?
Elle pose sa main sur la mienne en me la calinant du pouce et soutient sa question du regard. Je me noie dans ces beaux yeux bleus chargés de compassion, mais ne parle pas gêné de l’endroit à divulguer.
— Alors ? Interroge-t-elle, en s’impatientant. Je peux au moins gratter à votre place.
Des images assaillent mon esprit en pensant à sa douce main qui viendrait soulager ce titillement qui m’obsède depuis qu’on m’a attaché. Mon sexe mal placé enflant dans cette combinaison, me provoque un autre picotement et me fait légèrement tortiller. Mon embarras grandit à mesure que la pression de mon membre augmente inéluctablement. Elle se pose des questions sur mon silence en penchant la tête et sa chevelure blonde revient devant en cachant la moitié de son visage.
Mes lèvres se décollent et je bafouille quelques syllabes de ces timides mots qui ne veulent pas sortir. Je ferme les yeux me maudissant, et essayant de contrôler ma verge qui ne cesse de se frayer un chemin, en glissant par saccade entre mon pantalon et ma cuisse. Je suis dors et déjà vaincu, plus elle se tend plus c’est difficile car en le faisant, elle me délivre à chaque secousse un plaisir qui appelle le prochain.
— Je n’ai pas compris ce que vous avez dit…— Ce n’est pas un endroit convenable.
Elle quitte mes yeux pour les descendre le long de mon corps mais je la rappelle de sitôt, ne voulant pas qu’elle voit ma virilité dérangeante.
— Non vous ne pouvez pas, l’étiquette qui me gratte est sous un autre problème en ce moment… — Vous savez je l’ai déjà vu tout à l’heure.
Elle fait fi de ma remarque et descend son regard. Mes bras veulent l’en empêcher, mais un scintillement d’acier me ramène à la réalité : ces menottes entravantes. Elle rougit en voyant mon mât dressé fièrement dans cette infâme combi. Elle rapproche sa main de mon cou et des frissons apparaissent sur ma peau. Loin de se démonter, elle descend en me frôlant les formes de cet uniforme. Elle agrippe ma fermeture éclair et la descend en dévoilant petit à petit mon corps tuméfié, à son visage délicat.
Elle prend entre ses deux doigts mon sexe et le décale pour laisser passé le fermoir, ma virilité s’expence davantage ainsi libéré. Elle se place droit en direction de mon nombril pile au centre de son attention. L’infirmière la dévisage en se mordant les lèvres et voit à droite l’étiquette qu’elle coupe d’un coup net. Puis elle se lève subitement et pose les ciseaux sur la table. D’un regard malicieux elle me regarde, en enlevant sa culotte sans se retourner et me provoque en courbant bien l’échine pour le ramasser. Déboutonnant sa blouse, elle s’approche de moi et me met dans la main sa dentelle trempée.
— Laisse-moi commencer à t’aider.
De quelques instants qui me paraissent des heures, je la détaille parcourant son corps de mes pupilles complètement dilatées. Son magnifique soutien gorge en dentelle nacrée et sa peau si blanche ressort au clair de lune et à la faible lueur environnante. Dérouté par tant de fougue, je balbutie la première chose qui me passe par la tête, regrettant instantanément de n’avoir été plus poignant dans mes propos.
— Vous êtes tellement belle !
Elle a quand même compris le oui de mes quelques mots timidement mâchés et monte sur moi. Je veux la toucher et accueillir ce corps qui vient à moi pour la première fois, mais je ne peux pas bouger le petit doigt. Elle me délivre enfin un tendre baiser mais je ne peux l’entourer de mes bras, elle l’a compris et en joue tentos en m’embrassant tentos en se retirant et rapproche sa poitrine tout près de ma main. Ce traitement qu’elle m’inflige inonde ma toison de sa cyprine et mes coups de bassin rageurs font frotter vigoureusement son bourgeon sur mon membre, nous délivrant à chaques secousses une décharge dans le bas ventre.
— Alors, je crois que je serai très utile. Laisse-moi me dévouer à toi.— Oui, je n’étais rien avant aujourd’hui.— À présent, tu seras le gardien de mes nuits.
Elle m’embrasse et me parcours de partout avec ses mains, puis libère sa poitrine et colle un sein dans ma main. Sa peau est douce comme du coton, prenant tellement de plaisir à le malaxer, je ne sens même pas ses doigts s’enrouler autour de ma verge. Quand mon gland entre enfin en contact avec son trou béant, je réalise où je suis et quitte de mes iris ces lobes pour la regarder au fond des siens. Elle s’assoie avec lenteur sur moi, savourant chaque centimètres de mon membre, jusqu’à s’imbriquer complètement dessus.
Elle commence de savoureux aller et retour portant mon être à ébullition et sentant le plaisir monter, elle s’active de plus en plus tapant de tout son maigre poid sur mon bassin qui accompagne chacun de ses mouvements. Elle crie un coup et s’arrête net, surprise d’un tel émois elle regarde inquiète autour d’elle et constate qu’il ne se passe rien. Elle pose son front sur le mien et s’enlève de ma prestance, laissant mon sexe aux abois tendu devant sa grotte. En se collant à mon corps, elle place mon gland contre son anneau et pousse par accoups.
— Je veux te sentir au plus profond de moi ! Mais j’ai peur de crier trop fort— Tiens, prends ta culotte dans ta bouche, ça t’aidera.
Elle approche sa bouche de ma main gauche, pour que je lui bourre délicatement sa culotte entre ses lèvres pulpeuses. Elle se redresse avec un bout de culotte qui dépasse à peine et s’empresse de descendre d’une traite en cambrant le dos. Ses fesses se fracassent sur mes cuisses et sa tête vole en arrière, les sensations la submergent de toute part. La lumière du couloir nous aveugle et elle se niche au creux de mon cou, se cachant partiellement en se fondant sur mon corps. Mon sexe est toujours fiché au plus profond de son petit trou et ne demande que du mouvement, je lui en donne malgré moi par de légers accoup involontaire. Ma partenaire répond en retour en se dandinant et en serrant ses fesses, tenaillant encore plus mon membre serré.
La lumière s’éteint et enfin on souffle un grand coup, en reprenant cet ébat où nous l’avions laissé. Impatiente tout comme moi d’atteindre le graal, elle se rue sur mon chibre la culotte étouffant à peine ses cris et pose ses mains sur mes épaules. Elle s’en sert de point d’ancrage pour enchaîner les mouvements avec toujours plus de virulence. Mon sexe à bout je prend un dernier plaisir et contemple cette belle infirmière se propulser avec entrain sur ma virilité. Quelques secondes de ce spectacle finissent par me faire tressaillir, sous les assauts de ce buste enivrant. Ma jouissance l’emporte et elle s’écroule sur moi comblée. Après cinq minutes à s’en remettre, elle se presse de se retirer et retrouver un semblant d’apparence civilisé.
— Ne t’en fais pas, je suis là pour toi est j’essaierai de tout faire pour t’innocenter.— Merci, mais ça va être dur… il n’y a aucun témoin. — En tout cas, je plaiderai en ta faveur le jour où tu repasseras en jugement.
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