Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 31 J'aime
  • 1 Commentaire

Ingrid à Berlin

Chapitre 5

Trash
CHAPITRE CINQ
Satisfaite, je me suis relevée, inspectant d’un œil critique mon reflet dans la glace en face de moi. Je devais m’attendre à voir le cylindre gonfler mon ventre, ou je ne sais quoi ; mais il n’y avait rien à voir, j’étais nue, impudique, mes petits seins dressés aux mamelons proéminents. Avec une sensation nette de gêne dans les reins, due au volume important de l’occupant. Je me suis lavé les dents sans dentifrice, avec une brosse neuve prise dans un meuble au-dessus des vasques, avant de revenir dans la chambre une serviette nouée sur la tête.
J’ai fini la bouteille d’eau avant de me laisser tomber sur le lit. Fixant mon reflet dans un miroir du plafond, j’ai commencé à caresser mes seins, une main s’égarant sur mon pubis ; j’ai glissé deux doigts entre mes lèvres intimes, jouant avec mon bouton, frissonnant de plaisir sous l’attouchement. Mes doigts ont plongé dans le marécage de mon vagin brûlant, ont remué dans un clapotis significatif de mon état. J’ai poursuivi mes caresses, attentive à ne pas jouir mais à rester dans un état proche de l’orgasme, les yeux plongeant dans les yeux de mon image.
Quand la porte d’entrée s’est ouverte brusquement, j’ai poussé un cri, affolée, resserrant compulsivement les cuisses sur ma main ; me redressant, j’ai aperçu Adil. Vêtu d’un polo blanc sur un pantalon de survêtement noir, il tenait ce que je reconnus être mes vêtements et mon sac. Il a posé le tout sur le fauteuil alors que je me levai et m’approchai de lui.
— Ah, tu es réveillée ! Tu sais l’heure ?— Non, je n’ai pas de montre.— C’est 07 heures du matin. Ça te rappelle rien ?— Non… Ah oui, bon sang.— Il te faut partir, tu le sais.
A un mètre de lui, je me suis étirée, impudique, cuisses entrebâillées, le ventre creusé faisant ressortir le bombé du pubis. J’ai vu son pantalon se déformer. Un réflexe pavlovien en voyant une femme nue et offerte. Je me suis blottie dans ses bras et il a posé ses paluches sur mes fesses, me collant contre sa virilité dressée sous le fin tissu. Il a touché la base du plug qu’il a remué, je me suis tortillée de honte et de plaisir mêlés.
— Tu es une petite salope assoiffée de bites, tu as encore envie ?— Oui.— Ingrid, tu as vu l’heure, tu te souviens du deal ?— Je partirai… Après. Allez…— Tu veux baiser encore, tu as tort. Mais tu vas être exhaussée. Je vais te défoncer la chatte et le cul, tout à l’heure c’était rien ; tu vas prendre cher, après tu auras du mal à marcher normalement.— Des promesses, toujours des promesses… Montre-moi enfin ce que tu sais faire avec ton gros engin !— Tu sais que tu vas morfler ?
Je n’ai pas répondu, me contentant sourire et de lever les yeux vers lui. il s’est penché pour m’embrasser et quand j’ai ouvert la bouche sa langue l’a envahie, impérieuse ; j’ai répondu fougueusement, les mains pétrissant son dos sous son polo. Adil m’a retournée sans me laisser le temps de protester, m’a poussée sur le lit avant de se déshabiller en un instant, puis il m’a disposée à sa guise, à genoux et cambrée, avec des claques sèches sur mes fesses et mes cuisses, et il a plongé son mandrin gigantesque dans mon vagin, juste sous le plug. J’ai hoqueté, surprise par la violence de la pénétration, mais il a donné de violents coups de reins, en force. J’étais étroite, le plug comprimait sa verge en moi. J’ai couiné, gémi, mais avec mes quarante-cinq kg, je ne pouvais rien contre son quintal et demi voire plus de muscles. La verge tapait tout au fond, il se fichait de mes protestations et pilonnait mon vagin, m’arrachant de nouveaux gémissements. Comme je lui donnais des coups de poings, il s’est reculé et s’est levé pour revenir un instant plus tard alors que je protestais :

— Adil, je veux bien qu’on fasse l’amour, mais là tu y vas trop fort ! Non ! Pas les menottes, je t’en supplie. Je dirai plus rien, mais fais doucement, c’est tout.— Ta gueule, tu voulais baiser, je te baise ; mais vu tu te comportes comme une chienne tu vas avoir droit au traitement réservé au chiennes.— Bon, d’accord, mais ne me fais pas mal ou je te mords !
Il sourit et me fit un clin d’œil ; je le laissai refermer les menottes ; comme elles étaient rembourrées elles ne blessaient pas mes poignets.
J’ai pourtant crié quand il s’est enfoncé à nouveau dans mon vagin distendu ; ballottée, je me suis laissé prendre, cambrée, et soudain je réalisai que mon sexe trempé s’était adapté au calibre de l’envahisseur, que mon corps réagissait favorablement à l’agression pourtant sans fioriture. Je me suis surprise à me cambrer plus pour aller au devant de l’épieu qui me pilonnait sans faiblesse, à nouveau j’étais au bord de l’orgasme ; quand j’ai joui je n’ai pu retenir un long cri libérateur.
J’ai gémi, me tordant pour échapper à la pénétration trop éprouvante, mais j’ai reçu deux claques sur les fesses, et comme j’étais maintenue en place, je ne pouvais rien faire. J’ai dû accepter ma défaite et le laisser continuer son œuvre de pilonnage. Adil se retirait presque complètement pour revenir de toute sa puissance et je m’offrais à lui ; il le sentit, bien sûr et se retira, me laissant béante.
— Alors, petite chienne, si tu veux que je revienne, remue ton cul, cambre-toi… Tu en veux, ma salope…— Oui, reviens, prends-moi…
Il a de nouveau frappé mes fesses de sa main droite, quatre fois ; j’ai gémi sans chercher à échapper aux claques pourtant puissantes. Mais ça ne m’a pas empêché de le piquer au vif.
— Allez, plus fort, prends-moi, défonce-moi encore, allez-y…— Pas de problème, tu vas me sentir passer, dans ta chatte et dans ton cul, tu pourras pas t’asseoir pendant deux jours au moins.
Sur ces mots il a plongé en moi de toutes ses forces, se plantant d’un seul coup dans mon vagin, je n’ai pas pu crier tellement j’étais tétanisée par le choc. Dès lors, il a été encore plus violent, si c’était possible. Il me prenait à un rythme fou, genre marteau-pilon. J’ai recommencé à jouir, à moitié dans les vapes, il a continué sans faiblir pendant un long moment, une vraie machine. Quand il s’est retiré, je suis tombée à plat ventre, le souffle court. Il est allé au frigo chercher une bouteille d’eau minérale. Je me suis retournée péniblement, j’étais en nage ; je me suis vue dans un miroir, échevelée, le corps luisant de sueur, le ventre creusé et la cage thoracique aux côtes saillantes se soulevant pour chercher de l’air.
Il m’a relevée, j’ai bu goulûment à la bouteille qu’il tenait, de l’eau glacée a ruisselé entre mes seins dressés, me faisant frissonner. C’est en apercevant son sexe toujours aussi raide que j’ai réalisé qu’il n’avait pas joui et qu’il était prêt à recommencer. Mon vagin était douloureux, mais je comprenais que ce n’était pas lui qui allait charger cette fois. Heureusement que je portais le gros plug, mais j’allais quand même déguster si Adil était aussi brutal que tout à l’heure.
— Tu vas continuer, encore… M’enculer ?— A ton avis ?— Oui… Vas-y.— D’abord, enlève le plug, tu peux le faire malgré les menottes… Mets-toi en position, le cul en l’air, cambrée… Ecarte tes fesses que je voie ton trou du cul… Il est complètement ouvert, gonflé et rouge, je vais te l’exploser. Demande poliment, salope…— Vins, s’il te plait, encule-moi, j’en ai trop envie, je… Aaah ! Aah ! Non, mon Dieu ! Aah !
Adil avait pris mon anus sans aucune retenue, imposant son engin monstrueux à mes pauvres sphincters dilacérés. La tête sur le lit j’ai mordu le drap, écartant mes fesses de mes mains entravées. Et pourtant j’avais eu le plug en moi précédemment. Il a recommencé à se mouvoir en puissance, comme s’il voulait entrer toujours plus loin dans mes reins distendus à éclater. Son ventre butait contre mes fesses, avec un claquement mouillé tellement nous étions couverts de sueur, il continuait encore et encore, sortant parfois complètement pour replonger dans mon fourreau vaincu qui ne se refermait plus, obscène bouche béante attendant son bourreau.
Je n’avais plus mal, j’étais dans un état second, mon corps se disloquait au rythme des coups de boutoir, je geignais en bavant sur le drap, les yeux clos, écrasée par la masse d’Adil. J’étais tombée à plat ventre, cambrée pour mieux m’offrir, pilonnée sans relâche.
— Doucement, s’il te plaît ... Ooh ! C’est trop, je vais être déchirée, attention…
Evidemment il n’en avait cure, il m’a prise lentement jusqu’à ce que je recommence à geindre et à soupirer avant d’accélérer la cadence, enserrant entièrement ma taille dans ses deux mains, imposant son engin de concours dans mon conduit prêt à exploser. Et j’ai recommencé à jouir, par vagues successives. Il l’a senti à ma respiration saccadée, à mes petits cris inarticulés, et s’est planté au plus loin qu’il a pu ; son épieu était dur comme du bois, il me remplissait de manière à la fois monstrueuse et merveilleuse.
Quand il s’est retiré, j’ai cru que c’était fini, qu’il allait jouir sur moi. En fait, il m’a libérée et m’a aidée à me relever ; les jambes flageolantes, je me suis laissée guider sous la douche. Sous l’eau brûlante, nous nous sommes savonnés sans un mot, il me possédait debout, glissant sa verge raide dans mes orifices complètement distendus pour me soulever, les pieds décollés du sol. Je m’accrochais à son cou épais, l’embrassais, ses mains pétrissaient rudement mes seins, mes fesses. Nous sommes restés longtemps sous l’eau, puis nous nous sommes séchés mutuellement, sensuellement, j’ai caressé amoureusement ses grosses couilles et sa virilité dressée.
— Bon. Viens, maintenant. Assieds-toi sur le lit. Il est presque 09 heures. Que comptes-tu faire ?— A ton avis ? Je vais revenir à Paris ; ta rencontre aura été super agréable, tu pourras venir me voir quand tu veux. Mais les conneries, c’est fini.— Tu vas dire ça au boss ?— Exactement ; je suis allée très loin dans ce jeu, mais là, ça suffit.— Mmm... Tu pourrais avoir un contrat de travail pour un mois, tu te ferais du fric. Pas mal de fric même.
Diffuse en direct !
Regarder son live