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L'inimaginable

Chapitre 1

Inceste
— Allo ! oui ...ah, c’est toi mon chéri, …comment vas tu ?…comment ! …qu’est ce qui t’arrive….
C’est ce simple coup de téléphone qui m’a fait basculer dans une dimension que je n’aurai jamais pu prévoir, totalement ,inimaginable.
Je m’appelle Manon, je porte bien ma quarantaine du moins c’est ce que j’entends autour de moi, et je le crois aisément. Quadra, rousse, grande et bien balancée, je le vois tous les jours dans le regard ou les réflexions des mecs que je croise ou qui me côtoient, même si nous les femmes, sommes nourries de complexes à l’approche de la cinquantaine. Depuis notre divorce, il y a trois ans, j’ai quitté la capitale, et je me suis installée à B. dans le sud ouest. Pierre mon ex, est architecte, c’est ensemble que nous avons créer l’agence qui porte notre nom, et qui aujourd’hui possède une notoriété certaine. Cette notoriété, notre professionnalisme, et la reconnaissance qui en découle, c’est ensemble que nous l’avons gagnée. C’est une stagiaire de vingt ans de moins que moi, aux allures de Keira Knightley, qui me remplace, et au boulot et dans le lit de Pierre. Ceci dit , notre divorce c’est très bien passé, à l’amiable comme disaient nos avocat. Vingt-cinq années de vie commune dans une atmosphère, un peu délétère, entre stress, ambitions, réussite, mais aussi avec tous les problèmes annexes, financiers, et surtout sentimentaux, car dans ce domaine je ne suis pas toute blanche, même si je me trouve de nombreuses excuses. Quand je dis que j’ai fortement contribué à notre réussite, je dois dire aussi que j’ai usé en de nombreuses occasions de mon minou épilé et de mon cul bien rond pour y arriver, bref ! Avec le consentement complice de Pierre je me suis donnée de nombreuse fois à quelques Directeurs d’office de HLM, Directeurs de l’équipement, Responsables de programmes immobiliers, et j’en passe, enfin ! vous voyez! Bars à putes, clubs échangistes, où, en tenue osée, sexe nu et tétons à l’air, je me montrais sans complexe et me faisait prendre en levrette par nos futurs clients, mais aussi par bien d’autres participants de l’établissement. Également, quelques soirées coquines et déshabillées à la maison ont fortement accélérés notre ascension. Je ne regrette rien, bien au contraire. Pierre ne m’exhibait, ou ne me faisait prendre qu’avec mon consentement, le choix définitif, c’était moi, du cadre dynamique, au dirigeant d’entreprise, mais aussi quelquefois par quelques malfrats irrespectueux de mes orifices. Faire la pute ou jouer les exhibitionnistes est vite devenu un jeu pervers que j’adorais une nécessité sexuelle faite de complicité de jouissance extrême, une drogue que nous avons consommée à deux. J’aurais l’occasion de vous raconter plus tard quelques soirées mémorables ou trousser jusqu’au nombril je me suis fait baiser et re-baiser par un certain nombre de mecs dans un coin du bois de Boulogne, après une soirée « professionnelle » bien arrosée, ou d’ailleurs je me suis faite copieusement « arroser ».Donc, nous nous sommes séparés en bon terme, et pour preuve, foin de la Keira, nous avons recouchés ensemble un certain nombre de fois en y prenant un plaisir fou. Depuis, de femme trompée je suis devenue amante trompeuse, car au delà de cette séparation il reste entre nous, ces années de galères et de complicité qui ne peuvent s’oublier et oui ! Comme quoi tout peut arriver dans la vie, et même le plus inimaginable.Avec la part financière qui me revenait de l’agence, j’ai acquis à B. une agence de transaction immobilière (autant rester dans son métier) J’en avais marre de Paris, et pour souffler, j’ai trouveé en même temps, commerce et adorable maison en pierres du pays qui faisait partie de la transaction. J’ai choisi cette région touristique du Sus Ouest , car j’aime particulièrement ses sites et villages authentiques , ou le marché de l’immobilier est porteur, avec une clientèle étrangère aisée à la recherche de résidences de caractère. Mes affaires marchent bien, j’ai trois collaborateurs dont une démarcheuse au top, aussi bien professionnellement que sexuellement , une bombe, avec laquelle nous nous entendons à merveille, aussi bien dans le boulot que pour des dégagements très libres et coquins. Et oui, je ne suis pas devenue subitement chaste et prude dans ma nouvelle vie, et avec Chloé, j’ai aussi repris du plaisir en club échangistes en nous faisant baiser comme des chiennes, et j’ai aussi pris gout avec elle, aux amours entre femmes, une grande nouveauté et un immense plaisir pour moi.
— Allo !.. oui. Ah c’est toi mon chéri…comment vas tu ?..comment ! ..qu’est ce qui t’arrive… ça n’a pas l’air d’aller ?
C’est Antoine qui me passe ce coup de fil, oui ! Je ne vous l’ai pas encore dit, mais Antoine c’est mon amour de garçon, 22 ans , avec lui je suis une véritable mère juive, il est tellement beau mon Antoine, grand, mince, brun les yeux bleus de son père. Il y a trois ans lorsque j’ai quitté Paris, Antoine y est resté d’abord avec Pierre et « Keira » dans un plus petit appartement que celui que nous possédions, car mon ex a dû économiser pour régler ma prestation compensatoire de l’Agence. Un peu de vaches maigres avec sa maigrichonne ne lui fera pas de mal. Depuis quelques mois Antoine vit avec sa copine Sarah, dans des minuscule deux pièces sous les toits. Antoine est naturellement étudiant en architecture, il ne pouvait pas me suivre dans ma province, mais il vient régulièrement voire sa maman, lors de week end à rallonges, ou pour deux trois jours de vacances. Lorsqu’il vient je cesse toute activité, tant professionnelle qu’amicale, voire sexuelle .Je ne me consacre qu’a lui. On adore faire les marchés du coin, étales de cèpes et de truffes. On dine à la maison ou dans d’improbables restos sympas, on cause, on papote ,on se baigne dans la piscine quand le temps le permet, enfin on fait plein de choses, mais en vérité on ne fait rien , et c’est ce que nous aimons.
— Pas trop maman ! Sarah m’a plaqué, …. on s’est pris la tête, je sais qu’elle à couché avec un mec qu’elle a rencontré je ne sais pas trop ou, mais surtout elle a vidé ses placards, et emporté ses fringues hier après midi, putain ! maman , je suis trop malheureux, je l’aimais cette nana, je suis comme un con sans elle !........— Allez Antoine, remets toi, je ne la sentais pas cette fille…..— Oui, mais tu n’aimes jamais les filles que j’aime, maman, et Sarah j’en suis dingue..— Je te comprends chéri, mais des filles comme elle, tu en retrouveras tant que tu voudras beau comme tu ais.— Ne dis pas ça ! arrête de dire que je suis beau ça m’énerve, je suis comme les autres, un con qui s’est fait plaqué— Ne pleure pas chéri ! les chagrins d’amour c’est comme la pluie ça s’arrête toujours. Qu’as tu de prévu, ? si t’as pas de projet, tu n’as qu’a descendre quelque jours, tu réviseras ici, c’est le pont du 1°Mai, on a quatre jours tous les deux, je serais tellement contente de te consoler, et puis on parlera tous les deux, ça te fera du bien. Allez tu prends ta petite auto , et tu rappliques vite fait, j’ai des cèpes au frigo, on se fait une superbe omelette, et on se tape un petit coup de Ruinart pour se remonter le moral. Je t’attend il te faut cinq heures, ! pile pour l’apéro, dis moi que t’es d’accord, je serais tellement heureuse que tu viennes.— Bon ok , maman j’arrive, t’as raison ça me changera les idées.— A toute à l’heure mon amour, sois prudent, et comme je te le dis toujours, attention aux filles et aux radars.Cà y est je suis dans le stress, mon garçon arrive dans quelques heures, je suis tellement heureuse quand nous pouvons être seuls tous les deux. Je range la maison, prépare sa chambre, j’aère, j’aspire, je fais son lit, je vérifie ce que j’ai dans le frigo, enfin mille choses sans importance mais nécessaires. Il est plus de 19 heures, Antoine ne doit plus tarder, je prends une douche, et me regarde dans le miroir, je me trouve encore bien fichue pour mes quarante six ans. Mes seins sont épanouis, mais fermes, ils ne tombent pas trop, mes pointes en forme de petites framboises se dressent fièrement, même si je me suis légèrement élargie côté hanches, mon ventre est resté plat, ce qui met ma fente bien épilée en valeur et bien visible dans la fourche de mes cuisses, pas encore de cellulite, mes cuisses sont encore musclées par des heures de tennis. En me retournant de trois quart, j’examine mon cul encore bien rond, la fesse plate n’est pas à l’ordre du jour. Bon qu’est ce que je me met ? on ne bouge pas de la maison, donc se sera léger et décontracté. Pas de sous-tif, à la maison ça ne sert à rien, une petite culotte en dentelle (d’ailleurs la « petit bateau » n’a jamais fait partie de ma garde robe) une mini jupe en toile blanche, un fin chemisier en lin tout blanc tout simple, et des sandales à talons compensés assez hautes, je sais ! mon chemisier est un peu trop transparent, mais je suis tellement bien dedans, que je me fout qu’on aperçoive le bout de mes seins, ce soir il n’y a qu’Antoine.
Il est là mon Grand. Il s’est jeté dans mes bras en arrivant, il m’a serré tellement fort que j’en ai eu les larmes aux yeux— Bon, allez ! on va pas se mettre à chialer tous les deux pour une nana à fesses plates.— Si tu savais comme je suis bien contre toi ! tu es tellement douce maman, tellement belle !
— Arrête tes fadaises, chéri, je ne peux plus concurrencer les nanas de ton âge, mon amour !— Maman ! est ce que tu te regardes quelquefois ? t’es mille fois plus belle, je trouve que ce sont les femmes de ton âge qui sont les plus badantes, les plus attirantes, et toi t’es au top.— Ma parole, t’es en train de me draguer chéri!!— Houai ! … j’aimerai bien te draguer ……. Si t’étais pas ma mère ! …. et puis je te signale au passage…… qu’on voit tout de tes jolis seins sous ton chemisier … …je les adorent même si je ne les vois que par transparence - Hé !! ma parole t’es pas en train de m’allumer toi aussi ? »Ces paroles me font un drôle d’effet, tout d’un coup je me sens toute chose, les jambes molles et le bouts de mes seins en vibration. « Il voit mes seins !!!»Il est monté prendre une douche, ma tête gamberge, c’est vrai qu’il est beau mon Antoine, mais quand même, je me serais presque mise à mouiller quand il m’a parlé de mes nichons.Nous avons parlé longuement pendant notre petit dîner, nous avons aussi bien bu. Il était malheureux mon Antoine, mais je crois que je suis arrivée à le faire rire et lui faire oublier sa nana à fesses plates, parce qu’il n’a pas arrêté de me mater les nichons avec beaucoup trop d’insistance. Paradoxalement, je n’ai rien fait contre, bien au contraire, j’ai défais en douce les deux boutons du haut, pour lui faire plaisir, et je trouvais toujours de mauvais prétextes pour faire bouger ma poitrine sous mon chemisier à moitié ouvert. Je me suis souvent exhiber, et j’ai montré bien plus que mes nichons à de nombreux hommes dans ma vie, mais là, J’ai un peu honte, avec cette petite exhibe, je viens de découvrir un plaisir un peu trouble , composé de beaucoup d’amour un d’une bonne dose de perversité . Notre repas est terminé, nous sommes affalés dans le canapé, nous sirotons tranquillement la fin de notre deuxième bouteille de champagne, nous sommes vraisemblablement un peu pompettes. Je me suis lovée entre ses bras, c’est moi qui est maintenant besoin de lui, nous ne parlons plus. Je suis tellement heureuse de me sentir tout contre son corps. Je sens son souffle contre ma joue, je sens aussi son cœur battre de plus en plus fort. Il repousse doucement mes cheveux, il pose ses lèvres derrière mon oreille pour y déposer un baiser tout tendre et puis je sens que ses mains emprisonnent mes seins. Une poussée d’adrénaline me tétanise, mon cœur s’emballe à son tour, je sens mes bouts se durcir, et mon entrejambe s’humidifier. Je suis sans réaction, je voudrais réagir, mais ne le peux pas, je reste totalement inerte. Mon Antoine doit prendre mon manque de réaction pour une invite, il déboutonne tranquillement ce qui reste de mon chemisier, et je le laisse faire , ma poitrine est nue bien étalée, offerte, et mes têtons de plus en plus durs. Ses mains me caresse, les bouts de ses doigts commencent à taquiner mes aréoles.— Non ! Arrête… arrête chéri, c’est pas une bonne idée…— Maman t’es tellement belle tellement douce, je t’en prie j’ai tellement envie de te voire de te sentir de te toucher, j’en ai besoin maman, laisse moi faire, on est que tous les deux, il n’y a que nous, et je t’aime maman……— Moi aussi je t’aime mon Antoine, moi aussi j’ai envie de toi, mais … tu me chamboules… ça ne se fait pas c’est …..c’est..— C’est quoi maman ?— Immorale, chéri…— Mais qu’est ce qui est immorale aujourd’hui, maman ! on est plus au moyen âge, nous sommes libres, nous sommes adultes et consentants, tu viens de me dire que tu avais envie de moi maman ! et puis ce sera notre secret, un secret d’amour rien qu’à nous.J’hésite je ne dis rien.— S’il te plait maman !— Tu me le promets Antoine…… jure ….. jure le moi !— Je te le jure maman.Je sais qu’il a raison, on est au vingt et unième siècle, on est libre de nos corps comme de nos esprits. Du coup mon entre-jambe s’humidifie de plus en plus, mon bas ventre s’électrise. J’étais déjà convaincue avant son petit discours. Je dois maintenant, faire le choix entre le possible et l’impossible, entre la décence et l’indécence, entre l’inadmissible et l’admissible, j’ai fais un choix de inimaginable. Je ne bouge toujours pas, je reste immobile, il sait que c’est à lui maintenant de prendre le contrôle de mon corps de mes désirs, et je sais que je ne ferais plus rien pour l’arrêter.Doucement il me fait pivoter, je me mets à genoux sur le canapé de part et d’autre des ses jambes, ma jupe m’entrave, je voudrais libérer mes cuisses qui emprisonnent mon sexe qui voudrait se libérer. Antoine me fait face, prend mon visage entre ses mains, nos lèvres se joignent, d’abord un baiser tendre et doux, puis avidement j’ouvre mes lèvres, nos langues se collent se fondent, ses mains reprennent possession de ma poitrine qui ondule, totalement libérée, il tire mes bouts, les pince, jusqu’à m’en faire mal, mais cette douleur est tellement bonne, que sans le vouloir mes cuisses tentent encore de s’écarter , alors rapidement je me trousse je remonte ma jupe autour de ma taille. Mon cœur bat la chamade, ce baiser m’enivre, et ces mains qui pétrissent mes seins me chavirent, ma raison vacille. M’éloignant de ses lèvres, je murmure haletante, le souffle court— Mon Antoine que tu es beau …. je suis à toi,…..tu es sorti de moi ……je te veux en moi ! ce soir, chéri, promis. je serais ….. ta femme ta ta pute … ! tout ce que tu voudras chéri……viens on monte.Nous nous extirpons du canapé, je suis toujours perchée sur mes talons compensés, ma chemisette voltige autour de moi, mes seins suivent le même chemin, ma robe est troussée au dessus de mes cuisses à la limite de ma petite culotte. Antoine se colle à moi, nos lèvres se rejoignent, je me serre contre lui, et je sens son corps trembler, ses mains se glissent entre mes fesses, sous ma culotte , son regard se trouble, son sexe bande contre mon ventre. Moi aussi je suis électrisée, ma fente mouille mon entre-jambe, il me faut reprendre le contrôle de la situation, sinon il va me baiser comme une pute debout et troussée.— Attends chéri…… doucement, viens ! Suis moi, lui dis-je en le poussant vers l’escalier qui monte sur la mezzanine et vers les chambres.— Maintenant, tu restes là en bas pendant que je monte, tu ne bouges pas tant que je ne suis pas arrivée en haut, promis Antoine ! tu me regardes monter !— Promis maman. Je te regarde J’ai tellement envie de lui , que je sens l’humidité de ma fente imbiber le fond de ma culotte, j’ai l’impression d’avoir fait pipi, , je voudrais m’ouvrir là comme ça, devant lui mais je peux pas, je ne veux pas, il faut que notre amour devienne léger comme un jeu, pour dédramatiser ce qui nous arrive. Donc je décide qu’il doit me découvrir entièrement et intimement, comme je le faisais avec les amis de Pierre, je veux l’allumer de la même façon, en m’exhibant, je veux qu’il devienne le voyeur de sa mère. Je deviens folle lorsque j’ouvre mon sexe et mon cul à des hommes. Alors avec Antoine… !Donc, je grimpe les quatre premières marches de l’escalier, et je m’arrête. Là je m’immobilise, me défais de mon chemisier devenu encombrant je le jette par dessus la rampe il tombe doucement sur le sol. Je reprends mon ascension de plusieurs degrés, et à nouveau je m’arrête. Cette fois, toujours perchée sur mes talons, je rabats ma jupe sur mes cuisses, et la fais glisser tout en bas de mes chevilles, je la ramasse et l’envoie rejoindre mon chemisier. Je prends mes seins dans le creux de mes mains et les serre fort pour faire gonfler mes bouts , je me retourne face à Antoine, pour qu’il puisse bien voir la poitrine de sa mère, avec ses bouts durs et pointés Je suis folle, je suis à moitié nue . Je reprends mon ascension, à quelques marches du palier, dernier arrêt .Je fais glisser ma culotte en bas de mes chevilles, m’en sépare définitivement en l’envoyant rejoindre le reste de mes vêtements sur le sol du salon. Toujours sur mes talons, j’écarte mes pieds au maximum de la largeur de l’escalier, et prenant appui de mes mains, sur le palier de la mezzanine, je tends mon cul en me cambrant au maximum. Je sens mon sexe s’ouvrir, mais ce n’est pas suffisant pour qu’Antoine puisse bien voire mes lèvres ouvertes le rose de mon intimité et aussi le petit trou bien fermé de mon anus, alors d’une main, j’écarte le bas d’une fesse, pour bien ouvrir ma fente. Je veux qu’Antoine profite de moi, exactement de la même façon que tous les autres hommes auxquels je me suis donné. Je sens mon abricot s’élargir, et mon anus s’électriser. Je reste ainsi quelques instants qui me semble une éternités, en regardant sous moi entre mes deux seins suspendus, je vois mon garçon statufié en bas de l’escalier, immobile les yeux fixés sur mon cul offert, il a quitter son bermuda, et une main branle doucement son jeune sexe long et bien dressé. Je ne vous dis pas l’effet que ça me fait !— Putain maman… t’es trop.. !, me dit mon garçon.— Trop… je ne sais pas Antoine.. …. mais putain, je crois que c’est vrai !
Alors comme deux fous, nous nous précipitons dans ma chambre, mes seins dansent au rythme de mes pas, je suis complétement nue, complètement folle, toujours perchée sur mes talons. Depuis que j’ai vu le sexe bandé de mon fils, je n’ai qu’une envie, celle de prendre cette belle queue dans ma bouche.Je me suis assise sur le bord du lit, par les hanches j’attire Antoine contre moi entre mes cuisses bien écartées, aussitôt ses mains palpent mes seins, ses doigts titillent mes bouts sans ménagement, j’aime trop, c’est trop bon , mon fils me pelote , me caresse, me fait mouiller. Alors enfin je saisis ce sexe tout neuf, tout raide dans une main, il sent la jeunesse, il est beau, bien décalotté, exactement comme j’aime, le gland rose et gonflé. D’abord je le branle doucement, mes ongles carminés contrastent sur le rose pâle de cette queue, je fais descendre ma main le plus bas possible, pour bien tiré sur le gland, pour dégager ce sexe de mâle de la peau qui l’entoure. La pression des mains d’Antoine se fait de plus en plus forte sur mes nichons, il me fait mal, mais la douleur augmente encore mon plaisir. Mon fils à relevé la tête j’ai crains que ce jeune sexe éjacule trop vite son plaisir.— Doucement chéri retiens toi…. Regarde moi ! je vais te prendre dans ma bouche— Oui maman suce moi ! j’en ai tellement envieSans retenue, j’enfourne le gland offert de mon garçon entre mes lèvres. J’entends Antoine commencer à jouir dans une douce plainte. Moi aussi je jouis, je sais qu’il n’aura pas le temps de me prendre car il va jouir, alors je glisse mon autre main entre mes cuisses, introduit un doigt au fond de mon vagin, le retire, puis écartant de mes doigts mes grandes lèvres, je branle violemment mon clitoris , je jouis et je sens, moi aussi l’orgasme monter de mon sexe à mes seins, Antoine secoué de spasmes éjacule dans ma bouche , je sens sa semence chaude jaillir, au fond de ma gorge,j’ai besoin de feuler de crier ma jouissance, je sort son sexe de de ma bouche, son sperme finit de gicler en longs traits dans mon cou, et entre mes seins.
La lumière matinale tombe depuis le velux, que je n’ai pas eu l’occasion de fermer. Il fait doux, Antoine et moi sommes tendrement emmêlés, Je sens son corps musclé contre mon dos, un bras entoure mes épaules, retenant mes seins prisonniers, son sexe collé contre mes reins. Peu a peu je fais surface, tout me revient en mémoire, non ! ce n’est pas un rêve érotique, mon garçon et bien là, chaud, contre moi, bien réel. Notre folie d’hier soir se rappelle à moi , par une douce chaleur entre mes cuisses. Il faut que j’aille faire pipi, j’ai peur de le réveiller, alors doucement je m’extirpe de ses bras, silencieusement, j’ouvre la grande porte coulissante de ma salle bain attenante à ma chambre. Comme je suis nue, je n’ai rien à baisser pour m’assoir sur la cuvette des wc. Ma chatte est encore humide de cyprine, un doux arôme poivré s’envole de mon sexe, l’odeur de l’amour ! Je fais pipi longuement, le liquide s’insinue entre mes grandes lèvres, puis trouve son passage. En me relevant pour m’essuyer, je vois Antoine légèrement relevée, qui me regarde me soulager. Etre vu, comme ça par mon fils, dans ce que je fais de plus intime, me donne un violent coup à ma libido . A peine asséché mon sexe se remet aussitôt à s’humidifier, mes jambes se dérobent, et mon cœur s’emballe.— Même quand tu fais pipi , maman ! tu es belle.— Antoine ,’t’es un peu gonflé de regarder ta mère pisser, j’ai honte ! , lui dis-je en souriant.— Pourquoi t’aurais honte, regarde dans quel état tu me mets.Il a repoussé les draps qui le couvraient, et je vois son sexe dressé, bien droit, qui m’attend. D’un bond nous nous retrouvons à nouveau emmêlé. Mais cette fois je veux qu’il joue du corps que je lui offre, je veux qu’il me prenne, qu’il me baise, mes seins sont durs, ma chatte trempée.A plat dos sur le lit, je m’offre en relevant mes jambes et en écartant le plus possible mes cuisses, que je maintiens grandes ouvertes avec mes bras derrière mes genoux. Je suis enfin totalement ouverte totalement à lui ?. Antoine n’a plus besoin d’explication, il s’accroupit entre mes cuisses, écarte le plus possible mes lèvres, enfile un, puis deux, puis trois doigts dans ma chatte. C’est trop bon j’attends ce moment depuis plusieurs heures, je ne suis plus que soumission, il pose sa langue à l’entré de ma vulve, puis l’introduit doucement, je la sens qui s’insinue en moi, que c’est bon ! il me lèche, me mouille, joue avec mon clito qu’il a bien dégagé de mes nymphettes, je jouis je coule, et je m’entends commencer à feuler. Il caresse mon anus le mouille avec un doigt puis je sens qu’il l’introduit de quelques centimètres dans mon intimité secrète, c’est trop bon je ne peux l’arrêter.— Continue …Antoine, ne t’arrête pas ! regarde comme je t’aime, regarde tous mes trous Amour…ils sont rien qu’à toi ! prends moi chéri. Prends moi je t’en supplie…Je ne suis plus rien, je ne suis que jouissance, je miaule je crie, et je hurle quand son sexe s’enfonce dans le mien, il m’écarte, me transperce, que c’est doux que c’est chaud, je perd la notion du temps. Depuis combien de temps Antoine enfonce t-il sa queue en moi ? depuis combien de temps je sens ses couilles bien durs frapper le bas de mes fesses ?depuis combien de temps je suis soumise à son sexe ? à ses coups de reins. Je ne sais pas je ne sais plus, je m’ouvre davantage, je relevé encore plus haut mes jambes pour lui faire le meilleur passage entre mes fesses , je sens sa pine tout au fond de moi, que c’est bon ! Et puis comme dans un rêve je l’entend gémir, son corps a de longs spasmes ses couilles libèrent sa semence, mon fils féconde sa femelle, son sperme inonde mon vagin, Je jouis je suis heureuse .
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