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Initiation(s)

Chapitre 7

Première initiation

SM / Fétichisme
Le lendemain matin commença comme les autres jours, quoique, bien que ce soit de manière subtile, le salut entre Amandine et Cooper se faisait plus rapproché. Une bise encore plus appuyée pendant que la main de Cooper flirtait avec la hanche d’Amandine. A peine venait-il de se diriger vers l’escalier qu’elle s’empressa de lui envoyer un Skype.
AC : Bonjour M. Sprewell,Je n’ai pas arrêté de penser à votre photo de la nuit…J’espère que l’on aura bientôt l’occasion de commencer à honorer notre contrat…Bisous
Le temps que Cooper arrive dans son bureau, la réponse arriva dans la foulée.
CS : Bonjour Mme Dawkins,Idem pour moi avec vos trois photos.Je suis à votre disposition, je vous laisse planifier votre première initiation…Bisous
AC : Et puis-je avoir un indice sur le thème, suis-je puis dire, de cette initiation ?
CS : Soumission…
AC : Programme alléchant… Je te redis quand c’est possible pour moi…
CS : J’ai hâte !
AC : Allez, il faut que je te laisse, on a tous les deux du boulot et je crois qu’on serait capable de passer la journée à discuter.
CS : Tu as raison ! Bon courage !

AC : Merci ! A toi aussi !
Amandine réussit tant bien que mal à se concentrer dans son travail pour finir sa journée. Le soir, elle attendit encore une fois Franck jusque tard. A son arrivée, elle le lui fit remarquer et lui demanda si ça serait la même chose toute cette semaine. Franck lui avoua que malheureusement, il devait rattraper tout ce qu’il n’avait pu faire pendant le séminaire et en plus mettre en application ce qu’il avait vu pendant ces dix jours, et qu’il ne rentrerait donc pas avant minuit, voire 1h du matin, pendant au moins les deux semaines à venir.
Amandine en fut dévastée mais se réconforta en se disant qu’elle avait le champ libre pour sa première initiation, sa première séance de soumission. Cela lui permit de ne pas trop montrer sa tristesse et sa colère à Franck lorsqu’elle acquiesça la nouvelle. Ils allèrent ensuite se coucher et s’endormir dans la foulée. De toute façon, vu les heures où Franck allait rentrer, Amandine savait qu’il n’y aurait pas de sexe légitime dans les quinze jours à venir, juste le week-end pour éventuellement se rattraper.
Le lendemain, Amandine informa Cooper qu’elle était prête pour sa première jeudi soir, dans deux jours et demanda ce qu’elle devait faire ou pas. Cooper lui donna les "règles" de cette première initiation. Elle devait s’habiller d’une façon définie, un top décolleté auquel elle ne tenait pas, si possible crop top, une jupe la plus courte possible, des bas, des hauts talons et surtout aucun sous-vêtement. Elle devait ensuite juste arriver chez lui à 20h, entrer avec la clé qu’il lui avait laissée, mettre le masque qui serait posé sur le meuble de l’entrée et avancer de quatre pas pour arriver au milieu de la pièce et attendre, sans dire un seul mot jusqu’à la fin, si ce n’est celui qui arrêterait tout.
Ces consignes excitèrent Amandine qui eut du mal à retenir son euphorie jusqu’au jeudi soir, d’autant plus qu’elle ne vit pas Franck entre-temps, celui-ci ne rentrant pas avant 1h du matin et repartant avant 7h à chaque fois.
Vers 19h, après avoir pris une douche et refait son épilation, Amandine commença à s’habiller. Elle enfila d’abord ses bas puis sa jupe en tissu extensible noir qui moulait parfaitement son cul et si courte que l’on pouvait voir un bout de peau de ses cuisses entre le haut de ses bas et la jupe. Elle enfila ensuite son haut en tissu noir, qui moulait ses seins puis pendait en dessous, ne touchant même pas son ventre et laissant apparaitre son nombril. Ajouté au décolleté, il ne pouvait pas plus mettre en valeur sa magnifique poitrine dont on pouvait deviner les tétons derrière le tissu. Elle finit en enfilant des Louboutins noires du plus bel effet.
A 19h50, elle sortit de chez elle et pris l’ascenseur. Durant la descente, sous l’effet de ce qui allait arriver, elle se caressa négligemment les seins par-dessous son haut, ce qui fit totalement tendre ses tétons. Arrivée quelques minutes en avance, elle attendit les quelques minutes qui la séparaient des 20h précises pour entrer à l’heure attendue par Cooper. Elle ouvrit la porte, attrapa le masque qu’elle glissa par-dessus sa tête pour l’amener devant ses yeux. Elle fit les quatre pas prévus, à l’aveugle et se mit à attendre.
Après quelques secondes, les premières notes de Glory Box de Portishead retentirent, couvrant les pas de Cooper qui s’approchait d’elle dévêtu. Il prit les poignets d’Amandine, les amena devant elle et les enferma dans des menottes de cuir doux et de fines peluches. Elle entendit ensuite un bruit de chaine et sentie ses poignets se soulever jusqu’à ce qu’elle ait les bras quasi tendus au-dessus d’elle. Cooper venait en effet de fixer une grande chaine à celle, de quelques centimètres, entre ses deux poignets, qu’il tira à travers un œillet fixé au plafond. Poignets attachés, bras levés, Amandine lui était complètement offerte.
Cooper passa derrière elle et commença à lui caresser le dos du bout des doigts. Il descendit ensuite les promener sur ses fesses en l’embrassant dans le coup, lui donnant la chair de poule. Il arriva ensuite le long de ses cuisses, repassa devant elle et remonta de ses cuisses en passant par ses hanches, faisant exprès d’éviter sa zone la plus sensible. Ses doigts s’attardèrent ensuite sur sa poitrine, et surtout ses tétons, faisant plusieurs cercles autour avant de les stimuler du bout de ses index.
Amandine n’en pouvait déjà plus, elle pouvait sentir l’humidité accroitre entre ses cuisses, lorsqu’elle sentit Cooper s’éloigner. Il revint avec une paire de ciseaux et découpa le top d’Amandine afin de libérer ses seins devenus hypersensibles. Il les admira quelques secondes avant de prendre ses tétons dans la bouche, l’un après l’autre, les faisant se tendre au maximum par une action de succion tout en stimulant leur extrémité de sa langue.
Ses mains rejoignirent ses lèvres et caressèrent délicatement le reste de sa poitrine. Il fit ensuite descendre très lentement ses lèvres le long de son ventre, suivant son léger ab crack pendant que ses mains descendirent plus rapidement le long de sa taille jusqu’à sa jupe qu’elles firent descendre jusqu’à ses chevilles. Il lui fit lever ses pieds l’un après l’autre afin de totalement l’en libérer au moment où sa bouche arriva à son pubis qui était d’une grande douceur. Il finit par l’embrasser de ses lèvres et de sa langue, à l’extrême limite du haut de ses grandes lèvres et s’écarta de nouveau d’elle.
Après ces quelques instants de répit, Amandine sentit une multitude de petites lanières de cuir lui parcourir le corps.
— "C’est un fouet ?! Il va me fouetter ? Comment je vais réagir à ça ???" se demanda intérieurement Amandine.
En effet, Cooper faisait glisser un petit fouet sur toutes les parties de son corps mais aucun coup ne vint faire rougir sa peau. Cooper arrêta ensuite ces caresses avec le fouet, Amandine sentait tous ses sens en éveil, lorsqu’elle fut prise d’un énorme frisson qui la fit se contracter et tendre la chaine qui retenait ses mains.
Cette fois, Cooper tenait dans sa main un glaçon dont il laissait les gouttes tomber sur ses tétons encore tout excités. Il alterna entre les deux avant de caresser l’ensemble de ses seins avec le reste du glaçon qu’il finit par faire totalement fondre contre sa vulve. Amandine était dans un état d’excitation toujours plus important, prise entre le froid du glaçon et la chaleur de son corps. Cooper réchauffa ses tétons gelés de sa bouche et de beaucoup de salive pour ensuite les stimuler encore plus en les enserrant dans des pinces à tétons reliées par trois petites chainettes, comme un bijou.
Il les avait réglés de tel sorte qu’elles ne fassent subir à Amandine que plaisir, à la limite de la moindre douleur. Il jouait ensuite avec les trois petites chaines, ajoutant de l’effet au pincement. Amandine en serrait les cuisses de plaisir, continuant à mouiller. A ce moment, elle aurait voulu crier à Cooper de la baiser mais elle ne pouvait pas, elle devait suivre les règles et rester sujette à son bon vouloir.
Tout en la caressant du bout des doigts, il passa derrière elle, d’où il commença par caresser ses seins, toujours reliés par les trois chainettes, il descendit sur son ventre, remonta par la taille jusqu’à la hauteur de ses seins puis alla jusqu’à sa nuque avant de descendre jusqu’à ses fesses pour finalement la saisir par les hanches.
A ce moment, Amandine se cambra totalement, écartant ses cuisses au plus qu’elle le pouvait tout en gardant ses talons au sol, les bras toujours tenus en l’air, pour reculer ses fesses. Elle offrit ainsi son intimité dégoulinante de plaisir à Cooper, à défaut de pouvoir lui crier son envie. Mais bien qu’elle le cru un instant, il n’en fit rien. Il glissa juste son sexe entre le haut de ses cuisses sans la pénétrer, le thigh gap d’Amandine et la lubrification naturelle qui coulait sur le haut de ses cuisses à peine écartées lui permettant, dans son mouvement de balancier, de glisser et de caresser ses lèvres de toute sa longueur en allant même, de par sa forte érection légèrement courbée, stimuler son clitoris de son gland turgescent.
Amandine ruisselait littéralement de plaisir et d’excitation sur tout le long de la verge qui épousait son sexe dans ses mouvements. Elle ne pouvait plus retenir ses gémissements de plus en plus bruyants, se mordant les lèvres sous la sensation de son orgasme prêt à arriver sous les effets cumulés de ses tétons étreints et de son intimité caressée de tout part par le sexe de Cooper.
Cooper s’en rendit compte et stoppa ses allers-retours et sortit son sexe, lui aussi au bord de l’implosion d’entre les cuisses d’Amandine. Elle sentit alors ses bras redescendre. Cooper lui détacha une main des menottes et la rattacha de nouveau après lui avoir passé les bras derrière le dos, montrant à Amandine qu’il n’en avait pas fini.
Elle sentit ensuite son coup entouré d’un large et doux collier que Cooper serra avec la sangle de cuir externe sans l’étrangler. A l’avant de ce collier se trouvait une chaine que Cooper tira depuis la poignée de cuir qui se trouvait à l’autre extrémité. Amandine se sentit attirée par cette chaine mais n’osa pas suivre le mouvement, se demandant si elle avait désormais le droit de bouger ou pas. Le tendre baiser que vint poser Cooper sur ses lèvres sonna comme une validation pour elle et elle suivit la chaine tendue lorsque Cooper tira légèrement de nouveau dessus.
Elle était un peu désorientée, étant privée d’un de ses sens, mais elle était rassurée par la délicatesse et l’attention avec laquelle Cooper la guidait malgré le côté très "soumission" de la chose. Cooper l’amena jusqu’au pied de son lit au bord duquel il la fit se mettre à genoux puis se pencher. Elle se retrouvait le côté du visage contre le lit, totalement offerte à Cooper par sa cambrure. Celui-ci commença à caresser ses lèvres de son majeur, de façon plus profonde au fur et à mesure que le temps passait, allant de son clitoris à l’entrée de son vagin dans lequel il finit par y insérer son majeur et son index, décrochant chez Amandine un cri de plaisir. Elle sentit alors aussitôt un carré de cuir s’abattre sur sa fesse gauche qui lui fit faire un sursaut.
— "Pas de bruit !" lança Cooper d’un ton faussement inquisiteur.
Elle comprit que chaque incartade sonore serait désormais punie d’un coup de cravache, punition toutefois agréable, l’effet étant plus stimulant que douloureux. Les doigts totalement lubrifiés de Cooper remontèrent jusqu’à son anus ou il commença à faire des cercles humides de son index autour de sa rosette. Il sentit alors comme un recul de la part d’Amandine sous ces caresses et compris que ce n’était pas une de ses pratiques.
Bien qu’Amandine ne dît rien pour le stopper, il n’insista pas et en revint à sa chatte, alternant caresses et pénétration digitales, agrémentées de quelques coups de cravache maitrisés sur les gémissements trop bruyant d’Amandine. A force de ces caresses expertes, Amandine fini par jouir, encore plus bruyamment, s’affalant encore plus sur le lit et compressant les trois chainettes entre le matelas et sa poitrine.
Après ce violent orgasme, non punie par un coup de cravache, Amandine eu les mains libérées par Cooper avec de sentir la chaine de son collier l’inciter à se redresser, toujours à genoux sur le lit. Cooper lui retira son bandeau et, après s’être rhabitué à la luminosité, elle vit Cooper en tête de lit tirer sur la chaine pour l’attirer vers lui. Elle avança à quatre pattes jusqu’à se retrouver juste devant lui. De la chaine, il guida son visage juste devant son sexe qui lui paraissait encore plus grand et épais.
— "Mains dans le dos !" ordonna Cooper en décrochant un dernier coup de cravache sur sa fesse.
Une fois ses mains jointes derrière elle, Cooper força avec son sexe les lèvres d’Amandine qui avait du mal à prendre cet énorme gland en bouche. Il entama des allers-retours dans sa bouche, entourée de ses lèvres, sa verge toujours plus humide de sa salive. En peu de temps, il fut de nouveau au bord de l’implosion. Il laissa son gland immobile dans la chaleur et l’humidité de la bouche d’Amandine et se masturba la partie extérieure jusqu’à jouir abondamment dans la bouche d’Amandine.
Déjà fortement rempli par son gland, elle ne put tout garder et une grande quantité coula par la commissure de ses lèvres, ruisselant sur son menton et ses seins. Cooper sortit son sexe qui resta relié par un filet de mélange de sperme et de salive à la bouche d’Amandine et lui indiqua d’un ton compatissant qu’elle pouvait tout recracher.
Amandine, qui avait pourtant seulement gouté pour la première fois les quelques gouttes de que Cooper avait laissé sur son menton la nuit où il était venu dans sa chambre, en recracha de manière très sensuelle et excitante une bonne partie avant de montrer à Cooper, qui semblait déjà retrouver de la vigueur sous cette vision, ce qu’il lui restait dans la bouche. Elle déglutit alors de manière ostentatoire et montra à Cooper qu’il n’en restait alors plus une goutte.
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