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initiation accidentelle...

Chapitre 3

Inceste
suite...
« Mais enfin, je ne peux pas ! Tu es ma sœur, et puis, tu as vu ton âge, tu es trop jeune ! »« Je te rappelle que c’est toi qui es venu me voir. Je n’ai pas dit non plus que tu devais me toucher, je t’ai juste demandé de m’apprendre. Avec ce que j’ai vu tout à l’heure, j’ai trop de questions en tête qui resteraient sans réponse. Je sais qu’avec toi et tantine, vous pourriez répondre à beaucoup de chose. »Un peu rassuré, il finit par dire « bon ben je vais voir ça. Je te promet rien» il se leva. « À tout à l’heure sœurette »« Et ne m’appelle plus sœurette STP !» en effet, j’estimais ne plus être une fille maintenant, et avoir grandi plus en cette journée qu’en plusieurs semaines…
Mon frère était reparti vers le parc. Je vis ma jeune tante quitter son groupe pour aller le rejoindre et ensemble ils allèrent se mettre à l’écart pour discuter.Bon ben voilà une chose de réglée. Si mon frère et ma tante allaient répondre prochainement aux tonnes de questions que j’allais leur poser, je pouvais aller me promener sereinement. En me levant, je vis pas loin mon cousin qui était aussi assis sur une chaise. Il avait le regard dans le vague comme si lui aussi se posais des tonnes de questions. Le fait de me lever le fit regarder dans ma direction. Je détournai mon regard et pris doucement la direction du bois en réfléchissant à ce que je pouvais maintenant faire pour continuer de le mettre dans tous ces états. J’étais déjà allée bien loin en lui montrant ma culotte qu’aucun garçon n’avait jamais vue. J’avais été jusqu’à la souillée pour ressentir un certain plaisir. Maintenant, ce doit être son tour. C’est lui qui devait aussi montrer quelque chose, voire pourquoi pas son sexe. Je marchais doucement et à l’entrée du bois, je me retournais pour le regarder comme pour lui lancer une invitation à me suivre. Il devait l’avoir compris car il se leva pour marcher dans ma direction. Je m’enfonçais alors dans le bois. Je croisais quelques personnes mais plus je m’enfonçais, et moins il y en avait. Arriva un moment au bout de 10 minutes de marche ou je fus seule sur le sentier. Enfin non, pas tout à fait. Je sentais mon cousin pas très loin derrière moi qui continuait de me suivre. Arrivé à une bifurcation, je pris un petit sentier à la place du chemin normalement fléchée. Je m’y aventurai sur quelques dizaines de mètre pour m’arrêter et m’assoir sur un gros tronc d’arbre un peu en retrait du sentier. Je fis mine de rester plonger dans mes pensées pour le voir s’avancer au plus près et se dissimuler derrière un arbre. Et maintenant, que faire. Il était là et je l’avais amené ici dans l’objectif de pouvoir voir son sexe. Mais comment faire ? L’appeler, je suis sûr qu’il serait parti en courant. Il fallait que je puisse comme tout à l’heure me mettre en position dominante pour qu’il ne puisse pas refuser. Alors tant pis. Comme il avait déjà vu beaucoup de chose, autant qu’il en voit un peu plus. Je remarquais un buisson un peu plus en avant de l’arbre ou était mon cousin. Certainement qu’il pouvait s’y dissimuler pour voir le spectacle que j’allais lui offrir. Je me relevai alors et me décalais pour mettre le buisson entre lui et moi. Ce faisant, je faisais voleter ma robe avec mes mains ce qui dévoilait mes cuisses.Je voulais le chauffer avant le spectacle. Ne voyant rien venir, je me rapprochais à deux ou trois mètres du buisson et fis un tour complet sur moi-même en chantonnant une chanson. Ma jupe s’était bien élevée, mais il ne pouvait pas voir grand-chose de là où il était. Ce que j’avais imaginé se produisit. Je vis un mouvement de derrière le buisson. Je devinais mon cousin en train d’avancer. Même s’il n’était pas discret, je fis celle qui n’entendais ni ne voyais rien. Je continuais de chantonner et refis un tour sur moi-même. Ma jupe se releva et mon cousin pu une nouvelle fois se délecter de la vision de ma culotte. Je continuais encore deux ou trois minutes à chantonner pour le faire languir. Puis je m’arrêtais. Ensuite je fis la petite fille qui avait envie de faire pipi. Je mis mes 2 mains devant ma robe en croisant les jambes. Je fis semblant de regarder autour de moi. Il n’y avait vraiment personne à part mon cousin. Alors je soulevais ma robe et enleva ma culotte. Je ne pense pas qu’il eut le temps à cet instant de voir mon sexe mais j’entrepris de tendre mes bras avec ma culotte et de lentement la plier. J’allai la déposer sur le tronc d’arbre et revint devant le buisson. Je refis mine de regarder autour de moi puis je soulevais ma robe. A ce moment-là, je savais qu’il voyait le haut de ma fente parmi mes poils. La douce chaleur revint dans mon bas ventre comme si elle était provoquée par le fait de me montrer à quelqu’un. Doucement, je m’accroupie. J’offrais maintenant l’intégralité de mon sexe à se vue. J’écartais légèrement mes jambes et me mis à faire pipi. Mon jet n’allait pas aussi loin que ce midi là mais il sortait avec une certaine force cependant. J’essayai de faire durer le plaisir. Me montrer en train de faire pipi chauffait encore plus mon bas ventre. J’aurais été tenté de me caresser car c’est comme ça que cela avait commencé dans les toilettes pour atteindre cette plénitude que je venais de goutter mais je ne voulais me montrer ainsi. Mon jet finit par s’arrêter. C’est alors que j’entendis un grognement de là ou était mon cousin. Vite je me relevais et me précipita derrière le buisson. Ça y était, il était pris la main dans le sac si je puis dire. Il me regardait d’un air effrayé. Il avait encore sa main droite sur son sexe qui était tout dur comme celui de mon frère mais en nettement plus petit et du liquide blanc était rependu sur sa base ainsi que sur la main.
« Mais qu’est-ce que tu fais là ? » dis-je d’un air fâché « et qu’est-ce que tu tiens dans la main ? ».« Ne te fâches pas s’il te plait, je ne sais pas ce qui m’arrive. » il avait levé sa main gauche pour se protéger comme si j’allais le frapper puis je l’entendis sangloter « je l’ai pas fait exprès je te jure » « Ça ne me dis pas ce que tu fais là ? »Sanglots…« Allez ! Réponds ! »Sanglots… « Sinon je dis tout à ta mère »« Non, s’il te plait ! Ne lui dis pas » finit-il par dire en sanglotant. « Je t’ai suivi c’est tout. Comme tu ne suivais plus le chemin, je voulais voir ce que tu faisais. Alors je t’ai vu assise puis danser et puis … » silence…« Et puis ? »« Et puis je t’ai vu faire pipi » dit-il en baissant la tête et en devenant rouge cramoisis.« Et qu’est-ce que tu faisais pendant ce temps-là ? »
« Mais rien je te jure » dit-il en me regardant de nouveau. « Mais si ! Je le vois bien ! »Abaissant les yeux, il répondit : « c’est juste que quand tu as soulevé ta robe, ça a commencé à me faire mal dans le pantalon, alors je me suis déboutonner et puis… tu as commencé à faire pipi. Machinalement, je me suis frotter pour que ça fasse moins mal et puis tout d’a coup, c’est sorti tout seul, c’est comme si j’avais fait pipi, mais ça n’y ressemble pas du tout et puis ça n’a pas duré longtemps et quand c’est sorti, j’étais tellement bien que j’ai dû grogner et tu m’as entendu. »C‘était bizarre, il me décrivait presque les même sensations que j’avais connu. Les garçons et les filles ressentiraient-ils les mêmes choses ?Il regardait maintenant sa main maculé et son sexe d’un air curieux et je fis pareil. Son sexe était redevenu mou et le liquide blanc gouttait parfois par terre. La taille de son sexe n’avait vraiment rien à voir avec celui que j’avais vu de mon frère.
« Je ne sais pas ce qui m’arrive, c’est la deuxième fois que ça sort aujourd’hui. Il faudra peut-être que j’aille voir un docteur ».« Non, je crois pas que ce soit nécessaire. C’est la deuxième fois tu dis ? Et c’était quand la première fois ? » Je le vis revirer au rouge.« Allez ! Dis-moi »« Eh bien… c’est… quand tu es tombé dans la salle du restaurant. J’ai vu… ta culotte et puis… »« Et puis ? »« Et puis, j’ai eu l’impression que tu avais fait pipi dans ta culotte. Et à ce moment-là, c’est venu tout seul dans mon pantalon. C’est pour ça que j’ai dû aller aux toilettes.« Et alors ? »Il mit un temps avant de répondre. « C’était pareil, j’en avait partout dans mon slip et j’ai dû l’enlever pour éviter de salir mon pantalon. » « Et là en ce moment, ça te fais mal ? »« Non, c’est fini. »« Tu n’as plus envie de faire pipi ? »« Non ! Enfin si ! Mais pas comme avant, comme d’habitude »« T’es sur ? »« Oui, presque »« Eh bien vas-y, on va voir ça. » il me regarda d’un air interloqué.« Hein ? Mais… »« Ben quoi, tu m’as bien vu faire, alors je peux regarder aussi. »« Mais… »« Sinon je dis tout à ta mère : que tu me regardes et tout ce qui t’arrive »Il était toujours accroupi alors il se releva. Il me regarda, toujours la main sur son sexe.« Allez ! » fis-je. Une nouvelle fois, il baissa la tête. Il se tourna se mit en position et attendit un moment. « Ben alors, je croyais que t’avais envies ? »« Ben oui, mais ça me bloque que tu me regardes »« Pourtant, pour regarder les autres, monsieur ne se gêne pas ! Allez ! Dépêches toi, on va pas rester ici cent sept ans!»« Non ! Non ! C’est bon. Ça vient… »Un filet commença à sortir puis il fit pipi. Il n’y avait rien de transcendant à le regarder faire et je ne compris pas ce qui avait pu le mettre dans un tel état. « Bon ; tout à l’air d’être rentré dans l’ordre. Ecoute ! Demain nous sommes encore ensemble. On essaiera de trouver un moment pour de nouveau s’isoler des autres et on tentera de voir ce qui nous arrive. Pour tout te dire, il m’est arrivé aussi une chose bizarre aujourd’hui. Alors si toi aussi tu ne dis rien, je te raconterai. D’accord ? »« D’ac... d’accord ! » me répondit-il. Il avait fini ses lamentations. « Allez viens ! On rentre »« Attends il faut que je me nettoie. Tu as un mouchoir ?»« Ben non » « Mais je ne peux pas rentrer sans me nettoyer » il me montrait sa main gluante.« T’as qu’à prendre ton slip » « C’est que, je l’ai laissé là-bas. Je l’ai caché dans notre voiture. Il avait de nouveau baissé les yeux comme s’il avait fauté. Je le voyais de nouveau sur le point de pleurer.Je regardais autour de nous. Il n’y avait rien pour nous aider quand mon regard se tourna vers ma culotte. Bon ben, il fallait que je fasse un sacrifice.J’allai la chercher et lui tendis. « Tiens ! Nettoie avec ça ! »Il prit ma culotte et la déplia. Il la regardait comme s’il touchait un trésor. Il me regarda comme si je venais de lui exaucer un vœu. Il commença par nettoyer sa main puis approcha ma culotte de son sexe. On vit tous les deux sa réaction : il recommençait à se dresser. « Ça recommence me dit-il en me regardant » il passa ma culotte sur son sexe pour enlever le liquide blanc. Une fois finit, son sexe était droit. »« C’est quoi qui te fais ça ? » je demandai. Curieuse.« Je ne sais pas au juste. Ça m’arrive à chaque fois que je vois sous ta robe ou que je repense à ce que j’ai vu et puis quand tu me l’as donné, ça m’a fait des frissons.Maintenant, en m’essuyant avec ta culotte toute douce ça me fait chaud sur mon zizi. »« Et ça te refais mal ? » « Un peu » avouât-il penaud » « Et t’avais fait quoi avant pour te soulager? »« Ben je me l’étais frotté »« Ben t’as qu’à recommencer »« Mais… »« Ben quoi ? Si t’as mal. Et puis t’as qu’à le faire avec ma culotte comme ça, si tu refais pipi, tu ne te resaliras pas »Il me regardait d’un air confus ne sachant pas quoi faire. Il était perdu dans ses pensées en se posant tout comme moi des tas de questions sur ce qui était en train de lui arriver. Et puis il se mit à frotter. Il regarda son sexe et le frictionna avec ma culotte. Son zizi était redevenu droit comme un i.Le regarder faire ne me laissait pas sans effet. J’étais moi aussi toutes choses et quelque chose en bas de mon ventre demandait à ce que je me caresse mais je ne voulais pas le faire devant mon cousin. Mais cette sensation n’arrêtait pas de croitre.Les mouvements de mon cousin s’accélérèrent machinalement. Sa respiration aussi s’accélérait.« Ça fait bizarre comme tout à l’heure » dit-il. « Ça recommence… ». Il s’évertuait à bien faire glisser son sexe dans ma culotte. « Ooohhh ! » il ferma les yeux et je pus enfin voir sortir ce jus de son sexe. C’était bien blanc et visqueux mais ce ne fut que quelques gouttes qui sortirent. Mon cousin continua machinalement à faire quelques va et vient à travers mon tissus puis sembla reprendre ses esprits. « Tu vois ? Qu’est-ce que c‘est. Je n’avais jamais eu ça avant. J’avais bien mon zizi qui devenait parfois dur mais ça ? Et puis les deux première fois, il y en avait plus qui était sortis. »« Pour tout t’avouer, je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est que c’est normal pour les garçons. C’est ce qu’on m’a dit. » Je ne voulais pas lui avouer que mon frères avait lâché le même liquide dans la bouche de notre tante ce qui laissait penser que tous les garçons pouvaient le faire. J’étais cependant subjugué par ce que je venais de voir même si il n’y avait pas eu grand-chose. Cependant, avec mon frère, ma tante n’avait même pas put tout prendre en bouche. La quantité était-elle limitée si je comptais que c’était la 3eme fois que mon cousin l’avait fait. Ce furent de nouvelles questions que j’aurais à poser à mon frère.« Allez, rhabille toi, il faut qu’on y aille maintenant « « Oui mais ta culotte ? Elle est toute sale maintenant. »« C’est sûr que dans l’état que tu l’as mise, je ne peux plus la mettre. »« Et puis c’est des deux côtés ; je ne peux pas la mettre en poche.« Tant pis, on va la laisser là. Je la pris précautionneusement de ses main et la cacha en bas du buisson ou il s’était caché. Je me retrouvais maintenant comme mon cousin, cul nu jusqu’à la fin de la soirée. Il faudrait que je fasse attention maintenant de ne plus danser ni tomber.On finit par reprendre le chemin pour revenir vers le parc. « Tu ne diras rien ? Promis ? » Me demanda t il« Oui. Seulement, quand je te le demanderai, tu feras ce que je te dis. A chaque fois que je commencerai une phrase avec ton prénom devant, tu devras m’obéir. Comme le jeu « jacques a dit » d’accord ? »Il baissa les yeux et répondit timidement « d’accord ! »Voilà qu’en une après-midi, j’avais la possibilité à mon âge de dicter ma volonté à deux garçons. N’était-ce pas merveilleux ? On arriva au parc ou nous retrouvâmes la famille. On se remit à jouer avec les enfants puis revint l’heure de l’apéro ; du diner ; de la soirée dansante ; des premiers enfants endormis…Pendant les danses, j’avais vu mon frère prendre de nombreuses cavalières, mais deux ou trois fois, il s’était mis avec tantine. A la fin d’une danse, ils se dirigèrent vers moi alors que j’étais seule à une table et s’assirent à côté de moi. « Alors sœurette, tout va bien ? Pas trop fatigué ? »« Ne m’appelle plus sœurette, je te l’ai déjà dit. Sinon, il n’y a plus de marché »« Écoute. C’est pour ça qu’on est là. On a réfléchi et on s’est dit que c’était normal qu’à ton âge, tu te poses beaucoup de question sur le sexe mais seulement voilà ! Tu es jeune. Et ce n’est pas facile d’aborder le sujet comme ça. En plus, expliquer des sensations, ce n’est pas mon fort. Alors voilà ce que je te propose. Pas ce soir parce que tout le monde est un peu fatigué. Mais dans la semaine, je t’inviterai auprès de maman pour une soirée chez moi et avec tantine, on essaiera de répondre à tes questions. Ça te va ? »« Oui d’accord. Mais ne te défausse pas hein? Tu me promets ? »« Mais oui sœurette, je te promets. Alors bonne nuit parce que je crois que papa et maman vont bientôt partir »« Bonne nuit » me dit aussi ma tante en me souriant.« Ne m’appelle plus sœurette !! » Mais ils partaient chacun de leur côté pour continuer de danser.Je partis aussi quelques minutes après dans les bras de Morphée la tête sur la table jusqu’à ce que mes parents viennent me dire qu’on y allait. On finit de faire le tour des bises par les mariés et on rentra dans nos chambres deux étages plus hauts.
A suivre…
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