Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 53 J'aime
  • 0 Commentaire

initiation accidentelle...

Chapitre 7

Inceste
« A vrai dire, c’est pas trop mauvais ce jus »
« Vraiment ? »
« Ben oui ! » je finis par détacher ma main de son sexe mais il y en avait trop dessus pour que je le lèche. « Comment on va se nettoyer maintenant ? »
« T’inquiète pas, j’ai prévu des mouchoirs » il sorti un mouchoir en coton qu’il avait dans sa poche et me le tendit « tu me le repasse après ? »on s’essuya ainsi avec le mouchoir qui fut vite remplit.
...suite:

« Tu en as sorti beaucoup ce coup-ci »
« Ben, comme dit, j’avais de drôles de sensations dans ta bouche. C’est comme si j’avais sorti le maximum tellement c’était bon. »
« Ça fait quand même peu par rapport à quand tu fais pipi. »
« Je sais, mais ça n’a rien à voir. Quand je suis dur, je fais pipi très difficilement alors que mou comme ça, c’est beaucoup plus facile mais j’ai pas de plaisir quand je fais pipi »
« Ah ! Mais quand tu te retiens longtemps et que tu tiennes jusqu’à la limite de faire dans ton pantalon, tu n’as pas de plaisir quand tu fais ? »
« Ben non ! Je ne me suis jamais retenu aussi longtemps. Pourquoi ? Toi, ça t’arrive ? »
« En fait, ça m’est arrivé hier. Quand on jouait à cache-cache. Pendant que vous me cherchiez, j’avais en fait envie de faire pipi mais je me suis retenue pour ne pas que vous me trouviez. Quand vous êtes partis mangé, j’ai pût enfin me soulager et là, ça m’a fait extrêmement de bien de me libérer un peu comme tout à l’heure mais quand même en moins fort. En plus, j’ai fait pipi longtemps et loin. »

« Ah bon ? »
« Oui, je crois que je n’avais jamais été aussi loin. »
« Tu veux bien me montrer alors ? »
« Ben, j’ai toujours pas envie. »
« Pourtant, j’avais l’impression que tu faisais quand je t’ai léché ton bouton. »
« Je n’ai rien senti pourtant »
« C’est vrai aussi que ça ne sentait pas le pipi »
« ça doit être comme toi, tu as des gouttes qui sortent avant, ça doit être pareil pour moi. je dois libérer un liquide qui me dois faire moins mal quand on fait ça »
« C’est possible, mais je trouvais que ça faisait beaucoup »
« ça va, tu t’es pas noyé non plus » dis-je en riant. Il sourit aussi.
« Dis, je peux te demander quelque chose ? Me demanda-t-il une nouvelle fois.
« ça dépend. Qu’est-ce qu’il y a »
«Bben… maintenant qu’on a fait tout ça, qu’on s’est montré nos zizi et tout le reste, je peux voir tes néné ? » je restais bouche bée. Dans le fond, c’est vrai qu’on venait de se découvrir plein de chose mais sa question me choqua sur le coup. J’allais me retrouver entièrement nue devant mon cousin si j’acceptais.
« S’il te plait… » Me supplia-t-il
« Bon. Si tu veux. » Il me regardait de nouveau comme un grand enfant à qui on avait accordé une friandise.
    Je me levais et fis glisser les bretelles de ma robe sous mes bras puis baissa mon haut je me retrouvais ainsi en soutien-gorge. C’était un soutien-gorge en coton blanc, adapté pour ma poitrine jeune et ferme. Alors qu’on s’était tout montré, j’avais quand même une certaine réticence à l’enlever. Me voyant hésiter, T. s’enhardi :
« attends ! Je peux toucher avant s’il te plait ? » Incrédule face à cette question, j’acquiesçais machinalement. Il ne se fit pas prier et avança ses mains. Il arriva avec une main sur chaque sein. Il ne fit que les poser d’abord. Puis il les caressa.
« Houaa… c’est doux. » Un frisson me prit. Encore une fois, c’était la première fois qu’on me les touchait. Là aussi, cela me faisait bizarre avec de nouvelles sensations. Au fur et à mesure de ses caresses, je senti mes tétons durcir sous ses doigts. S’en apercevant, il commença à jouer avec à travers le tissu, me procurant de nouveaux frissons qui descendirent dans mon bas ventre. Ses caresses me faisaient du bien et je voyais doucement son sexe reprendre de la vigueur. Je passais mes mains derrière le dos et dégrafa mon soutien-gorge. Il le fit alors tomber pour regarder ma poitrine.
« A part les seins de la mariée tout à l’heure, j’en avais jamais vu avant. »
« Même pas ceux de ta mère ? »
« Non ! Elle est trop pudique pour ça. Elle ferme tout le temps la salle de bain à clé, et elle ne se promène jamais en sous vêtement. »
« ca à l’air de te décevoir »
« Ben des copains me racontent parfois ce qu’ils voient de leurs mamans. »
«C’est-à-dire »
« Ben… certains voient leurs mères en sous-vêtements voir un de mes copains qui fait du naturisme avec ses parents nous a dit avoir déjà vu beaucoup de chose. Mais il n’avait pas le droit de nous raconter. »
    tout en parlant, il ne quittait pas mes seins du regard. Après les avoir observé, il rapprocha une nouvelle fois ses mains pour les poser sur ma chair. De nouveaux frissons apparurent. J’eu presque la chair de poule. Ses mains étaient chaudes et douces. Il s’y prenait doucement. Je regardais son sexe qui avait repris une dimension plus que raisonnable.
« ils sont doux » me dit-il. « On dirait d la peau de pêche. »
Il s’amusait à en faire le tour, les caressants, les palpant parfois, s’attardait sur mes tétons tendus en les pinçant, les chatouillant. La chaleur de mon bas ventre revint, ma respiration s’accelléra. Je me pinçais les lèvres pour ne pas lui montrer ma gène.
« Qu’est ce qui se passe ? Ca te fais du bien mes caresses ». il avait quand même remarqué mon excitation grandissante.
« Eh bien oui, j’apprécie comme tu fais. Ça me fait des frissons et les mêmes sensations qu’avant »
« Ah bon ? Attends alors »
    Avant que je n’ai pu faire un geste de recul, il se pencha et me prit un mamelon dans la bouche. Il commença à le titiller avec la langue, le mordiller entre les dents. Cela m’électrisa. Enflant la chaleur de mon bas ventre. Je sentais les nouvelles vagues de plaisir arriver. Je n’aurai jamais pensé que les seins d’une femme pouvaient être aussi source de plaisir. De mon frère et mon oncle, je ne les avais pas vus s’attarder dessus.    T. s’amusait avec sa langue, se mettant à aspirer comme je l’avais fait avec son sexe. Celui-ci se tenait presque devant moi. Il avait repris son ardeur maximum. Je tendis le bras pour lui saisir et fit des mouvements de va et viens. T. passa aussi une main sous ma robe et la dirigea vers mon sexe. J’écartais les jambes pour lui faciliter le passage. J’avais de nouveau besoin de retrouver ce plaisir abandonné il n’y avait pourtant pas si longtemps. Sa langue continuait son jeu, il passait d’un sein à l’autre caressant l’autre avec sa main libre. Sa main sous ma robe avait retrouvé ma fente et mon bouton.     Mon cœur était reparti dans un galop effréné, ma respiration allant au rythme de ses attouchements. Je me surpris à lui coller son visage sur ma poitrine en lui caressant sa chevelure.
« Huumm… » lâchais-je en même temps. Ma main continuait comme je pouvais ses va et viens sur son sexe mais mon esprit était maintenant focalisé sur les déferlantes qui arrivaient. Il avait trouvé comment me procurer le maximum de plaisir avec sa main sur mon bouton. Je me surpris à faire des mouvements du bassin pour être à l’unisson des mouvements de sa main.
« Huummm… oh oui… ça revient…. Continue. » Lui dis-je. Il ne se fit pas prier, continuant de jouer avec sa langue et une main sur mes tétons et de l’autre à enflammer mon bouton jusqu’à la douleur qui se transformait aussitôt en vague de plaisir de plus en plus forte. Ma main accélérait son mouvement sur son sexe et je l’entendis aussi gémir. Je me sentis franchir la limite de non-retour et me laissa submerger une nouvelle fois par mon plaisir. J’eu deux ou trois spasmes qui me firent serer les jambes sur sa main. Je parti une nouvelle fois « de l’autre côté » quelques instants me déconnectant totalement. Quand je repris le dessus ; mes jambes étaient toujours serrées et ma main toujours sur son sexe. Je desserrai le tout pour lui rendre sa liberté de mouvement.
« Eh bien dis donc, c’est toujours aussi fulgurant ? Je n’ai même pas eu le temps d’enlever ma main. Et puis regarde, quand je dis que tu mouilles, ma main est toute mouillée. »
En effet, il avait sorti sa main de mon entrejambe et me la montrait luisante d’un liquide qui n’était pas de l’urine car aucune odeur ne s’en dégageait.
« Je ne sais pas ce que c’est et je quand j’ai ce plaisir, je ne sens plus rien et je me laisse aller. »On resta perplexe sur ce que c’était quand j’observais que le sexe de T s’était ramolli depuis que je l’avais laissé.
« Tu ne t’es pas lâché? » demandais-je
« Ben J’avais commencé à me sentir bien et puis à la fin tu me faisais mal et tu me l’as serré très fort. »
« Comme je te disais, je ne savais plus ce qui se passait. Ça va mieux maintenant ?»
« Oui. Mais j’ai envie de faire pipi maintenant »
« Ben t’a qu’à faire là où tonton l’a fait. »
« Mais toi, tu ne veux toujours pas faire ? »
« Ecoute, je vais te regarder, peut être que cela va me donner envie »
« D’accord ! »
Il se déplaça pour aller faire son besoin, je me levai et me réajustait en remettant mon soutien-gorge et le haut de ma robe correctement puis le suivi. Il se mit en position et attendit. Son sexe avait repris un peu de vigueur et se tenait droit. Après un bref instant je lui dis :
« Ben alors ? Tu es de nouveau coincé ? »
« Oui, quand je suis dur comme ça, ça ne sort pas facilement »
    Il se tint ainsi quelques longues secondes avant que n’apparaissent quelques gouttes à l’extrémité de son gland qui jaillirent. Puis encore un jet après de nouveau quelques secondes. Puis la fontaine partit en un long jet ininterrompu. Ce coup-ci, le voir faire pipi me troubla. Son jet était dru, bien droit et allait loin. Il se dégageait l’odeur si particulière de l’urine que l’on pouvait sentir quand on faisait soi-même ses besoins. Mais là, c’était quelqu’un d’autre. Je ne sais pas ce qui me prit, j’avançais ma main pour lui tenir son sexe. Je sentais le liquide passer dans son membre dans une sorte de veine qui faisait toute la longueur en son centre. Il était également plus chaud.     Ma main alla vers le gland et passa à travers le jet, éclaboussant partout. La chaleur de l’urine était encore plus flagrante. Jamais je n’aurais songé à jouer avec mon pipi, mais ici et dans ces conditions, cela me faisait vraiment tout drôle. Ma main repassa sur le devant. Je l’approchais ensuite de mon visage. Je devenais folle. Je sentis ma main pour mieux m’imprégner de cette odeur caractéristique et chose inimaginable, je sortis ma langue pour gouter. Chose encore plus inimaginable, j’aimais ce gout âpre et salé que je venais de recueillir. Je léchais une seconde fois pendant que T. finissais de faire pipi. Son sexe faiblissait.
« Attends ! » lui dis-je.
Et avant qu’il ne puisse réagir, je me mis devant lui pour m’accroupir et lui prendre son sexe en bouche. Je me délectai ainsi des quelques gouttes qui lui restait. J’aimais vraiment ce gout. En même temps, son sexe recommença à durcir sous mes coups de langue.
«Y a pas à dire, j’aime quand tu me fais ça » dit T. mais j’arrêtai car je ne voulais pas recommencer comme tout à l’heure au vu du volume que son sexe prenait.
« Mais pourquoi tu t’arrêtes ? »
« Ben je croyais que tu voulais me voir faire pipi ? » prétextais-je.
« Vraiment tu veux bien »
« Tu veux voir oui ou non ? »
« D’accord, mais je veux voir de près. Je veux voir sortir de ton petit trou. Tu veux bien t’accroupir sur le tronc ? »Il me regardait de nouveau de son air suppliant.
« Si tu veux »
    es sensations de mon ventre revinrent me torturer. Il voulait me voir faire pipi de près. J’allais lui dévoilé une partie des plus secrète de mon intimité. Certes il m’avait vu la veille mais à travers des buissons et de plus ou moins loin. Mais bon, moi aussi j’avais pu le voir faire de près et même toucher. Mon esprit était des plus confus avec tout ce qui c’était passé jusqu’à maintenant. Toutes ces nouvelles sensations, ces nouvelles odeurs, ces nouveaux touchés, ces nouvelles expériences de la vie que j’étais en train de vivre ne me faisaient plus réfléchir correctement. Je me déplaçais presque comme un zombi vers le tronc d’arbre et monta dessus. Je me retournais et m’accroupis en remontant bien ma robe. T. se positionna devant moi en me regardant dans les yeux. Puis il les tourna vers mon entrejambe. Il était à dix centimètre de mon sexe.« Attends, tu veux bien écarter ton kiki s’il te plait, je vois pas bien. » Alors tenant ma robe d’une main, je positionnais l’autre sur mon sexe, l’écartant avec deux doigts en forme de v inversé. « Ouhhaaa… comme ça je vois bien » la position n’était pas des plus idéales mais je me tenais bien droite. Alors, j’ouvris les vannes pour faire pipi mais cela prit quelques temps avant que cela ne vienne. Cela faisait bizarre. Je sentais mon pipi partir de la vessie et parcourir mon ventre. En dehors de cette situation, je n’y aurais jamais prêté attention. Mais là, devant l’impatience de mon cousin, tout semblait aller au ralenti. Le liquide me semblait mettre un temps fou pour parcourir les quelques centimètre de mon corps qui lui permettait de se libérer. Enfin, les premières gouttes arrivèrent puis la fontaine jaillit. Il s’agissait bien d’un jaillissement. C’était la première fois que j’entendais mon pipi sortir ainsi. Le fait d’avoir écarté les lèvres de mon sexe faisait que mon jet était plus dru et allait plus loin en émettant un bruit aigu. T. ne perdait pas une miette du spectacle. A dix cm de mon orifice, il était tout à son bonheur. Je le vis alors approcher la tête jusqu’à sentir son souffle. Et alors, il sorti la langue sur le trajet de ma pisse. Cela éclaboussa mon sexe et le bas de son visage. Il rentra sa langue pour déglutir puis il se rapprocha de nouveau la bouche ouverte ce coup–ci. Que voulait-il faire ? J’eu la réponse quasi instantanément. Il fit rentrer le jet dans sa bouche. J’étais une nouvelle fois stupéfiée. Il attendit deux ou trois secondes avant de reculer puis de fermer la bouche. Mon jet pendant ce temps-là faiblit pour bientôt s’arrêter. Il me regarda dans les yeux avant de déglutir en deux fois ce qu’il avait prît en bouche. Ce qu’il venait de faire m’aurait certainement fait vomir deux jour plus tôt mais après avoir vu tant de choses et découvert tellement de nouvelles sensations en si peu de temps que je l’enviais plutôt d’avoir osé le faire. « Humm y a pas à dire, c’est vraiment bon » dit-il.
Diffuse en direct !
Regarder son live