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Initiation avec ma jeune tante Claire

Chapitre 1

Hétéro
L’année suivante, je ne mis pas longtemps à décider où je voulais passer mes vacances. Claire m’invita à passer deux semaines chez elle. Dans le train, je nous imaginais déjà faire l’amour comme des sauvages.
Elle vient me chercher à la gare. On rentre chez elle déposer mes affaires puis on va directement à la plage. Elle enlève de suite son haut, découvrant ses seins qui m’avaient tant fait rêver pendant ces douze mois. Quelle merveille ! Je la trouve encore plus belle. Sa coupe de cheveux fait plus jeune, ses seins sont toujours aussi magnifiques et son sourire aussi enchanteur.
Alors qu’on bronze et qu’on se raconte l’année qui vient de s’écouler, mon sexe se tend dans mon maillot de bain, anticipant nos futurs ébats amoureux. C’est alors que Claire prend un ton sérieux comme pour m’annoncer quelque chose de grave.
    * - J’ai adoré ce qu’on a fait l’année dernière, toi et moi. Mais j’ai bien réfléchi. Je suis ta tante et on ne vivra jamais ensemble, donc je crois que c’est pas très raisonnable d’entretenir une relation de ce genre. Je me doute que tu es déçu, mais j’ai quelque chose à te proposer.    * - Je t’écoute.    * - Tu as remarqué que j’ai un peu d’expérience dans ce domaine, et j’aimerais t’en faire profiter pour que tu te trouves une copine super.    * - Ça marcherait comment ? Je ne connais personne ici !    * - J’ai ma petite idée. J’en ai plusieurs, en fait, mais je crois que la première sera la bonne.    * - Tu peux préciser un peu ?    * - Bien sûr. J’ai une voisine de vingt ans. Elle fait des études de sport, elle est super mignonne, très drôle, très cool. Si j’étais un mec, je tomberais toute de suite amoureux d’elle. Je l’ai invitée ce soir pour manger.

Après le choc de sa première annonce, je commence à reprendre courage.
    * - Alors, tu es partant ? Si elle te plaît pas, elle rentre chez elle ce soir et tu la revois plus.    * - Ok, ça marche. Et comment je m’y prends, moi ?    * - C’est là tout l’art de la séduction. Il faut tout d’abord que tu comprennes quelles sont les attentes d’une fille, les erreurs à pas faire et les trucs qui font gagner des points.    * - On commence quand ?    * - Maintenant, si tu veux.    * - Ok.

Et Claire me fait alors un cours de psychologie féminine qui, je crois, me servira toute ma vie. Elle m’explique qu’il faut laisser venir la fille. Il faut l’amuser, l’intéresser, mais rester au début plutôt distant, ne pas lui donner l’impression de vouloir lui sauter dessus. Très important : il faut la flatter sur son physique, ses idées, son comportement. mais dans la liaison rester toujours un pas en arrière jusqu’à ce qu’elle morde à l’hameçon.
Toute l’après-midi, je dois lui parler comme si elle était Julia. Au début évidemment j’avais tout faux.
    * - Tu te comportes comme un mec macho. Pense à ce que je t’ai dit.

Je commence à comprendre ce qu’elle me dit. Je lui pose plus de questions, je la flatte sur ses activités, repose d’autres questions pour approfondir. Claire trouve que je suis au point pour le premier round.
    * - Le but de ce soir c’est que vous prévoyiez de vous revoir. Pas plus. Ni moins. Pense bien à ça.

Julia arrive vers 19 heures. Claire et moi avons préparé un bon repas : amuse-gueule, crabe et avocat, poisson grillé avec purée d’aubergines, fromage et dessert. Le tout arrosé comme il se doit de champagne à l’apéro et de Meursault pour le reste. Ce qui me frappe d’emblée chez Julia c’est ce sourire doux, sincère et franc. On se fait la bise. Elle a un parfum frais légèrement sucré. Elle est habillée d’un top décolleté blanc en V qui laisse apercevoir la naissance de ses seins qui, sans être encombrants, semblent généreux. Je ne perçois pas de traces de soutien-gorge sous le tissu, et ses tétons pointent légèrement. Elle porte aussi une jupe rouge légère et courte qui vole lors de ses mouvements. De petites sandales enrobent ses pieds fins. Ses jambes sont rasées de près. Elle est coiffée un peu à la garçonne, les cheveux courts libres de se poser là où bon leur semble.
On fait les présentations. Sa voix est douce et tonique à la fois. Elle commence par me poser plein de questions sur moi, sur ce que je fais et tout ça. N’oubliant pas les conseils de Claire, je profite de la première mini-pause pour lui poser à mon tour des questions sur ce qu’elle fait, quels sports, etc. Claire me fait signe de continuer, je suis sur la bonne voie.
Puis on passe à table. On parle de tout et de rien. On boit pas mal aussi. L’ambiance est très détendue. On rigole beaucoup. Julia va aux toilettes, et Claire en profite pour me faire des compliments sur mon attitude.
    * - Laisse-moi lui demander si elle veut faire quelque chose avec nous demain. Ça fera plus neutre.    * - Ok !

Avant même que Claire amène le sujet, Julia nous demande ce qu’on a prévu pour le lendemain.
    * - On voulait aller à la plage. Tu veux venir avec nous ?    * - Avec plaisir, oui.    * - Oh, j’oubliais. On a prévu d’aller sur une plage naturiste. Toujours partante ?    * - Pas de problème. On se retrouve à quelle heure ?    * - On déjeune ensemble vers neuf heures et on y va. Ça marche ?    * - Impec’.

Peu après, Julia part se coucher.
Tout s’est très bien passé. Je dis à Claire que j’étais sur le cul pour la plage naturiste.
Elle rit et me dit que ça se passait tellement bien qu’elle a pensé que c’était une bonne idée.
Avant d’aller dormir, il fallait qu’on parle du lendemain. Pour un homme, la nudité devant une fille qu’il ne connaît pas présente quelques risques physiologiques. L’important est de ne pas paraître faible et décontenancé, mais plutôt de prendre les choses avec humour, ce qui permettrait de marquer des points auprès de l’être convoité. Claire résumait par : « Si tu bandes, rigole ! » Un autre conseil était d’éviter de la mater trop ostensiblement, mais de ne pas non plus ignorer son magnifique corps. Quelques regards bien placés peuvent s’avérer très flatteurs.
Me voilà donc prêt pour le deuxième round. Je suis moins déçu de ne plus être dans les bras de Claire. Je sens que ces vacances peuvent être très enrichissantes, voire même torrides, si je m’y prends bien. Le soir, dans mon lit, je me caresse pour expulser ces tensions et paraître plus à mon avantage le lendemain. Ce sera déjà assez dur de pas bander, alors si en plus je n’avais pas éjaculé depuis une semaine.

Le lendemain on déjeune puis on part pour la plage. Dans la voiture, je lui demande si elle fait souvent du naturisme. Elle aime beaucoup mais connaît trop peu de gens qui partagent ce plaisir, donc en fait elle n’en fait pas souvent. Je lui explique alors que c’est Claire qui me l’a fait découvrir l’année passée et que je ne suis donc pas un grand habitué.
Sur la plage, Claire choisit un coin pour s’installer. Trente secondes après, les deux filles sont déjà à poil. J’aime ce naturel chez Julia, tout a l’air normal, rien n’est compliqué ni tabou.
Moi, je suis à la traîne mais je me dépêche, je cours, je les dépasse et plonge directement dans l’eau.
Claire et Julia y rentrent un doigt de pied à la fois. J’ai le temps de détailler le corps de Julia. Des seins superbes, fermes, qui semblent avoir vu le soleil plus d’une fois. Une belle toison taillée en triangle, la zone blanche du maillot contrastant avec le reste de son corps doré. Ses seins ondulent sous les mouvements de son corps. Claire est tout aussi magnifique. On nage et s’éclabousse comme des gosses. Je plonge dans l’eau, passe sous Claire et la soulève de mes épaules. Je sens ses fesses sur mes épaules et imagine ses lèvres se poser sur ma nuque. Julia s’approche de nous et essaie de nous renverser. On se défend en repoussant les mains actives de Julia. Mes mains effleurent à plusieurs reprises son ventre et ses seins et elle finit finalement par réussir à nous faire basculer vers elle. Claire s’esquive sur le côté et moi j’atterris sur Julia et la chatouille sous l’eau pour me venger. Elle sort la tête de l’eau et je la tire par les pieds pour l’immerger à nouveau. Elle se débat et m’attrape les bras pour me maintenir sous l’eau à mon tour. Je me défais de sa prise et la chatouille à nouveau en veillant à lui effleurer les seins "inopinément".
La bataille s’achève alors et on se dirige tous les deux vers la plage. Dans mon dos elle se jette sur moi et tente de me faire basculer dans l’eau. L’ayant vue venir, je lui attrape le bras, la penche légèrement en arrière, me baisse et la porte, une main sous les genoux l’autre sous les épaules, face à moi. Elle se débat mais je la serre plus fort contre moi. Je sens alors ses fesses nues sur mon ventre et mes doigts touchent la naissance de ses seins que j’ai sous les yeux. Julia se calme alors en signe de capitulation. Je la repose par terre et on se dirige vers nos serviettes.
Claire nous regarde avec un grand sourire aux lèvres. Elle sait que ce jeu nous a beaucoup rapprochés et laisse présager d’une suite très positive.
Avant de bronzer, il faut se tartiner de crème. Claire en met à Julia pendant que j’en mets à Claire. Je peux alors détailler le dos et le cul de Julia, merveille d’anatomie. Entre ses jambes légèrement écartées, j’aperçois ses lèvres charnues. Une fois les filles tartinées, Claire s’occupe de moi et m’enduit le dos et les fesses. Peu après, je m’endors. Dans mon sommeil je me retourne sur le dos. Un peu plus tard, je me réveille doucement et j’entends les voix des filles rigoler à propos de je-ne-sais-quoi. J’entends des pouffements.
    * - Tu crois qu’il va réagir comment ?    * - Je suis curieuse de le voir au réveil, répond Julia.

Peu après j’ouvre les yeux et m’étire, avant de me rendre compte que je bande comme un taureau. Les filles éclatent alors de rire. Je me rappelle alors les consignes de Claire et me marre aussi puis je dis, en montrant ma bite en érection :
    * - Ben, Popol, qu’est-ce qui t’arrive ? Il faut l’excuser, mesdames, il est encore jeune et ne connaît pas trop les bonnes manières.

Julia dit alors en regardant Claire :
    * - Impressionnant ! Il bande devant deux nanas et il rougit même pas.    * - Ben, j’y peux rien. Je dormais et il en a profité.    * - Tu as dû faire de beaux rêves alors, dit Claire.    * - Attends, j’essaie de me rappeler. Je ne sais plus trop. J’étais nu dehors, je crois. Y’avait d’autres gens, des filles surtout ; ou alors j’ai pas fait attention aux mecs et après je me rappelle plus.    * - Un peu comme aujourd’hui, en fait.    * - Maintenant que tu le dis. Quand on y réfléchit, une plage naturiste a quand même une dimension érotique assez forte, non ?    * - C’est vrai, dit Claire. T’en penses quoi, Julia ?    * - Ben oui, même si on vient en premier lieu pour les sensations de liberté et de naturel, on ne peut pas enlever la dimension sensuelle d’un lieu comme ça.    * - Dans le cas de Marc c’était plus que du sensuel je crois !

Tout le monde rigole.
Mon sexe a entre-temps repris son état normal. On mange alors assis en tailleur autour d’une nappe improvisée. Derrière mes lunettes de soleil, je détaille chaque centimètre carré de peau de Julia, en étudiant tout particulièrement ses seins, son visage et son sexe. Je dois à plusieurs reprises penser à autre chose pour éviter de rebander comme un âne. Julia a aussi des lunettes très opaques. Je l’imagine aussi me mater et guetter les moindres mouvements de mon sexe. L’après-midi se passe comme la matinée, alternance de baignades, de siestes et d’autres matages discrets.
De retour à la maison, Julia nous dit qu’elle est invitée le soir chez une tante et nous demande ce qu’on fait le lendemain. Claire répond qu’elle doit aller en ville régler certains trucs et qu’on peut donc faire ce qu’on veut. Elle nous laisse la voiture et prend le bus.
    * - On retourne à la plage ? me demande Julia.    * - Avec plaisir, dis je. Fais-moi signe quand tu es prête.

On se quitte alors. Claire me fait beaucoup de compliments. Journée très réussie qui est un tournant dans notre relation.
    * - Demain pourrait être la conclusion.    * - Tu me mets la pression, Claire.    * - Non, non, le vois pas comme ça. Il vaut mieux que tu saches à quoi t’en tenir. Si tu rates le coche, tu risques de t’enliser et c’est jamais bon. En même temps il ne faut pas brusquer les choses mais plutôt les laisser venir naturellement.    * - Bien ton blabla, mais concrètement je m’y prends comment ?    * - Laisse-moi réfléchir. D’abord, il ne faut pas que tu aies un plan préétabli mais plutôt que tu surveilles bien ses réactions aux différentes situations. Si, dans vos jeux dans l’eau, elle semble chercher le contact, même très bref, c’est un signe positif. Si au contraire elle semble s’écarter quand tu l’effleures ou la touches, c’est qu’elle n’est pas prête. Ça, tu dois le sentir par toi-même.    * - Ok. Ça j’ai compris. Sinon.    * - Pendant le badigeonnage, tu devrais aussi être capable de sentir si elle s’exécute par obligation ou si elle a une certaine retenue ou si elle y prend du plaisir.    * - Très bien.    * - Enfin, sois naturel et laisse-la s’approcher et te tendre une perche, et alors saisis-la.    * - Tu aurais un exemple ?    * - Pas vraiment. Sois à l’affût et surtout sois naturel.    * - Ok, merci de tous tes conseils. Je vais faire de mon mieux demain. C’est vrai que tu as des trucs à faire demain ?    * - Bien sûr que non. Mais je sens que c’est le moment pour vous et je préfère vous laisser seuls.    * - T’es trop cool, toi. J’ai déjà l’impression que tu m’as appris plein de trucs, sur moi aussi. J’ai l’impression que tu me libères, que tu provoques un déclic, bien plus en fait que des recettes de drague toutes faites.    * - À toi de t’y mettre maintenant, mais je suis sûre que tu vas y arriver.    * - Je te raconterai. Allez, bonne nuit !    * - Toi aussi. À demain.

Dès que je suis au lit, ma main glisse sous mon caleçon et fait de longs va-et-vient qui, combinés aux images mentales de Julia nue sur la plage, font jaillir mon sperme chaud et visqueux. Après quoi je m’endors comme un bien heureux.
Le lendemain, après le petit déjeuner, Julia vient frapper à ma porte. Elle est en peignoir et me dit qu’elle serait prête dans cinq minutes.
Je mets dans un sac à boire et manger, une serviette, mes lunettes de soleil, prends les clés et vais frapper à sa porte. Julia a mis une légère jupe blanche très courte, des sandales blanches et un top décolleté carré apparemment sans soutien-gorge.
On monte dans la voiture.
    * - Alors, on va où ? dis-je.    * - Même endroit, ça te va ? Ou alors t’as une autre idée ?    * - Moi, ça me plait beaucoup. Ça a l’air de te plaire aussi.    * - Oui. En fait je suis très contente d’avoir trouvé des gens qui partagent ce plaisir. Toute seule je crois pas que j’oserais.    * - Tu aurais peur de quoi ?    * - Sais pas. J’aurais pas peur qu’il arrive quelque chose de grave mais simplement de me faire accoster par tous les mecs seuls en manque.    * - Avec un corps comme le tien, je crois en effet que le risque est grand.

Je la vois alors rougir en silence.
Une fois arrivés, on se cherche un petit coin tranquille. Une sorte de mini-crique entourée de deux barres de rochers.
Cette fois, je suis le plus rapide à me déshabiller. Je fonce dans l’eau et y rentre d’un coup en plongeant. Puis je regarde Julia enlever son string et approcher de l’eau, nue et belle. Elle arbore un sourire franc et sincère et semble heureuse d’être là avec moi. Je ne veux pas la brusquer. Je la laisse entrer dans l’eau à son rythme. Une fois le ventre mouillé, elle s’asperge le reste du corps de la main et plonge la tête la première.
Elle ressort la tête de l’eau avec un sourire provocateur.
    * - Toi, tu veux ta revanche d’hier, on dirait ?    * - Oui. Et aujourd’hui je vais gagner.    * - C’est bien d’être optimiste, mais je vais devoir te décevoir.

Elle s’approche de moi, me projette de l’eau au visage, plonge sous l’eau et me fait basculer en tirant sur mes deux jambes à la fois. Elle m’a eue. Quand je ressors de l’eau, elle s’est déjà échappée parallèlement au rivage. Je la poursuis dans un crawl forcené. Elle pousse de petits cris quand elle me sent juste dans son dos. Je réussis à lui attraper une jambe, la tire sous l’eau vers moi et la chatouille autant que je peux sur les côtes. Elle se débat, et pour l’immobiliser je la serre par-derrière tout contre moi, une main sur ses seins, une main sur le ventre et mon sexe sur ses fesses. Je prolonge ce contact intime jusqu’à ce qu’elle cesse tout mouvement. Je relâche alors mon emprise. Elle se retourne et me dit :
    * - Je t’ai eu. J’ai gagné.    * - Oui, tu as gagné. Félicitations. Il faudra faire une belle.

Puis on va nager vers le large avant de revenir sur la plage pour nous reposer de tous ces efforts physiques.
Je lui propose de lui passer de la crème, ce qu’elle accepte. Je mets beaucoup de crème pour faire durer le plaisir et la masse avec beaucoup d’application, ce qu’elle semble apprécier. Arrivé à ses fesses, je ralentis inconsciemment la cadence comme pour marquer quelque chose de particulier. Quand j’ai fini, elle me propose de me tartiner à mon tour, ce que j’accepte avec plaisir.
Elle met aussi beaucoup de crème, ses mains font plus que faire pénétrer ce liquide blanc dans ma peau. Arrivée à mes fesses, elle ralentit et appuie moins fort sur mes chairs. Puis, lentement, elle augmente la cadence et l’intensité de son massage. Il me semble détecter dans tous ces indices beaucoup de signes positifs.
Je la remercie d’un grand sourire et elle s’allonge à côté de moi, également sur le ventre. Elle est appuyée sur les coudes et je vois ses seins superbes pendouiller gentiment et ses tétons effleurer le sable chaud.
Elle me pose des questions sur Claire, demande si on se connaît bien et depuis quand, etc. Je lui explique qu’elle est pour moi une sorte de grande soeur, de confidente, et qu’avec elle je parle de beaucoup de choses dont je ne parle à personne d’autre, même pas à mes parents. Entre mecs aussi, on aborde très rarement certains sujets profonds.
    * - Quels genres de sujets, par exemple ?    * - Y’a quelque temps, j’étais pas très bien dans ma peau. Rien de très grave mais disons une période un peu dépressive, manque de repères, attachement à des choses triviales, et tout ça. Claire a su, sans vouloir me faire ingurgiter des recettes toutes prêtes, me faire réfléchir, et surtout sur moi-même.    * - Et tu as découvert quoi ? dit-elle en riant.

Après un moment d’hésitation, je me décide à lui répondre.
    * - Elle m’a appris qu’il fallait que je croque la vie à pleines dents et que j’arrête de me lamenter, que je décide ce que je veux faire dans la vie et que je fonce. Ça parait tout simple mais ça m’a beaucoup aidé. Depuis lors, je me sens beaucoup plus sûr de moi.    * - Comme je te vois maintenant, j’aurais jamais cru que tu étais pas sûr de toi il y a peu !    * - Vrai ? Par exemple ?

Après plusieurs secondes de réflexion, elle me dit :
    * - Déjà tu parais être sûr de toi, dans le bon sens du terme. Pour être plus précise, j’ai un exemple qui me vient en tête, mais je crois qu’il est assez représentatif : quand tu as bandé l’autre jour en dormant, et que tu t’es réveillé en nous voyant les yeux rivés sur ton sexe droit comme un I, j’ai été vraiment impressionnée de voir à quel point tu es resté calme et comment tu as pris ça à la légère. J’imagine que beaucoup de mecs auraient rougi, bafouillé, se seraient cachés, tandis que toi tu es resté imperturbable.    * - Tu as raison. Je crois que c’est un bon exemple. Y’a quelque temps, j’aurais réagi comme les autres et maintenant je suis plus fort parce que plus sûr de moi. Dans ce cas précis, il m’est passé pas mal de trucs dans la tête quand je me suis réveillé. En l’espace de quelques fractions de secondes, je me suis dit « Tu bandes, ok, c’est comme ça t’y peux rien. Y a pas mort d’homme. C’est même plutôt comique comme situation, alors autant le prendre comme ça. »    * - Impressionnant. Je crois que c’est rare des mecs comme toi !    * - Y a quelque temps je n’aurais jamais parlé de ça à quelqu’un non plus. Tu restes une privilégiée.    * - Merci, Marc, de me faire partager autant de choses sur toi.    * - Il faudrait peut-être se retourner pour ne pas se griller le dos, dit elle.

On se retourne alors et là je découvre en même temps que Julia que mon meilleur ami s’est un peu réveillé.
    * - Ton Popol est encore réveillé !

On éclate de rire.
    * - Ben, tu sais, quand il entend parler d’érection il se réveille vite, surtout à côté d’une aussi belle fille.    * - Merci du compliment.    * - Tu as vraiment un corps superbe. J’imagine que tout le monde te le dit mais j’espère qu’au fond de toi tu en es consciente.

Là, Julia rougit.
    * - En même temps tu joues pas les princesses en te dandinant devant tout le monde. J’apprécie beaucoup.    * - Merci, Marc. Au fait, ton Popol a encore grandi, dit-elle en éclatant de rire.    * - Ben, j’y peux rien. Tant qu’on reste dans ce genre de conversation il ne va pas se calmer. À toi de voir de quoi tu veux parler.

Là je sens dans l’attitude et le regard de Julia que quelque chose se passe. Elle avale sa salive comme pour laisser passer un gros morceau, et elle semble hésiter. Son visage se voile un instant puis elle me demande avec un grand sourire plein de malice :
    * - Ça t’arrive de te caresser ?    * - De me masturber, tu veux dire ?    * - Oui.    * - Bien sûr, oui.    * - C’était quand, la dernière fois ?    * - Hier soir avant de m’endormir.    * - Tu as pensé à quoi ?    * - À toi. Je t’ai revue nue sur la plage avec ton si beau sourire et ton corps parfait.    * - J’ai envie de toi, Marc.    * - Moi aussi, Julia.

On approche alors nos lèvres et on s’embrasse d’un long baiser profond. Popol est au garde-à-vous. On rapproche nos corps pour se toucher mutuellement. Julia met une main sur mon sexe et me caresse doucement. Je propose à Julia de faire quelques mètres pour quitter la plage et nous cacher dans les dunes. On marche main dans la main, ma serviette cachant mon sexe devenu immense sous l’excitation. On installe nos deux serviettes et notre sac à dos. On reste debout. Je me colle à elle et l’embrasse tendrement tout en lui faisant sentir mon sexe dur sur son ventre. Mes mains caressent son dos et ses fesses fermes et rondes et elle caresse aussi mes fesses. Je m’écarte un peu pour lui caresser les seins. J’approche mes lèvres et lui lèche les tétons et ce refuge si chaud et si sensuel caché entre les seins.
Puis elle s’agenouille et joue un peu avec Popol. J’adore le naturel avec lequel elle le tient entre ses mains : elle le caresse, l’incline, masse les testicules, le gland. Puis elle approche ses lèvres et l’engloutit d’un seul coup. Je sens sa chaleur entourer mon sexe et la douceur de ses lèvres charnues et terriblement érotiques. Sa langue parcourt toute la longueur, s’arrête sur le gland puis redescend sur la tige. Elle me caresse les fesses en même temps, je suis aux anges. Mais je ne veux pas éjaculer tout de suite. Je veux faire jouir Julia, ma princesse, je veux la sentir vibrer sous mes déhanchements.
Je lui fais signe d’arrêter. Elle comprend tout de suite, se met à quatre pattes et s’offre à moi. Quel cul magnifique ! Quel cul splendide ! Quelle merveille de la nature ! Je m’approche et la pénètre doucement. Je rentre comme dans du beurre et mes couilles sont rapidement collées à ses fesses. Je ressors alors et entame de longs va-et-vient. En même temps je lui caresse le dos, les seins, puis le clitoris que je sens déjà durci sous ses chairs. Sa respiration s’est déjà accélérée. Elle accompagne mes mouvements par des coups de bassin qui amplifient nos sensations. J’accélère le rythme et elle suffoque presque. Nos deux corps ne font qu’un. Je sens qu’elle va jouir. Tout mon corps frissonne de plaisir. Dans un cri de soprano, Julia jouit et les muscles de sa chatte serrent mon sexe, ce qui déclenche mon orgasme en de longues giclées de sperme chaud. Je m’affale sur elle. Pendant de longues minutes nous restons immobiles, immergés par cette vague de bonheur.
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