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Initiation au billard

Chapitre 2

Deux queues... Quatre boules... que demander de plus ?

Avec plusieurs hommes
Parce qu’à deux, c’est bien.
Mais à trois, c’est mieux...

Assise sur un tabouret, près du comptoir, j’observe Stéphane avec plaisir. Je songe à ma première soirée dans ce bar. Rentrant demain sur Lyon, j’avais envie de graver dans ma chair et mon esprit un dernier souvenir. Je lui souris lorsqu’il lève les yeux et il passe sa langue sur ses lèvres, d’un air gourmand. Il se rapproche de moi, louchant sur mon décolleté.
— Tu désires autre chose ?— Ce n’est pas sur la carte. »
Son sourire se fait un peu pervers quand mon regard descend sur son entrejambes.
— Va falloir attendre un peu, Mademoiselle. »
Son regard glisse sur mes cuisses avec gourmandise. Je relève doucement ma robe, pour dévoiler un peu plus mon intimité, qu’il a déjà visitée. Mais son attention est attirée par un de ses clients.
— Hey, Steph’. Si t’as rien à faire, ça te dit un billard ? »
Il hausse les sourcils avec regret et secoue la tête :
— Désolé, David. Je suis tout seul ce soir. »
C’est la première fois qu’il ne répond pas favorablement à la demande de son client. Je soupire de frustration. Pas de si tôt la partie de jambes en l’air.
Je le regarde évoluer autour de la table. Il émane de lui une sex-attitude qui m’excite. Lorsqu’il me regarde, je ne résiste pas à l’envie d’écarter les cuisses. Il me vient alors l’idée saugrenue de lui donner un coup de main :
— Je peux te donner un coup de main, si tu veux. »
Il me regarde d’un air surpris et je lui souris :
— J’ai un peu d’expérience dans le service. »
Il s’avance entre mes genoux et glisse une main sous ma robe. Ses doigts me saisissent les lèvres et les pincent, m’arrachant un gémissement de plaisir mêlé à ma surprise.
— Ça me dépannera bien, tu sais... et... » Il me lèche l’oreille avant d’y murmurer : « Je vais bien m’occuper de ton cas. »
Il me conduit alors derrière le comptoir et me montre où tout est rangé. J’acquiesce en silence. Il passe derrière moi, en se frottant contre mes fesses :
— J’ai toujours rêvé de me taper une employée derrière mon comptoir.— Je suis à vos ordres, ce soir, Monsieur.— Hmm... C’est encore mieux... »
Il attrapa un tablier et me le passa autour la taille, avant de glisser ses mains sur mes fesses. Il fit remonter ma robe sur les reins. Je ne pus retenir un gloussement : je me retrouvais les fesses à l’air.
— Et on serait seul, tu serais nue sous ce tablier... en attendant, garde-la comme ça. »
Je hoche la tête avec un sourire. Je trouvai la situation très excitante. Je me penche au-dessus de l’évier, lui présentant mes fesses. Alors, je sens ses doigts caresser, à la limite de me pénétrer. M’excitant suffisamment pour me faire mouiller, mais pas assez pour me faire gémir. Il sait doser son effet.
— Attends, quand tout le monde sera servi... »
Sur le coup, je ne comprends pas sa remarque. Je le regarde prendre un plateau chargé et slalomer entre les tables. Je prépare encore deux commandes que Stéphane vient rapidement chercher et il revient à grands pas derrière le comptoir.
Sans rien dire, il me tire brutalement par le bras et m’entraîne dans un coin, caché par des étagères. Il me plaque brusquement contre le mur, bloquant mes poignets d’une main au-dessus de ma tête et s’empare de mes lèvres tandis que son autre main se met à fouiller sous ma robe.
— On va nous voir ici. » parvins-je à murmurer.— Ne t’inquiète pas. »
La situation m’excite autant que les doigts de Stéphane entre mes lèvres. Je mouille déjà. Je sens les contractions caractéristiques dans mon bas-ventre qui réclame d’être rempli. J’essaie de dégager mes mains, mais sa prise est trop forte. Il ricane devant mes vaines tentatives. De sa main, il remonte ma robe sur ma taille et me glisse deux doigts entre mes lèvres humides. Je gémis de plaisir en le sentant aller et venir en moi. Mon sexe palpitant n’attendait que ça. Sa langue me lèche la peau du cou, me faisant frissonner. Il retire alors ses doigts, me laissant un sentiment de frustration.
— T’inquiète pas. Je n’ai pas fini. »
J’entends alors le bruit d’une fermeture éclair qui s’ouvre. Il me lâche alors les mains, que je pose directement sur ses épaules. Il me soulève sous les fesses et me pénètre d’un seul coup. Je plaque ma bouche contre son épaule pour étouffer mes cris de plaisir à chaque coup de reins. Ses râles m’excitent. Sa brusquerie et l’intensité de ce court instant font grimper en flèche mon plaisir. Au moment où je suis sur le point d’exploser, j’ouvre les yeux. Par-dessus l’épaule de Stéphane, je vois un client accoudé sur le comptoir : celui qui lui avait proposé une partie de billard. Son sourire pervers ne laisse aucun doute sur le plaisir qu’il prend à nous regarder. Mais je n’ai pas le temps de m’inquiéter, Stéphane enfonce ses doigts dans ma chair, se lâchant en moi. Je me cambre sous mes spasmes tandis que Stéphane finit de se déverser en moi.
— Oh putain »
Nous restons un instant comme ça. Son sexe palpite encore dans le mien. J’aime cette sensation. Mais il finit par se dégager, reposant lentement mes pieds au sol.
— Ce n’est qu’un avant-goût de ta récompense. »
Il prend un torchon propre sur l’étagère et le mouille généreusement d’eau froide. Il rapproche un escabeau et m’ordonne d’y poser le pied. J’obéis sagement. La cuisse écartée, je lui montre mes lèvres ruisselantes : mon jus et son sperme s’écoulent à goutte à goutte. Avec une grande douceur, il m’essuie consciencieusement, faisant revenir mon excitation. Brusquement, il me pince les lèvres, m’arrachant un cri de surprise et de plaisir :
— Gardes-en pour tout à l’heure. »
Je lui souris en arrangeant ma robe, avant de retourner derrière le comptoir et de préparer les nouvelles commandes.
Petit à petit, le bar se vide et le nombre de commande avec. Bientôt, il ne reste qu’un client : David, celui-là même qui nous avait regardés.Il se lève et apporte son verre vide au comptoir. Voyant son regard se promener sur moi, je me dis que ce n’est pas par politesse qu’il s’est levé. Je sens mes lèvres s’humidifier encore plus à cette idée. Stéphane se glisse derrière moi et me présente à son ami, David.
— Salut poupée. Tu m’en resserres une ? Je vais m’en griller une dehors. »
Je regarde David sortir sur le trottoir et allumer une cigarette. Derrière moi, Stéphane soupire et déboutonne le décolleté de ma robe.
— Enfin seul. On en a pour au moins un quart d’heure de tranquillité ! »
Stéphane me caresse les seins. Il saisit mes tétons et les pince sans ménagement. Je pousse un gémissement plus fort. Je m’appuie contre l’évier et lui réponds que je m’en moque, que j’ai trop envie de lui, qu’il m’a trop fait attendre. Je l’entends ricaner tandis qu’il m’appuie sur mon dos pour me bloquer contre l’évier, avant de me claquer les fesses. Je crie de surprise.
— C’est moi qui décide, ce soir, ma belle. »
Ses mots me font tressaillir.
Très vite, je sens ses doigts saisir mes lèvres et les frotter l’une contre l’autre. Je me cambre, j’adore cette caresse qui m’électrise. Je gémis de plaisir lorsqu’il me les pince plus fort. Il saisit alors mon clitoris qu’il fait rouler entre ses doigts. J’ai l’impression de me faire électrocuter. Je gémis de plus en plus fort, me tortillant contre lui. Les doigts de Stéphane m’écartent les lèvres et sa langue me pénètre profondément.
— Aaahhh... »
Je ne parviens pas à réprimer mon râle de plaisir.Bientôt, un doigt me pénètre profondément, bientôt rejoint par un deuxième, alors que du pouce, il tourne autour de mon clitoris.
— Plus fort. » lui murmuré-je.— Quoi ? » me demande-t-il, comme s’il n’avait pas entendu.— Plus fort ! »
Plus qu’une demande, c’est une prière. Alors, un troisième doigt rejoint les deux autres. Je me cambre encore plus sous cet assaut.À ce moment, nous entendons la porte d’entrée s’ouvrir. Stéphane me glisse à l’oreille de dire à David qu’il est sorti, avant de s’agenouiller derrière moi, tout en continuant son doigtage. Je fais du mieux que possible pour me contrôler, tandis que je me sens dégouliner. Stéphane ricane. Serrant les dents pour réprimer mes gémissements, je vois David lorgner ma poitrine découverte :
— Il est où le patron ?— So... Sorti... » parvins-je à lâcher, en réajustant maladroitement mon décolleté.— Ah... Vous voulez bien m’apporter ma bière ? — Euh... La... quelle ? »
J’articule toujours difficilement, alors que Stéphane me lèche l’anus maintenant. David m’indique la marque et Stéphane dégage brusquement ses doigts et tend sa main vers la porte du frigo, qu’il ouvre habilement. Il sort une bouteille et la pose à côté de moi.
— Enlève-ta robe et va le servir. On va bien s’amuser. »
J’hésite un instant.
— Mais... je ne peux pas... »
Il affiche alors un sourire pervers :
— Tu as dit que tu étais à mes ordres, non ? Alors, enlève tout de suite cette robe ! »
Son ton sec m’excite. Je défais les boutons un par un, exposant mes seins nus à son regard lubrique et la fais glisser sous le tablier. Me voilà nue, sous un minuscule tablier qui me cache juste le sexe.
— Tu me refais bander. Allez, vas-y maintenant. »
La proposition sous-entendue est très tentante : un plan à trois, j’adore. Cela ne m’arrive pas souvent. Je finis par hocher la tête. Je prends un plateau, et y dépose la bière et un verre, accompagnés d’un décapsuleur. Je ne peux rien faire d’autre que lui obéir.
Timidement au départ, puis petit à petit excitée par la situation, je me dirige d’un pas plus ou moins assuré vers son ami. Le bruit de mes talons résonne dans le café.
— J’ai failli... » commença David en relevant la tête. Mais il s’arrêta en me voyant.
Cette fois, il n’y avait plus aucun doute : il me voyait telle que j’étais, perchée sur mes talons, nue sous mon tablier.
— Attendre ? » demandai-je en prenant une mine contrite. « Je suis vraiment désolée. Je débute ici. »
Je me penche pour poser le plateau sur la table. David louche sur ma poitrine.
— Permettez-moi de vous offrir cette bière, pour me faire pardonner.— Euh, merci, oui. »
Tandis que je me penche un peu plus pour poser le verre sur la table, je sens son regard glisser sur mon corps nu.
— Euh... c’est le nouvel uniforme ? »
Je prends la bouteille de bière et me penche vers lui avant de décapsuler :
— Circonstances exceptionnelles pour client exceptionnel. Stéphane m’a dit que vous étiez un de ses amis. »
Je ne le lui laisse pas le temps de me répondre et décapsule la bouteille d’un coup sec. Une surprise de taille : de la bière gicle sur ma poitrine au moment où la capsule s’ouvre. Je reste un instant tétanisée, tandis que David regarde la bière couler sur mes seins. La fraîcheur de la bière me fait dresser les tétons.Il sourit.
— Vraiment ? » dit-il en se tournant vers moi. « Permettez-vous de vous nettoyer. »
Il pose ses mains sur mes hanches, me forçant à m’asseoir sur ses genoux. Je me laisse faire, docile et excitée.
— Stéphane m’a parlé de toi, tu sais. Ça m’a beaucoup plu ce que j’ai entendu. »
Ses mains remontent de ma taille à ma poitrine. Il me saisit les seins et commence à les lécher l’un après l’autre, me débarrassant ainsi de la bière. Ma peau se couvre de frissons tandis que je pose mes mains sur la table derrière moi pour lui offrir une belle vue sur mon corps.
— Il avait raison, hyper-excitante. »
D’un seul coup, il commence à me téter avec gourmandise, un sein, tandis qu’il me malaxe l’autre. Il saisit mon téton entre ses doigts, le faisant rouler et le pinçant tandis qu’il me mordille l’autre. Je sens une onde se propager de ma poitrine à mon bas-ventre. Je ne peux pas m’empêcher de glisser une main jusqu’à mon sexe grand ouvert : j’y sens mon jus chaud et poisseux. Je gémis en frottant mes lèvres. Il me malaxe les seins, sans aucune douceur. Il les presse, me pince les tétons, me faisant gémir de plaisir, sans retenue. La douleur est vraiment exquise. Il descend ses mains sur ma taille pour défaire mon tablier. Je me retrouve nue, complètement exposée à son regard et à ses mains.
— Putain ! Tourne-toi ! »
Je m’exécute en pivotant. Je me penche bien pour frotter mes fesses contre son bassin. Je me prends à espérer que Stéphane nous regarde. Je ferme les yeux, en l’imaginant se masturber en nous observant... ou du moins être excité par le spectacle.Une main se glisse entre mes cuisses. Mon intimité déborde de mon jus. Comme Stéphane, il me pince les petites lèvres, en les frottant l’une contre l’autre me faisant crier. J’adore cette sensation. David me plaque brutalement contre la table, m’écrasant les seins sur le bois. Il est plus agressif que Stéphane, mais ça me plaît.
— Oh oui, tu aimes ça. »— Ça va ? Je ne vous dérange pas ? »
La voix de Stéphane nous rappelle sa présence. Je tourne la tête, la joue écrasée contre la table. Il nous regarde avec intérêt et ça m’excite encore plus.
— Tu aimes ça, hein ? Être regardée pendant qu’on s’occupe de toi. »
David saisit mes cheveux, les rassemblant dans sa main et les tire sans ménagement pour me faire lever la tête. Un gémissement plus fort que les autres lui répond.
— Réponds !— Ouiiii ! » Mon cri semble rebondir contre les murs du bar.
Je sens son poids sur mon dos, me coinçant sur la table. Un doigt se glisse brusquement dans mon sexe, m’arrachant un hoquet de surprise. Plaquée contre le bois, j’écarte les cuisses. Il ajoute deux doigts de plus en un geste sauvage. Ses allers-retours à la limite violents me font crier. Brusquement, il retire ses doigts.Je regarde Stéphane qui semble se délecter du spectacle que nous lui offrons.
— Je vais fermer. »
Tandis que Stéphane va fermer le bar, David me redresse devant lui et je m’assois sur ses cuisses. D’une main, il me pétrit les seins, chacun son tour, tandis que l’autre vient frotter vigoureusement mon clitoris. Je gémis de plus en plus fort. Son souffle chaud sur mon cou m’excite encore plus. Je replie mes jambes en attrapant mes chevilles, ouvrant encore plus mon sexe à ses caresses agressives. David profite de l’ouverture pour y glisser deux doigts d’un coup.
Levant les yeux, je vois Stéphane nous fixer, un sourire sur les lèvres tandis qu’une de ses mains défait sa fermeture éclair et saisit son sexe. Il masturbe devant moi. Les halètements rauques des deux hommes m’excitent de plus en plus.
David me pousse dans le dos, me faisant tomber à genoux sur le sol dur. Je ne peux réprimer un léger cri de douleur. Stéphane, sexe à la main, nous rejoint. Une main sur mon épaule, David me force à me redresser devant lui. Avec un sourire, je m’exécute. Je porte mes mains sur la ceinture de Stéphane. Très rapidement, il se retrouve le jean sur les chevilles, le sexe dressé devant mon nez. Je le saisis à pleine main et le porte à mes lèvres. Sa peau est douce sous ma langue. Il lâche un gémissement rauque. Je sens l’excitation grimper entre mes cuisses. Je glisse ma main sur mes lèvres pour me caresser. Stéphane me caresse la tête qui suit les mouvements de ma langue le long du sexe durci. Ses mains s’emparent alors de ma tête pour s’enfoncer plus profondément dans ma bouche. Je le tiens tout entier, promenant ma langue tout autour.
— Ne m’oublie pas, ma belle. »
David, à côté de moi, s’est débarrassé de ses vêtements et se caresse aussi. Il me tire les cheveux pour que j’arrête de sucer Stéphane et s’enfonce à son tour dans ma bouche. Pour ne pas laisser Stéphane en reste, je continue de le masturber de ma main libre. Leurs gémissements m’excitent de plus en plus. Ma bouche et ma main alternent sur les deux sexes qui me sont offerts. Je ne sais plus qui je suce, ni qui je masturbe. J’enchaîne une bite après l’autre. Je le serre de plus en plus fort, j’aime le sentir dur entre mes doigts. Je le reprends dans ma bouche, ses mains appuient sur ma tête pour que je le prenne plus profondément dans ma bouche. J’accélère doucement, le mordillant à chaque fois, tandis que mon autre main se resserre autour de l’autre sexe.
— Lève-toi. » m’ordonne David.
Il m’attrape les mains et me les tire dans le dos. Je m’exécute et il me plaque contre lui. Mes doigts frôlent sa queue dressée. De sa main libre, il m’écarte les lèvres en les écartant pour pincer mon clitoris. Je gémis de plaisir en sentant la délicate douleur m’exciter encore plus. En face de moi, Stéphane se déshabille et reprend sa masturbation.
David me fait asseoir sur la table à laquelle il était installé un peu plus tôt. Posant les pieds à chaque coin de la table, je leur offre la plus belle vue possible sur mon sexe dégoulinant de plaisir. David me plaque sur le bois et saisit mes chevilles pour m’écarter les jambes. D’un coup violent coup de reins, il me pénètre brutalement. Je hurle de plaisir.
Stéphane monte sur la table et se met à califourchon sur moi. La table est si étroite que ses cuisses me serrent la poitrine à m’en faire mal. Son gland me frôle les lèvres. Je les entrouvre pour l’accueillir. Je manque de m’étouffer en la sentant jusque dans ma gorge. J’ai l’impression de devenir folle.
D’un côté, David qui me défonce littéralement, de l’autre, Stéphane que je suce jusqu’au bout. Tout n’est plus que gémissements de plaisir et grincement de table. David laisse échapper un râle rauque en jouissant en moi. Ses doigts serrent plus fort mes chevilles tandis que je me cambre sur ses derniers spasmes. Stéphane sort de ma bouche :
— A mon tour. »
J’ai l’impression d’avoir mes lèvres en feu. Je pose difficilement mes pieds sur le rebord de la table, les muscles douloureux. Mais ce ne sont que quelques secondes de répit.Stéphane s’est déjà saisi de mes lèvres et les frotte l’une contre l’autre en les pinçant. Il prend mes chevilles et les pose sur ses épaules. Il me caresse avec force et il cherche mon anus du pouce. Le mouillant de mon jus, il masse longuement le pourtour de mon petit trou pour l’attendrir. Je lâche un petit cri lorsqu’il me pénètre avec son pouce. Ses doigts dans mon vagin et son pouce dans mon anus me font décoller. Il grogne de plus en plus fort au fur et à mesure que ses doigts s’enfoncent en moi. Il ralentit, me laissant reprendre mon souffle et dégage ses doigts inondés de mon jus pour les essuyer sur mon pubis.
— Tourne-toi. »
Je m’exécute et me mets à quatre pattes devant lui, les cuisses bien écartées. Sa main me caresse à nouveau, les fesses, les lèvres, me pince. Ses mains m’écartent les lèvres et sa langue recommence à me fouiller bien profondément. Ses doigts caressent mon clitoris. Je m’écroule un peu contre la table, repoussant mes fesses contre sa bouche.
David, qui a pris le temps de récupérer, se tient devant moi. Me tirant les cheveux, il guide mon visage vers son sexe au repos. Ma langue le long de son sexe et sur son gland lui redonne de la vigueur.
Stéphane m’aspire le clitoris. Je gémis comme une folle. David me saisit la tête et enfourne sa queue de nouveau dans ma bouche. Je sens encore le goût de mon jus sur son sexe.Je halète encore quand Stéphane retire ses doigts. J’entends la table gémir alors qu’il se redresse. Il s’empare de mes lèvres, les écarte largement et d’un coup de reins, m’arrachant un cri me pénètre vigoureusement. Il se penche un peu plus sur moi et agrippe mes épaules, s’enfonçant encore plus profondément en moi. Je me redresse et m’enfonce sur lui. Collant mon dos contre sa poitrine, je lui prends les mains pour les poser sur mes seins. Il me les malaxe en me mordant le cou. Je gémis encore, plus fort jusqu’à crier en même temps que lui. Je sens son sexe palpiter en moi. Je descends mes mains sur mon ventre, mon pubis, jusqu’à mes lèvres entre lesquelles son sexe coulisse avec force. Je le caresse tandis qu’il murmure à mon oreille :
— Putain c’est bon. »
David se masturbe de nouveau.
— Ne m’oubliez pas. »
Stéphane se dégage :
— Un sandwich ? »
Il y avait longtemps que je n’avais pas été prise par deux hommes en même temps. J’acquiesce avec fébrilité. Il enfonce deux doigts dans mon sexe et les ressort aussitôt pour me badigeonner l’anus de mon jus. Il me malaxe fermement la rondelle pour l’assouplir. Je gémis lorsque son doigt me pénètre. Je le sens aller et venir dans mon cul devant le regard excité de David. Je m’ouvre petit à petit. Le doigt plongé en moi a été rejoint par un autre.
— Un cul parfait. »
Stéphane dégage son doigt et invite David à se mettre à genoux devant moi. Me soulevant sous les cuisses, il m’empale brusquement sur le sexe dressé de David, nous arrachant des cris de plaisir. Il me pénètre plus profondément comme ça. Ses mains saisissent mes hanches et me font aller et venir sur lui. Je m’accroche à ses épaules pour ne pas tomber. C’est alors que Stéphane me prend par-derrière. Je lâche un cri dans lequel se mêlent plaisir et douleur.
Je me sens remplie complètement. Les deux queues qui, à travers la mince paroi séparant l’anus du vagin, frottent l’une contre l’autre me font hurler de plaisir. Ma cyprine coule de mes lèvres. David enfonce ses doigts dans ma chair alors que leurs pénétrations se font de plus en plus brusques. Peu à peu, j’ai senti notre plaisir monter. J’ai le cul et le sexe en feu. J’ai l’impression que je vais exploser. Nos gémissements se font de plus en plus rauques et n’en pouvant plus, j’explose dans un cri intense alors que les deux hommes giclent en moi.
Je sens les spasmes de leurs sexes en moi, tandis que nous nous relâchons tous les trois. Lentement, Stéphane ressort de mon cul tandis que David me soulève un peu. Avec précaution, je m’allonge sur le dos. Le bois de la table est dur dans mon dos, mais je m’en moque. Je me détends, alors que mon jus, mélangé avec le sperme des deux hommes coule lentement sur la table. Je sens mon sexe palpiter, comme s’il avait envie de plus de plaisir. N’y tenant plus, je fais glisser ma main sur mes lèvres et les caresse à nouveau.
Stéphane descend de la table, me laissant pantelante sur le bois. Me mettant sur le dos, je promène mes mains sur mon corps. Il me regarde amusé :
— Tu en veux encore ? »
J’écarte mes lèvres de mes doigts, me caressant.
— J’en meurs d’envie. »
Il me saisit les chevilles et me tire jusqu’au bord de la table.
— Tu vas voir... »
Je regarde David qui esquisse un sourire et faire le tour de la table. Il m’attrape les mains et me tire les bras au-dessus de la tête. Me maintenant les poignets bloqués contre le bois, il me glisse son sexe entre les mains. Stéphane ne sera pas tout à fait le dernier joueur en lice. Mes mains caressent langoureusement le sexe de David qui reprend doucement de la vigueur. Stéphane m’écarte brutalement les jambes, et se couchant sur moi, enfonce profondément ses doigts en moi. Ses allers-retours vigoureux me font hurler de plaisir. Je l’entends râler de satisfaction alors que je m’accroche aux bords de la table en hurlant.
— Putain. » dit il. « Tu me refais bander...— Moi aussi. »
Les mains de Stéphane m’écartent encore plus les cuisses tandis que je sens de nouveau le sexe de David palpiter entre mes mains. Je sens des brûlures dans mon dos : la dureté du bois va me laisser des traces, mais ce n’est rien par rapport à ma jouissance. Une nouvelle fois, leurs cris se perdent avec le mien, plus profond, plus rauque que le premier tandis qu’il jouit à nouveau en moi. J’ai l’impression que mon corps entier va imploser alors qu’il se cambre sous son dernier assaut. Tandis qu’il se laisse glisser à genoux, David éjacule alors sur moi. Je sens son sperme chaud sur mon visage et sur ma poitrine. Au bout de quelques secondes, David saisit une serviette et m’essuie avec une délicatesse à laquelle je ne m’attendais pas.Lentement, je m’assois sur le bord de la table. Les deux hommes se rhabillent et s’assoient sur une banquette. Se passant une main dans les cheveux, David sourit :
— Waouh, je ne pensais pas que me faire une nana avec mon meilleur pote serait aussi jouissif. »— Me faire sauter par deux mecs sur une table de bar était une nouveauté pour moi. Il faut un début à tout...— Fais-nous signe quand tu reviens dans le coin. »
Je me lève à mon tour et file récupérer mes vêtements et me rhabille le plus lentement possible. Avant de sortir, je dépose un long baiser langoureux sur leurs lèvres, en leur glissant ma carte dans la poche :— N’hésitez pas non plus à venir me voir. Seuls ou ensemble. »
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