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Initiation brutale

Chapitre 1

chapitre un :la silhouette

Gay
J’étais dans ma dix-neuvième année, encore assez innocent des choses du sexe, on était moins déluré que maintenant à cette époque d’avant 68 et j’avais juste joué un peu à quelques branlettes mutuelles avec un cousin éloigné du même âge quand nous étions en vacances et couchés dans le même lit en Bourgogne.Pas moche, assez maigre, 1m 82, brun aux cheveux longs. Je trainais souvent sur les grands boulevards et, j’en étais féru, je vois un cinéma spécialisé dans les films d’horreur vers la porte Saint Denis.Une salle pratiquement vide, déjà dans le noir. Je m’installe seul dans une rangée et ne suis pas intrigué par une silhouette massive et sombre qui vient s’assoir à côté de moi alors que la salle est peu occupée, toute mon attention retenue par un film où les vampires s’attaquent à de frêles jeunes filles légèrement vêtues.
Soudain, un contact, bref, comme si la main de l’inconnu avait glissé contre ma cuisse, je tourne la tête et devine plus que je ne vois un homme mur, sans doute dans les 45 à 50 ans, vêtu de sombre et qui regarde, comme moi, l’écran.Mais quelques minutes plus tard, même contact plusieurs fois de suite, intrigué je ne bouge pas et la main glisse mais reste sur ma cuisse qu’elle serre légèrement.Ce contact me fait de l’effet et je ne réagis pas, juste ma respiration s’accélère un peu et sans doute est-ce visible car la main enserre maintenant ma cuisse et remonte doucement vers ma braguette.Elle s’y arrête, je suis tétanisé et n’ose bouger, plus craintif par le fait qu’on pourrait le voir, mais la salle est pratiquement vide et je me laisse aller.Comme si l’autre l’avait compris, la main a maintenant pris possession de mon sexe qui commence malgré moi à durcir à travers l’étoffe et je sens qu’elle ouvre doucement ma braguette, par réflexe je tente de resserrer les cuisses mais l’autre main, presque brutalement écarte mes genoux et je cède paniqué mais avec aussi une excitation sale et inconnue qui me retient de me débattre.Des doigts épais et rêches s’emparent de mon sexe et le serre presqu’à me faire crier tout en commençant un mouvement de va-et-vient qui achève de me faire bander, cuisses écartées, soumis à l’inconnu entreprenant.
Quand il sent que je vais jouir, son autre main saisit la mienne et l’entraine sur sa braguette ou je sens une bosse cylindrique qui me parait bien grosse et que machinalement je serre tout en lui arrosant copieusement les doigts de mon sperme complètement dominé.Une voix me chuchote à l’oreille, allez rajuste toi petite cochonne (ces mots me font un drôle d’effet) et je me sens complètement à sa merci malgré ma honte d’avoir pris un plaisir inconnu encore.Je lâche, presqu’à regret la queue que j’avais saisie à travers l’étoffe et je rentre mon sexe maintenant plus mou et ferme ma braguette.Je n’ose plus bouger, tout à ma jouissance subite quand j’entends de nouveau la voix, viens, suis-moi, j’habite à côté, tu vas te nettoyer chez moi.La silhouette qui me parait gigantesque se lève et avance dans l’allée sans se retourner et je ne sais pas quelle force vainc ma peur et me pousse à me lever et à marcher derrière lui.On sort, le jour tombe et je regarde à peine qui je suis préférant sans doute ignorer cet homme qui me subjugue.
On ne fait que quelques dizaines de mètres et on pénètre dans un de ces immeubles d’alors du centre de paris, entrée sombre, palier encore plus sombre.Un salon sombre aussi, il y fait presque trop chaud, tapis épais, meubles anciens, rideaux tirés mais on devine la rue passante proche. Assieds-toi la, un fauteuil profond, et bois ça, un verre tendu, une sorte de liqueur assez forte, bien, détends-toi...Je me sens bien, détendu et plus de crainte du tout, sans doute que la boisson y est pour quelque chose ?J’observe l’homme, grand massif, brun, un petit bouc, l’air sévère qui me regarde avec de petits yeux qui me subjuguent.Je sens que tu vas être très gentil, allez lèves toi et fais-moi voir comme tu es beau tout nu, allez dépêches toi...
Dans un état second je me lève et enlève mes vêtements, je me retrouve en slip, devant un inconnu, chez lui...Approches, je suis à quelques centimètres de lui, ses mains se posent sur mes hanches et baissent mon slip, hum, tu es une belle petite puce tu sais et tu vas aimer tout ce que je vais te faire, aller viens.Il me fait passer devant lui et sa main se pose sur mon dos, très bas, presque sur mes fesses, ça me fait tressaillir et il me pousse dans une grande chambre, un lit l’ancienne, haut avec un couvre-lit sombre et épais, je reste devant le lit, le sentant derrière moi, gauche, sans bouger. Il me caresse l’épaule et je me retourne, il est nu, fort, massif, viril, poilu et sourit, toi tu n’as jamais vu un homme nu, allez approche.Il me prend par la taille se penche sur moi et m’embrasse, sa grosse langue envahit ma bouche et je suis incapable de résister, il me serre et je sens son gros sexe qui s’anime contre mon ventre et ma queue bien plus petite que la sienne.Ses mains s’animent et je suis tripoté presque parfois brutalement, il s’attarde sur mes tétons qu’il pince et je gémis ignorant que cette caresse pouvait faire autant d’effet, puis une de ses mains descend entre mes cuisses et serre sans ménagement mon sexe et mes couilles, j’halète, complètement offert, mon bas ventre se portant parfois en avant quand les caresses me font encore plus d’effet.
Il se recule un peu et appuyant sur mes épaules obtient vite que je sois à genoux devant lui, son sexe impressionnant juste sous mes yeux, il le pousse contre ma bouche, allez ma petite, suce-moi bien avant que je ne te prenne comme une fillette vierge.J’ouvre la bouche et son sexe s’y insinue sans difficulté, c’est gros mais doux et je suce tant que je peux, ses mains s’acharnant un peu sur mes tétons, aident à ce que j’aspire ce gros gland qu’il pousse au fond de ma gorge, presque à m’étouffer. Attends, tu vas me faire jouir, il sort doucement sa queue que je trouve maintenant énorme et tendue et me dispose à genoux, torse appuyé sur le lit, cul offert.Ne bouge pas, je sens ses doigts qui me parcourent et s’attardent sur mon petit anus encore neuf, des sensations inconnues mais qui sont extrêmement excitantes.Du froid, un liquide huileux qu’il me verse dans la raie des fesses, puis ses doigts qui massent et tournent autour de mon anus, sa voix, apaisante, n’aie pas peur, laisse-toi aller tu vas adorer ça...Je sens ses deux mains qui écartent mes fesses doucement et un poids sur l’anus, allez respire et pousse.
Aie non, je sens sa poussée et mon anus après une petite résistance qui s’ouvre et une barre chaude qui m’envahit, je crie un peu et sa main vient me bâillonner, tais-toi, tu vas ameuter les voisins. Il reste ainsi immobile, le temps que je m’habitue à cette subite dilatation puis me prends les deux poignets d’une main m’immobilisant ainsi contre lui.Je vais te baiser petite fille, et il commence des va-et-vient qui me font gémir, sentir ainsi un mâle, son poids sur mon dos, son sexe qui me ramone maintenant avec d’amples mouvements de son puissant bassin et soudain, il accélère et je sens ses couilles poilues battre contre mes fesses, un grand cri et il se vide en moi pratiquement en même temps que je jouis de ce traitement comme ça ne m’était jamais arrivé.Il reste un moment en moi, sans bouger, son torse poilu sur mon dos puis se retire doucement, je suis épuisé et n’ai plus de force.Tu vois, tu as aimé et tu n’es plus une pucelle maintenant, allez, tiens bois, il me redonne de sa liqueur et me fais coucher sur le lit en me bordant sous les draps. Je le vois à peine téléphoner que je sombre déjà dans le sommeil.....
Si j’avais su...
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